
En 1997, un général français expliquait à des militaires qui s’apprêtaient à partir pour la Bosnie-Herzégovine que la situation de l’ex-Yougoslavie était comparable à celle de ces vieux appartements dans lesquels, au gré de la succession d’une multitude de locataires, les couches de papiers peints s’étaient superposées les unes aux autres.