L’équipe d’E&R Rhône-Alpes a reçu Lucien Cerise le 28 septembre 2017 à Grenoble pour une conférence intitulée « Présidentielles 2017 : par quels moyens le pouvoir se maintient-il ? ».
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L’équipe d’E&R Rhône-Alpes a reçu Lucien Cerise le 28 septembre 2017 à Grenoble pour une conférence intitulée « Présidentielles 2017 : par quels moyens le pouvoir se maintient-il ? ».
Le 1er août 2018, Minurne-Résistance a officiellement rejoint le CONSEIL NATIONAL DE LA RÉSISTANCE EUROPÉENNE (CNRE), solennellement créé par Renaud Camus et Karim Ouchik le jeudi 9 novembre 2017 – jour du 47ème anniversaire de la disparition du général de Gaulle – à Colombey-les-Deux-Églises.
Dès la création du CNRE, Minurne -Résistance avait décidé de publier en temps réel les communiqués du CNRE sur une page spéciale :
https://minurne.org/communiques-cnre
Le ralliement officiel de Minurne-Résistance est consécutif à l’inacceptable provocation que constitue la programmation les 19 et 20 octobre 2018 d’un « concert » du rappeur MEDINE dans la salle martyre du BATACLAN, 3 ans à peine après l’odieux attentat du 13 novembre 2015 qui y fit 90 morts et de nombreux blessés.
Ce rappeur est l’auteur de l’album « Jihad » dans lequel il appelle notamment à la « crucifixion des laïcards, comme à Golgotha » et promet – entre autres – qu’avec l’application de la charia « les voleurs ne pourront plus faire de main courante ».
Cet odieux projet – et le mutisme, voire la complicité objective des instances politiques – oblige moralement tous les Patriotes à empêcher ce qui serait, ainsi que l’a noté le général Piquemal, une défaite sans retour pour notre pays : « Si les Français acceptent ça, ils accepteront tout ; une page sera tournée pour la France ».
Si les « spectacles » de MEDINE sont maintenus, ce n’est pas seulement le Bataclan qui sera profané, mais, avec les familles des victimes, la France toute entière.
Nous espérons vivement que le ralliement de Minurne-Résistance, après celui de nombreuses personnalités, sites et organisations patriotes, ouvrira la voie à un vaste rassemblement permettant d’unir toutes les forces de résistances, quelles qu’elles soient, où qu’elles soient, et quelles que soient leur forme et leur audience.
Il est grand temps maintenant de s’UNIR, afin de dire un « NON » tonitruant à l’assassinat de la France, 78 ans après le NON du Général de Gaulle le 18 juin 1940.
Marc Le Stahler
Thierry Robert, ex-député MoDem de la Saint-Leu (ouest de La Réunion), a été entendu par les gendarmes locaux pour « incitation à la haine raciale » après avoir qualifié une décision de « politique de gros blancs ». Thierry Robert n’y voit nulle haine raciale mais une simple expression créole : « en créole le gros blanc c’est celui qui a le pouvoir, je n’ai pas à avoir honte de le dénoncer ».
C'est dans une indifférence polie que l'occident a tout juste effleuré ce 21 août la commémoration du 50e anniversaire du printemps de Prague, liquidé le 21 août 1968 par les chars du pacte de Varsovie.
On me pardonnera j'espère de m'en tenir ici aux souvenirs personnels.
Pour le jeune militant anticommuniste, étudiant en Sciences économiques, qu'était alors votre serviteur, cette expérience était marquée par la personnalité et les idées du concepteur tchèque d'une troisième voie[1], Ota Sik.
À cet égard on doit rappeler que cette séquence faisait novation. Elle était, certes, conduite politiquement par le dirigeant du parti communiste Alexander Dubcek, arrivé au pouvoir le 5 janvier. Mais il ne s'agissait pas seulement en Tchécoslovaquie d'une volonté d’indépendance nationale de type hongrois, comme celle de l'héroïque Imre Nagy en 1956, ou même yougoslave, à partir de l’expulsion de Tito du Kominform en 1948.
On admirait beaucoup alors, à Paris, l'ex aventurier des Brigades internationales qui régnait à Belgrade. Certains prenaient au sérieux son programme d'autogestion. Mais, désormais on se trouvait en présence d'une critique bien mieux construite. Le modèle soviétique de planification et de développement extensif à base d'industrie lourde avait définitivement échoué. Peu de Français en semblaient hélas, à cette époque convaincus[2]. Ota Sik en dénonçait l'absolue inadaptation à des pays d'Europe centrale comme le sien. Il n'écrivait pas au nom de ce qu'un Raymond Barre[3] préconisait, la promotion des grandes unités capitalistiques, ce que l'on appelait ordinairement les trusts. Mais au contraire, répudiant en fait le marxisme et l'économie planifiée, il s'agissait de revitaliser et de réhabiliter les petites unités de production. Tel a toujours été, je l'avoue humblement, d'instinct, ma conception indéfectible.
Il faut ajouter une intéressante leçon apprise par la poignée de militants anticommunistes venus crier, dans la chaude nuit du 21 au 22 août 1968 au Quartier latin, et jusques aux portes de l'ambassade tchèque, leur adhésion à la cause de la Liberté à Prague. Une phalange bien huilée d'apparatchiks du PCF était bel et bien présente, quant à elle, pour détourner la protestation : il ne fallait pas, disaient-ils, se rallier aux mots d'ordre des fascistes.
Autre étonnant commentaire : celui des gens du pouvoir. Ils venaient de remporter les élections législatives des 23 et 30 juin. Leur plateforme se basait sur le rejet du communisme par les Français. Or, à les entendre, les évènements de Bohème devaient être considérés comme une simple péripétie et les Soviétiques comme d'excellents conservateurs de frontières. Des amis par conséquent. Cela aussi mérite d'être inscrit dans nos mémoires.
JG Malliarakis
Apostilles
[1] Livre publié sous ce titre en Allemagne en 1972 et en France par Gallimard en 1974.
[2] On doit saluer ici l'exception que représentait la préface de Jules Monnerot à la réédition en 1963 de sa Sociologie du Communisme, dans laquelle il prévoyait la défaite du bloc soviétique et de son économie, telles que l'URSS s'est effectivement effondrée.
[3] Barre était alors le rédacteur du principal manuel d'Économie politique de 1re et de 2e années en collection Thémis. Valéry Giscard d'Estaing, lorsqu'il l'appellera au gouvernement saluait en lui le meilleur économiste de France.
http://www.insolent.fr/2018/08/que-reste-t-il-du-printemps-de-prague-.html
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L’actualité en bref
Lien Dailymotion :
Les mineurs migrants ont été autorisés à dormir sur place avec leurs accompagnants, à condition qu’ils retirent les tentes. Le groupe est équipé de sacs de couchage, de matelas, d’une table et de quoi se nourrir. Une banderole a été déployée. Elle indique « Macron, Collomb, soyez mignons, stop aux expulsions, à la répression ».
À 21 h 30, la commissaire de police a demandé aux mineurs migrants et à leurs accompagnateurs de débarrasser la table sur laquelle ils mangeaient, ce à quoi ils ont répondu qu’ils terminaient leur repas.
De Me Gilles-Willim Goldnadel dans Valeurs Actuelles :
"[...] Voilà déjà plus d'un an, je me désolais encore du silence de la presse convenue, ordinairement à l'affût de tout ce qui peut ressembler de près mais surtout de très loin au racisme, à l'égard de celui de Monsieur Corbyn, leader très islamo-gauchiste du parti travailliste britannique.
Alors même que le terrorisme islamiste ensanglantait l'Angleterre, du pont de Londres jusqu’à Manchester, je vitupérais le fait que nul, des deux côtés de la Manche, ne se soit vraiment intéressé au cas d'un homme qui avait multiplié les contacts avec l'islamisme le plus radical et le plus antisémite.
Las, la presse avait préféré chercher mauvaise querelle à la conservatrice Madame May pour son alliance avec un parti de droite unioniste irlandais, ce qui avait permis à son rival travailliste, pourtant contesté de l'intérieur, de réaliser un score plus qu'honorable aux élections législatives qui lui permettait d'affermir son pouvoir sur son parti.
Déjà, en 2017, les preuves ne manquaient pas contre le patron du parti travailliste anglais : il avait accueilli des délégations du Hamas et du Hezbollah terroristes lors d'une rencontre parlementaire en leur donnant du « mes amis ».
Après l'avoir nié, Corbyn, peu économe en dénégations, admit avoir rencontré à Londres en 2009 Dyade Abou Jajah, ancien combattant du Hezbollah et leader en Belgique d'un mouvement islamiste radical, la ligue arabe européenne, qui avait organisé à Anvers en 2002 des manifestations communautaires violentes.
Corbyn avait aussi assisté à des réunions du groupe « Deir Yassin Remembered » fondé par le négationniste Paul Eison. Enfin, il était acquis aux débats que Monsieur Corbyn avait tenté, en vain, d'intervenir auprès de la banque HSBC qui venait de clôturer d'autorité le compte de la mosquée de Finsbury.
Une enquête de la BBC avait établi que cette décision était prise afin d'éviter l'inscription du lieu de culte sur un fichier de vigilance bancaire sous la rubrique « terrorisme » en raison de ses activités antérieures. L'interdiction bancaire était aussi liée, selon la BBC, à la présence au conseil d'administration de la mosquée de Mohamed Sawalah, figure des Frères musulmans, soupçonné d'être un ancien commandant du Hamas à Gaza.
Enfin, Corbyn avait participé à Londres, le 12 février 2006 à une manifestation contre les caricatures de Mahomet.À propos des attentats de Paris, le député avait diffusé à la Chambre des Communes une motion qui ne faisait pas allusion à l'attaque meurtrière contre l’hyper casher mais exprimait sa sympathie à l'égard des victimes de l'attentat contre Charlie hebdo.
Nous en étions là en 2017 quand, en juillet 2018, de nouvelles preuves de la radicalité pro- islamiste et de l'antisémitisme de Monsieur Corbyn sont apparues. Jean-Louis Thiériot, essayiste et avocat, les a parfaitement résumées lors d’un entretien dans le Figaro, le 14 août. Il était désormais acquis que Jeremy Corbyn, ainsi que le prouvaient des photos publiées par le Daily Mail dont il avait reconnu la véracité, avait déposé une gerbe à la mémoire de plusieurs des terroristes palestiniens ayant assassiné 11 athlètes israéliens à Munich en 1972.
Ainsi que le rappelait Jean-Louis Thériault, le député d'extrême gauche s'était également opposé à la destruction d'une fresque murale représentant un « juif au nez crochu » jouant avec le monde au Monopoly. Image rappelant les clichés des années 30 et les illustrations du Juif Suss, diffusés à profusion sous le nazisme. N'en jetons plus. Pour tenter de s'en sortir, Corbyn a fini par admettre « qu'il y avait un problème d'antisémitisme au sein du Labour » mais avec la modestie de s’oublier.
Dès lors, osons cette question un brin irrévérencieuse : la presse française de gauche, antiraciste jusqu’à l’obsession, de Libération au Monde, a-t-elle donné grande publicité à ce qui vient d'être rappelé ? Poser la question c'est y répondre. [...]"
À certains égards, notamment du fait de son mythe du modèle social présenté pour inaltérable, la république jacobine et laïciste de Paris peut être légitimement considérée comme le dernier des pays de l'Est. Un reliquat tardif du XXe siècle. Mais la survivance de cette vieillerie idéologique en fait aussi l'avant-garde d'un passage de relais, et la tête de pont sur notre continent, de ce qu'on appelle en Amérique latine ou en Afrique australe socialisme du XXIe siècle. La véritable référence ne doit plus être recherchée dans la passé du programme du CNR ou des nationalisations de 1981 sous Mitterrand : c'est plutôt, qu'on le veuille ou pas, qu'ils l'avouent ou non, le régime du Venezuela.
Face à la catastrophe que subit actuellement ce pays, autrefois très riche, d'Amérique du Sud, la diversité des analyses, des attitudes, des commentaires, des prises de position, ne manque pas de nous révéler les failles de l'idéologie dominante en France. Les moyens de désinformations comme les structures diplomatiques rivalisent à cet égard de bêtise et d’ignorance.
Écartons d'emblée deux types de regards sinon de comportements : d'abord, malgré la forte tentation d'y recourir, celui des laudateurs explicites, amis ou admirateurs de Chavez, tel Mélenchon. Chez ces gens, le mauvais goût le dispute au ridicule sinon à l'odieux. Nier les souffrances imposées au peuple vénézuélien ne relève pas, hélas, de l'inédit. Les expériences totalitaires atroces du XXe siècle n'ont hélas pas servi de leçon.
Une deuxième forme de négationnisme, plus subtile, consiste à minimiser l'importance du problème. Que Caracas ait contribué à fonder en 1960, aux côtés de l'Iran et de l'Arabie saoudite, l'Organisation des pays exportateurs de pétrole devrait pourtant rappeler quelque chose : il ne s'agit pas d'un pays anodin ou anecdotique, mais d'un acteur important de la scène mondiale.
La question se pose donc de la manière suivante : comment un pays qui dispose des plus importantes réserves d'hydrocarbures de la planète, et qui comptait autrefois de nombreuses personnalités remarquables, a pu en arriver à ce degré de déréliction. Rappelons en effet que la pénurie qui frappe le peuple du Venezuela touche aux besoins les plus élémentaires : pénurie d'aliments, de médicaments, de produits de première nécessité. Rayonnages vides dans les supermarchés, insécurité généralisée, criminalité effrayante, etc. La situation intenable pousse des centaines de milliers de gens à émigrer dans les pays voisins, etc.
Une certaine explication, trop souvent entendue, s'efforce de voir la cause de cette catastrophe dans les oscillations du prix du pétrole. Il est vrai que le cours du baril a connu des variations impressionnantes au cours des dix dernières années : 29 dollars en février 2016 contre 110 dollars en septembre 2013. Mais d'une part, aucun autre exportateur n'a subi une crise aussi violente que le Venezuela. D'autre part, au cours des années les plus favorables qu'a connues ce pays, le prix du baril était encore plus bas. On ne peut pas retenir cette cause sauf à rappeler que la dépendance exceptionnelle de Caracas, où le pétrole brut représente désormais 95 % des exportations, condamne par elle-même la médiocrité de ses dirigeants.
Plus hasardeuse encore l'explication par les manœuvres hostiles de la politique nord-américaine ne se fonde sur rien. Le Département d'État a toujours écarté la tentation d'intervenir contre Chavez d'abord, puis contre son successeur Maduro. Celui-ci, formé à l'école du communisme cubain, a toujours dénoncé d'imaginaires intrigues des Yankees sans jamais rien prouver. En revanche, le financement chinois, quoique prudent, conjugué aux liens avec le régime de La Havane, montre de quelles natures se révèlent les menaces extérieures. L'influence cubaine omniprésente, jusque dans les domaines les plus inattendus, a cependant d'autant moins engendré de réaction de Washington que les États-Unis cherchaient dans les dernières années à ménager l'hypothèse d'une transition du castrisme. Quant à l'Organisation des États américaines elle se contente de mettre en garde contre la violation grossière par Maduro des procédures démocratiques.
Une fois écartées ces deux explications fausses sinon absurdes du schéma vénézuélien, reste alors, selon le principe bien connu énoncé autrefois par sir Arthur Conan Doyle[1], l'évidence : c'est bien le régime kleptocratique et criminel de Caracas lui-même qui a détruit la compagnie monopoliste pétrolière, autrefois performante, de PDVSA, poule aux œufs d’or du pays. Petróleos de Venezuela ayant été étatisée en 1976, sa gestion a été transformée en sinécure bureaucratique. Elle a ainsi été confiée aux soins des copains du parti de Chavez, le PSUV, et des incapables galonnés d'une mafia militaire où l'armée de l'air semble plus préoccupée de transporter la cocaïne produite par les pays riverains qu'à l’hypothétique défense nationale d'un territoire que personne ne menace. Les recettes des années de vaches grasses ont été dilapidées en distributions démagogiques, qu'il a fallu maintenir coûte que coûte dans les années de pénurie, etc.
Ce schéma vénézuélien d'économie accaparée ressemble hélas beaucoup, quand on y réfléchit tant soit peu, au programme qu’une certaine gauche radicale française envisage de développer pour le futur en spoliant fiscalement ceux qu'elle croit pouvoir appeler les ultra-riches dans la certitude de contribuer à construire une société d'ultra-pauvres. En cela d'ailleurs elle remet à l’ordre du jour les méfaits de l'acquisition des biens nationaux par les grands ancêtres de 1789 : bon sang ne saurait mentir.
JG Malliarakis
Apostilles
[1] "Quand vous avez éliminé l'impossible, ce qui reste, même improbable doit être la vérité. "
D'Edwige Diaz, Vice-présidente du groupe RN au conseil régional de Nouvelle-Aquitaine :
"Le 28 mai 2018, le Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine a attribué une subvention de 6 000 € à une compagnie de théâtre Deux-Sévrienne pour l’organisation d’ateliers de « Sensibilisation sur la situation des réfugiés » et de « Lutte contre les préjugés sur les migrants » dans les collèges et lycées de ce département. Cette initiative s’inscrit dans le cadre de la campagne nationale « I welcome » organisée par Amnesty International.
Le caractère obligatoire de ces ateliers à destination d’enfants est symptomatique du non-respect de la liberté d’opinion et de l’endoctrinement de la jeunesse.
Alors que 20% des élèves de 6ème ne maîtrisent pas les fondamentaux que sont la lecture, l’écriture et le calcul, ces ateliers sont dispensés en collaboration avec un professeur référent et se tiennent sur le temps scolaire !
Contrairement au Conseil départemental, le Conseil régional n’a pas la compétence « Social ». Et pourtant, l’exécutif socialiste mené par Alain Rousset et soutenu par des élus En Marche, n’hésite pas à sortir de son champ de compétence et à utiliser l’argent public pour financer son idéologie pro-immigrationniste."
Elle a écrit au recteur :