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l'information nationaliste - Page 4803

  • Quand le quotidien Le Monde préconise le grand remplacement à Chemnitz

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    L’Observatoire a déjà consacré une analyse à la réaction des médias français au mort de Chemnitz assassiné par un réfugié (ou deux réfugiés, l’enquête est en cours) et les manifestations qui s’en sont ensuivies. Le Monde revient un peu plus tard (numéro daté du 19 septembre 2018) à Chemnitz. Pour connaître l’opinion des habitants sur l’insécurité ? Non point, pour valoriser à tout prix le remplacement des générations par l’immigration.

    Qui organise ?

    Le thème de l’article : la chambre de commerce de Chemnitz (Saxe) constate le manque de main d’œuvre et accueille un forum sur « Trouver de nouveaux collaborateurs et les garder ». Rien que de très classique. Mais la journaliste vend la (grosse) mèche très vite en indiquant les noms des deux puissances organisatrices. Le premier, le réseau « Les entreprises intègrent les réfugiés » manifestement enthousiaste de la politique d’Angela Merkel qui a plongé l’Allemagne dans la confusion. Le second, « L’Association pour une Saxe ouverte », sent bon le réseau Soros via sa fondation Open Society ou un de ses innombrables pseudopodes (le lien en allemand, nous remercions d’avance si un de nos lecteurs germanophones peut nous donner plus de précisions). Remarquons l’emploi exclusif du terme réfugiés et non de migrants, un terme qui fait appel à l’émotion et qui permet de camoufler la réalité d’un phénomène.
    Libéralisme, individualisme, économie

    Qu’un patron souhaite trouver des collaborateurs de valeur, c’est enfoncer une porte ouverte. Que ce soit difficile, c’est maltraiter de nouveau sévèrement cette malheureuse porte. Qu’une société entière œuvre à sa propre disparition au nom de la bonne économie, c’est plus étonnant. C’est pourtant ce que sous-tend le reportage via des exemples individuels et collectifs. Prenons le cas, donné comme exemple d’Abdellatif A, un Libyen venu d’un pays considéré comme sûr (nous citons). Si le pays est sûr C’est donc un faux réfugié. Sa demande d’asile est rejetée, il doit donc rentrer en Libye. Mais « En réalité… il ne peut pas être expulsé ». Kikeriki (les allemands ne disent pas Cocorico comme les français), Abdellatif « a finalement récupéré son autorisation de travail ».

    Hélas provisoirement déplore le quotidien.

    Passons au collectif à présent. L’article souligne à juste titre qu’après la réunification de nombreux jeunes adultes sont partis vivre à l’Ouest (la Saxe est en ex RDA) ou ont fait moins d’enfants. Conséquence « La génération des14-17 ans est encore moins nombreuse qu’à l’ouest ». Fort bien. La solution serait elle de favoriser la natalité ? Certes pas, puisque les viviers afghan et syrien (vous pouvez compléter, ivoirien, nigérian, maghrébin, tamoul, pakistanais, poldève etc) sont là. « Pour ces deux nationalités le nombre de contrats d’apprentissage a triplé par rapport à l’année précédente ». Hourrah ! La solution est là, importons des centaines de milliers, non pardon des millions d’afghans ou de syriens et l’Allemagne sera sauvée. Nous avions consacré en 2017 un long dossier sur la légende propagée par certains médias des « réfugiés, une chance pour l’Allemagne », nous en donnons trois extraits :

    Sachant que les « réfugiés » présentent surtout des profils qui permettront de combler le tragique déficit de l’économie allemande en aides de cuisine, serveurs, conducteurs de véhicules, laveurs de carreaux, blanchisseurs et peut-être aussi vigiles, on comprendra :

    – que les PME-PMI, qui représentent le cœur de la puissance économique allemande, ne sont que peu soulagées par cette population présentée comme des « sauveurs de l’Allemagne » par un monde politico-médiatique complètement à côté de la plaque.
    – on se souviendra aussi de la forte implication médiatique des grands groupes allemands, notamment dans le cadre de la fameuse Integrations-Initiativen der deutschen Wirtschaft (Initiatives d’intégration de l’économie allemande) qui a payé au prix fort des doubles pages en quadrichromie affichant fièrement des équipes d’apprentis et de futurs employés aux couleurs arc-en-ciel. Il va sans dire que les grands groupes allemands n’ont guère fait que recruter quelques vigiles de nuit et gardiens de parking.

    Les grands groupes ne font que communiquer dans le sens d’un monde politico-médiatique afin de soigner leurs relations politiques et de conforter les rentes de situations que celles-ci leur accordent sans bénéfice pour la société globale, puisque la totalité des créations nettes d’emplois provient des PME-PMI qui n’ont rien non plus à proposer à des réfugiés ne répondant pas à leurs besoins, ce qui bien sûr n’a aucun impact sur leurs propres échelles de rémunérations, puisque celles-ci continuent à être durablement marquées par la pénurie de main d’œuvre qualifiée.

    Sachant que 75 à 90% des réfugiés veulent rester, on voit que la crise des réfugiés pèsera non seulement lourdement mais encore durablement sur les comptes sociaux en charge nette, et par conséquent sur les impôts et les charges de la classe moyenne et des entreprises, surtout des PME-PMI. Et ce durablement, d’autant que les précédentes études ont aussi montré que les populations d’origine musulmane restaient en panne de qualification sur plusieurs générations, pour des raisons clairement culturelles.

    Cette analyse reste d’actualité, sauf pour Le Monde bien entendu, avocat des remplacements, petits ou grands.

    Article paru sur le site de L’OJIM

  • Macron la honte : Eric Zemmour remet les choses à leurs places

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/09/20/macron-la-honte-eric-zemmour-remet-les-choses-a-leurs-places-6091018.html

  • Le Sénat face aux attaques du pouvoir exécutif.

    L'affaire Benalla devrait être terminée et désormais laissée aux juges pour les faits qui sont reprochés à l'ancien garde du corps présidentiel et qui, somme toute, apparaissent assez anodins au regard des violences et incivilités quotidiennes vécues trop souvent par nos concitoyens. Je ne devrais plus en parler ni même avoir à en parler ! Et pourtant, elle est à nouveau sur toutes les lèvres et en agace plus d'un, partisan ou adversaire du pouvoir actuel, comme si les braises d'une grillade d'été s'étaient mises à rougeoyer à nouveau sous l'effet d'un vent taquin. Mais ce sont les partisans du président qui raniment la flamme, et même pas les opposants à M. Macron, plutôt discrets sur ce sujet depuis la rentrée et l'accumulation des dossiers sociaux, environnementaux ou européens qui suffisent aux oppositions pour exister et s'exprimer.

    Ainsi, M. Castaner, secrétaire d’État aux relations avec le Parlement, et accessoirement délégué général du part présidentiel, et Mme Belloubet, garde des sceaux, s'en prennent-ils avec virulence au Sénat, accusé désormais de menacer les institutions républicaines par sa simple volonté d'entendre M. Benalla devant sa propre commission d'enquête parlementaire. Les arguments valorisés, les mots employés sonnent comme autant de menaces, sinon sur l'existence du Sénat, du moins sur ses pouvoirs et ses capacités à pouvoir les exercer librement sans risquer de représailles de l'exécutif.

    En fait, les relations entre les sénateurs et le pouvoir politique en place n'ont pas toujours été sereines si l'on considère l'histoire même de la Cinquième République, et le général de Gaulle, président-fondateur de la nouvelle République de 1958, s'est souvent heurté à son président, qu'il s'appelle Gaston Monnerville ou Alain Poher, et à ses membres, tout comme Grévy, premier président vraiment républicain de la Troisième qui, malgré un Sénat majoritairement acquis dès 1879, y eut encore à affronter durant son mandat de fortes résistances monarchistes. Il est vrai que, par nature même et par la durée du mandat sénatorial (aujourd'hui de six ans après avoir été très longtemps de neuf ans), la Chambre haute apparaît plus ancrée dans un pays réel plus varié que le seul monde urbain majoritaire et versatile, voire opportuniste. Cela ne l'empêche pas d'appartenir à un pays légal parfois peu populaire et il lui est souvent fait reproche, non d'en être, mais d'apparaître comme un « doublon » de l'Assemblée nationale (ce qui n'est pas forcément exact) ou comme une assemblée inutile et trop coûteuse d'entretien comme d'existence : ces derniers qualificatifs peuvent s'entendre si l'on reste dans une logique strictement antiparlementaire, mais elle ne me semble ni sérieuse ni juste, même s'il me semble qu'est nécessaire une véritable réforme de son recrutement (sans remettre en cause la nature « diverse » de celui des sénateurs, mais en l'accentuant plutôt, par l'entrée d'élus issus du monde « professionnel » - corporatif, diraient certains -, entre autres) comme de son fonctionnement et de ses capacités dans le cadre d'une « démocratie des peuples, des territoires et des communes, des métiers et des idées » qu'il s'agit encore d'inventer et de fonder.

    Dans cette affaire Benalla, il est tout de même étonnant que l'entourage politique du président apparaisse aussi agressif contre un Sénat qui, au moins en début de quinquennat, ne lui était pas fondamentalement hostile, malgré ses profondes réserves sur les projets territoriaux du candidat élu. Mais le climat s'est vite détérioré, il est vrai, sans doute parce que l'idéologie macronienne, autant que l'électorat qui l'a validée, est d'abord urbaine et « mondialiste », à rebours des tendances profondes de la plupart des sénateurs, dont le pas, souvent moqué pour sa lenteur, symbolise un temps moins pressé et des espaces plus proches, moins lointains donc.

    Le Sénat, dans cette affaire, a le beau rôle et retrouve des couleurs, paradoxalement renforcé par l'adversité des macronistes et leur acharnement à défendre un M. Benalla dont les pouvoirs (et celui de nuisance en est sans doute fort redoutable pour l'actuel Chef de l'Etat...) semblent plus importants que ceux que sa fonction officielle lui conférait : en définitive, s'il y a scandale, c'est plutôt là qu'il réside ainsi que dans le système qu'il révèle. Dans cette configuration particulière, le Bien commun apparaît comme victime d'une République « personnalisée » ou, du moins, son otage... Là aussi, une libération s'impose, et elle passe par celle, initiale, de la magistrature suprême de l’État dont le fonctionnement institutionnel ne doit plus reposer sur la seule légalité électorale, impuissante à donner légitimité et force suffisantes pour s'imposer aux féodalités partisanes et économiques.

    http://nouvelle-chouannerie.com/

  • Hans-George Maassen, chef du renseignement allemand, viré pour avoir contesté la « chasse » aux migrants après le meurtre d’un Allemand à Chemnitz

    Hans Georg Maassen chasse migrants meurtre Chemnitz
     Pour avoir osé affirmer que les manifestations organisées contre les migrants à Chemnitz, à la suite du meurtre d’un Allemand – un suspect irakien vient d’être remis en liberté –, n’avaient rien d’une chasse aux migrants, le patron du renseignement allemand (BfV) Hans-Georg Maassen a été prié de dégager. Angela Merkel l’a recyclé à un poste de secrétaire d’Etat du ministre fédéral de l’Intérieur afin de ne pas creuser un peu plus le hiatus avec l’aile droite de sa coalition, la CSU, qui détient ce portefeuille en la personne de Horst Seehofer. Le SPD, partenaire socialiste de Merkel, s’agitait pour exiger la destitution de Maassen.

    Le limogeage de Hans-Georg Maassen, dernier avatar de la vague d’un million de migrants

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  • Peter Szijjarto, chef de la diplomatie hongroise : “La Hongrie ne sera jamais un pays d’immigrés”

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    Peter Szijjarto, chef de la diplomatie hongroise, a récemment déclaré :

    La Hongrie ne sera jamais un pays d’immigrés. Nous protégerons toujours la sécurité du peuple hongrois. Nous ne permettrons jamais qu’un seul immigré illégal entre sur le territoire de notre pays”. L’homme s’est exprimé ainsi hier devant le Conseil des droits de l’homme de l’ONU à Genève. Il accuse également l’ONU de répandre des mensonges à propos de la politique migratoire de son pays et de vouloir mettre la Hongrie “sous tutelle”.

    Jean-Michel CADENAS@RassNational53

    Peter Szijjarto, chef de la diplomatie hongroise répond à Nathalie Loiseau, ministre chargée des affaires européennes : « La Hongrie est le seul pays en Europe à avoir organisé un référendum sur l’immigration » Pourquoi pas en France ? Ils connaissent déjà le résultat !

    https://fr.novopress.info/

  • Zemmour, un poisson-pilote?

    zemmour-200x300.jpgActuellement en tournée de promotion pour  la sortie de son nouvel essai, Un destin Français, le journaliste-écrivain-essayiste Eric Zemmour peut compter sur la bêtise de ses détracteurs pour donner le maximum d’audience à ses propos.  Et chacun est sommé par le tribunal médiatique de choisir son camp. A  l’image d’un de ses anciens  employeurs sur le service public, l’inénarrable  Laurent Ruquier qui expliquait mardi sur France Inter  tout le mal qu’il pensait du personnage. Il  a été  obligé de se justifier, pour la énième fois,   d’avoir hébergé ce représentant de la  France moisie dans son émission entre 2006 et 2011.  « D’un seul coup (Zemmour)  a pété un câble, c’est évident a affirmé M Ruquier. Mais à l’époque, quand on l’a pris, c’était parce qu’il représentait une partie de la société française, mais on ne pensait pas que le monstre allait en sortir » (sic). Un monstre qui  a créé l’émoi en donnant mardi son jugement sur le militant communiste célébré récemment par Emmanuel Macron, Maurice Audin ,   vraisemblablement  tué par l’armée française. Il a rappelé notamment  comme nous l’avions fait sur ce blogue qu’il fut un  complice actif  des terroristes poseurs de bombes du FLN qui tuèrent,   mutilèrent des dizaines d’hommes, de femmes et d’enfants pendant la bataille d’Alger il ya soixante-et-un ans.

    Mais ce sont surtout  les propos de M. Zemmour, tenus  sur le plateau de l’émission de Thierry Ardisson, Les terriens du dimanche, diffusée sur C8, qui ont  déchaîné les passions. En l’espèce son dialogue avec  la chroniqueuse Hapsatou Sy,   lui disant qu’il aurait  été préférable que ses parents l’appellent Corinne. La jeune femme envisagerait de porter  plainte évoquant « le moment le plus douloureux  (qu’elle a eu eu à vivre)  en tv (sic)  face à un Zemmour hargneux, insultant et agressif envers moi. Toujours très affectée d’ailleurs…»

    Notons que Gabriel Robin, assistant parlementaire de Louis Aliot, rédacteur en  chef numérique du magazine  L’incorrect, a  exhumé malicieusement  un tweet plus ancien  de Hapsatou Sy, en date du 2 février dernier, à l’occasion de la visite du couple Macron au Sénégal, dans lequel la jeune femme écrivait:  « absolument fan de Brigitte Macron! La stabilité d’un pays dépend de l’éducation de nos enfants. bienvenue à vous et notre président Emmanuel Macron dans mon pays le Sénégal. » Commentaire de Gabriel Robin: «Hapsatou Sy ne dit même pas dans dans mon autre pays ou dans mon deuxième pays.»  Il est   certain  que Corinne dans ce cas-là  n’est peut-être pas le prénom idéal…

    Thierry Ardisson lui,  n’a pas trop apprécié l’expression très médiatique de la douleur de Hapsatou Sy : «Elle s’étale sur Twitter pour faire un bad buzz, c’est complètement nul. Elle a signé un contrat et elle a un devoir de réserve », a-t-il déclaré sur CNews ,  « si elle ne revient pas (dans son émission, NDLR) , elle ne revient pas. Si elle revient dans un bon esprit, je veux bien, mais si c’est pour nous faire des scènes comme ça, ce n’est pas la peine. Comme elle a pas mal de problèmes d’argent, qu’elle a du mal à payer ses impôts, on lui a avancé 6 émissions. Je ne connais pas beaucoup de productions sur Paris qui le font » a affirmé l’animateur.

    Propos que les petits marquis progressistes pourraient  qualifier de paternalistes et de sexistes, à l’image peut-être, allez savoir, du délicat Ian Brossat, chef de file du parti communiste/communautariste à la Mairie de Paris (jusqu’où vont-ils descendre?).   Ce dernier a résumé en un tweet le désarroi de ses amis,   les glapissements des bobos du Marais et les hurlements des autorités  des  banlieues plurielles: «Qu’on continue à voir et entendre un vaurien (Zemmour, NDLR)  multicondamné pour propos racistes en dit long sur la banalisation de la xénophobie dans notre pays. Il est grand temps que ça s’arrête..»

    Certes, pour certains,  cela fait longtemps que M. Zemmour a dépassé la ligne jaune avec ses propos sur le comportement d’une certaine frange de la population immigrée, jugements dont l’expression serait facilitée par son  origine juive arabe. C’est implicitement ce que soulignait  en tout cas   en mars 2011 le militant antinational et communautaire Arno Klarsfeld qui se scandalisait  de l’invitation faite  alors à M. Zemmour par les instances de l’UMP à venir disserter sur la liberté de penser (pensée),  invitation (une initiative de Patrick Buisson alors conseiller de Nicolas Sarkozy?) qui avait été aussi dénoncée par  la grosse aile gauche et centriste de ce parti.

     Me Klarsfled  avait ainsi rappelé qu’un  an auparavant Eric Zemmour avait   affirmé  que les employeurs de souche  « (avaient)  le droit » de refuser d’employer des  Arabes ou des Noirs.   Jugement scandaleux pour Arno  Klarsfeld qui avait  déclaré, non sans quelques arguments,   que « si Eric Zemmour avait dit la même chose sur la communauté juive, il aurait été exclu de RTL, de France Télévisions et certainement pas invité à un débat à l’UMP ». « Cela peut donner le sentiment qu’il y a deux poids, deux mesures.  »

    Alors,  (re)disons-le ici, il est loisible  de ne pas partager en tout ou partie  certaines des analyses, des  grilles de lecture  de M Zemmour; on peut aussi légitimement de notre point de vue  lui reprocher non pas tant  son diagnostic de la situation mais  un pessimisme qui peut incliner au fatalisme, à la résignation, au découragement…  Mais  à  dire vrai le  corpus d’idées souverainistes, identitaires dont M Zemmour se fait souvent le relais a plutôt le vent en poupe un peu partout en Europe et dans le monde.  Et son  succès  ne doit rien au hasard.

    A l’occasion du démarrage foudroyant réalisé  par son essai précédent, Le suicide Français,   en 2014 – Jérôme Béglé  évoquait sur   le site du Point  « un phénomène éditorial»  et faisait mine de s’interroger: «reste à comprendre ce que ce triomphe signifie. Éric Zemmour est-il devenu le porte-voix de cette France qui ne se sent représentée ni par les médias traditionnels, ni par les discours politiques, ni par les intellectuels qui tenaient jusqu’ici le haut du pavé ? »  Phénomène combattu par la caste médiatique, à l’image de Patrick Cohen qui,  à la tête de la matinale de France Inter, expliquait il ya deux ans  qu’il n’invitait pas Eric Zemmour « parce qu’il  il y a suffisamment d’intellectuels dans le paysage pour ne pas aller chercher quelqu’un qui a été journaliste mais qui est devenu un acteur politique sans en avoir la légitimité électorale.» M. Cohen et ses amis éditorialistes  ne sont pas, eux,  des acteurs politiques  et des agents d‘influences,  c’est bien connu…

    Zemmour, certes, coche (presque)  toutes les cases de la mal-pensance, lui   qui refuse de plier les genoux devant la propagande bruxelloise les dogmes  gaucho-féministes,   d’approuver le mariage homo  et dénonce les ravages du multiculturalisme et du vivre-ensemble  obligatoire. Plusieurs fois  poursuivi  devant les tribunaux  (comme Jean-Marie Le Pen)  pour avoir établi un lien entre immigration et insécurité,    Zemmour est un  réactionnaire assumé,  un nostalgique de la France d’avant, qui a même été, horresco referens, jusqu’à rétablir un certain nombre de vérités sur le gouvernement du Maréchal Pétain.  Bref , tout comme  Orban,   Salvini ou Marine sur le plan purement politique, un objet d’effroi et/ou de consternation de la  gauche Mélenchon  à la droite  Pécresse;  même si  ladite droite est bien  obligée de constater  la grande perméabilité de son électorat avec les idées défendues et avancées par un homme largement  en tête des ventes d’essais   dans notre pays.

    Nous l’avions dit également, il est certain que  les propos de M. Zemmour légitiment  objectivement les analyses et avertissements de l’opposition nationale. Ce qui faisait dire à Bruno Gollnisch qu’il était  «complotiste au sens zemmourien du terme », à savoir qu’il y a bien  « un complot contre la France  - dénatalité, immigration massive, ouverture des frontières, libre échangisme, destruction de l’identité française, etc -,  complot contre   la sûreté intérieure et extérieure de l’Etat, notamment  par  l’appel depuis 40 ans à une immigration massive de personnes qui se trouvent en dehors de notre civilisation .»

    Il est tout aussi évident que les analyses  et réflexions d’Eric Zemmour ne sont pas  originales, au sens ou elles ont été développées et  tenues, historiquement et dans les dernières  décennies, par les  brillantes figures  des cercles intellectuels  de notre famille de pensée qui, elles, ont été soigneusement écartées des « grands médias. » Mais qui peut nier qu’il  a contribué efficacement à diffuser, populariser, vulgariser  au sein de l’opinion  française des thèmes et  des réflexions jusqu’alors ghettoïsés, marginalisés?  Ou à tout le  moins  à  accompagner le virage idéologique identitaire, national qui se matérialise depuis le début de ce millénaire? Le succès d’audience d’un Zemmour est une autre manifestation de l’effondrement de l’emprise culturelle de la gauche mondialiste sur les esprits (certes elle a encore de solides bastions!), effondrement qui rend  possible demain chez nous, une victoire dans les urnes.

  • Les détenus musulmans représenteraient un détenu sur quatre

    Chiffre du ministre de la Justice Nicole Belloubet

    Dans une lettre datée du 11 septembre 2018, que Valeurs actuelles a pu consulter, la ministre de la Justice Nicole Belloubet avance pour la première fois un chiffre précis. Répondant à un courrier du député européen du Rassemblement national Nicolas Bay, elle donne le nombre de détenus qui se sont inscrits « à un dispositif de restauration adapté » pendant le mois du ramadan.

    En l’absence de statistiques religieuses — interdites —, ce chiffre, jusqu’à présent très officieux, est le seul qui permette de se faire une idée de la place de l’islam dans les prisons françaises. En 2017, 17 899 personnes ont fait cette démarche, « soit 25,81 % de la population écrouée hébergée à cette période », précise la garde des Sceaux. Un détenu sur quatre serait donc musulman. Ce chiffre, « un indicateur sans doute très minoré », selon Bay, est faible en comparaison de ceux avancés dans le rapport parlementaire publié en 2014 par Guillaume Larrivé. Le député LR estimait alors « qu’environ 60 % de la population carcérale en France, c’est-à-dire 40 000 détenus, (pouvaient) être considérés comme de culture ou de religion musulmane ». Selon le directeur d’une prison d’Île-de-France, c’est « un peu moins de la moitié » des détenus qui demandent chaque année l’aménagement des repas pendant le ramadan. Sans compter, ajoute-t-il, ceux qui dissimulent leur religion « pour ne pas attirer l’attention du renseignement pénitentiaire ».

    Il n’en reste pas moins que les détenus professant l’islam sont surreprésentés dans nos prisons. En 2016, la part des musulmans représentait 8,8 % de la population française selon le très sérieux Pew Research Center, soit trois fois moins que dans la population carcérale. En février dernier, la Place Vendôme avait déjà révélé le nombre de détenus étrangers incarcérés dans nos centres : 15 000, soit 22 % de l’ensemble des prisonniers. Nicolas Bay de conclure : « Le lien entre immigration massive et insécurité est incontestable.

    https://www.lesalonbeige.fr/les-detenus-musulmans-representeraient-un-detenu-sur-quatre/

  • Le Premier ministre tchèque soutient Viktor Orban et annonce la fin de carrière des eurodéputés de son parti qui ont voté les sanctions contre la Hongrie

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    Tchéquie – Le Premier ministre Andrej Babiš a tenu à rappeler son soutien à Viktor Orbán et à désavouer sévèrement les députés européens de son parti qui ont voté l’adoption du rapport Sargentini contre la Hongrie (contestée par le gouvernement hongrois en raison du mode de calcul de la majorité requise des 2/3).

    Les eurodéputés du parti tchèque ANO 2011 du Premier ministre Andrej Babiš siègent en effet au sein du groupe ALDE présidé par le belge Guy Verhofstadt, celui qui propose à Emmanuel Macron de fédérer un nouveau groupe rassemblant gauche et droite pour lutter contre les « populismes ».

    On ne dira jamais assez que l’atmosphère du Parlement européen est particulièrement délétère et corrompt facilement nombre de ceux qui arrivent avec de bonnes intentions mais n’ont pas la formation doctrinale ni les vertus pour résister à toutes les tentations de cette vie de privilégiés hors sol.

    En faisant siéger ses quatre eurodéputés (Pavel Telička, Petr Ježek, Dita Charanzová, Martina Dlabajová) au sein du groupe libéral ALDE, le parti ANO 2011 commettait une grave erreur guidée par la flatterie et l’ambition.  Pavel Telička devenu vice-président du Parlement européen, a fini par quitter le parti d’Andrej Babiš avec Petr Ježek, avec la bénédiction du groupe ALDE.

    Sur un total de 21 eurodéputés tchèques, 10 ont voté contre le Rapport Sargentini (dont les élus du Parti communiste) mais pas ceux d’ANO 2011.

    Le Premier ministre Andrej Babiš s’est donc exprimé pour réaffirmer son soutien à Viktor Orbán et a précisé que ses eurodéputés ne seront pas réélus l’année prochaine.

    Il a également mis fin aux ambitions politiques de Miroslav Poche, qui a voté le rapport Sargentini. Miroslav Poche, eurodéputé du Parti social-démocrate tchèque (ČSSD), partenaire minoritaire de la coalition gouvernementale tchèque, était pressenti pour devenir le ministre des Affaires étrangères au sein du gouvernement Babiš. « M. Poche ne sera pas ministre, c’est un débat futile », a répliqué Andrej Babiš à la suite de ce vote du rapport Sargentini.

    http://www.medias-presse.info/le-premier-ministre-tcheque-soutient-viktor-orban-et-annonce-la-fin-de-carriere-des-eurodeputes-de-son-parti-qui-ont-vote-les-sanctions-contre-la-hongrie/98218/

  • Et maintenant, la psychiatrisation des adversaires politiques ! Mélenchon pas d'accord ...

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    On sait que la présidente du Rassemblement National a été convoquée à une expertise psychiatrique à la suite de la diffusion d’images d’exactions de Daech sur son compte Twitter.

    Cette convocation de Marine Le Pen intervient dans le cadre de sa mise en examen pour la diffusion des dites photos de propagande terroriste. 

    « C’est proprement HALLUCINANT. Ce régime commence VRAIMENT à faire peur », a-t-elle déploré Marine Le Pen, dans un tweet où elle publie l’ordonnance du Tribunal de grande instance de Nanterre. « Je n’irai pas, bien entendu, me soumettre à cette expertise psychiatrique », a-t-elle lancé devant des journalistes, à l’Assemblée nationale. « J’attends de voir comment les magistrats comptent m’y contraindre. »  A quoi David Rachline, le maire RN de Fréjus, a ajouté : « La psychiatrisation des adversaires était une spécialité soviétique des régimes totalitaires. Désormais, nous y avons droit en France sous Macron... »

    Plus intéressante, dans cette affaire, est la position de Jean-Luc Mélenchon qui a déclaré hier sur Twitter être en « désaccord total avec la psychiatrisation de la décision politique. Madame Le Pen est politiquement responsable de ses actes politiques ». 

    « Désaccord total avec la psychiatrisation de la décision politique. 3294322082.jpgMadame Le Pen est politiquement responsable de ses actes politiques. Tous les moyens ne sont ni bons ni acceptables pour la combattre. Ce n'est pas avec des méthodes pareilles qu'on fera reculer l'extrême droite. » — Jean-Luc Mélenchon (@JLMelenchon) 20 septembre 2018   

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Viktor Ober - Une génération dans l'orage