Dans cette vidéo, les meilleurs moments de l’émissions “Géopôles”.
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#ReWild2018 : Bilan de la 3ème édition du camp d’été de la DF
Pour la 3ème année consécutive, la Dissidence Française a organisé son camp d’été annuel, ReWild, qui s’est achevé samedi dernier. Retour en images sur le camp d’été le plus épique de France !
Durant une semaine, nos recrues ont bénéficié d’une formation intensive loin du confort moderne, sans eau courante ni électricité.
Objectif : rompre avec l’esprit bourgeois, repousser ses limites, renforcer la cohésion.
Au programme cette 3ème édition : sport, ateliers de média-training, formations à la stratégie militante, aux premiers secours, à la topographie et aux transmissions, discipline, chants et camaraderie. À l’issue de cette formation et après une évaluation individuelle, nos recrues se sont rassemblées pour clore l’évènement à l’occasion de notre traditionnelle cérémonie aux flambeaux.
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Chômeurs et « déséquilibrés » : l’apport le plus évident de l’immigration-invasion
Bernard Plouvier
Un fou furieux poignarde et tue deux personnes (de sa famille) et en blesse une autre à Trappes, en gueulant la ritournelle : "allahou akbar", et notre chenu ministre de l’Intérieur – l’homme qui a si bien manœuvré dans l’affaire Benalla – nous apprend que l’assassin est un « déséquilibré mental ».
Que nous voilà bien informés ! On peut difficilement imaginer qu’un terroriste, qu’un meurtrier mû par le fanatisme politique ou religieux, ou encore par la haine raciale (car, n’en déplaise à nos maîtres, il existe des crimes à motivation raciste), soit autre chose qu’un paranoïaque délirant, un halluciné, déséquilibré par une psychose ou une drogue modifiant le bon fonctionnement du cerveau.
Bref, notre génie de la Place Beauvau fait dans le lieu commun, la platitude, l’évidence la plus criante. Il nous prend pour des demeurés. Et il n’a pas tort : la majorité de l’opinion publique est composée de veaux, s’il faut en croire un connaisseur gaullien. La Nation peut donc ruminer la phrase du bon ministre, puisqu’aussi bien un bovin, c’est « bête à manger du foin ».
Si chaque semaine nous amène son lot d’attentats et de crimes en Europe occidentale et scandinave, c’est que nous en sommes responsables. Nous avons accepté, par notre passivité et par l’élection des nervis de l’économie mondiale, ce très stupide et très inutile brassage des races et des cultures au sein de notre Europe.
Nous avons introduit en masse des mahométans, d’autant plus violents qu’un nombre étonnant d’imams militants les persuadent qu’ils vont gagner leur paradis en implantant la charî’a sur notre sol, qui sera « domaine de guerre » (dâr al-Harb) tant que l’islam n’y règnera pas en maître exclusif. Sauf pour les soufis, ces franciscains éthérés de l’islam, le djihâd est une réalité guerrière rendue obligatoire à tout croyant, robuste et en bonne santé, par une douzaine de sourates coraniques.
On nous a persuadés qu’il fallait introduire des millions d’extra-européens parce que nous étions en pénurie de travailleurs et qu’il fallait du sang neuf pour payer les trop nombreux retraités. Or, les statistiques nous prouvent que nous avons surtout importé des chômeurs, dépourvus de toute qualification professionnelle.
Veut-on prendre l’exemple de Trappes ? Il est démonstratif. Mais la réalité est la même partout : à Roubaix ou à Marseille, à Toulouse ou dans la région lyonnaise, à Rouen ou à Saint-Étienne. Elle l’est aussi en Allemagne, en Belgique, en Norvège et en Suède. Chez nos voisins, plus ou moins proches, les statistiques ethniques démontrent à l’évidence un fort taux de chômage chez les immigrés, bien supérieur à celui des autochtones.
Sur les 32 000 habitants de Trappes, on dénombre officiellement 28% d’immigrés (INSEE, données de 2014), soit 20% d’étrangers et 8% de naturalisés. En pratique, cette estimation est parfaitement inexacte puisque les nombreux enfants issus d’immigrés sont automatiquement déclarés de « nationalité française » par l’effet du droit du sol et comptabilisés dans la rubrique des autochtones.
Le taux de chômage est de 20% de la population en âge de travailler. Au conseil municipal, même les « étrangers » sont sûrs d’être écoutés : sur 35 membres, 10 sont des citoyens français d’origine africaine (noire ou maghrébine) et turque, ou apparentés par mariage. 28% de la population, 28% d’élus : la représentation démocratique est parfaite.
Une grave question se pose. Quand le peuple souverain a-t-il été consulté sur le bien-fondé de cette immigration massive d’origine extra-européenne ?
Avec en corollaire une question subsidiaire. Quand aurons-nous droit aux véritables statistiques ethniques, à la fois générales et catégorielles : les statistiques ethniques des chômeurs, des criminels et délinquants, des incarcérés, des « fichés » par la police ?
Grand Président, qui est en pleine forme, puisque revenu de vacances fort médiatisées, va très certainement consulter bientôt la Nation, seule titulaire légitime du Pouvoir, et, bien sûr, l’informer aussi complètement que possible. Il va le faire, puisque c’est un grand donneur de leçons de Démocratie… du moins pour l’étranger.
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Schémas africains et schémas parisiens
Plusieurs lecteurs s’interrogent directement ou indirectement, toujours amicalement : comment peut-on assimiler sans excès polémique la situation de la France à celles de pays comme le Venezuela, le Zimbabwe, etc.
Les Échos du 21 août nous rappellent en effet la chute inouïe, l'effondrement de la révolution bolivarienne sur le simple terrain de sa monnaie. Six millions de bolivares pour un dollar, titre ainsi le journal économique : "La révolution chaviste, note-t-il, poursuit son glorieux chemin au Venezuela où le Bolivar vient d'être dévalué de 95 %. Il faut désormais 6 millions de bolivares pour acheter un dollar."
Or, souligne, un correspondant couramment pertinent, "une autre analogie, après la Russie et le Venezuela, pourrait être l'Afrique du Sud. Qui vient de décider de suivre la glorieuse voie socialiste et antiraciste du Zimbabwe, laquelle l'a mené. où l'on sait. Le gouvernement de Pretoria a décidé de confisquer les terres des fermiers blancs, ce qui conduira immanquablement, comme au Zimbabwe, à la misère et à la famine. Mais l'idéologie de gauche sera sauve. Et ce sera plus que jamais la faute des Blancs."
Toutes les apparences séparent ces perspectives africaines ou latino-américaines de la situation, et de l'évolution de la France. Aujourd'hui par exemple, Mediapart s'étrangle parce que le maire macronien de Besançon vient de publier des arrêtés anti-mendicités applicables dans certaines rues de sa belle et bonne ville jusqu'au 30 septembre. Pour la majorité du lectorat du site d'Edwy Plenel, on ne doutera pas qu'il se convainc lui-même d'une dérive droitière et bourgeoise de l’Hexagone. Nous assisterions ainsi, atterrés j'en suis sûr, à un rejet abominable des sans-abri, des migrants et des punks à chiens. J'avoue être tenté, quand je prends le métro parisien, ou même quand je me promène dans mon quartier assurément bourgeois, par une impression inverse. J’éprouve même le sentiment que, s’il y a du racisme en France, il ne vient pas nécessairement des Blancs, et que s’agissant d’actes ou de réactions qualifiés de racistes à l’endroit des Africains et des Arabes on leur découvre des auteurs parmi les gens du voyage. Ainsi Paul Valéry n'avait-il pas tort qui voyait deux dangers menaçant le monde : l’ordre et le désordre.
La vraie question qui se pose devient dès lors celle des accaparements révolutionnaires et/ou fiscalistes. Opérés, de Caracas à Paris, en passant par l'Afrique australe, ils transfèrent la propriété, des mains de ceux qui la font fructifier, vers celles des camarades de lutte d'hier, c'est-à-dire des copains et des coquins d'aujourd'hui. Lesquels la stérilisent. Les gauchistes de tous poils en Europe ont ceci en commun avec les anciens guérilleros marxistes léninistes d'Afrique, ceux du Zanu-Pf comme, maintenant ceux de l'ANC, en Afrique du sud, que Mandela avait eu l'intelligence de faire plus ou moins patienter. Et auxquels Ramaphosa promet, comme hier Mugabe au Zimbabwe, les terres fécondées par les fermiers blancs.
Bien sûr le Maduro reste inimitable. Spectaculaire, il paraît imbattable sur le terrain de la ruine. Pour le moment. Nous disposons donc d'un [petit] répit, à condition de faire bien comprendre à nos compatriotes que le pire peut arriver. Citons ici un seul exemple, qui commence à être perçu pour sa vraie valeur : le rôle d'une Hidalgo maire de Paris et de son entourage impunément communiste qui va dans ce sens. Encore une ou deux mandatures municipales et ces gens auront ruiné une des plus belles et des plus riches villes du monde comme la démagogie bolivarienne a ruiné le pays détenteur des plus abondantes réserves pétrolières. La chose est plus avancée qu'on voudrait le croire.
JG Malliarakis
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Pendant que des Français sont assassinés, qu'un fiché S tue à coup de couteau, "on" libère "par erreur" un homme suspecté de djihadisme
Un juge d'instruction a oublié de renouveler sa détention provisoire. Il a été relâché en avril dernier et se trouve actuellement en liberté. Le porte-parole du gouvernement évoque un «dysfonctionnement grave».
L'histoire, aberrante, laisse interrogatif quant à l'efficacité du système judiciaire. Un homme soupçonné de djihadisme, prénommé Oualid, a été relâché à la suite d'un oubli d'un juge d'instruction qui n'a pas renouvelé sa détention provisoire, relate ce jour Le Canard enchaîné. Le ministère de la Justice, qui a confirmé les faits, a évoqué une «une erreur grave».
Oualid B. doit être jugé en novembre, à Paris, devant la cour d'assises spéciale, qui traite des dossiers terroristes. À ses côtés doivent comparaître Reda Bekhaled et de ses frères, soupçonnés d'être impliqués dans un projet d'attentat en 2014 dans la métropole lyonnaise et dans une filière d'acheminement de combattants en Syrie. Il était en détention depuis le mois d'août 2016. Il est sorti de prison le 3 avril dernier à la suite de l'erreur du juge.
Le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux a parlé mercredi matin de «dysfonctionnement grave». Il a également déclaré que «la priorité est de retrouver cet individu».
Et pas bien sûr la priorité n'est pas de régler ce "dysfonctionnement grave"...
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Action !
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Attentat familial à Trappes – Journal du jeudi 23 août 2018
Terrorisme / Attentat familial à Trappes
Ce jeudi, un islamiste a tué sa mère et sa soeur et blessé une troisième personne à Trappes dans les Yvelines. Malgré la revendication de Daesh, la thèse de l’attentat terroriste n’a pas encore été retenue.Politique / Partis politiques : Les universités d’été à la peine
Les universités d’été des partis à la peine. Devenu une institution depuis bientôt un demi-siècle, ce rendez-vous estival des formations politiques ne fait plus recette… pire après un an de présidence Macron, seule la France Insoumise organise un événement de grande ampleur.Agriculture / Le bio en manque de PAC
Les agriculteurs bio plombés par l’Etat. Alors que les difficultés financières s’accumulent dans le secteur agricole, une grande majorité des paysans bio n’a toujours pas vu la couleur des aides de la Pac.L’actualité en bref
Voir la vidéo sur daylimotion :
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Attaque terroriste à Trappes : le gouvernement nous voile la face
Il est fiché S, il tue au couteau deux personnes et en blesse une autre en criant allah ouakbar, Daesch revendique cet attentat et tranquillement le Gouvernement par la bouche de Gérard Collomb veut nous faire avaler qu'il s'agit plus d'un déséquilibré que d'un homme "engagé". Mais combien de temps va encore durer cette mascarade?