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l'information nationaliste - Page 2623

  • Trois ans après les Gilets jaunes, que reste-t-il du mouvement ? [vidéo]

    Trois ans après leurs premières manifestations, que reste-t-il du mouvement des Gilets jaunes ? Si la colère est toujours là selon certaines figures, dans la rue, le mouvement s’essouffle.

    Katia Pecnik est allée à la rencontre de Maxime Nicolle, une ancienne figure du mouvement des Gilets Jaunes. Après avoir été surexposé dans les médias lors de la crise, il a déménagé en Bretagne pour trouver un travail.

  • Alexandre Ier de Russie (1777-1825)

    Alexandre Ier de Russie (1777-1825)

    Petit-fils de Catherine II, accusé du meurtre de son père, adversaire, allié, puis ennemi redoutable de Napoléon, il a fait entrer la Russie en Europe.

    « Il a de l’esprit, de la grâce, de l’instruction, est facilement séduisant ; mais on doit s’en défier […]. Peut-être aussi me mystifia-t-il ; car il est fin, faux, adroit ; il peut aller loin. Si je meurs ici, ce sera mon véritable héritier. »

    Ce jugement, porté depuis Sainte Hélène par Napoléon sur le premier qui, en Europe, eut raison des aigles impériales, souligne deux aspects essentiels de la charismatique figure d’Alexandre 1er : son importance politique dans l’Europe du début du XIXe siècle et le caractère insaisissable de son personnage. Pour expliquer les revirements politiques, idéologiques ou encore diplomatiques qui ont émaillé son règne, on a souvent fait de lui un prince velléitaire et superficiel, un « Hamlet couronné ». À rebours de ces jugements simplistes, Marie-Pierre Rey s’appuie, dans une récente biographie, sur de nouvelles archives et sur une correspondance considérable pour décrypter toute la complexité de cet homme ambigu, jugé par ses contemporains « trop faible pour régir, mais trop fort pour être régi ».

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  • Quel possible pour demain ?

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    Le billet de Patrick Parment

     La politique n’est pas une science exacte. Au regard de ce que nous propose le paysage politique d’aujourd’hui, le fait saillant reste la montée inexorable de l’abstention. Ce qui veut tout simplement dire que les politiques ne sont plus en phase avec les attentes du peuple. Un déni de réalité en quelque sorte et dont la conséquence directe est que nos élus ne le sont que par des minorités. Ce qui remet en cause la notion même de démocratie qui veut que les gouvernants soit l’expression des désirs et des aspirations du peuple. On est loin du compte depuis des décennies.

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  • Immigration illégale : la complicité des gouvernements français depuis cinquante ans 1/2

    La présente chronique traite de l’immigration illégale. Nous avons fait un point sur l’immigration légale dans un article précédent. Nous examinerons par la suite la question des naissances issues de l’immigration.

    Comme nous le disions dans une précédente chronique, la classe dirigeante s’efforce de faire en sorte que le débat sur l’immigration se focalise sur l’immigration illégale, afin d’occulter le fait qu’il existe également une immigration à la fois tout à fait légale et considérable. Pour ce qui est de l’immigration illégale, les responsables politiques sont unanimes : ils proclament sans relâche la nécessité de l’arrêter. Comme on s’en doute, tout cela relève du seul discours : les pouvoirs publics, nous allons le voir, n’entreprennent rien pour y mettre fin. Ils en sont au contraire des complices actifs.

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  • Philippe Murer : il est urgent de faire face aux « désastres » de « l’ultralibéralisme » [vidéo]

    Philippe Murer

    Désindustrialisation, crises économiques, chômage de masse, catastrophes climatiques… À en croire Philippe Murer, c’est l’avenir apocalyptique qui attend la France au tournant si elle ne change pas de cap! En cause, un «ultralibéralisme» poussé à son paroxysme qui entraînerait notre pays vers «l’abîme».

    Pour l’économiste, si rien n’est inéluctable, la France est aujourd’hui à la croisée des chemins. C’est l’implacable constat qu’il dresse dans son dernier ouvrage Sortir du capitalisme du désastre, publié aux éditions Jean-Cyrille Godefroy.

    Il est l’invité de Sputnik donne la parole.

  • « Le fascisme exotique veut déblanchir les populations européennes »

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    À l’occasion de la sortie de son dernier ouvrage, La Mondialisation dangereuse, Alexandre del Valle explique en quoi l’idéologie occidentale a intégré l’ADN déconstructiviste et libertaire de 68, nous conduisant à un effondrement culturel, intellectuel,  et économique. Il dénonce la lecture progressiste et anti-frontières du mondialisme, à l’inverse de la  dont les leaders asiatiques sont des peuples nationalistes vertueux qui défendent leur  et leurs frontières.

  • Eiffel dans la collection « Qui suis-je ? »

    Sylvain Yeatman-Eiffel, ancien cadre dirigeant dans l’industrie touristique, peintre, journaliste et expert judiciaire, est le président d’honneur de l’Association des descendants de Gustave Eiffel. C’est tout naturellement qu’il signe une biographie de son ancêtre.

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  • Migrants : dans la Manche, la France d’Emmanuel Macron ne fait pas mieux que la Libye ou les pays du Maghreb.

    Cinq ans après le prétendu démantèlement de la « Jungle » de Calais, organisé par François Hollande et son ministre de l’intérieur d’alors, Bernard Cazeneuve, tout s’est passé comme nous l’avions prévu

    TOUT A RECOMMENCÉ ET… TOUT EST À RECOMMENCER, EN PIRE !

    Car s’ajoute maintenant au nombre incessant des nouvelles arrivées de migrants, non refoulés et non expulsés, celui des tentatives de plus en plus nombreuses de traversées clandestines de la Manche. Exactement comme ce que l’on observe depuis des années en Méditerranée, en provenance de la Turquie vers la Grèce, de la Libye et du Maghreb vers l’Italie, l’Espagne et la France…

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  • Ces responsables qui connaissaient la menace terroriste… et n’ont rien pu faire

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    Des responsables dépassés par les conséquences de l’ massive, telle est l’image qui ressort des dernières auditions lors du procès des auteurs de l’attentat du 13 novembre. Une semaine après la comparution de l’ancien Président François Hollande comme témoin – et ses propos qui ont fait couler de l’encre -, la parole est à ceux qui, dans les hautes instances, étaient concernés au premier chef par la lutte antiterroriste. Ainsi, le mardi 16 novembre, étaient cités Bernard Bajolet, directeur général de la  extérieure au moment des faits, et Patrick Calvar, alors directeur général de la Sécurité intérieure (ce dernier verra, finalement, son audience reportée à une date ultérieure) ; ce mercredi 17 novembre sont cités Bernard Cazeneuve, ancien ministre de l’Intérieur, et François Molins, ancien procureur de la République près le tribunal judiciaire de Paris.

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