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  • Euroscepticisme et crise bancaire

    Euroscepticisme et crise bancaire

    Lu sur RITV :

    Ambrose Evans-Pritchard, analyste économique respecté au Daily Telegraph de Londres, s’interroge sur la crise bancaire qui menace en Italie, et livre au passage quelques réflexions intéressantes qui montrent ce qu’il en coûte de s’opposer à l’UE. L’arrivée au pouvoir de l’improbable coalition Lega-Cinque Stelle a permis à l’euroscepticisme de conquérir un nouveau bastion, mais on ne cesse de nous expliquer que le pays se trouve dès lors dans une situation économique critique. Pourquoi ? Parce que les banques centrales et la Commission de Bruxelles lui sont hostiles, et appuient même sur les bons leviers pour enfoncer l’Italie sous l’eau. Reste à savoir si elles y parviendront.

    Ce sont les déclarations de Matteo Salvini, vice-Premier ministre de cette Italie rétive à l’égard du pouvoir européen qui ont provoqué le premier gros problème. Alors qu’il venait de qualifier Jean-Claude Juncker et son aréopage d’» ennemis de l’Europe barricadés dans leurs bunker de Bruxelles », le « marché » a répondu en faisant augmenter de manière drastique les intérêts sur l’endettement italien à 10 ans : à 3,62 %, la note publique a gonflé au point de rendre la situation quasi insoutenable. Ledit marché était sensible à la colère des instances européennes…

    Salvini répondait à une lettre sévère de la part de la Commission qui contestait les prévisions de dépenses du gouvernement « populiste » italien – des dépenses de nature à creuser profondément le déficit. Rome devait revoir sa copie, parce que le déficit prévu de 2,4 % du PIB s’éloigne selon Bruxelles à hauteur de 1,4 point du niveau jugé acceptable à l’aune des règles fort complexes du Pacte de stabilité.

    Mais c’est l’Italie en tant que telle qui est vulnérable sur ce plan financier parce que, comme le souligne Evans-Pritchard, les banques italiennes détiennent une belle part de la dette publique, soit 387 milliards d’euros, un portefeuille dont la valeur s’érode : cette perte automatique a pour deuxième effet de réduire leur matelas de capitaux.

    Contraintes à en lever de nouveaux, les banques se heurtent à un climat hostile. L’autre option consiste à réduire les prêts consentis à l’économie réelle, avec les effets néfastes qui en découlent pour l’industrie et l’activité économique du pays. En un mot : la méfiance plus ou moins téléphonée à l’égard des emprunts souverains peut fort bien mettre un pays à genoux. Sans surprise, les banques les plus exposées se dépêchent actuellement de vendre ces obligations afin de réduire tout « risque de concentration » : pour une banque comme UBI, celle-ci est actuellement évaluée à 60 %. […]

    Evans-Pritchard cite Ashkoda Mody, ancien chef délégué du FMI pour l’Europe, à propos de la dette jugée acceptable par la zone euro au nom du pacte de stabilité : du « non-sens théologique » où l’on attache un poids démesuré à quelques points de décimales au nom d’une « fausse science », pour reprendre les expressions du journaliste. « Ces chiffres n’ont absolument aucun sens. La règle fiscale est économiquement illettrée et dysfonctionnelle, et pourtant, un discours s’est installé qui l’a rendu en quelque sorte sacro-saint », a déclaré l’économiste lors d’un forum tenu à l’American Enterprise Institute.

    D’ailleurs, l’ancien Premier ministre italien, Matteo Renzi, qui était dans les bonnes grâces de Bruxelles il faut le dire, a pu proposer des déficits de 2,9 % pendant trois années d’affilée sans qu’on en fasse tout un plat. Emmanuel Macron peut même s’en permettre davantage. Voilà qui alimente, constate Evans-Pritchard, le soupçon d’une dispute qui n’est pas du tout économique mais bien politique, visant au contrôle politique.

    Matteo Salvini, pour sa part, répond par le mépris, refusant de s’inquiéter de la marge actuarielle croissante à l’instar de son homologue Cinque Stelle – il répète à qui veut l’entendre les mots de Gabriele d’Annunzio, « me ne frego »(« je m’en fous »). L’expression, cela n’échappe à personne en Italie, était aussi le cri de ralliement des Chemises noires de Mussolini pendant les années 1930. […]

    https://www.lesalonbeige.fr/euroscepticisme-et-crise-bancaire/

  • Nantes : une facture de 4 millions d’euros pour prendre en charge les migrants

     FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Depuis le début de l’année, la ville de Nantes a consacré plus de 4 millions d’euros à la question des migrants.

    Ces dépensent incluent l’opération du square Daviais, la réquisition des gymnases et le relogement à suivre auquel s’additionne une enveloppe de 1,2 millions d’euros consacrés à la prise en charge des migrants comme leurs paniers repas ou leurs kit d’hygiène.

    Selon le maire de Nantes, membre du Parti Socialiste, « Cet engagement financier témoigne du volontarisme qui est le notre et de la transparence dont nous faisons preuve ».

    Le conseil municipal doit délibérer demain sur l’engagement financier de la ville ; à ce jour la mairie souhaite tout de même rappeler à l’Etat ses obligations en lui envoyant la facture. A l’échelle du pays tout entier la facture s’annonce colossale.

    https://fr.novopress.info/

  • Macron : l’anti-francophonie – Journal du jeudi 11 octobre 2018

    Politique / Macron : l’anti-francophonie 
    Emmanuel Macron au sommet de la francophonie en Arménie ! Pas franchement réputé pour son amour de la langue française, le président startuper défend le plurilinguisme… faux nez à peine caché de la domination linguistique anglo-saxonne.

    Santé / Les villes face à l’urgence des déserts médicaux 
    Selon un dernier baromètre, une commune française sur trois est considérée comme un désert médical. Face à la pénurie, les municipalités regorgent d’inventivité pour attirer les professionnels de santé.

    Finance / Banques : le grand blanchiment ?
    Les banques européennes à la pointe du blanchiment d’argent. Alors que de nombreux établissements ont déjà été épinglés, le phénomène reste sous évalué et les autorités financières peinent à légiférer.

    Économie / Investissement : in vino veritas ?

    Serveur TVL

    Lien dailymotion

  • Les solutions radicales s'imposeront tôt ou tard

    6a00d8341c715453ef022ad371c7f5200c-320wi.jpgAuteur il y a plus de 30 ans d'un livre, qu'on ne trouve plus que d'occasion, intitulé "La fin des retraites", publié en 1985 dans l'excellente collection Pluriel, l'économiste André Babeau n'a guère inspiré nos politiciens. Très modéré dans ses positions, il ne plaidait pas à l'époque pour les solutions radicales qui s'imposent désormais. Mais il passait déjà pour le briseur d'un tabou. Le mythe aboutit à demander à la génération X de cotiser non pour elle-même, ni pour ses parents réels, mais pour assurer le train de vie de la génération X-2.

    Le principe de la retraite par répartition est en effet qu'elle durera toujours et qu'il est interdit aux jeunes générations d'en contester l'efficacité et le bien-fondé.

    André Babeau doit donc trouver chouette, après tant d'années, de voir les thèses prédictives qu'il a défendues vox clamans in deserto reprises très sérieusement. Même si c'est très tard, peut-être trop tard. Même si personne ne relève que vous les avez défendues. Même si cela vient des milieux qui ont toujours occulté votre travail.

    Car voici qu'un expert de l'OCDE peut répondre aujourd'hui.

    Hervé Boulhol est responsable retraites et vieillissement démographique à la direction de l’emploi et des affaires sociales de l’OCDE. Le 9 octobre, précisons : en 2018, soit 33 ans après la parution du livre de Babeau, il était interrogé par Mireille Weinberg journaliste de L'Opinion et il déclarait que "L’âge d’or des retraites touche à sa fin en France".

    Précision : ce qu'il appelle "les" retraites ce sont les systèmes de répartition, dont le gouvernement imagine nous vendre une nouvelle version "à points" qui ne fera que repenser le mode de répartition. Précisons aussi que l'OCDE n'en est pas encore au stade de préconiser la liberté de l'épargne. On y viendra cependant : c'est la logique de la crise actuelle.

    On trouvera en apostille à titre d'archive l'entretien que l'on peut trouver sur le site de L'Opinion, l'un des très rares journaux à peu près sérieux dans ce genre de questions.[1]

    Les lecteurs de L'Insolent ne manqueront pas, après lecture, de comprendre que les solutions radicales s'imposeront tôt ou tard. Plus elles seront tardives et plus elles seront douloureuses. Ce qui nous conduit à dire à tous les experts, étatistes et autres technocrates : encore un effort pour rejoindre vraiment le camp de la Liberté.

    JG Malliarakis  

    Apostilles

    [1] Archive : article publié ce 10 octobre sur le site de L'Opinion. Hervé Boulhol, responsable retraites et vieillissement démographique à la direction de l’emploi et des affaires sociales de l’OCDE : « La situation de la France va se normaliser, avec des retraités qui, en 2040, percevront des revenus à hauteur d’environ 90 % de ceux du reste de la population. »

    Question de L'Opinion : "Les retraités français sont-ils favorisés ?" Réponse de Hervé Boulhol : "Je n’irai pas jusque-là, mais le système français leur offre aujourd’hui une excellente protection. En effet, la France est dans une situation assez exceptionnelle. Les Français quittent le marché du travail en moyenne à 60,2 ans, contre 64,3 ans dans l’ensemble de l’OCDE. Par ailleurs, le niveau de vie des retraités actuels est bien supérieur à celui des générations passées. De plus, la France est le seul pays avec le Luxembourg où le revenu moyen des plus de 65 ans est légèrement supérieur – de près de 3 % – à celui de l’ensemble de la population. En moyenne dans les pays de l’OCDE, les revenus des retraités sont en retrait de 12 % par rapport à l’ensemble de la population.

    Question de L'Opinion : "Comment expliquer cette situation ?" Réponse de Hervé Boulhol : "Elle est née du décalage entre le constat économique et la réaction politique. Il y a eu un temps de latence d’au moins quinze ans. L’évolution démographique était connue depuis longtemps, mais il a fallu attendre les années 1990, pour qu’il y ait de vraies mesures de correction. La situation économique était compliquée en 1980 avec la montée du chômage. Mais en plus, des erreurs majeures ont été commises avec les préretraites à partir des années 1970 et la baisse de l’âge de la retraite de 65 ans à 60 ans au début des années 1980. D’autres pays européens l’ont fait, mais jamais dans de telles proportions. Les décideurs politiques retardent souvent la mise en place de mesures correctrices, en général très impopulaires, jusqu’à se retrouver parfois acculés. La génération des retraites dorées a profité de ce temps de réaction politique."

    Question de L'Opinion : "Cet âge d’or va-t-il s’arrêter ?" Réponse de Hervé Boulhol : "Oui. La situation de la France va se normaliser, avec des retraités qui, en 2040, percevront des revenus à hauteur d’environ 90 % de ceux du reste de la population d’après les prévisions du Conseil d’orientation des retraites, revenant donc dans la moyenne actuelle des pays de l’OCDE."

    Question de L'Opinion : "Quel facteur principal justifie cette normalisation ?" Réponse de Hervé Boulhol : "La démographie et le marché du travail. Actuellement, la France reste le pays de l’OCDE ayant l’espérance de vie à l’âge moyen de sortie du marché du travail la plus élevée, à plus de 25 ans, soit cinq ans de plus que la moyenne de l’OCDE, ce qui pèse financièrement sur les régimes de retraites. Il faut ajuster sans cesse leurs paramètres à ces changements démographiques."

    Question de L'Opinion : "Les pensions vont donc baisser ?" Réponse de Hervé Boulhol : "Les vingt-cinq années de réformes de retraites en France ont corrigé les choses et ont amélioré la viabilité financière. Pour un même parcours professionnel donné, le niveau de la pension entre un retraité d’aujourd’hui et une personne qui prendra sa retraite dans 40 ans, va baisser d’environ 12 % par rapport au dernier salaire. Le taux de remplacement (part de la pension nette par rapport au dernier salaire net) futur ne sera plus que de 74 % de son dernier salaire d’après les estimations de l’OCDE."

    Question de L'Opinion : "Vous dites que la situation du futur retraité français reste enviable ?" Réponse de Hervé Boulhol : "Oui. L’âge normal de départ à la retraite, même s’il va croître en France, devrait néanmoins rester inférieur de plus d’un an et demi à la moyenne de l’OCDE en 2060. Par ailleurs, le taux de remplacement net futur après une carrière complète au salaire moyen dans le secteur privé est supérieur à la moyenne des pays de l’Union européenne et de l’OCDE, à 74 %, contre respectivement 71 % et 63 %."

    http://www.insolent.fr/2018/10/les-solutions-radicales-simposeront-tot-ou-tard.html

  • Mathieu Bock-Côté : « Racisme anti-Blancs, le déni »

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    Le rappeur Nick Conrad, et son clip PLB, pour « Pendez les blancs », s'inscrit dans la longue liste des provocations antifrançaises. Mais pour Mathieu Bock-Côté, cela ne suffit pas à ébranler la certitude de ceux qui ont décidé une fois pour toutes que le racisme était à sens unique.   [Le Figaro, 28.09].  LFAR

    Le rappeur Nick Conrad était à peu près inconnu il y a quelques jours, jusqu'à ce qu'on découvre son clip PLB, où il en appelle à « pendre les Blanc s». La formule, d'une violence extrême, a provoqué sans surprise une vive polémique, qui s'inscrit dans la longue liste des provocations antifrançaises caractérisant l'histoire d'un certain rap. On se souvient de Monsieur R qui, en 2005, disait « baiser la France », voulait la traiter comme « une salope » en plus de « pisser sur Napoléon et le général de Gaulle », de Rohff dansDirty Hous qui disait : « J'baise l'État depuis tout petit, j'ai pas encore craché » ou de Médine, plus récemment, qui s'enthousiasmait à l'idée de crucifier les « laïcards comme à Golgotha ». On pourrait en évoquer bien d'autres.

    Mais on passe ici du racisme pur et simple à l'appel au meurtre, ce qui pourrait suffire pour clore un procès qui n'est pas celui d'un genre musical mais d'une aversion pour la France qui vire à la haine raciale. L'abjection est totale lorsque est célébré l'assassinat des « bébés blancs ». Il y a là manifestement une quête de transgression qui doit aller jusqu'au bout d'elle-même et qui pourrait quitter un jour le simple domaine de la représentation « artistique ». On ne se vautre pas dans la tentation du mal radical sans réveiller la part la plus sombre du cœur humain. La civilisation construit des digues contre elle, mais certains font tout ce qu'ils peuvent pour les faire céder. Mais cela n'a pas suffi à ébranler la certitude de ceux qui ont décidé une fois pour toutes que le racisme était à sens unique et que les Blancs en étaient toujours coupables, et jamais victimes : c'est même un élément central du dogme multiculturaliste.

    À la télévision comme à la radio, les militants communautaristes, déguisés ou non en universitaires, expliquent inlassablement que le racisme est un système d'exploitation lié à l'expansion européenne et qu'on ne saurait l'en dissocier. En gros, le racisme anti-Blancs serait une impossibilité logique à démonter. On comprend le message : le mâle blanc disposerait ainsi du triste monopole du mal structurel dans l'histoire. Les médias accordent à cette thèse tordue un écho indéniable, comme s'ils souhaitaient la normaliser. Dans cet esprit, la haine raciale contre les Blancs, même si elle est condamnable, ne serait plus qu'un réflexe de survie, ou encore, pour ceux qui ont le plus de culot dans le déni, une manière d'appeler à l'aide contre une civilisation injuste envers ses minorités. C'est d'ailleurs la ligne de défense adoptée par Nick Conrad, qui a présenté sa chanson comme une entreprise pour réveiller les consciences devant le malheur historique du « peuple noir ». La racialisation des appartenances entretenue par une sociologie simpliste venue des États-Unis est désormais banalisée au nom de l'insurrection des banlieues. La France n'est plus une nation mais un territoire qu'on veut pousser vers la guerre des races.

    Puisqu'un tel clip est indéfendable et qu'il y a des limites à prendre n'importe quoi pour de l'art, le parti diversitaire et les spécialistes du déni à son service ont misé sur une autre ligne de défense: Nick Conrad serait un rappeur inconnu et il aurait eu vocation à le rester. Comme d'habitude, c'est la supposée « fachosphère » qui est accusée d'avoir sorti des marges une chanson qui aurait dû y demeurer pour monter de toutes pièces une controverse excitant ses obsessions idéologiques. Derrière la colère contre PLB, il n'y aurait rien d'autre qu'une xénophobie mal cachée, fouillant dans l'actualité pour trouver des faits divers l'alimentant. Nick Conrad ne serait qu'un pion dans la stratégie machiavélique de «l 'extrême droite ». C'est moins ce clip qui devrait inquiéter que la réaction qu'il suscite. C'est le même argument qui est utilisé après chaque attentat islamiste : une fois l'attentat condamné de manière plus ou moins rituelle, on s'inquiète surtout de la réaction qu'il pourrait susciter dans la population.

    Il faudrait dire clairement ce qu'on se contente généralement de chuchoter : il y a dans une certaine jeunesse issue de l'immigration une haine de la France qui s'inscrit dans une mouvance plus générale de partition du territoire, où se multiplient les zones se dérobant à la fois à la souveraineté nationale et à l'identité française. Et ceux qui en appellent à la reconquête des territoires perdus de la France sont accusés de vouloir soumettre les banlieues au communautarisme majoritaire. Traditionnellement, le colonialisme consistait à vouloir imposer sa culture chez les autres. Dans la logique indigéniste et postcoloniale, cela consiste désormais à vouloir imposer sa propre culture chez soi. Le sens des mots est inversé. Dans cet esprit, la décolonisation n'arrivera à son terme que lorsque les Français seront considérés comme une communauté étrangère chez eux. 

    Mathieu Bock-Côté  

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Agression contre la Nouvelle Librairie mardi soir

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    Les nervis du Système intitulés "antifas" ont agressé mardi soir la Nouvelle Librairie, espace de Liberté rue Médicis au coeur de la Capitale. Encore une fois des vitres ont été brisées et les forces de l'ordre sont intervenues. 

    Exprimons notre solidarité et notre amitié aux courageux animateurs de la Nouvelle Librairie qui, une fois de plus, ont fait face à l'adversité. Venez leur témoigner, vous aussi, votre soutien en passant à la NL si vous êtes dans le quartier.

    Synthèse nationale

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  • Chronique du totalitarisme en marche

    • Les juges condamnent lourdement les dissidents du Système

    La marque des  systèmes totalitaires est d’organiser des procès destinés à mettre à l’écart les dissidents. Ce type de régime a également pour caractéristique d’utiliser des nervis et des milices à son service. Plusieurs exemples illustrant ces méthodes viennent d’être donnés ces derniers mois.

    En décembre 2017, 5 militants identitaires qui avaient participé à l’occupation en 2012 de la mosquée de Poitiers ont été condamnés. Ces peines (1 an de prison avec sursis, 5 ans de privation des droits civiques, 40 000 euros d’amende au total) apparaissent spectaculairement lourdes au regard des faits. Rappelons que les militants ainsi condamnés ont occupé, pendant quelques heures, en déployant des banderoles, le sommet d’une mosquée en construction. Il n’y a eu aucune violence ni aucune dégradation.

    Les provocateurs d’extrême-gauche bénéficient à l’inverse d’une extrême mansuétude du Système. C’est ainsi que les multiples provocations des Femen n’ont donné lieu qu’à quelques très rares et faibles condamnations. En 2013 des Femen s’étaient dénudées dans la nef de la Cathédrale de Paris pour fêter le renoncement de Benoît XVI. Poursuivies pour avoir dégradé une cloche, elles ont été relaxées en 2014 en première instance comme en appel (pendant que les vigiles étaient eux condamnés à des amendes pour violences envers les Femen). La plainte d’une association catholique pour injures envers les catholiques a donné lieu à un nouveau procès en mai 2017 et à une nouvelle relaxe. En janvier 2018 une Femen qui, seins nus, avait poignardé la statue de Poutine au musée Grévin, a été relaxée par la cour d’appel (un nouveau procès aura lieu, ce jugement ayant été invalidé par la cour de cassation)

    En mars 2018, des militants pro immigration et des immigrés clandestins, emmenés notamment par le député France insoumise E. Coquerel, ont défilé dans la Basilique Saint-Denis pendant une heure, en déployant des banderoles et en criant des slogans hostiles à la loi immigration, à l’aide d’un haut-parleur. Cette manifestation n’a à notre connaissance donné lieu à aucune poursuite pénale.

    Tenu en septembre 2018 le procès des activistes d’extrême-droite accusés de la mort de Méric mérite d’être mis en exergue. Il a donné lieu à des condamnations très lourdes : E. Morillo a été condamné à 11 ans de prison ferme. S. Dufour à 7 ans de prison ferme. De nombreux éléments rendent cette condamnation inique. Il s’agissait, premièrement, d’une rixe entre deux groupes, formés en vue d’affrontements et rompus à l’exercice, l’un d’extrême-droite, l’autre d’extrême-gauche : seuls les activistes d’extrême-droite ont pourtant été poursuivis. Méric, deuxièmement, n’a pas été la victime d’un meurtre mais d’une rixe, à laquelle il a participé librement et qu’il a peut-être même recherchée. Cette rixe, troisièmement, a résulté de la rencontre fortuite des deux groupes : les juges d’instruction ont considéré d’ailleurs qu’il n’y avait pas eu d’intention homicide de la part des activistes d’extrême-droite (la qualification initiale d’homicide volontaire a été abandonnée). Selon les témoignages, quatrièmement, des vigiles noirs et arabes du magasin dans lequel se trouvaient les deux groupes, ce sont les activistes d’extrême-gauche, à commencer par Méric, qui ont provoqué leurs adversaires. Il est établi, cinquièmement, qu’ils les ont ensuite attendus pendant 40 minutes à la porte du magasin. Les skins d’extrême-droite attendaient eux à l’intérieur, dans le but manifeste d’éviter l’affrontement. L’utilisation d’un « poing américain » par les activistes d’extrême-droite, sixièmement, n’a pas été prouvée et les avis des experts sur ce point sont restés partagés. E. Morillo a affirmé, septièmement, qu’il s’était défendu contre Méric qui l’avait attaqué par derrière : les vidéos n’ont pas permis de faire la lumière sur ce point (il est d’ailleurs très surprenant que les vidéos n’aient rien enregistré de probant sur cette rixe). L’un des antifas, huitièmement, a déclaré que S. Dufour ne s’était pas battu avec Méric. Même les médias les plus hostiles à l’extrême-droite ont reconnu que le procès n’avait pas permis de lever les nombreuses zones d’ombre et les témoignages contradictoires.

    Les juges n’ont tenu aucun compte de ces éléments de doute, qui auraient pu jouer en faveur des accusés. Alors que la responsabilité de la rixe était incontestablement partagée par les deux groupes, seuls les skins ont été poursuivis, jugés et condamnés. Alors qu’un des antifas lui-même avait déclaré que S. Dufour ne s’était pas battu avec Méric, le skin a pourtant été lourdement condamné. Les juges ont organisé un procès d’une durée de 6 jours, exceptionnelle pour une affaire de ce type – un décès dans une rixe qui n’avait pas été préméditée – et ont à son issue infligé des peines exceptionnellement lourdes, ce que les avocats de la partie civile eux-mêmes ont reconnu. De toute évidence les juges ont organisé un procès politique : ils ont voulu faire un exemple et montrer à l’extrême-droite et aux dissidents du Système que, s’ils sortent du rang, ils subiront un traitement impitoyable (voir également cette chronique).

    Le Système a annoncé il y a quelques semaines l’arrestation d’activistes d’extrême-droite qui nourrissaient un projet d’attentat anti musulmans. Il est impossible d’affirmer que ces activistes bien naïfs ont en réalité été manipulés par le Système lui-même, qui on le sait cherche en permanence à établir un parallèle entre l’extrême-droite et les terroristes musulmans. On peut en revanche formuler ce pronostic en toute certitude : ils vont eux aussi être lourdement condamnés.

    Dans le même temps les groupes violents qui sont les alliés du Système ne sont pas poursuivis ou bénéficient d’une grande mansuétude. Alors que les violences attribuables à l’extrême-droite sont devenues extrêmement rares, les casseurs de gauche, anarchistes, antifas et « black block », se déploient à l’occasion de chaque manifestation de gauche et se livrent systématiquement à des violences contre la police et des déprédations : ces casseurs restent presque toujours impunis. Le plus souvent aucune arrestation n’est opérée par la police.

    Par exception les antifas qui, en mai 2016 à Paris, avaient attaqué des policiers dans leur voiture, à laquelle ils avaient préalablement mis le feu, ont été poursuivis, incarcérés à titre préventif et jugés en novembre 2017. Le plus connu, A. Bernanos a été reconnu coupable d’avoir frappé un policier dans sa voiture et d’avoir pulvérisé la lunette arrière avec un plot métallique : il a été condamné à 5 ans de prison donc 2 avec sursis. Celui qui a lancé le fumigène ayant déclenché l’incendie a été condamné à 7 ans. Les 5 autres agresseurs ont été condamnés soit à 5 ans soit à 4 ans de prison, dont la moitié avec sursis. Les peines sont à comparer avec celles qui ont été infligées aux participants de la rixe avec Méric. A la différence de ce qui était reprochés aux skins, les actes dont les antifas ont été reconnus coupables visaient, premièrement, les forces de l’ordre et comportaient, deuxièmement, une intention criminelle incontestable : les antifas n’ont pourtant été traduits qu’en correctionnelle, alors que les skins ont été jugés en cours d’assise. Les peines infligées aux antifas ont été deux fois moins lourdes que celles infligées aux activistes d’extrême droite.

    • Le Système accentue la dissimulation des chiffres et des données

    Pour mener à bien son projet mondialiste et immigrationniste, le Système, à l’instar des régimes totalitaires qui l’ont précédé, dépense une énergie importante pour cacher les informations et les données chiffrées sensibles, pour les travestir et pour les détourner. De nouveaux exemples significatifs viennent d’être enregistrés ces derniers mois.

    S’il ne s’est pas produit d’attentats de masse depuis deux ans, en revanche les attaques au couteau de passants choisis au hasard au cri d’Allah Akbar se produisent à intervalles réguliers en France et en Europe. Ces attaques font des morts et des blessés. Le Système s’emploie à les étouffer et y parvient le plus souvent. La technique choisie consiste à prétendre que l’auteur de l’attaque est un « déséquilibré », dont l’acte ne peut de ce fait être considéré comme un acte terroriste. On peut citer cet épisode, celui-ci, celui-ci, celui-ci, ou encore celui-ci.

    Il existait jusqu’alors un organisme officiel, l’AFDPHE, dépendant du ministère de la santé, chargé de mettre en œuvre les dépistages qui sont effectués à la naissance afin de pouvoir détecter différentes maladies graves. L’un de ces dépistages vise la drépanocytose, qui constitue une maladie génétique grave. Il se trouve que cette maladie ne touche que les populations africaines, du Moyen-Orient et des Dom-Tom : le dépistage en question n’est donc effectué que sur les nouveaux-nés dont les parents sont originaires de ces régions du monde. Le nombre des dépistages de la drépanocytose donnés par l’organisme dans son rapport annuel permettent donc de connaître presque exactement le nombre annuel des naissances issues de l’immigration non européenne (la différence avec le nombre exact résulte de ce que les tests incluent les Dom-Tom et ne concernent pas les populations d’origine asiatique).

    Les chiffres donnés par ces rapports sont spectaculaires. C’est ainsi que le dernier rapport de l’organisme permettait de constater que 250 000 naissances en métropole, soit  39 % des naissances en métropole, sont issues de l’immigration non européenne (73 % en Ile-de-France…). Le rapport permettait également de constater que ce pourcentage connaît une croissance considérable et continue : le pourcentage des nouveaux-nés subissant le test était en 2006 de 27 %. 10 ans plus tard, il s’élève comme on vient de le dire à 39 %…. (voir cette chronique) Cette information est fortement gênante bien sûr pour la propagande du Système : elle démontre en effet que le Grand remplacement que le Système organise est bel et bien à l’œuvre et ne cesse de s’accélérer.

    Depuis plusieurs années déjà les associations immigrationnistes et antiracistes réclamaient soit que l’information concernant les tests de la drépanocytose ne soient plus rendus publics ; soit que les tests soient étendus à tous les nouveaux-nés… Le gouvernement vient de leur donner satisfaction. L’organisme chargé des tests prénataux vient d’être supprimé. Les tests seront dorénavant gérés par les agences régionales de santé, qui probablement ne rendront pas leurs chiffres publics. Le tour est joué : le thermomètre est cassé. L’information explosive a disparu. Le Système pourra continuer à prétendre que le Grand remplacement n’est qu’un fantasme…

    **

    Arbitraire, politique du deux-poids-deux mesures, harcèlement des dissidents, intimidation, propagande, dissimulation des données… Face aux révoltes populistes qui en Europe se font jour enfin et le menacent, le Système est manifestement engagé dan une processus de durcissement continu.

    https://leblogdepaysansavoyard.wordpress.com/2018/10/10/chronique-du-totalitarisme-en-marche/

  • Le régime en pleine crise serre encore un peu plus l’étau sur la liberté de la presse et de l’information.

    Le régime en pleine crise serre encore un peu plus l’étau sur la liberté de la presse et de l’information.

    Les députés ont adopté les propositions de loi censées lutter contre la manipulation de l’information et les “fake news” ou, désormais, infox selon la Commission d’enrichissement de la langue française :

    Le pouvoir en pleine crise serre encore un peu plus l’étau sur la liberté de la presse et de l’information.

    Avec ces nouvelles dispositions, par exemple, un juge des référés pourra en urgence, à la demande d’un parti ou d’un candidat, faire cesser la diffusion de “fausses informations” dans les mois qui précéderont un scrutin.

    La “future ex?” ministre Nyssen (celle qui a été victime de “fake news” concernant des travaux illégaux pour sa maison d’édition et au sujet d’une subvention publique de 100.000€ à cette dernière alors qu’elle était déjà ministre…) a même annoncé qu’une proposition de Jean-Luc Mélenchon était aussi mise à l’étude. Il s’agit de la création d’un “conseil de déontologie du journalisme” pour contrôler encore un peu plus la presse. But affiché par Nyssen : “faire respecter le droit à une information objective”… Tout un programme !

    Il reste aux sénateurs à se prononcer sur ces propositions de loi liberticides.

    https://www.lesalonbeige.fr/le-regime-en-pleine-crise-serre-encore-un-peu-plus-letau-sur-la-liberte-de-la-presse-et-de-linformation/

  • Chronique du totalitarisme en marche - première partie

    Chronique de Paysan Savoyard (n°210 – octobre 2018)

    Le Système en place, mondialiste, immigrationniste et libéral-libertaire, présente toutes les caractéristiques du totalitarisme (voir ces chroniques). Les récents développements le montrent : ce totalitarisme, mois après mois, accentue son emprise.

    • Le parti d’opposition au Système fait l’objet d’un harcèlement croissant

    Le parti anti Système, le FN aujourd’hui RN, est la cible d’un harcèlement qui ne cesse de s’accentuer.

    Plusieurs responsables du FN sont tout d’abord poursuivis pour financement illégal de campagnes électorales : des sociétés appartenant à des proches du FN sont accusées d’avoir accordé à ce parti des avantages financiers. Or le financement de partis politiques par des sociétés commerciales est interdit et constitue un détournement de biens sociaux.

    Dans le même temps, différentes informations et rumeurs conduisent à penser que la campagne d’E. Macron a été financée pour partie grâce à ce genre de méthodes. Il semble par exemple que des sociétés privées ainsi que différentes institutions publiques, notamment des collectivités territoriales, aient délivré dans le cadre de la campagne d’E. Macron des prestations de façon gratuite ou quasi gratuite. Il va sans dire que la justice ne mène aucune investigation sur ce terrain.

    Le FN est également poursuivi pour avoir affecté les assistants de ses parlementaires européens à des tâches liées au fonctionnement du parti et non à des activités en rapport direct avec l’UE.

    Cette mise en cause du FN est de toute évidence malhonnête et arbitraire. Le rôle des assistants de députés, et celui des députés eux-mêmes, est en effet de mettre leur activité au service de leur parti politique, que ce soit à Bruxelles ou à Paris : qu’ils se consacrent à des thèmes européens ou nationaux ne regarde que leur parti.

    A contrario les autres partis politiques ne sont jamais poursuivis alors qu’ils ont, eux, massivement recours aux emplois fictifs : la technique consiste à recruter, au sein des collectivités territoriales en particulier, des agents publics censés travailler au service de la collectivité mais qui sont en réalité des permanents politiques. Ce système constitue un détournement d’argent public et une fraude manifestes. Les syndicats ont eux-aussi massivement recours à ce détournement : les administrateurs de la sécurité sociale désignés par les syndicats ainsi que les nombreux agents payés par la sécurité sociale qui gravitent dans leur entourage, sont en fait des permanents syndicaux. Or les partis politiques et syndicats du Système ne sont que très rarement poursuivis pour ces détournements. L’affaire des emplois fictifs de la mairie de Paris déclenchée contre la droite par les socialistes après leur conquête de la mairie constitue une exception. Quant au FN, il ne peut se livrer, lui, à ces détournements puisqu’il ne gère aucune collectivité, à l’exception d’une dizaine de villes de petite dimension.

    Grâce à cette affaire fabriquée de toutes pièces, le Système enchaîne les manœuvres de harcèlement. L’immunité parlementaire de Mme Le Pen a été levée en juin 2017. Elle a ensuite été mise en examen, pour « abus de confiance et détournement de fonds publics ». Plusieurs autres responsables FN ont également été mis en examen. Dans le cadre de cette affaire, les juges ont saisi il y a quelques semaines un versement de 2 millions d’euros de crédits publics qui devaient revenir au FN au titre de ses résultats électoraux aux législatives. La cour d’appel vient de confirmer la saisie de ces financements, même si elle a réduit la somme à 1 million.

    Le harcèlement du FN se porte également sur un autre terrain. Le FN avait diffusé en 2015 des images de Daech afin de mettre en garde contre les dangers de l’islamisme. Le Système en prend prétexte pour exercer contre lui des mesures prévues… par la législation anti-terroriste ! Le parquet a d’abord ouvert une enquête pour « diffusion d’images violentes ». L’assemblée nationale a décidé de lever l’immunité de G. Collard, puis celle de Marine Le Pen, qui a ensuite été mise en examen. On apprend ces jours-ci que, dans le cadre de cette affaire, Marine Le Pen a été invitée par un juge à se soumettre à une expertise psychiatrique !

    Ajoutons que toutes les réunions publiques du FN continuent, comme depuis des années, à être perturbées par des manifestants, souvent violents, avec la complicité du Système.

    • Le Système vise à empêcher l’expression des opinions dissidentes

    Comme les autres régimes totalitaires, le Système vise à restreindre ou à empêcher l’expression des opinions dissidentes. Plusieurs épisodes récents viennent d’intervenir dans ce registre.

    Eric Zemmour, le dissident le plus brillant, vient de voir supprimer sa chronique hebdomadaire sur RTL. Il semble également que les médias publics (Radio France et France télévision) aient décidé de l’écarter de toutes leurs émissions.

    Jean-Marie Le Pen a été mis une nouvelle fois en examen, cette fois pour diffamation après avoir dit en 2009 sur RTL que « 90% des fait divers ont à leur origine soit un immigré soit une personne d’origine immigrée« .

    En décembre 2017 quelques jours après l’action pacifique menée par Génération identitaire dans les Hautes-Alpes pour protester contre l’immigration illégale, le compte Facebook du mouvement a été suspendu. Le gouvernement n’est manifestement pas étranger à cette décision : ladite décision a en effet été prise par le directeur de Facebook France qui se trouve être… un préfet. De son côté le délégué interministériel à la lutte contre le racisme (DILCRA), lui aussi préfet, s’est réjoui de cette décision, en confirmant qu’il ne s’agissait pas d’un incident technique.

    Dans le même registre, le Système envisage de modifier la législation pour pouvoir lutter plus efficacement contre « la diffusion de la haine » sur les réseaux sociaux. Unrapport, établi par MM. Avia, Taïeb et Amellal (sic), préconise ainsi de fermer les comptes des internautes diffusant des messages racistes, haineux ou discriminatoires, et de les poursuivre pénalement. La lecture de ce rapport permet de relever également que, comme à l’habitude, le Système procède en mettant sur le même plan la lutte contre l’extrême-droite et celle contre les djihadistes.

    Dans le même temps, comme depuis trente ans, les rappeurs continuent de diffuser dans la jeunesse immigrée des messages haineux, des menaces de mort et des déclarations de guerre à l’égard de la police, de la France et des Blancs. Face à ce phénomène, les pouvoirs publics font preuve d’une passivité et d’une complaisance inaltérables. Un rappeur dénommé Nick Conrad vient d’être mis en cause pour avoir diffusé des vidéos appelant à « prendre les Blancs ». Il proclame ainsi : « Je tue des bébés Blancs »… « Pendez leurs parents »… « Ecartelez-les pour passer le temps »… »Divertir les enfants Noirs »… A notre connaissance, ces appels au meurtre n’ont, pour l’instant du moins, déclenché aucune poursuite judiciaire. On se rappelle que le bloggeur Mekhlat avait multiplié pendant des années des tweets de la même eau. A notre connaissance lui non plus n’a pas été poursuivi.

    À suivre