Le Daily mail rapporte que désormais, les étudiants universitaires ne seront plus notés pour leurs fautes d’orthographe, de grammaire et de ponctuation aux examens, car cela est considéré comme « élitiste ». Selon le site d’information, les universitaires ont été informés que le fait d’insister sur un bon anglais écrit était discriminatoire à l’égard des minorités ethniques et de ceux qui ont fréquenté des écoles « peu performantes ».
l'information nationaliste - Page 3035
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Grande-Bretagne : les université cesseront de pénaliser l’orthographe des élèves afin de réduire l’écart entre Blancs et Noirs
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Indiscrétions : Françoise, une Grand-Mère énergique !
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Barrès, Déroulède et leurs héritiers…
Face à l’actuel marasme intellectuel où le niveau des débats politiques prêtent plus à rire qu’à réfléchir, il peut être intéressant de comparer l’effervescence politique du XIX° et début du XX°Siècle à notre époque actuelle, où Barrès, Bourget, Maurras, La Tour du Pin, Bacconier et encore tant d’autres noms de penseurs politiques renverraient les actuels chefs de partis au bac à sable politique, avec la fessée réglementaire.
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Délations, explosion de haine entre Français : la psychose du Covid aggrave les fractures
Il y a quelques mois, Renaud Girard et Jean-Loup Bonnamy publiaient Quand la psychose fait dérailler le monde, un essai roboratif dont nous avions rendu compte dans ces colonnes. Ils expliquaient qu’une mise en perspective de la réalité de l’épidémie et un traitement rationnel de celle-ci comme problème de santé publique avaient été écartés par la volonté de masquer les carences de notre système de santé : à partir de là, c’est la peur qui domine, et la psychose, abondamment relayée par les médias, a fait dérailler le politique. Dénonçant cette mondialisation de la psychose, ils expliquaient fort justement que, basculant dans l’irrationnel dont la sacralisation du principe de précaution n’est qu’un variant, le politique avait viré à l’arbitraire et à l’absurde. Une sorte de fuite en avant qui avait fait de ce virus « un terroriste, c’est-à-dire un agent dont l’impact psychologique et sociétal dépasse de loin son impact physique ».
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Graffitis près d'une mosquée à Rennes...
La réaction de Thomas Joly (Parti de la France) :
Quelques misérables tags sur la mosquée de Rennes et tout ce que la classe politique compte de lèche-babouches se précipite pour exprimer son émoi. Les mêmes qui ne pipent mot alors que chaque jour des églises sont vandalisées partout en France. Une sacrée bande d'hypocrites...
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Journal de bord de Jean-Marie Le Pen n°613
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Petit tour des courbes covid…
Pour y voir plus clair sur le confinement, le port du masque, le déconfinement, la réalité de la gravité mortelle de ce petit virus et tout le tra-la-la, petit tour des courbes covid…
Il y a un mois, le gouverneur de la Virginie occidentale a déclaré que lever l’obligation des masques était une décision « ridicule ». Depuis, les cas dans son Etat sont en hausse de 47%. Pendant ce temps, les cas au Texas déconfiné-démasqué sont en baisse de 44%.
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L'Ena sur la sellette
Pour la plupart des observateurs, il semble assez clair, qu'en réitérant ce 8 avril son intention, déjà annoncée en 2019, de supprimer l'École nationale d'administration, dont il est issu, le président de la république se moque du monde.
Parmi tous les commentaires négatifs signalons ceux de Nicolas Beytout. Le directeur de l'Opinion a immédiatement consacré deux chroniques virulentes au même sujet : le 8 avril au soir, il écrit : "Supprimer l’Ena, une idée d’énarque" ; et le 9 avril il souligne, sur Europe N° 1, que "le problème ce n'est pas l'Ena, c'est l'État !"
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Quand les LGBT comprennent que leurs comportements contre-nature n’est pas simple en fin de vie
En lisant attentivement l’article décrivant l’ouverture prochaine d’une maison de retraite réservée aux LGBT à Londres, on se rend compte que les LGBT découvrent par eux-mêmes que leur choix de vie est contre-nature :
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Le Manifeste des 343, ou la déresponsabilisation triomphante, par Leo Barthes.
Cette pétition provocante orchestrée par Nicole Muchnik, journaliste au Nouvel Observateur et parue le 5 avril 1971 dans ce même hebdomadaire, avec l’appui de 343 femmes ayant déclaré : « Je me suis fait avorter », avait pour objectif d’obtenir la légalisation de l’avortement. Cinquante ans après, retour sur un texte annonciateur des maux actuels.