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l'information nationaliste - Page 4800

  • Les gauchistes financés par la mairie d’Angers ravagent la ville

    Les gauchistes financés par la mairie d’Angers ravagent la ville

    Une manifestation antifasciste a eu lieu ce samedi dans les rues d’Angers. En tête du cortège, composé de 200 à 300 personnes, des personnes ont brisé des vitrines. Ils ont jeté des projectiles sur les véhicules des policiers avant de se disperser.

    Le bar L’Alvarium, cible de ces nervis, a publié ce communiqué :

    Alors que depuis des mois notre association est la cible tant des antifascistes que des tracasseries administrativesorchestrées par le maire d’Angers Christophe Béchu, la communauté de l’Alvarium souhaite réagir à l’actualité du festival antifasciste. Celui-ci s’est déroulé tout au long de la semaine à l’Etincelle, à qui nous découvrons que la mairie a alloué plus de 50 000 euros depuis 2015, en subventions ou en loyers gratuits…. Ce festival se clôturait par une manifestation antifasciste cet après-midi, réclamant entre autre la fermeture de l’Alvarium.

    Comme il fallait s’y attendre cette manifestation a été ponctuée d’agressions, de dégradations et d’incendies…Comment Béchu ose-t-il subventionner l’antifascisme, violent par essence -et ce depuis ses origines- tout en l’ayant nié à de nombreuses reprises et en nous ostracisant pour “extrémisme” ? Comment ose-t-il désormais condamner les violences et dégradations dont il est le premier responsable ? Ces subventions doivent cesser, et Christophe Béchu doit démissionner ! De même pourquoi le préfet a-t-il autorisé cette manifestation non déclarée ?

    Quant aux antifascistes qui ont clamé tout l’après-midi “un flic une balle, un faf une rafale” nous les invitons à cesser de pousser à une violence gratuite qui a si mal réussi à leur camarade Clément Méric. De même leur anticapitalismede papier consistant à abîmer des banques tout en arborant les marques les plus à la mode et en favorisant l’immigration massive, armée de réserve du Capital -qu’ils n’ont sans doute pas lu- a-t-il quelque chose de totalement dangereux et incohérent.

    La communauté de l’Alvarium apporte son soutien aux petits commerces abîmés et dénonce fermement le saccage du mobilier urbain que devra payer le contribuable angevin (qui paye déjà les subventions aux antifas ou leur loyer à l’Étincelle…). Elle renouvelle sa volonté de continuer son action, quitte à pratiquer l’autodéfense si les pouvoirs publics ne suffisaient pas. Elle ne laissera pas la municipalité et la préfecture se défosser de leurs responsabilités dans le financement de la violence antifasciste.

    https://www.lesalonbeige.fr/les-gauchistes-finances-par-la-mairie-dangers-ravagent-la-ville/

  • Comprendre que le choc des civilisations est une menace pour l’Europe

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    Ligne Droite cliquez ici

    Nombreux sont ceux qui, dans les hautes sphères du monde occidental, n’ont pas pleinement pris en compte la dimension multipolaire du monde d’aujourd’hui et rejettent l’idée même du choc des civilisations. Ligne droite considère au contraire que cet antagonisme constitue une réalité incontournable du XXIe siècle. Une réalité qui conduit la plupart des civilisations mondiales à s’opposer à l’Europe, la civilisation qui les a dominées dans le passé et leur donne aujourd’hui des leçons de morale. Elles le font par des moyens aussi puissants que l’immigration, le terrorisme, la concurrence économique sauvage ou la colonisation culturelle et, ce faisant, menacent la survie même de l’Europe.

    Le monde est multipolaire

    Depuis la chute du mur de Berlin en 1988 et l’effondrement du bloc soviétique, le monde a en effet considérablement changé. Il n’est plus structuré par l’affrontement idéologique entre l’Est et l’Ouest et, s’il a cessé d’être bipolaire, il n’est pas devenu unipolaire pour autant car les États-Unis, certes sortis vainqueurs de la guerre froide, sont loin d’avoir rassemblé le monde autour d’eux. En effet, la mondialisation économique a fait émerger d’autres entités dont certaines retrouvent leur puissance passée et qui s’imposent désormais avec force sur la scène mondiale. Aussi la planète est-elle devenue clairement multipolaire.

    Une réalité qui peine cependant à être reconnue par les Occidentaux. Les Américains continuent en effet de se comporter comme s’ils avaient le leadership mondial et leur hostilité obsessionnelle à l’égard de la Russie conduit à se demander s’ils ont réellement pris la mesure des mutations géopolitiques. Quant aux Européens, soumis comme toujours au politiquement correct, ils refusent la réalité du monde multipolaire, jugée non conforme à la vision mondialiste de la pensée unique. Il n’est donc pas étonnant dans ces conditions que le choc des civilisations qui résulte de cette nouvelle donne semble totalement absent de leurs préoccupations.

    Le choc des civilisations est une réalité

    Il s’agit pourtant d’une réalité majeure qui domine la scène internationale et détermine la plupart des conflits et des antagonismes que connaît le monde aujourd’hui. Les principaux pôles de puissance structurant la planète sont en effet tous porteurs d’une civilisation qui leur est propre et qu’ils affirment avec fierté. Tel est le cas de la Chine mais aussi de l’Inde et des États-Unis ainsi que de la Russie ou du Japon. C’est également le cas du monde musulman car ce dernier, s’il n’est certes pas organisé sur un territoire unique centralisé par un État fort, constitue néanmoins avec l’oumma des croyants une entité spécifique et puissante. Quant à l’Afrique et à l’Amérique du Sud, elles connaissent également l’émergence de fortes puissances tels le Brésil et, si elle ne se fourvoie pas, l’Afrique du Sud.

    L’Europe a suscité l’animosité des autres civilisations

    L’Europe est quant à elle un cas particulier car, si elle est porteuse d’une civilisation brillante et originale, rongée par la division et la bienpensance, elle ne constitue pas en l’état actuel un pôle de puissance géopolitique. Et, surtout, elle présente la singularité d’avoir été pendant de nombreux siècles la civilisation dominante, celle qui a conquis et soumis le monde entier, celle qui a imposé ses valeurs et sa culture à tous les peuples. Aujourd’hui, affranchis de cette tutelle, ceux-ci nourrissent à l’égard de l’Europe un sentiment sourd de revanche qui fait d’elle la cible des blocs civilisationnels qu’ils constituent désormais. Aussi subit-elle comme les États-Unis la rancœur de tous ceux qui ont eu autrefois à connaître son imperium.

    Cette situation est encore aggravée par la propension actuelle de l’Occident à vouloir imposer au monde entier ses principes et ses institutions, la démocratie et les droits de l’homme. Ce qui crée dans le monde une animosité croissante à son encontre, voire une hostilité qui se transforme en haine lorsque cette volonté d’imposer son modèle va jusqu’à l’emploi massif de la force armée comme ce fut le cas en Irak.

    Dans le choc des civilisations, l’Europe est la cible des autres puissances

    Dès lors, le choc des civilisations est bien réel, mais il ne se traduit pas comme certains pourraient le penser par un affrontement de toutes contre toutes. Il existe certes une concurrence entre les blocs civilisationnels qui prend parfois la forme d’affrontements locaux de nature identitaire mettant souvent aux prises des musulmans avec d’autres peuples. Mais, à l’échelle de la planète, le choc des civilisations est avant tout un antagonisme qui oppose toutes les civilisations à l’Occident et plus particulièrement à l’Europe. Celle-ci est donc bien, qu’on le veuille ou non, la principale  cible  du choc des civilisations, un choc qui s’apparente à une guerre plus ou moins larvée mais bien réelle. Car, contrairement à ce que l’on peut croire, ce choc des civilisations n’a rien de théorique ni de symbolique. Il ne s’agit pas d’une sorte de compétition culturelle mais d’un affrontement violent qui menace la survie même de l’Europe et se trouve être sous-jacent à tous les grands problèmes qu’elle rencontre aujourd’hui.

    Le choc des civilisations, c’est l’invasion migratoire et le terrorisme islamique

    Qu’est-ce en effet que l’immigration massive et incontrôlée que subissent les pays européens sinon une invasion non violente perpétrée par les civilisations musulmane et africaine qui cherchent à imposer à notre continent leurs peuples, leur culture et leur religion ? L’immigration de peuplement que nous subissons n’est finalement qu’une offensive pour substituer une autre civilisation à la nôtre et, avec ces mouvements migratoires, c’est le choc des civilisations qui s’impose sur notre sol.

    Il en va de même en plus violent avec le terrorisme islamique. Car ces attaques sanglantes lancées contre l’Europe sont bien le fait des tenants de la civilisation musulmane qui s’en prennent à la civilisation européenne et chrétienne.

    Le choc des civilisations, c’est la guerre économique provoquée par la libéralisation des échanges

    Sur le plan économique, le libre-échangisme sauvage a permis aux nations autrefois sous-développées, et principalement à la Chine, de lancer contre l’Europe une offensive industrielle et commerciale qui les a conduites à s’emparer d’une partie du potentiel économique européen. Comment en effet ne pas voir que, sous couvert de libéralisation des échanges, c’est une véritable guerre économique qui nous est faite et qui se traduit pour l’Europe par des pertes considérables de richesse génératrices de chômage et d’appauvrissement ?

    Le choc des civilisations, c’est l’offensive culturelle américaine

    Si l’on dissocie l’Europe du bloc occidental, force est aussi de constater que notre continent subit sur le plan culturel les assauts civilisationnels des États-Unis d’Amérique. La langue, les usages, les mœurs et les arts venus d’outre-Atlantique s’imposent à nous au point d’effacer ce qui faisait la spécificité culturelle de la civilisation européenne. Un processus qui n’a rien de naturel et qui s’apparente bien à une guerre, certes très feutrée mais bien réelle, engagée contre nous par les États-Unis dès la fin du second conflit mondial.

    Aussi faut-il regarder la réalité en face : l’Europe subit un choc des civilisations de très grande amplitude qui se manifeste à la fois sur le plan militaire avec le terrorisme, sur le plan identitaire avec l’immigration, sur le plan économique avec la mondialisation et sur le plan culturel avec l’américanisation.

    Il est donc temps que les Européens se réveillent et prennent conscience de la guerre civilisationnelle qui leur est faite. Il est grand temps qu’ils s’érigent enfin en un pôle de puissance pour défendre leur commune civilisation.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Honorer les harkis, c’est bien, mais il faut rétablir toute la vérité sur la fin de l’Algérie française

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    Emmanuel Macron a promu d’anciens harkis et des représentants d’associations dans l’ordre de la Légion d’honneur ou dans l’ordre national du Mérite. Après la reconnaissance de la responsabilité de la France dans la disparition, en 1957, de Maurice Audin, mathématicien communiste, militant de l’indépendance de l’Algérie, le président de la République, fidèle à son principe du « et en même temps » et soucieux de pallier sa baisse de popularité, a décidé d’honorer les harkis, qui avaient combattu dans les rangs de l’armée française. Comme l’a dit, ce matin, un de leurs représentants sur France Info, cela vient un peu tard !

    Ces promotions interviennent quelques jours avant la Journée nationale d’hommage aux harkis, prévue pour le 25 septembre. Cette journée, instituée par le décret du 31 mars 2003, « en reconnaissance des sacrifices consentis du fait de leur engagement au service de la France lors de la guerre d’Algérie », est sans doute mieux que rien – même si elle n’est pas électoralement désintéressée. Mais suffit-elle à faire toute la lumière sur les conditions dans lesquelles le gouvernement de l’époque a mis fin à l’Algérie française, sans se préoccuper du sort des harkis ?

    Emmanuel Macron, après avoir satisfait la gauche et les autorités algériennes en qualifiant la colonisation de « crime contre l’humanité » et en présentant ses excuses à la veuve de Maurice Audin, fait un geste en direction de la droite nationale, des pieds-noirs contraints à l’exode et de tous ces supplétifs de l’armée française qui ont été abandonnés après les prétendus « accords d’Évian ». Jusqu’à présent, pas le moindre mot de compassion pour les victimes des attentats terroristes du FLN, pour les Oranais tués, disparus ou enlevés, le 5 juillet 1962, ni pour les harkis abandonnés au massacre, suppliciés et torturés, alors que l’armée française avait reçu l’ordre de ne pas intervenir.

    Il faut expliquer pourquoi, alors que les troupes du FLN étaient vaincues, le gouvernement de l’époque a choisi de livrer l’Algérie aux indépendantistes minoritaires. Il faut expliquer pourquoi des généraux, qui s’étaient souvent illustrés dans la Résistance, pourquoi des officiers, des sous-officiers ou de simples soldats se sont rebellés contre le pouvoir en place, au nom du respect de la parole donnée. Il faut comprendre pourquoi des personnalités comme Georges Bidault, Jacques Soustelle et bien d’autres encore se sont ralliées au combat pour l’Algérie française.

    Il faut que les gaullistes admettent la duplicité du général de Gaulle, qui s’est servi de la guerre d’Algérie pour revenir au pouvoir. Il a déclaré à Alger, devant la foule réunie : « Je vous ai compris. » Il a ajouté qu’il n’y avait plus, en Algérie, que « des Français à part entière, avec les mêmes droits et les mêmes devoirs », puis il s’est empressé de faire tout le contraire. À chacun de juger où était l’honneur, où était le cynisme.

    Il ne s’agit pas de cultiver la nostalgie d’une Algérie française, qui aurait pu connaître un autre destin. Ni d’exiger une revanche mémorielle ou d’imposer une nouvelle repentance. Mais, plus de cinquante ans après ces événements, il est temps de faire toute la lumière. C’est le rôle des chercheurs de tenter d’appréhender la vérité. Sans a priori et sans préjugés. Quand on sait que l’historien quasi officiel de cette guerre, proche de Macron, est un ancien trotskiste, longtemps membre de l’Organisation communiste internationaliste, on peut légitimement s’interroger sur l’objectivité de sa vision de l’Histoire.

    Philippe Kerlouan

    http://www.bvoltaire.fr/honorer-les-harkis-cest-bien-mais-il-faut-retablir-toute-la-verite-sur-la-fin-de-lalgerie-francaise/

  • L’immigration aggrave la crise politique en Allemagne

    L’immigration aggrave la crise politique en Allemagne

    D’Olivier Bault dans Présent :

    De nouvelles tensions se font sentir en Allemagne entre les trois partis de la grande coalition : la CDU de la chancelière Angela Merkel, la CSU bavaroise du ministre de l’Intérieur Horst Seehofer et le SPD social-démocrate. La raison de ces tensions : la promotion au poste de secrétaire d’Etat chargé de la sécurité au ministère de l’Intérieur de Hans-Georg Maassen, le chef de l’Office fédéral de protection de la Constitution (BfV), le service de contre-espionnage allemand.

    La gauche voulait la peau de Maassen depuis qu’il avait mis en doute l’authenticité d’une vidéo circulant sur Internet sur laquelle on voyait des manifestants présumés de Chemnitz pourchasser des immigrants. Merkel elle-même s’était basée sur cette vidéo pour dénoncer des scènes « de chasse à l’homme collective » et de « manifestations de haine » qui « n’ont pas leur place dans un Etat de droit ».

    Comme nous l’avions signalé dans Présent le 6 septembre, le procureur général de Saxe avait démenti « l’existence d’une chasse anti-immigrés ». Le ministre-président de Saxe, membre de la CDU, avait vertement critiqué les médias et les membres de la classe politique pour leurs manipulations, et Hans-Georg Maassen avait affirmé publiquement « partager le scepticisme envers les informations des médias sur des extrémistes de droite qui auraient pourchassé » des étrangers car, a-t-il dit, « il n’y a aucune preuve que la vidéo de cet incident présumé qui a circulé sur Internet soit authentique ».

    Le désaveu était cuisant pour Angela Merkel, mais aussi pour la gauche qui accusait l’AfD, coorganisateur de certaines des manifestations à Chemnitz, de « coopérer avec les néonazis », certains députés du Bundestag demandant même que le parti national-conservateur soit mis sous surveillance par le BfV de Maassen. Dans la foulée, on a accusé Maassen d’avoir transmis les données sensibles d’un rapport confidentiel à l’AfD.

    Tabassé à mort par plusieurs « migrants »

    Après Chemnitz, des manifestations du même type éclataient dans la ville de Köthen à la suite de la mort par infarctus d’un jeune Allemand violemment tabassé par plusieurs « migrants ». La peur de voir les troubles s’étendre imposait sans doute, aux yeux de la gauche immigrationniste, de changer au plus vite le chef du contre-espionnage qui refusait de prendre part à la propagande politico-médiatique contre les manifestants de Chemnitz et Köthen.

    Oui, mais voilà : le ministre de l’Intérieur, Horst Seehofer, a de nouveau mis sa démission dans la balance, et il a donc fallu à Angela Merkel négocier un compromis pour sauver son fragile gouvernement. Le compromis en question a donc consisté à promouvoir Maassen au poste de secrétaire d’Etat afin de libérer la place de chef du BfV, ce qui provoque aujourd’hui la fureur de la gauche.

    https://www.lesalonbeige.fr/limmigration-aggrave-la-crise-politique-en-allemagne/

  • I-Média n°216 – Faut-il censurer Zemmour ?

    Et si Hapsatou s’appelait Corinne ?

    « Votre prénom fait insulte à la France », Ce sont les mots d’Eric Zemmour face à Hapsatou Sy sur le plateau des Terriens Du Dimanche. Le journaliste aurait dérapé et Hapsatou menace de porter plainte. Mais l’indignation apparait comme orchestrée.

    Le zapping d’I-Média

    La mer méditerranée pourrait « devenir un camp de d’extermination comme n’importe quel camp nazi ». Sur AJ+ , le média Qatari, George Gumpel, ancien rescapé des camps de concentration, fait une compara raison pour le moins osée. Mais oublie que les « migrants » ont choisi de venir en Europe.

    Faut-il censurer Zemmour ?

    Eric Zemmour aurait il fait le dérapage de trop ? Après le clash dans l’émission les Terriens du dimanche, nombre de journalistes s’indignent et en appellent à la censure du journaliste.

    Les tweets d’I-Média

    France Info continue de prétendre que l’agression d’une athlète noire en Italie était « raciste ». Relayant un incident à la Mostra de Venise, Jean Marc Fou, directeur de l’information internationale de Radio France a fait référence à l’agression de Daisy Osakua qui avait reçu fin juillet un œuf dans la figure. Sauf que l’agression était le fait de trois jeunes chahuteurs inspirés par les réseaux sociaux, Le « racisme » n’avait rien avoir dans cette histoire.

    Benalla, les contre-feux

    Affaire Benalla, le retour ! Alors que l’audition du bras droit d’Emmanuel Macron enflamme les réseaux sociaux, la justice et les médias organiseraient un contre feux en ressortant plusieurs affaires politico-judiciaires : Fillon , Guéant, Sarkozy.

    https://www.tvlibertes.com/2018/09/21/25867/i-media-n216-affaire-zemmour-hapsatou-sappelait-corine

  • 1300 policiers à l’assaut des zones de non-droit

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    L’annonce d’un prochain départ du ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, intervient au moment précis où s’opère le premier déploiement d’un contingent de 1 300 policiers aguerris, qui vont être affectés à soixante zones que l’on n’ose appeler des zones de combat. Une véritable petite armée, donc, pour affronter ce qui est devenu une guérilla urbaine.

    Sans aller jusqu’à regretter le politicien Collomb – qui tenait beaucoup de l’inspecteur Colombo, mais sans avoir à son actif le même pourcentage de réussite –, on ne peut que s’interroger sur l’annonce de son départ, formulée si tôt, alors que démarrent seulement les premières opérations de « reconquête ».

    Les élections municipales sont prévues pour 2020, sans doute en mars. Et si Collomb se réoriente dès maintenant sur la ville de Lyon, c’est la certitude d’une vacance à la tête du ministère de l’Intérieur, quelle que soit la date effective de sa démission, et quelles que soient les qualités de son successeur. La reconquête des « quartiers difficiles », des « cités », fait partie de ces dossiers qui nécessitent une grande disponibilité, une autorité non contestée, du sang-froid, et un certain sens politique.

    Aujourd’hui les voyous se sentent mieux protégés que les policiers. Les émeutes de Nantes, en juillet dernier, l’ont encore montré. Comme l’ont montré les saccages après la Coupe du monde de football. La reconquête doit d’abord s’opérer dans les têtes, à commencer par les têtes des policiers, ces derniers n’ayant plus aucune confiance dans les hautes sphères de leur hiérarchie.

    Mardi, Gérard Collomb a solennisé, à la cité des Tarterêts, à Corbeil, la mise en place de « quartiers de reconquête républicaine » (QRR). Reconquête ? Mais quel sinistre aveu ! Cela signifie donc qu’actuellement ces territoires sont perdus, qu’ils sont occupés par l’ennemi. Et l’ennemi, ce sont les trafiquants de drogue, les islamistes, les mafias maghrébines ou d’Afrique subsaharienne, que rejoignent actuellement des milliers de clandestins.

    De la sympathie pour les « républiques islamiques »

    Mais pourquoi une reconquête « républicaine » ? Aucune reconquête royaliste n’est à l’ordre du jour, dans ces quartiers. Serait-ce pour éviter de parler de reconquête française ?

    Car l’Etat islamique se veut aussi républicain que nos républicains. Les trafiquants de drogue ne remettent pas en cause la République. On peut même dire qu’ils sont parfaitement indifférents à la forme de nos institutions, même s’ils regardent avec sympathie du côté des… « républiques islamiques » africaines.

    Collomb a reconnu qu’un « contre-modèle social » était désormais implanté dans ces quartiers. Cette injection massive de policiers sur les soixante principales zones de non-droit montre pour l’heure une prise de conscience de la dimension quasiment militaire de cette « reconquête ».

    C’est une véritable petite guerre qui se prépare. Et en ce sens, l’emploi du mot reconquête n’est pas innocent. Même si l’on sait que la vraie victoire ou la défaite ne se jouera pas sur le terrain, mais à Paris, dans les arcanes ministériels, dans les médias.

    Francis Bergeron

    Article repris du quotidien Présent

    https://fr.novopress.info/

  • Marine Le Pen convoquée pour une expertise psychiatrique : URSS, le retour

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    Jusqu’où ira le régime dans sa persécution du premier parti d’opposition ?

    Non, chers auditeurs, les faits ne se déroulent pas dans l’URSS du temps du regretté maréchal Brejnev qui internait ses opposants dans des hôpitaux psychiatriques, mais dans la France contemporaine, sous la présidence éclairée d’Emmanuel Macron. Rappelons la genèse de l’histoire. En décembre 2015, le journaliste Jean-Jacques Bourdin, recevant Gilles Kepel au micro de BFMTV, s’est payé l’incroyable culot de faire le parallèle entre le FN et… Daech ! Dénonçant, je cite un « dérapage inacceptable » et des « propos immondes », Marine Le Pen avait alors posté sur son compte Twitter trois photos d’exaction de l’Etat islamique, avec ce commentaire laconique : « M. Bourdin, Daech, c’est ça ! ». Le jour-même, Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur de l’époque, procédait à un signalement de ces photos auprès de la direction de la police judiciaire, et, séance tenante, le Parquet aux ordres lançait une enquête pour, je cite, « diffusion d’images violentes ». Un délit passible d’une amende de 75.000 euros et de 5 ans d’emprisonnement. « Je suis mise en examen pour avoir dénoncé l’horreur de Daech. Dans d’autres pays ça me vaudrait une médaille » avait alors ironisé la patronne du FN, ajoutant, je cite toujours : « La persécution politique n’a même plus la limite de la décence ». De son côté, Gilbert Collard, également mis en examen pour le même motif, avait enchéri, je cite : « Bourdin compare le FN à Daech : le poids des mots, le choc des bobos ! »

    Mais les limites de la décence viennent d’être pulvérisées…

    Dans le cadre de cette affaire, Marine Le Pen vient en effet d’être convoquée pour une… expertise psychiatrique ! « Bien entendu, je n’irai pas », a prévenu hier la patronne du Rassemblement National, ajoutant, je cite toujours : « J’attends de voir comment les magistrats comptent m’y contraindre », fin de citation. Rappelons que dans le cadre de l’affaire des assistants parlementaires du FN, les juges financiers français Renaud van Ruymbeck et Claire Thépaut – cette dernière, membre du très rouge Syndicat de la magistrature – ont obtenu la saisie de 2 millions d’euros d’aide publique due au Rassemblement national, alors même que l’affaire n’est pas encore jugée et que le parti de Marine Le Pen est donc présumé innocent. Oui, en vérité, toute ressemblance avec la défunte Russie brejnévienne ne serait que pure coïncidence…

    https://www.radiocourtoisie.fr/2018/09/21/bulletin-de-reinformation-du-21-septembre-2018/

  • Israël ou l’entité sioniste, le nouvel ennemi de la Russie

    De l’extrême-orient russe jusqu’aux contreforts du Caucase, l’ennemi est désigné par son nom : Israël ou l’entité sioniste

    Yandex s’est permis de traduire, la pensée de l’ours dans sa taïga “Tous constateront ces mesures -Traduire -Les Forces Russes Riposteront”

    Strategika 51

    On le pressentait un peu, les militaires russes sont furieux et ne souhaitent plus qu’une chose :  remettre les israéliens à leur place.

    Des militaires russes patrouillent au Golan de plus en plus près des lignes israeliennes et ne s’encombrent plus d’établir un canal de communication avec ce qu’ils considèrent désormais comme l’ennemi. Raison officielle invoquée pour ces patrouilles au Golan :  la destruction de l’Ilyouchine Il-20 au large des côtes de Lattaquié, au nord de la Syrie.

    A Hmeimim, c’est la furie. Tous les officiers généraux russes réclament de Moscou plus de marges de manoeuvres face aux israéliens qui méritent une bonne raclée.

    De l’extrême-orient russe jusqu’aux contreforts du Caucase, l’ennemi est désigné par son nom :  Israël ou l’entité sioniste.

    Tel-Aviv qui ne compte pratiquement aucun ami dans le monde, vient de gagner un redoutable adversaire :  la Russie.

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  • Europe, le mur des Bernés reste à abattre, par Ivan Rioufol

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    Le progressisme, promu par Emmanuel Macron, s’enlise dans les mots creux. Le vent rebelle qui souffle sur l’Europe déplume les beaux discours de leurs inutiles fanfreluches. Ne restent que les carcasses, impostures mises à nu. Le mur des Bernés, édifié voilà un demi-siècle par les élites acquises au baratin pour préserver leur pouvoir, est à deux doigts de s’effondrer sous la tempête. Ce mur-là est symbolique. Mais il est comparable à celui de Berlin, qui tomba en 1989 sous le poids des mensonges officiels et de l’exaspération populaire. Une même révolution est aujourd’hui à l’œuvre, mue par un semblable besoin de vérité et de démocratie.

    Dans ce mouvement qui se généralise en Europe, le progressisme fait figure d’obstacle. Seuls 19 % des Français approuveraient le bilan du chef de l’État ; 60 % en seraient mécontents (Le Figaro, lundi). Macron, qui a lui-même théorisé son affrontement avec le “nationalisme”, ne voit pas que la contestation des citoyens, ce moteur de l’histoire, a quitté son camp pour rejoindre celui d’en face.

    Plus Macron se raidit face à ceux qu’il appelle aussi populistes, plus il se coupe d’une partie importante de la société française et européenne. Les maladresses qu’il répète quand il s’adresse aux gens lors de ses sorties montrent un homme incapable de maîtriser son arrogance. Dimanche, répondant à un jeune chômeur formé à l’horticulture, il lui a conseillé de “traverser la rue” pour travailler dans la restauration. Élu sur la promesse de résorber la fracture entre la France d’en haut et celle d’en bas, il accentue l’incompréhension entre les deux mondes. Il en est à réserver aux Oubliés qui se rebiffent ses plus vives attaques. La Macronie est un univers d’experts et de technocrates, pour qui le monde se résume à des chiffres. Comme le fait remarquer le philosophe Marcel Gauchet (L’Opinion, lundi) : “Notre problème fondamental, c’est que les gens qui nous gouvernent ne comprennent pas la société dans laquelle ils vivent.” La rupture pourrait être brutale.

    La machinerie idéologique mise au service du progressisme exacerbe les colères de ceux qui refusent l’oppression des pensées imposées.

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 20 septembre 2018 et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/