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  • Entrevue exclusive des fondateurs du mouvement DEUS VULT par Bibliothèque De Combat

    Merci à BDC de nous avoir proposé cet entrevu.

    • BDC – Vous êtes à l’origine d’un jeune mouvement catholique et nationaliste de formation très récente qui commence à faire parler de lui. D’où vous est venue l’idée  ?

    DV – Nous sommes avant tout une école de formation métapolitique et culturelle. L’idée de fonder un mouvement à proprement parler est venue après.

    Nous n’avons pas vocation à faire de la « concurrence » à d’autres camarades mais plutôt à proposer à ces mêmes camarades une formation solide, sans engagement obligatoire à Deus Vult par ailleurs.

    Nous sommes tous issus du courant nationaliste militant, mais nous avions l’impression que les collages et les tractages sans formation parallèle ne servaient à rien et que beaucoup d’autres mouvements s’y étaient employés avant nous sans résultats concrets.

    Nous avons nous-mêmes suivi diverses formations et après avoir étudié les méthodes de nos adversaires, nous avons constaté que l’idéologie de mai 68, le libéralisme, le modernisme et l’esprit de la Révolution en général s’étaient imposés grâce à leur emprise sur trois grands secteurs : la culture, l’enseignement et les médias.

    Dans notre mouvance, peu de groupes s’intéressent à ces domaines bien qu’on sente un nouvel attrait aujourd’hui pour le combat métapolitique et culturel.

    Nous sommes donc partis avec la volonté de créer un mouvement dont l’action doit aboutir à un anti-mai 68, en proposant via diverses associations liées à Deus Vult un accès constructif à la culture ainsi qu’à une formation intellectuelle et pratique dans le but de forger à terme une nouvelle génération de militants, instruite et capable d’agir le plus efficacement possible.

    En plus d’apporter une formation à des militants, nous cherchons également à toucher l’ensemble de la jeunesse française dans l’optique d’un véritable renouveau culturel et surtout moral dont nos populations, hélas de plus en plus décadentes, ont cruellement besoin, et qui est un préalable indispensable à tout redressement politique durable. 

    • BDC – Quel est le profil des fondateurs de ce mouvement ?

    DV – Nous préférons parler d’esprit, et l’esprit qui anime les cadres de Deus Vult est celui du dépassement de soi, de la prise d’initiative et du sacrifice au service du Bien commun. Nous sommes à la recherche d’une certaine excellence à la fois intellectuelle, spirituelle et sportive.

    • BDC – Avez-vous des maîtres à penser ?

    DV – Nous en avons Un  : Notre Seigneur Jésus-Christ, qui est le moteur de notre combat car nous avons la conviction que rien ne peut être bâti sans Lui. Comme l’écrivait justement Saint Pie  X, « on n’édifiera pas la société si l’Église n’en jette les bases ». Notre combat pour la Royauté sociale de Notre-Seigneur est donc primordial.

    Ensuite nous parlerons plutôt de grands « inspirateurs », sur des points bien précis :

    Saint Louis pour son intransigeance en matière de foi et son art chrétien du gouvernement des peuples.

    Charles Péguy pour sa prose qui encense si bien la France éternelle.

    Joseph de Maistre pour sa philosophie contre-révolutionnaire.

    Monseigneur Lefebvre pour son combat pour la Sainte Messe et l’Église de toujours.

    Charles Maurras pour sa doctrine nationaliste et royaliste.

    Robert Brasillach et Léon Degrelle qui, chacun dans leurs engagements respectifs, sont allés jusqu’au bout du sacrifice et ont toujours su voir le monde en poètes.

    Mais nous nous intéressons également à certains de nos contemporains comme Julien Langella avec son ouvrage ‘La jeunesse au pouvoir’, Alain Escada qui mène avec courage le combat pour une société catholique, ou encore certains historiens dans leurs luttes pour la vérité historique.

    De manière générale, nous nous inspirons de tout ce qui est fidèle à la pensée française et chrétienne.

    • BDC – Si l’on en juge par les actions militantes des membres de Deus Vult relayées sur votre site web, le mouvement semble essaimer un peu partout en France. Combien êtes-vous et dans quels secteurs êtes-vous situés ?

    DV – Le groupe ayant été lancé en région parisienne, la plupart de ses membres sont en Île-de-France, mais nous avons ouvert des antennes locales et des relais dans plusieurs régions  : en Aquitaine, Lorraine, Pays de Loire, Anjou, Toulousain, Normandie et Flandre-Artois-Hainaut. Nous avons vocation à étendre notre idéal à tout le Royaume de France, qui est le royaume de Marie.

    À notre heureux étonnement, cette initiative française est en train de s’étendre en dehors de nos frontières et devient universelle, avec le lancement récent de Deus Vult Angleterre, Canada et Amérique. Nous pouvons également vous annoncer la naissance prochaine de Deus Vult Mexique et Autriche.

    • BDC – Vous avez déjà à votre actif quelques jolies réalisations : abattage d’un arbre maçonnique de la laïcité relayé par la Voix du Nord, conférence d’Alain Escada sur Degrelle, site très intéressant et fréquemment mis à jour… Avez-vous défini une stratégie particulière pour faire parler de vous ?

    DV – Notre communication est assez classique et s’exprime principalement via notre journal sur la toile, reconquetefrancaise.fr, et l’utilisation des réseaux sociaux.

    Vous pourrez y trouver des compte-rendus d’activités, des articles de fond, des commentaires d’actualité, des billets d’humour, des reportages etc…

    En tant que soldats politiques, nous communiquons également à l’aide du militantisme classique avec les collages, tractages etc…

    Nous partons du principe que vous ne pouvez pas prétendre vouloir faire la « révolution nationale » si vous n’êtes pas capables de distribuer des tracts ou encore passer une nuit blanche à militer ! Le militantisme est très formateur, favorise une saine cohésion et permet de garder les pieds sur terre.

    •   BDC – Quelle physionomie souhaitez-vous donner à terme à Deus Vult  ? Un simple mouvement politico-religieux amical  ? Un parti politique qui se présente à des élections locales  ? Une milice  ?

    Deus Vult est à l’origine un groupe d’amis, et nous voulons que cela reste une de ses particularités, avec la construction d’un véritable esprit communautaire qui débouche sur le renouveau et le renforcement d’une société chrétienne, via nos cercles de boxe, d’œnologie, de lecture et de réflexion, de cinéma, de chant, et via des conférences.

    Notre but est de poursuivre par nos actions auprès des jeunes et moins jeunes le travail de structures déjà existantes telles que les écoles hors-contrat ou les prieurés de la FSSPX par exemple, tout en proposant un panel de formation plus vaste.

    Notre prochain projet porte sur la création d’une ‘web-TV’ avec micro-trottoir et des reportages culturels enracinés. 

    • BDC – Deus Vult est-il uniquement un mouvement de jeunes  ? Quels profils recrutez-vous en priorité  ? Faut-il être obligatoirement catholique  ?

    Deus Vult est ouvert à tous, favorable aux rencontres intergénérationnelles enrichissantes, même si notre cible principale reste la jeunesse.

    Il faut néanmoins accepter le socle commun, qui est fondé sur l’amour et la défense de la France, de l’Europe et de la Chrétienté.

    Les profils recrutés en priorité sont donc des blancs de religion ou de culture catholique.

    • BDC – Que diriez-vous à un lecteur qui se sent en phase avec vos analyses pour le motiver à vous rejoindre ?

    « Deus Vult », qui est la devise historique des chevaliers croisés, se traduit en français par « Dieu le veut ! ». Or le Bon Dieu exige que nous œuvrions pour Lui et pour la restauration de son règne sur chacun de nous et sur la société.

    À travers notre structure vous pourrez recevoir une formation politique, transmettre à votre tour vos connaissances, et acquérir les bases du militantisme tout en participant aux diverses activités culturelles que nous avons évoquées. Le tout dans une saine (et sainte) ambiance où la pratique de la prière s’accompagnera de celle de l’humour conjugué à un solide esprit de camaraderie.

    De bons moments en perspective donc  !

    • BDC – Qu’est-ce qui vous différencie d’autres organisations comme le Front National, le Parti de la France ou le très récent Parti Nationaliste Français ?

    Nous nous différencions des « partis politiques » car nous n’en sommes tout simplement pas un. Les partis divisent un pays alors que nous cherchons au contraire l’unité. À dire vrai nous ne sommes tout simplement pas pour la démocratie, à l’exception des échelons municipaux et corporatifs.

    Alors que les partis électoralistes sont contraints de courtiser le public, nous avons la volonté de changer du mieux que nous pouvons la société. Nous voulons œuvrer pour le bien commun de manière plus charnelle, ancrés dans la réalité et le quotidien des Français du XXIe siècle.

    En outre, nous misons sur la qualité de notre action et non sur la quantité de votes en notre faveur.

    L’esprit d’apostolat nous semble également être un principe essentiel, car beaucoup de nos camarades n’ont pas reçu d’éducation religieuse et ne connaissent pas ou mal la religion catholique, qui a fait la grandeur de la France et permet seule de sauver son âme.

    Deus Vult.

    http://reconquetefrancaise.fr/entrevue-exclusive-des-fondateurs-du-mouvement-deus-vult-par-bibliotheque-de-combat/

  • Syrie : la tension monte entre la Turquie et la Russie

    Les forces kurdes de Syrie se sont emparées lundi de la plus grande partie d'un bastion rebelle dans le nord de la Syrie en dépit des bombardements de laTurquie, engagée dans une escalade verbale avec la Russie.

    La Russie, principale alliée du régime de Bachar el-Assad, a dénoncé les "actions agressives" de la Turquie qui s'apparentent, selon elle, à un "soutien non voilé au terrorisme international". Le Premier ministre turc Ahmet Davutoglu a répliqué en accusant la Russie de se comporter "comme une organisation terroriste" en Syrie où elle mène, au même titre que les djihadistes du groupe État islamique des "attaques barbares contre la population civile". Si elle continue, "nous lui opposerons une riposte extrêmement résolue", a-t-il averti.

    L'armée turque a pilonné, pour le troisième jour consécutif, des positions des forces kurdes à proximité de la frontière syro-turque dans la province septentrionale d'Alep. Malgré ces tirs, les Kurdes continuent à progresser depuis l'ouest de la province après avoir conquis plusieurs localités aux mains de groupes insurgés, ainsi que de l'aéroport de Minnigh. Ils ont pris le contrôle de 70 % de Tall Rifaat, un des trois derniers grands bastions rebelles dans la province. Ils se sont emparés du sud et de l'ouest et les combats de rue faisaient rage lundi dans les nord et le nord-est de cette petite ville tenue par des islamistes soutenus par la Turquie et l'Arabie saoudite.

    Les Kurdes veulent relier les zones qu'ils contrôlent dans le nord de la Syrie afin de créer une région autonome unifiée, ce qui exaspère la Turquie, qui préfère s'en prendre aux Kurdes qu'à l'Etat islamique. Les Kurdes contrôlent les trois quarts des 800 kilomètres de frontière et avancent vers le territoire tenu par les membres du groupe État islamique dans l'est de la province d'Alep. Malgré les appels lancés par Washington et Paris à y mettre fin, la Turquie a prévenu que ces bombardements allaient se poursuivre, notamment pour empêcher les Kurdes de prendre Azaz, une ville située à une dizaine de kilomètres de la frontière.

    De son côté, l'armée syrienne encercle désormais presque totalement les quartiers rebelles d'Alep. Mgr Georges Abou Khazen, vicaire apostolique d’Alep en Syrie, s'inquiète.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/02/syrie-la-tension-monte-entre-la-turquie-et-la-russie.html

  • Angers : Le FNJ 49 à la rencontre des agriculteurs en colère!

    Hier, mercredi 27 janvier, Aurore LAHONDES, responsable du FNJ du Maine et Loire est allée à la rencontre des agriculteurs manifestants devant la préfecture. Elle a pu discuter et questionner la moitié des personnes présentes.

    Elle est allée demander pourquoi ils étaient présents ce soir-là, et quelle était la cause de la révolte agricole. Elle souhaitait obtenir une réponse directe, sans le prisme déformant des médias subventionnés par le pouvoir : ce que les journalistes n’évoqueraient pas.

    La manifestation était organisée par deux syndicats, les JA (jeunes agriculteurs) et la FNSEA, les plus importants syndicats agricoles Français. « Au départ, je n’étais pas forcément la bienvenue, ces syndicats étant souvent affiliés à l’ex UMP. Mais après quelques échanges, l’accueil fut favorable : Nos amis agriculteurs avaient enfin une oreille pour les écouter sans opportunisme aucun ».

    Aurore a pu ainsi se rendre compte du désarroi des agriculteurs : « A bout, ils m’ont raconté que quoiqu’ils fassent ils perdraient au minimum 10 000 € chacun cette année. Les solutions proposées cet été par le président Hollande ne servant à rien puisqu’aucun d’entre eux n’en avait vu la couleur. »

    « Ils m’ont expliqué que le problème venait du fait qu’on leur demandait d’aligner leurs prix sur le marché européen mais qu’on ne leur donnait pas les moyens pour le mettre en œuvre. » Ces agriculteurscroulent sous les normes à respecter que certains autres pays européens n’ont pas à subir.

    Aurore continue à questionner, on lui expose « qu’en Espagne les agriculteurs ont le droit de doper les bêtes trop maigres avec des hormones, qu’en France personne ne le sait et que les agriculteurs Français ne peuvent pas lutter contre ça. »

    Mais, « Même si on les laissait utiliser ce genre de méthodes, ils n’en voudraient pas afin de préserver la qualité des produits que l’on trouve dans nos assiettes. »

    Pour nos amis agriculteurs deux solutions sont possibles pour sortir de cette impasse :

    • Soit la France reste dans l’Union Européenne et il faut que tous les pays lissent les normes pour garantir une vraie compétitivité, mais forcément la question se pose alors de la qualité des produits. Remarquez qu’avec l’arrivée du traité transatlantique mieux vaut ne pas se poser la question de ce qui se trouve dans nos assiettes, traité qui signerait d’ailleurs sans aucun doute possible la mort de tous nos petits agriculteurs.
    • Soit, et c’est la deuxième solution, La France sort de l’Union Européenne, ce machin technocratique : Privilégier la production française aux autres. Il n’y aurait ainsi plus ce couperet qui pèse si lourd sur nos agriculteurs ainsi ils pourraient vivre de leur travail en garantissant aux consommateurs la qualité qu’ils méritent.

    « Pourtant ils ont bon cœur nos agriculteurs, ils voudraient pouvoir embaucher, faire appel à des gens extérieurs qui dépendent de leurs filières, ils voudraient pouvoir prendre des apprentis et partager leur savoir. » poursuit Aurore,  « Cependant ils ne peuvent pas, n’ayant même pas les moyens de se verser un salaire. Ce soir-là ils ne demandaient pourtant pas grand-chose devant cette préfecture, théâtre de leur colère, seulement pouvoir vivre de leur travail. Et encore ils ne voulaient pas beaucoup, la plupart demandaient 800€ par mois comme salaire, pour qu’on leur donne l’envie de continuer le travail de la terre.

    Il y un an encore la tonne de lait valait 380€, elle tourne aujourd’hui autour de 250€. Cependant, vous l’avez sans aucun doute remarqué, le prix n’a pas le moins du monde baissé en magasin, ce serait plutôt le contraire ! Le problème vient des entreprises de transformation et des grandes surfaces qui préfèrent augmenter leurs marges plutôt que de faire vivre nos agriculteurs.

    Aurore a entendu de la bouche de tous qu’ils ne voulaient plus d’aides : Ils veulent tirer un salaire de leur travail, et qu’ils soient reconnus pour ça, ils ne supportent plus cet état de dépendance dans lequel l’état Français les a plongés.

    Le constat est sans équivoque, les agriculteurs demandent une refonte totale du système agricole qui est aujourd’hui invivable pour eux.

    Aurore conclu « Pour finir j’ai été remerciée par des agriculteurs ne partageant pas les opinions frontistes, pour m’être déplacé, pour les avoir écoutés, parce que les politiques n’écoutent plus leurs citoyens et que le front national était dans la rue avec eux ce soir-là ».

    Alors aujourd’hui au nom de la France et de ses citoyens malheureux, Aurore demande aux gouvernants de se tourner vers la rue, de regarder ce qui s’y passe et pour le bien des Français d’écouter les cris de douleurs qui se multiplient !

    http://fn-49.fr/2016/01/28/angers-le-fnj-49-a-la-rencontre-des-agriculteurs-en-colere/#more-1310

  • Pour sauver l’agriculture, il faut arrêter les mesurettes et engager le bras de fer avec Bruxelles

    Les mois passent et personne ne voit le bout de la crise terrible qui lamine l’agriculture française. Totalement dépassé par une situation qu’il n’a pas su anticiper et qui devient de plus en plus explosive sur le terrain, le gouvernement ne connaît qu’une seule recette : annoncer des plans et des mesures d’urgence. Qu’importe si aucun des plans annoncé depuis un an n’a atteint ses objectifs : le prix du porc, soit disant négocié à 1,40 euro par M. Le Foll, est au plus bas, à 1,10 euro ; les aides attribuées représentent des sommes dérisoires et n’arrivent qu’à une minorité…

    La baisse des cotisations sociales annoncée par François Hollande est certes un bonne chose, mais elle ne changera pas les fondamentaux de la crise. Les énièmes négociations avec la grande distribution et les industriels relève par contre de la sinistre plaisanterie. Pourquoi ces derniers, libres de se fournir à bas prix n’importe où dans l’UE et ailleurs, respecteraient-ils des accords qui n’ont aucune base juridique ?

    Comme l’ont rappelé les élus du Front National Edouard Ferrand, Philippe Loiseau et Gilles Pennelle lors d’une conférence de presse le 8 février dernier, il faut aller beaucoup plus loin. S’attaquer aux racines de la crise, c’est d’abord engager le bras de fer avec l’Union européenne afin d’obtenir rapidement la levée des sanctions contre la Russie, l’étiquetage obligatoire de l’origine de tous les aliments, des sanctions contre le dumping social entre pays membres ainsi qu’une abrogation de la directive détachement des travailleurs qui permet à l’Allemagne et l’Espagne d’exploiter à bas coût des centaines de milliers de travailleurs étrangers. Il est également indispensable de revoir la PAC 2014-2020 qui, dénuée de toute mesure de régulation efficace, représente un réel danger pour l’avenir de notre agriculture. Et, afin de ne pas aggraver encore plus une situation déjà dramatique, de mettre fin aux négociations du TTIP, ce traité de libre-échange transatlantique qui signerait la mort de nos filières d’élevage.

    http://fn-49.fr/2016/02/12/pour-sauver-lagriculture-il-faut-arreter-les-mesurettes-et-engager-le-bras-de-fer-avec-bruxelles/#more-1431

  • Elle dénonce les islamistes : elle est condamnée à mort

    Source : Boulevard Voltaire
    Elle a reçu sur sa boîte émail le message suivant : « Le décret est tombé. Vous êtes condamnée à la peine capitale. »

    Laurence Marchand-Taillade est membre du PRG et présidente de l’Observatoire de la laïcité du Val-d’Oise (rien à voir avec l’organisme qui a presque le même nom et qui est dirigé par Jean-Louis Bianco, l’Observatoire du Val-d’Oise lutte réellement contre les atteintes islamistes à la laïcité !).

    Elle a dénoncé publiquement la venue de trois prédicateurs sulfureux au congrès de l’UOIF à Lille, prédicateurs qui avaient soit tenu des propos antisémites, soit préconisaient de tuer tous les homosexuels, y compris les enfants victimes de satyres ! La polémique a obligé les organisateurs à décommander les orateurs suspects. Madame Marchand-Taillade est allée également le 6 février au rassemblement de l’UOIF qui se tenait porte Maillot. Elle souhaitait y porter la contradiction, mais elle a été vite expulsée par le service d’ordre dès qu’on l’a reconnue.
    Elle a reçu sur sa boîte mail le message suivant : « Le décret est tombé. Vous êtes condamnée à la peine capitale. C’est désormais une question d’heure (sans “s ” à la fin). »

    Cet e-mail a été envoyé par l’intermédiaire d’un site islamiste (dont le nom, en arabe, signifie parti de la libération !). S’agit-il d’une menace en l’air, proférée par un fanatique isolé qui veut s’amuser à faire peur, mais n’a pas l’intention de passer à l’acte, ou de quelque chose de plus sérieux qui émanerait d’un groupe terroriste structuré et décidé à faire taire tous ceux qui s’attaqueraient à l’islamisme ?

    Difficile à dire. Mais il est certain que cette violence est inévitable. Nous avons affaire à des fascistes, à des personnes qui veulent imposer par la force la charia en France. Quiconque se dresse contre eux devient automatiquement un ennemi à abattre. Pour l’instant, on en reste (heureusement !) aux mots, mais bientôt les actes suivront ! Et ce n’est pas l’État en pleine déliquescence qui nous protégera !

    La petite musique des « collaborateurs » se mettra alors doucement en route : « Elle l’a bien cherché » ; « voilà ce qui arrive quand on est islamophobe », répéteront-ils en boucle. Nous avons déjà entendu cette chanson après les attentats contre Charlie Hebdo. Elle deviendra vite assourdissante !
    Le combat contre l’islamisme débute. Il sera rude et, au vu des élus qui sont presque tous des « capitulards », peu nombreux seront les combattants qui oseront se lever contre la terreur religieuse. Pour l’instant, madame Marchand-Taillade est heureusement sous haute protection policière. Mais pour combien de temps ?

    Christian de Moliner
    Professeur agrégé et écrivain

    http://fr.novopress.info/198303/denonce-les-islamistes-condamnee-mort/#more-198303

  • Chômage: le cuisant échec de Hollande qui le disqualifie pour 2017

    E SCAN ÉCO – Pour inverser la courbe du chômage en 2016 et pouvoir se représenter à la présidentielle, le chef de l’État ressort les mêmes dispositifs éculés qui n’ont jamais fait leurs preuves.

    Il ferait mieux de s’inspirer des bonnes pratiques des pays étrangers qui, eux, ont fait reculer le chômage à coup de réformes radicales.

    Et pourtant «La lutte contre le chômage reste ma première priorité» a rappelé François Hollande, 31 décembre 2015

    Ainsi le chômage a encore augmenté en décembre, et sur l’ensemble de l’année 2015. L’inversion de la courbe, promise au bout d’un an dès l’été 2012 par François Hollande, reste donc une chimère, un vœu pieu. Certes, 2015 restera comme la moins mauvaise des cinq dernières années et le président de la République a beau jeu de répéter, inlassablement, que «la reprise, elle est là mais elle est encore trop fragile» pour garantir l’inflexion, que Myriam El Khomri juge contre toute attente bien «réelle». Les quelque 3,9 millions de demandeurs d’emploi inscrits en catégorie A en France entière au 31 décembre dernier et les 86.200 nouveaux de 2015 ne seront certainement pas de cet avis.

    Répétant que non, décidément non, «on n’a pas tout essayé» contre le chômage, que nous propose l’exécutif ? Un cocktail improbable de promesses de réforme (et notamment la réécriture en deux ans d’un Code du travail «devenu illisible» au fil des ans) et de mesures de traitement social du chômage qui ont démontré leur inefficacité sur le long terme (mise en formation de chômeurs, prime à l’embauche dans les TPE, relance de l’apprentissage…).

    Si chacun de ces dispositifs avait un effet à long terme, ça se saurait, non ? Surtout, on n’aurait pas battu 6 fois (sur 12) en 2015 le record absolu du nombre de chômeurs en catégorie A à Pôle emploi en France entière (dom. inclus). Et François Hollande, qui ne cesse de ressortir les mêmes cartes de sa manche pour tenter désespérément d’inverser la courbe du chômage, n’aurait pas 718.000 demandeurs d’emploi en plus à son passif depuis qu’il a été élu à la présidence de la République en mai 2012.

    Surtout, le chef de l’État fait pire en 44 mois de mandat que son prédécesseur détesté en cinq ans de quinquennat: 16.318 chômeurs de plus en moyenne chaque mois, contre 13.455 sous Nicolas Sarkozy, la crise internationale de 2008 – qui avait fait plonger le PIB de la France de 3% l’année suivante – en moins… Une honte pour celui qui avait fait campagne sur le rejet de son adversaire et son bilan, notamment en matière de chômage, catastrophique.

    La curée est d’autant plus crasse lorsque l’on compare le triste résultat de la France en 2015 avec ceux de ses principaux concurrents européens:

    – 104.000 en Allemagne,
    – 239.000 au Royaume-Uni,
    – 354.200 en Espagne,
    – 479.000 en Italie.

    Et qu’ont fait ces pays pour si promptement inverser leur courbe du chômage ? Ils ont flexibilisé leur marché du travail, en assouplissant les conditions de licenciement, en créant de nouveaux contrats de travail plus agiles – pour utiliser le nouveau terme à la mode -, en durcissant les conditions d’indemnisation…

    Bref, ils ont fait ce que la France se refuse à faire, ou alors simplement par petites touches. Certes le Royaume-Uni a lancé les contrats «zéro heure», qui sont le summum de la flexibilité, le salarié sous contrat restant chez lui à attendre que son employeur l’appelle pour travailler; certes l’Allemagne est le champion quasi toutes catégories du temps partiel et bénéficie d’une démographie «avantageuse» qui fait que chaque emploi créé profite à un chômeur…

    Alors le chômage risque bien de baisser en 2016, afin de permettre à François Hollande de se représenter en 2017. Mais pas à cause d’un vent porteur de libéralisme, venu des pays avoisinants. Non, la courbe risque de se retourner statistiquement grâce à l’utilisation, à hautes doses, du traitement social du chômage, et notamment de la mise en formation forcée de quelque 500.000 chômeurs de plus cette année. En formation sur des «métiers d’avenir» qu’il reste bien entendu à définir, ou sur «des métiers en tension» dont on sait qu’ils sont bien moins nombreux que ce que le gouvernement l’affirme.

    A défaut de leur assurer une employabilité qui leur permettra de rebondir, ces stages serviront avant tout à faire baisser provisoirement le nombre de chômeurs inscrits en catégorie A. Mais attention au retour de bâton en 2017: si ces chômeurs envoyés par charters entiers dans des centres de formation ne trouvent pas d’emploi à l’issue de leurs 4 à 6 mois de formation, ils reviendront grossir les rangs de la catégorie A. Et ce, dès le début de l’année 2017, en pleine campagne présidentielle… Un président averti en vaut deux, dit-on.

    Marc Landré, 1/02/2016

    Source : Le figaro.fr – Le ScanEco

    http://www.polemia.com/chomage-le-cuisant-echec-de-hollande-qui-le-disqualifie-pour-2017/