Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Trump met un coup d’arrêt à la folie immigrationniste du G7

    donald_trump2.jpg

    En 2015, un être humain sur 112 était « réfugié » ou « demandeur d’asile ».

    Donald Trump divise. Le nouveau président états-unien est la cible préférée des médias qui ne manquent pas de relever son attitude grossière. Il sera? d’ailleurs? difficile de leur donner tort à chaque fois, tant l’homme peut se montrer aussi irrespectueux que peu intéressé par les détails. Toutefois, il faut porter au crédit de Donald Trump sa volonté de tenir face à la pression sur un certain nombre de sujets essentiels pour notre avenir, à commencer par la crise migratoire à laquelle l’ensemble du monde occidental est désormais confronté.

    Ainsi, lors du dernier sommet du G7 de Taormine (Italie), le « POTUS » a tenu à rajouter deux éléments au texte de six pages intitulé « Vision du G7 sur la mobilité humaine », élaboré par le Conseil italien, en collaboration avec différents services gouvernementaux d’autres pays membres, pour tenter de donner un cadre collectif à la gestion des crises migratoires :

    « En même temps, tout en garantissant le respect des droits de l’homme des migrants et des réfugiés, nous réaffirmons les droits souverains des États à contrôler leurs propres frontières et à fixer des limites claires sur les niveaux de migration nette, en tant qu’éléments clés de leur sécurité nationale et de leur bien-être économique. Cela peut consister en un renforcement des contrôles douaniers, en le développement de processus de retour au pays et une amélioration des dispositifs de coopération avec les pays d’origine. »

    Des ajouts qui ont passablement agacé Paolo Gentiloni, chef du Conseil italien, artisan principal d’un texte qu’il espérait à même de valoriser « l’aspect positif de la mobilité humaine et de l’intégration des migrants ».

    Malheureusement pour lui, et heureusement pour nous, Donald Trump avait fait de ce sujet l’une de ses priorités, se déclarant prêt à ce que le G7 ne communique pas du tout si la vision américaine n’était pas prise en considération. Il était temps de mettre un coup d’arrêt au chantage délirant des ONG, qui entendent dicter aux États, toujours garants de l’ordre international (jusqu’à preuve du contraire), leurs politiques migratoires.

    La position américaine au G7 trouvera certainement un appui auprès des pays d’Europe centrale, en première ligne contre le choc démographique en cours. Beata Szydło, Premier ministre polonais conservateur, s’est par exemple récemment opposée à Dimítris Avramópoulos, commissaire européen aux Migrations qui voudrait forcer la Pologne, l’Autriche et la Hongrie à accueillir des demandeurs d’asile « selon les quotas imposés ». Dans une intervention vibrante à la Diète, madame Szydło a interrogé les consciences de ses partenaires européens : « La Pologne ne cédera à aucun chantage de la part de l’Union européenne. Nous n’allons pas participer à la folie des élites bruxelloises. Moi, j’ai le courage de demander aux élites politiques : Où allez-vous ? Où vas-tu, Europe ? Relève-toi. Sors de ta léthargie ! Sinon, tu pleureras tous les jours tes enfants. »

    Le monde ne peut plus laisser faire. En 2015, un être humain sur 112 était « réfugié » ou « demandeur d’asile ». Dans un contexte économique marqué par l’augmentation de la dette souveraine de pays industrialisés, dans l’incapacité de retrouver un niveau de croissance convenable, nous sommes présentement beaucoup trop fragiles pour recevoir des « migrants » qu’il sera impossible d’intégrer, et encore moins d’assimiler. Il faut donc remercier Donald Trump, lequel a réagi de la meilleure des manières dans ce dossier brûlant.

    http://www.bvoltaire.fr/trump-met-coup-darret-a-folie-immigrationniste-g7/

  • Pour acheter le livre d'Alban d'Arguant, Eoliennes un scandale d'Etat...

    3783962953.jpg

    Bulletin de commande cliquez ici

    L'acheter en ligne cliquez là

  • Russie, Otan, le dessous des cartes

    Faut-il rappeler de nouveau cette évidence alors que débute aujourd’hui la rencontre entre Emmanuel Macron et Vladimir Poutine, la diplomatie consiste (surtout) à parler avec ceux avec lesquels on est en désaccord, voire en opposition tranchée. C’est le cas entre la France et la Russie ou les sujets de discordes ne cessent hélas de croître depuis 2011 et l’élimination dramatique par la France et la Grande-Bretagne (avec la bénédiction de l’Oncle Sam) du régime de Kadhafi en Libye et les tentatives de renverser le gouvernement légitime de la République arabe syrienne. Tensions qui croissent au fur et à mesure que notre pays renonce à faire entendre une voix indépendante et rentre dans la niche euro-atlantiste. Sur le site de RT, Bruno Drweski , maître de conférences à l’Institut national des langues et civilisations orientales (INALCO), date cette fâcheuse évolution de la seconde partie du mandat présidentiel de Jacques Chirac. Emmanuel Macron entend-il rééquilibrer et pacifier les relations franco-russes après le désastreux quinquennat Hollande? L’un des derniers avatars de celles-ci, sur fond de conflit ukrainien et d’embargo économique, de votes souvent antagonistes de nos deux pays aux Nations-Unies,  fut le refus très symbolique par le précédent gouvernement d’honorer sa promesse de livrer à Moscou les bâtiments Mistral.

    De symbole,  il est encore question puisque Emmanuel Macron a choisi, de manière assez intelligente, pour marquer l’importance qu’il accorde à la Russie,  de recevoir aujourd’hui Vladimir Poutine au château de Versailles . Et plus précisément au Grand Trianon. Les deux chefs d’Etat visiteront l’exposition consacrée à Pierre Ier de Russie (dit Pierre Le Grand), qui fut à la tête de son pays de 1682 à 1725. Contemporain du règne de Louis XIV, de la régence et du début de celui du Louis XV,Pierre Le Grand fut reçu en France pendant trois mois avec les plus grands honneurs en 1717. Il y rencontra le futur Louis XV avant que ce dernier ne monte sur le trône, lequel ne partageait pas les préjugés du Roi Soleil à l’encontre de l’empire des tsars…

    M. Macron a promis un dialogue constructif mais qui ne fera pas l’impasse sur les sujets qui  fâchent citant l‘Ukraine, le pluralisme démocratique, les libertés accordées à l’opposition, les droits des homosexuels en… Tchétchénie. Autant de points qui seront vite balayés par un Vladimir Poutine qui,  pas plus qu’un autre chef d’Etat souverain, n’entend recevoir de leçons pour  ce qu’il considère être des sujets relevant de la politique intérieure de son pays. La Crimée juge-t-il,  appartient historiquement à la Russie (ce qui est vrai) et non à l’Ukraine -un référendum local l’a confirmé et a tranché cette question. Quant au conflit en Ukraine et notamment au Donbass, il est aussi alimenté par des officines, des puissances étrangères qui entendent affaiblir la Russie, atténuer sa capacité de manœuvre, garder une épine dans le pied de l’ours russe. M Macron ne l’ignore certainement pas…

    Pour ce qui est de la démocratie, les observateurs internationaux, notamment Européens, n’ont pas relevé de fraudes lors des derniers scrutins qui ont vu les victoires assez nettes de M. Poutine et de son parti Russie Unie aux élections. Enfin il s’agirait aussi de  regarder, avant de faire la leçon aux autres sur  le sort des minorités,  la situation en  France même avec une montée de l’intolérance et de l’effacement de l’Etat de droit dans les quartiers pluriels et communautarisés. Il en est de même sur le fameux pluralisme, au vu de la concentration dans notre pays  des principaux gros médias entre les mêmes mains capitalistisques et partageant la même idéologie libérale-libertaire transfrontièriste. La France n’est pas un exemple dudit pluralisme démocratique tant vanté;  il suffit pour s’en convaincre de se souvenir  de l’unanimisme venimeux, du grégarisme, du comportement orwellien assez effarant de 99% de ces gros médias là lors du second tour de notre présidentielle…

    Il faut  aussi rappeler cette vérité essentielle note Bruno Gollnisch, à savoir que c’est Poutine qui a arraché la Russie au déclin depuis son arrivée au pouvoir, nation russe à laquelle il a redonné un statut de grande puissance qui compte. Un Russie réarmée moralement, modernisée, fière de ses racines, qui renoue avec ses traditions et qui semble sortir de l’hiver démographique dans lequel elle était entrée. Il reste certes encore beaucoup à faire dans ce pays immense, dont les experts pointent les disparités, la  trop grande dépendance économique à ses gigantesques réserves d’énergies fossiles, mais le bilan  du poutinisme  n’est déjà pas si mal!

    En janvier 2016 en visite à Moscou, il était encore ministre de l’Economie, M. Macron avait affirmé que les sanctions économiques frappant la Russie étaient une mauvaise chose pour les entreprises françaises. Le Macron candidat de ces derniers mois a martelé au contraire les mises en garde contre la Russie, développant un antipoutinisme assez primaire mais conforme avec sa logique progressiste. Quel, qui est donc le vrai Macron? Nous le saurons bientôt.

    Le vrai Macron c’est déjà celui des discours ambivalents que l’on connait qui a rencontré jeudi à Bruxelles les 28 dirigeants de l’Otan, juste avant la réunion du G7 qui s’est déroulée à Taormina (Italie),  qui a déclaré qu’il fallait tout faire pour éviter la «destruction de l’Europe» de Bruxelles, évoquant l’impératif d’une «refondation européenne » et  contestant être un eurobéat…

     Donald Trump lors de cette même réunion a « tancé ses pairs lors d’une cérémonie au nouveau QG de l’Alliance (atlantique) à Bruxelles, affirmant qu’ils devaient  d’énormes sommes d’argent en raison du déséquilibre entre les budgets militaires des Etats-Unis et des pays d’Europe. Le secrétaire général de l’Otan, Jens Stoltenberg, s’est voulu rassurant,  M Trump a clairement exprimé son soutien à l’Otan , se félicitant que l’administration Trump propose d’augmenter de 40% les budgets alloués aux déploiements de soldats américains en Europe en 2018.»

    Et surtout,  le président américain ne s’est pas contenté de tacler Mme Merkel en expliquant que « nous devons être durs » et « vigilants » sur l’immigration. « Des milliers et des milliers de personnes se répandent dans nos différents pays et se dispersent, et dans de nombreux cas, nous ne savons pas qui ils sont ».  Il a aussi entretenu la russophobie: « L’Otan du futur doit se concentrer sur le terrorisme et l’immigration, ainsi que sur les menaces de la Russie et les frontières à l’est et au sud de l’Otan », a insisté M. Trump.

    Sur son compte twitter , M.  Macron a d’ailleurs  écrit, avec ce tropisme victimaire qui est au  cœur de l’aveuglement de la gauche,  que «les terroristes prospèrent sur la misère. Lutter contre le terrorisme, c’est aussi promouvoir l’éducation, s’engager pour le développement ». Affirmer (uniquement)  cela c’est ne rien comprendre au ressort profond du djihadisme. Les travaux  menés sur les fondamentalistes, les cadres islamistes dans de nombreux pays musulmans soulignent d’ailleurs que ce système idéologico-religieux n’est pas l’apanage des illettrés, des voyous et des déshérités, loin s’en faut.

    Selon un récent sondage  l’Otan serait plébiscitée en Pologne et aux Pays-Bas (auprès de 79 % des citoyens dans ces deux cas), suivis par les Allemands (67 %), les Canadiens (66 %), les Américains et les Britannique (62 %), les Français (60 %) et les Espagnols (45 %).Otan qui comme le souhaitait  Donald Trump qui a obtenu gain de cause des Européens jeudi,  est devenu membre à part entière de la coalition internationale contre l’EI en Irak et en Syrie. Et ce, le jour même ou des frappes de l’aviation (américaine?) visant des islamistes ont de nouveau  tué des civils et des enfants jeudi dans la ville syrienne de Mayadine,  selon l’officine proche des Frères musulmans, l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH ). L’armée américaine a reconnu officiellement la mort accidentelle de 352 civils tués par la coalition en Irak et en Syrie depuis 2014. N’en doutons pas,  ce sang répandu-là nourrit aussi la haine et la  propagande des islamistes.

    https://gollnisch.com/2017/05/29/russie-otan-le-dessous-des-cartes/

  • "La France atlantiste ou le naufrage de la diplomatie" de Hadrien Desuin

    2074666294.jpgTribune littéraire d’Eric Delbecque

    Ex: http://destimed.fr 

    Dans La France atlantiste ou le naufrage de la diplomatie (Éditions du Cerf), Hadrien Desuin part d’un constat fort et simple : la vassalisation de la France dans le monde. Il en tire une conclusion tout aussi limpide et lourde : à l’heure de la mondialisation, la hiérarchisation classique qui donne la priorité à la politique intérieure sur la politique étrangère ne fonctionne plus. Dans un monde « ouvert », il convient d’abord de manifester sa cohérence et sa force à l’étranger. Or, l’Hexagone ne s’en montre plus capable.

    Notre voix à la surface de la planète se résume à trois mots : morale, compassion et communication. Adieu à la realpolitik. Desuin parle avec une grande clarté et justesse : « Aujourd’hui, la nouvelle religion universelle des droits de l’Homme voudrait en finir avec la distinction entre conviction éthique et action diplomatique. Pour les chantres de la mondialisation heureuse, la fragmentation des nations est néfaste sans qu’ils ne réalisent combien le meilleur des mondes qu’ils projettent laisse place à une fragmentation communautaire bien plus violente. De surcroît, la globalisation ressort propice à une sorte de naïveté humanitaire où chaque crise internationale apparaît réductible un fait divers collectif ».

    Sur un jeu d’échec global réapparaissant dans sa nature forcément tragique, la France a perdu la boussole dans le grand chaos planétaire. Quant à l’Europe, elle ne trouve pas sa place dans la grille internationale de la puissance. Notre pays s’égare dans un atlantisme paresseux qui lui évite le trouble d’élaborer dans la douleur un position constructive et originale dans le concert des nations, dont elle a pourtant eu le secret durant la parenthèse gaullienne.

    Parallèlement, elle s’engouffre trop volontiers dans la promotion d’un droit d’ingérence caricatural qui fabrique davantage de problèmes qu’il n’en résout. « Le concept de « guerre humanitaire » […], écrit l’auteur, forme une synthèse hybride entre le courant doctrinaire atlantiste et belliciste d’une part et la mouvance associative des droits de l’homme d’autre part. Il relève du glissement des idéaux du pacifisme humaniste militant vers la notion de responsabilité militaire protectrice. L’ingérence marque la tentative de légitimer par le droit international n’importe quelle guerre au nom de principes supérieurs, indéniablement nobles mais aux conséquences incalculables et aux effets souvent désastreux ».

    Hadrien Desuin décrit ensuite quelques lieux où s’élabore cet atlantisme droit-de-l’hommiste, compagnon du néoconservatisme, notamment la Fondation pour la Recherche Stratégique (FRS), créée en 1993. Le résultat aujourd’hui ? Une politique étrangère réduite au suivisme vis-à-vis des Américains, et une propension à substituer le respect craintif du politiquement correct à l’analyse géopolitique lucide. Ce premier problème se double d’un second : la dénonciation permanente de l’identité nationale qui conduit à un « messianisme humanitaire à la française ». Ce dernier s’enracine dans une conception « hors-sol, déracinée et abstraite de l’identité. Inversement, le messianisme à l’américaine repose sur la certitude que les Etats-Unis ont une mission évangélisatrice et que l’humanité doit suivre la patrie américaine ».

    L’ensemble de cette logique a fini par aboutir à la réintégration par la France du commandement militaire de l’OTAN. Quant à l’Europe de la défense, elle demeure une politique assez théorique… Les Européens, français compris, apparaissent toujours peu ou prou à la remorque de Washington. Notons d’ailleurs que la Maison Blanche sait s’affranchir des règles de la morale droit-de-l’hommiste quand les intérêts de la bannière étoilée l’exigent. En témoigne le cas de l’Iran : plus question d’Axe du Mal ou d’exportation du modèle démocratique. Face aux ambitions russes et chinoises, il est devenu essentiel de régler la question iranienne. Il en découle naturellement une politique de défense peu enthousiasmante depuis vingt ans (malgré les efforts et les incontestables réussites de personnalités particulières, comme Jean-Yves Le Drian). Notons enfin que l’auteur met en lumière les incohérences de la politique française au Moyen-Orient et vis-à-vis de la Russie.

    2368833082.jpgAu final, Hadrien Desuin démontre avec talent et précision que la France ne décide plus en toute indépendance sur la scène internationale mais en fonction d’intérêts politiciens et au nom de l’utopie d’une démocratie universelle qui produit des désastres en série. Retrouver la singularité de la voix de la France impose de sortir de cette impasse. Un ouvrage stimulant à lire attentivement !

    Eric DELBECQUE Président de l’ACSE et membre du Comité Les Orwelliens (ex-Comité Orwell). Il vient de publier : Le Bluff sécuritaire

    http://euro-synergies.hautetfort.com/

  • Meeting de Civitas à Saint-Martin d’Hères, choses vues et entendues

    civitas2-300x225.jpgLe samedi 20 mai, Civitas organisait une conférence de presse suivie d’une réunion publique sous la présidence d’Alain Escada pour présenter ses candidats isérois aux élections législatives de juin.  Dans la 2e circonscription (Echirolles), détenue actuellement par le PS,  Alexandre Gabriac se présente avec comme suppléante Christiane Canestrari, conseillère municipale d’Echirolles et dans la 9ecirconscription (Saint-Marcellin), détenue actuellement par les Verts, le candidat est Thibault Barge et le suppléant François Sabatier.

    La réunion avait lieu à l’espace Elsa Triolet dans la ville communiste de Saint-Martin d’Hères. Même si le gros des crasseux antifas était de sortie à Grenoble pour recevoir « le prince consort » (Louis Alliot), ils ont pris soin de dégrader les murs de la maison communale, illustrant les habituelles querelles de chapelles gauchistes, portant cette fois sur l’orthographe correcte du mot « fascisme ». Une pensée au personnel municipal chargé de nettoyer leurs « exploits », ce qui ne va pas contribuer à l’amélioration des relations entre stal’ et trotskos…

    Alain Escada a rappelé lors de la conférence de presse, les points et enjeux essentiels de cette élection législative. Le cartel électoral regroupant Civitas, les Comités Jeanne, le Parti de la France et la Ligue du Sud, va présenter 200 candidats aux élections, 250 candidats en ajourant ceux du SIEL qui font parti du cartel technique, Civitas en présentant 24. Civitas va faire entendre une voix intégralement et authentiquement patriote et catholique, précisant que ne sommes pas républicains. Pour Alain Escada :

    « Le programme que nous proposons sera salutaire aux Français. Macron n’est pas en rupture avec le système, il a organisé un lifting. Il n’y a pas de rupture antisystème au FN, tout s’est réajusté vers le centre. Nos thèses authentiquement en rupture contre le système : interdire la franc-maçonnerie (qui est le mal car elle lutte contre les racines chrétiennes, pour l’internationalisme, et l’entretien du secret),  supprimer les avantages fiscaux aux  partis politiques mais aussi à la presse et aux syndicats ».

    civitas3-300x225.jpgSur le plan économique, Civitas propose de mettre fin au racket des banksters, de rétablir les corporations pour rompre avec la lutte des classes et d’abolir la loi Pompidou 1973. Sur le plan éducatif, Civitas propose de mettre fin au lobbying dans les écoles, qui constitue une forme de totalitarisme. L’instauration d’un chèque scolaire permettra une véritable liberté d’enseigner, notamment en favorisant les écoles hors-contrat. Sur le plan sociétal, comme tout parti catholique devrait faire, Civitas demande la suppression de l’avortement, celle du mariage inverti avec effet rétroactif, la dissolution du Syndicat de la magistrature et en politique étrangère, la fin de l’axe Washington-Tel Aviv-Qatar-Arabie Saoudite. Le FN est devenu un parti comme les autres. Supprimer la loi de 1905 ne signifie pas l’imposition du catholicisme, mais seulement que la vie de la France serait guidée par les valeurs morales et spirituelles. Si demain, la France redevenait catholique, on aurait le souci que chacune des lois serait éthique et respectueuse de morale et droit commun. Un non-catholique peut y souscrire. Quand Dieu n’est plus au centre d’une société, c’est Mammon, l’argent, qui le remplace.

    Après cette conférence de presse, la réunion commença, bien protégée par une maréchaussée aussi vigilante que disponible. Devant une trentaine de personnes et le soutien de l’ancien conseiller régional de l’Ain maître Olivier Wyssa, Alexandre Gabriac et Thibault Barge rappelèrent que l’engagement, c’est le seul moyen de s’exprimer qui nous reste, notre seule possibilité d’exister. Pour le candidat de la 2e : « nous ne nous prostituons pas pour des votes ». Le  projet est de monter des sections dans chaque département de ce qui fut la région Rhône-Alpes. Concrètement, cela se caractérise par une campagne de terrain : restaurer les calvaires et les clochers de nos villages,  faire des actions sur les « communes d’Europe » mais aussi des opérations ponctuelles selon l’actualité (comme à Lyon contre le spectacle blasphématoire ou l’hommage à Jeanne d’Arc) et bien entendu l la participation aux manifestations traditionnelles de Civitas (Jeanne d’Arc et Fête du Pays réel, celle de mars 2017 ayant été un franc succès). La campagne sera principalement axée sur les colons (abusivement appelés « migrants »), avec le scandale de leur implantation dans des hôtels Formule 1 et sur le Campus de Grenoble.

    Thibault Barge prit la parole ensuite pour se présenter. Charpentier, père de 7 enfants, il était jadis membre du FN, proche de l’universitaire Bruno Gollnisch. Expliquant à juste titre que la France n’était pas éloignée du point de non-retour, il définit le Président Macron comme l’exact contraire de nos principes, notamment par sa collaboration au « Grand remplacement » via son discours sur la « route de la liberté » de l’Afrique. Avant de conclure que « la vérité est notre drapeau »  et que « pour les catholiques l’engagement en politique était la première des charités ».

    Alain Escada conclut la réunion en expliquant que « les élections sont une supercherie qui avantages les démagogues et les puissances d’argent, qui proposent du pain et des jeux. Nous voulons faire de la politique au sens noble du terme. Mammon remplace Dieu et si Dieu n’est plus au-dessus de la société, alors il n’y a plus de morale. Les Républicains, le PS éclatent, le FN y est presque. Le FN a totalement muté… » Pour Civitas, Macron, c’est plus d’immigration, plus de préférence étrangère, plus de lois liberticides et plus de concentration des médias alors que l’ONU estime que dans les 30 ans, grâce au grand remplacement, 75% de la population ne sera plus européenne.

    Le combat, c’est celui de la vérité :

    « il y a la place pour un discours de vérité, fusse-t-il inaudible ne change rien : la vérité doit être révélée, et celle-ci doit être révélée même si elle est inaudible. La franchise est le courage de la vérité, car seule la vérité rend libre. On laisse le reste aux autres qui veulent se servir et non servir. Il faut faire connaitre par tracts, réseaux sociaux, affriches et professions de foi. Si on dit la vérité, ce sera la première étape vers des lendemains porteurs d’espérances. ».

    A la sortie de la salle, plusieurs personnes  s’étaient rassemblées, encadré par la police. Aucune insulte de leur part, ni geste hostile. Plutôt que des antifas, probablement des habitants du quartier se demandant qui étaient ces gens dont la présence nécessitait un tel déploiement… bleu marine.  Le 11 juin, votez pour le seul parti catholique français, votez CIVITAS.

    Hristo XIEP

    http://www.medias-presse.info/meeting-de-civitas-a-saint-martin-dheres-choses-vues-et-entendues/74524/

  • Amaury Navarranne (FN) veut défendre la vie, " de sa conception à sa mort naturelle"

    Amaury Navarranne, candidat Front National dans la première circonscription du Var, s'engage pour la famille, à l'occasion de la fête des mères :

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le tweet qui choque le lobby LGBT

    Ce tweet de La Manif Pour Tous, publié à l'occasion de la fête des mères, a choqué les tarés LGBT :

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html