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En tournant le dos aux hydrocarbures russes, l'Europe a perdu 1300 milliards d'euros
"Nous avons réduit de manière drastique notre dépendance aux énergies fossiles russes", a déclaré la cheffe de la Commission européenne en janvier dernier en ajoutant que "cette liberté a eu un prix".
L’idéologie souverainiste russe impacte celle, démocratico-libérale, du Camp du Bien. Au point d’être transformée en « menace existentielle pour l’Europe », par le président de la République. Il ré-utilise la peur ayant fait ses preuves au service de la construction européenne après 1945, où les chars français attendirent vainement l’assaut des forces russes. Aujourd’hui, Emmanuel Macron réactive la peur comme fédératrice des faibles, pour défendre l’Union européenne en perdition mais, en revanche, il se moque des déstabilisations russes visant l’intégrité territoriale française en Outre-Mer.
C’est ainsi en politique, il y a des moments où l’on apprend plus dans un laps de temps très court que la plupart du temps en des années. Ce fut le cas cette semaine du 31 mars au 6 avril 2025.
Le RN et Marine Le Pen ont été frappés injustement par une décision de « justice » qui n’en avait que le nom puisqu’il s’agissait d’une décision politique maquillée en décision de justice décidée par trois juges dont la principale ne cache pas ses liens et son admiration pour Eva Joly, écologiste enragée, mais surtout qui n’a hésité à utiliser sa fonction de juge pour frapper ses adversaires politiques en se dissimulant derrière des décisions judiciaires.
Selon L’Opinion, Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur, cible désormais la confrérie des Frères musulmans, accusée de vouloir instaurer la charia en France par une stratégie d’entrisme jugée plus dangereuse encore que le salafisme. Un rapport confidentiel Gouyette-Courtade, en cours de déclassification, alerte sur une « menace pernicieuse et progressive » et détaille le fonctionnement d’une « petite pyramide resserrée » au sommet de l’organisation, ses financements opaques et sa stratégie d’influence via associations sportives, cultuelles et éducatives.
Le 3 avril, le président américain Donald Trump a annoncé le début d’une guerre commerciale mondiale qui aura un impact sur la croissance économique mondiale. Les experts européens estiment que l’industrie de l’UE subira des conséquences directes et indirectes.
Ainsi, des droits de douane plus élevés sur une soixantaine de pays, qualifiés de «pires offenseurs» devraient entrer en vigueur le mercredi 9 avril.
Les Bourses dévissent ferme, les commentateurs économiques s’affolent, les militants prennent le relais : Trump est-il en train d’appauvrir la planète, de liquider les multinationales et de « se tirer une balle dans le pied », comme le répètent tous les commentateurs en boucle dans les médias mainstream ? Ce 4 avril, l’économiste Marc Fiorentino, spécialiste des marchés financiers, banquier d’affaires et essayiste à succès, célèbre pour ses conseils boursiers, n’est pas d’accord et le dit. Interviewé sur BFM Business, l’économiste attaque, bille en tête, « le florilège d’âneries et de certitudes qu’on entend depuis 24 heures ». Pour lui, les mêmes qui disaient que le NASDAQ n’avait pas de limites, que c’était la fin de la mondialisation, qu’on était dans les années 1930, que la France pourtant économiquement affaiblie avait bien le droit de se moquer de Trump... les mêmes, donc, enterrent aujourd’hui les réformes douanières du président américain. Le tout sur fond de sous-estimation de Trump, une fois de plus qualifié de… débile. « On n’a pas les moyens d’être arrogants, en France, et de porter des jugements quand on a des résultats aussi catastrophiques, s’agace Fiorentino. Quand j’entends un Thierry Breton après ce qu’il a fait dans plusieurs boîtes et quand j’entends Emmanuel Macron après ce qu’il a fait à l’économie française, je leur dis : calmez-vous un tout petit peu ! »
Il faut savoir rire de tout surtout lorsque c’est grave, et savoir aussi observer avec humour quelques paradoxes truculents que seule l’actualité est capable de nous fournir.
Par exemple, ces dernières heures avec la dernière décision de Donald Trump de monter les droits de douane pour tout le monde c’est la chute des marchés.
Macron ne vit que pour la guerre, c’est sa seule préoccupation et il s’emploie comme un beau diable, pour justifier d’entrer directement en conflit contre la Russie. La France, ce qui s’y passe, il s’en moque, ce n’est pas, ça n’a jamais été sa priorité. Tout le monde a bien compris qu’il ne voulait pas de la paix, et si en France il bénéficie du soutien étonnant de toute la classe politique, à l’extérieur il n’en est pas de même. Certes il a deux amis, le Britannique Starmer qui est tout aussi obnubilé par ce conflit, seul moyen pour échapper au drame qui se joue dans son propre pays, ainsi que son homologue allemand dont l’économie est en train de sombrer à grande vitesse. Macron est le chef de file de cette coalition qui n’en est pas une mais qui multiplie les réunions pour envoyer des troupes en Ukraine. Mais sous quel mandat ? L’ONU ? Il faudrait une résolution du conseil de sécurité dans lequel siègent la Russie, la Chine, les USA. Il y a fort à parier que l’un des trois, voire les trois utiliseront leur droit de veto.
A Nantes, au sein du collège et lycée La Colinière, une enseignante a demandé à une collégienne d’enlever son voile car celle-ci se trouvait encore dans l’enceinte de l’établissement. La collégienne a obéi. Mais juste après, plusieurs élèves sont allés voir le professeur pour lui signifier qu’elle n’avait pas à lui faire cette remarque. Un jeune a sorti son téléphone. Filmée à son insu, l’enseignante n’a pas apprécié. Elle a porté plainte suite à la captation d’images sans son consentement. En attendant, sur le plan scolaire, l’élève qui a filmé l’enseignante sans son autorisation a été sanctionné.
Zelensky et les chefs d’état-major britannique et français, Anthony Radakin et Thierry Burkhard, à Kiev
Londres et Paris sont prêts à envoyer des troupes en Ukraine. Les chefs d’état-major britannique et français, Anthony Radakin et Thierry Burkhard, sont à Kiev.
Le sujet de la rencontre concerne la discussion des détails du déploiement d’un contingent militaire occidental en Ukraine