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  • Déjà des dizaines de trains, bus, covoiturages pour venir à Paris le 6 octobre

    Déjà des dizaines de trains, bus, covoiturages pour venir à Paris le 6 octobre

    De toute la France, des moyens de transport sont réservés pour se rendre à Paris le jour de la mobilisation.

    L’AFC du Rhône propose dès à présent d’acheter une ou des places dans les bus en partance de Lyon, Villefranche et Belleville. Une partie du billet est pris en charge par l’AFC pour ses adhérents à jour de cotisation, profitez-en ici !

    De l’ouest de la France partiront également des cars : Lorient, Vannes, Locminé, Ploërmel et Guer. Pour plus d’info, contactez l’AFC du Morbihan.

    Beaucoup d’autres inscriptions en ligne sur ce site :

  • Racisme anti-Blanc : merci Thuram, merci Diallo !

    Une tribune libre de Bertrand Estienne pour Contre Info : Après les propos insultants du footballeur au QI de poule, Lilian Thuram, sur les Blancs, c’est au tour de la militante « indigéniste » [sic] Rokhaya Diallo d’en ajouter une couche.

    Dans un entretien au magazine bobo les Inrocks, tout en parlant de « fragilité blanche » face au « stress racial », elle affirme que que ce n’est pas la même chose de traiter quelqu’un de « sale Noir » ou de « sale Blanc ». Selon elle, les Blancs, par manque d’habitude, sont chancelant à la moindre évocation de la race.

    A contrario, les extra-européens auraient l’habitude de subir des discriminations, des humiliations à cause de leurs origines. Mais dans le monde selon Diallo, c’est justement par ce que nous sommes des « privilégiés » que l’insulte raciste n’est pas vraiment une offense. Passons sur l’ineptie du raisonnement, notamment sur la valeur objective d’un acte ou bien sur la contradiction qu’il renferme, pour nous arrêter sur l’essentiel.

    Grâce aux Diallo, Thuram, Dhorasoo et consort, il n’est plus possible pour un esprit qui cherche ardemment la vérité, de ne pas se rendre à l’évidence. Cette génération d’extra-européens pourtant gâtée (2 footballeurs, 1 universitaire, etc.), se retourne aujourd’hui vers la main qui l’a nourri pour la mordre à pleine dents ! L’heure n’est plus à réclamer l’égalité des droits – qui était déjà une aberration en soi – mais ils exigent désormais la soumission de l’Homme blanc.

    Si ces discours racistes ont comme bénéfice de réveiller certaines consciences, ils participent également à l’écroulement d’un mythe, celui de la conception révolutionnaire de la nationalité. Selon le dogme républicain, peu importe le sang, l’antériorité historique sur le territoire ou même les services rendus à l’Etat, ce sont les papiers qui font foi.
    Un Érythréen détenteur du RSA avec la double nationalité depuis 2 mois est « autant français » que le petit-fils d’un Poilu mort à Verdun.
    Car dans la mythologie progressiste, la race n’existe pas. Elle ne peut donc pas faire partie de l’identité d’un individu, et ne peut être un élément constitutif de l’appartenance à une nation.

    Si la race n’est pas à elle seule l’identité, si elle n’est pas non plus un absolu, elle est une part de notre héritage. Elle en est la matière, le support physique. Son altération irréversible par le métissage généralisé, signerait la disparition définitive de la France.

    C’est en ce sens que nous pouvons remercier Diallo et sa clique d’abrutis. Leur idéologie dangereuse (pour nous) et l’échos qu’en fait une certaine presse, rappellent à la réalité de doux rêveurs.
    Le « Vivre ensemble » est un mensonge, il n’a jamais existé et n’existera jamais. Si les Français de sang ne veulent pas maîtriser et dominer l’apport allogène, ce sera une partie du corps étranger qui s’emparera du pouvoir. Si les Français ne désirent pas assumer la maîtrise de leur destin, Diallo et Thuram s’en occuperont.

    Bernanos écrivait en son temps : « Peut-être le vice est-il moins dangereux pour nous qu’une certaine fadeur ? Il y a des ramollissements du cerveau. Le ramollissement du cœur est pire. »

    http://www.contre-info.com/racisme-anti-blanc-mercithuram-mercidiallo#more-59245

  • Réforme des retraites : le tournant du quinquennat ? – Journal du vendredi 13 septembre 2019

    Réforme des retraites : le tournant du quinquennat ?

    La grève massive dans les transports parisiens marque le début du premier bras de fer du gouvernement avec les syndicats dans le cadre de sa réforme des retraites. Pour parvenir à ses fins et mettre à plat les avantages exorbitants de la RATP la majorité dispose d’une étroite fenêtre de tir et devra composer avec l’arrivée des élections municipales.

    Hong Kong : bientôt une demi-année de contestation

    Bientôt six mois de mobilisations à Hong Kong contre le pouvoir Pékinois. Une crise qui dure et dont les conséquences pourraient largement dépasser les frontières de l’Empire du Milieu.

    Le Beaujolais dans les étoiles

    Un beaujolais 3 étoiles. Pour la première fois, un vin de cette région du centre-Est a reçu une troisième étoile au guide vert 2020 de la Revue du vin de France. Une récompense bien loin des idées reçues du beaujolais nouveau.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/reforme-des-retraites-le-tournant-du-quinquennat-journal-du-vendredi-13-septembre-2019

  • Les migrants viennent pour « nous sauver » : pourquoi les écolos de gauche aiment tant les immigrés

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    Comment expliquer que les écologistes radicaux embrassent à ce point la cause du multiculturalisme ?

    La planète se meurt. C’est parce qu’il concerne l’humanité entière que l’environnement devrait transcender les clivages politiques. Au Canada, même le Parti conservateur – une formation jugée climatosceptique – a fini par présenter un plan environnemental.

    Il existe évidemment un courant écologiste de droite. En France, le Rassemblement national estime qu’il n’y a pas de nation sans terroir, et que ce pays ne serait pas lui-même s’il devait renoncer à ses paysages.

    Sans eux, la France ne serait plus la France, mais un grand square bétonné et désenchanté. La France ne sera plus la France quand ses vignobles seront recouverts de serres affreuses abritant des poivrons à destination de la Chine.

    La gauche veut le monopole de l’écologisme  

    Pourtant, l’écologisme continue d’être perçu comme ancré à gauche. Malgré qu’il puisse s’harmoniser avec l’amour de la patrie, l’écologisme dominant demeure profondément antinationaliste. En Amérique du Nord, aucun parti vert n’a encore cru bon de défendre le peuple en tant que tel, sinon pour l’encourager à abandonner l’usage de l’automobile.

    Le peuple est bon quand il fait pousser des carottes sur le toit de son immeuble, mais dangereux quand il entend protéger sa culture. Le peuple est progressiste quand il réduit sa consommation de viande, mais intolérant quand il se méfie de l’islamisme.

    A gauche, les démocrates Ilhan Omar (avec le foulard) et Bernie Sanders. Devant les micros, la démocrate Alexandria Ocasio-Cortez. Le 24 juin 2019 à Washington. © J. Scott Applewhite/AP/SIPA Numéro de reportage: AP22350636_000005

    Il existe une explication au préjugé multiculturaliste des écologistes radicaux. Ces derniers détestent l’Occident, qu’ils accusent d’avoir engendré la crise écologique en inventant le progrès. Le progrès sous sa forme technologique, bien sûr, mais aussi sous sa forme idéologique appelant au constant dépassement.

    Dieu les bénit et leur dit : Soyez féconds, multipliez-vous, remplissez la terre et soumettez-la, dominez sur les poissons de la mer, les oiseaux du ciel et tous les animaux qui rampent sur la terre. (Gn 1.28)

    Tous les grands théoriciens de l’écologisme radical, ou presque, font de l’anthropocentrisme judéo-chrétien la source ultime de la crise actuelle. Dans son bestseller catastrophique Earth in the Balance (1992), le baptiste Al Gore reconnaissait lui-même la critique adressée à l’humanisme chrétien, tout en s’efforçant de la relativiser.

    Cette vanité humaine aurait plus tard engendré l’appel du progrès technologique et de la croissance économique. Dieu a fait l’Homme à son image, qui s’est fait Dieu en retour. L’Occident chrétien, capitaliste et matérialiste devrait être remplacé par quelque chose d’autre.

    Les immigrés comme sauveurs climatiques

    Ainsi, les cultures étrangères ont commencé à être perçues comme des instruments destinés à sauver l’Occident de lui-même. Le marxisme avait fait des immigrés le nouveau prolétariat, l’écologisme en fait le nouvel éco-peuple. L’attrait actuel pour les religions asiatiques comme le bouddhisme s’inscrit d’ailleurs dans cette dynamique.

    Le multiculturalisme devient une politique écologique, il freinerait la pollution en bloquant l’assimilation de groupes qui n’ont pas encore été infectés par l’Occident prométhéen. Les gens dans le besoin ne peuvent pas surconsommer…

    Il faut notamment revoir le film Avatar (2009) pour constater à quel point ce mythe est présent dans la culture populaire. En 2154, des méchants Terriens (Occidentaux) débarquent sur la planète Pandora habitée par d’innocents extraterrestres (Indigènes). Le personnage principal, Jake Sully, laissera tomber sa culture productiviste pour trouver l’amour et embrasser l’animisme.

    On retrouvait déjà une logique similaire dans The Last Samurai (2003). Dans ce film, un militaire américain (Tom Cruise) allait joindre le camp adverse, celui des valeureux Samouraï, pour retrouver la paix intérieure. Entre la paix intérieure et la paix écologique, il n’y avait qu’un pas à faire.

    Le retour du bon sauvage

    L’écologisme radical, dans son imaginaire irrationnel, essentialise les immigrés qu’il voit comme de potentiels bonhommes écologiques. Au Canada, cette vision xénophile se traduit depuis longtemps par la défense inconditionnelle des Premières Nations (qui ne sont toutefois pas des communautés immigrées)

    Les Amérindiens seraient naturellement prédisposés à conserver la nature, ils ne seraient au fond que les éternels jardiniers de notre fragile existence. Que les personnes autochtones conduisent maintenant des voitures ne change rien à l’affaire : le mythe du bon sauvage n’est jamais très loin.

    Évidemment, il suffit de voyager un peu pour constater à quel point il s’agit d’un énorme fantasme. Le confucianisme est loin d’avoir préservé la Chine de la pollution. La crise écologique ne pourra être réglée qu’en développant des technologies vertes, et non en demandant aux populations de redévelopper des modes de vie austères supposément apparentés à ceux des immigrés, qui au contraire cherchent à améliorer leur sort économique.

    La solution viendra de l’Occident et non des contrées exotiques. Pour se payer le luxe de l’écologisme, il faut d’abord pouvoir se nourrir convenablement.

    Source : Le Causeur

    https://www.alterinfo.ch/2019/09/13/les-migrants-viennent-pour-nous-sauver-pourquoi-les-ecolos-de-gauche-aiment-tant-les-immigres/

  • Réforme des retraites : le tournant du quinquennat Macron ?

    La grève massive dans les transports parisiens marque le début du premier bras de fer du gouvernement avec les syndicats dans le cadre de sa réforme des retraites. Pour parvenir à ses fins et mettre à plat les avantages exorbitants de la RATP, la majorité dispose d’une étroite fenêtre de tir et devra composer avec l’arrivée des élections municipales.

    Paris bloqué

    L’immense majorité des lignes de métro ainsi que des RER ne fonctionnent pas ce vendredi. La grève annoncée sème une petite pagaille dans la capitale. Comme pour la canicule, la disproportion entre la panique des franciliens et les difficultés rencontrées montre l’absence totale de résilience de nombreux français ou habitants du pays.

    Quoiqu’il en soit, la grève a un peu bouleversé le quotidien de millions de personnes et paralysé une partie de l’activité économique même si, télétravail et développement numérique oblige, ce genre de mouvement est moins nuisible qu’il y a quelques années.
    Les raisons de la mobilisation de la RATP ? L’harmonisation des régimes de retraite voulue par le gouvernement, un nouveau système que le premier ministre Edouard Philippe veut « universel », ce qui en réalité veut plutôt dire « équitable », puisque tous les travailleurs ou presque seraient logés à la même enseigne.

    Une mise à plat pour plus de justice sociale ?

    Une mise à plat des systèmes de retraites qui agace les corporations privilégiées et leurs syndicats mais qui dans le principe permettrait de favoriser une certaine justice sociale. Le travailleur manutentionnaire, le carreleur et le commerçant, dont la tâche est bien souvent autrement plus fatigante que celle de l’employé de la RATP, n’aurait ainsi plus à payer les petits avantages d’une minorité.

    Le régime de retraite de la RATP a d’ailleurs été pointé du doigt à de nombreuses reprises par la Cour des comptes… dans cette structure, 42.000 salariés peuvent partir à la retraite à 57 ans et même 52 pour le personnel roulant et celui en souterrain. En 2017 l’âge de départ à la retraite à la RATP était en moyenne de 56 ans environ contre 63 dans le privé et 61 dans le public…

    En plus de cet avantage non négligeable, les pensions à la RATP sont bien coquettes, ainsi les retraités de 2017 ont une pension brute moyenne de 3 705 euros contre 2206 pour un fonctionnaire d’Etat.

    Des avantages tout à fait appréciables pour les agents RATP payés par… les contribuables français, c’est-à-dire par vous ! Notamment par les jeunes générations qui n’ont aucune assurance de toucher un jour une retraite et qui n’ont pas nécessairement envie de régler l’ardoise de baby boomer en uniforme vert…

    Cette première journée de mobilisation a donc tout du round d’observation pour le gouvernement qui a indiqué sa feuille de route calendaire jeudi au CESE. L’épreuve de force sera cruciale pour le gouvernement Philippe et pourrait même constituer un tournant dans le quinquennat Macron. Une mission pas facile alors qu’un sondage indiquait récemment que plus de 70 % des français pensent que le Premier ministre n’est pas à même de mener une bonne réforme.

    Ce sujet sera abordé lors du JT de TV Libertés de ce soir

    https://www.tvlibertes.com/actus/reforme-des-retraites-le-tournant-du-quinquennat-macron

  • Le «Monsieur Retraite» du gouvernement cumule son salaire avec plusieurs pensions... de retraite

    Le «Monsieur Retraite» du gouvernement cumule son salaire avec plusieurs pensions... de retraite
    Jean-Paul Delevoye, le 10 septembre 2019, à Paris (image d'illutration).
    Alors qu'il est en charge d'offrir des pistes au gouvernement sur la réforme des retraites, Jean-Paul Delevoye bénéficie en plus de son salaire de différentes pensions de retraite.
    Une méthode qui n'est pourtant pas illégale.                      
    Dans son édition du 10 septembre, la publication numérique La Lettre A révèle que depuis son entrée au gouvernement, le 3 septembre dernier, le haut-commissaire à la réforme des retraites, Jean-Paul Delevoye, bénéficie, en plus de son salaire, de plusieurs pensions de retraite.
    L’ancien ministre de la Fonction publique, de la Réforme de l’Etat et de l’Aménagement du territoire sous Jacques Chirac percevra sa retraite du régime général en plus de celle d’ancien élu local.
    Néanmoins, celui qui a été député et sénateur, actuellement engagé dans une réforme des retraites de grande ampleur, ne touchera aucune des deux pensions auxquelles il aurait le droit en tant qu’ancien parlementaire.
    Celles-ci seront, comme le prévoit la loi, suspendues pendant toute la durée de son passage au gouvernement.
    En effet, les règlements des deux institutions ne permettent pas de les agréger à un salaire de ministre.                   
    En tant que ministre délégué auprès de la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, Jean-Paul Delevoye touchera un salaire brut mensuel de 10 135 euros auxquels s’ajouteront donc ces quelques émoluments. La pratique n’a rien d’illégal puisque, comme le rappelle La Lettre A, cette possibilité de double rémunération, cumulant salaire et pension de retraite, n’est pas encadrée légalement.
    L'ancien président de l’Association des maires de France, qui exerçait en dehors du gouvernement, avait dans un premier temps renoncé à bénéficier de ces sommes.
    Lorsqu’il avait été nommé haut-commissaire à la réforme des retraites, en septembre 2017, il avait choisi de déduire ses pensions de retraites de sa rémunération individuelle.
    Il lui aura fallu deux ans pour changer d’avis.
    «En tant que ministre, sa rémunération est indexée à celles des autres membres du gouvernement, et arrêtée par décret», explique son cabinet auprès de La Lettre A.
    «Sa mission étant par essence temporaire, il ne voulait pas abandonner définitivement ses droits», confirme son entourage.
    RT France

  • Google accusé de revendre les informations confidentielles de ses utilisateurs

    Google Fisc

    12/09/2019 – INTERNATIONAL (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
    Google est accusé de récolter des informations à l’insu de ses utilisateurs pour ensuite les revendre aux annonceurs, a révélé jeudi dernier le Financial Times. Une enquête a été ouverte en Irlande, pays où siège le géant du web.

    Techniquement, Google utiliserait un mouchard à travers un lien internet invisible qui donnerait à l’annonceur un accès immédiat et illimité à tout l’historique de navigation de l’utilisateur. La méthode est si rapide que l’utilisateur ne peut pas s’en rendre compte. Selon le Financial Times, en plus de constituer une très grave infraction au règlement, cette pratique donnerait un avantage considérable au géant californien sur ses concurrents.

  • Du marxisme d'hier au discours égalitariste

    6a00d8341c715453ef0240a4d0d054200b-320wi.jpgLe Piketty, le pseudo-Marx, revient sur l'eau.

    À l'époque de Marx, il n'apparaît pas hélas, que beaucoup d'économistes aient alors pris au sérieux sa prétendue Critique de l'économie politique. Il faut d'ailleurs reconnaître d'ailleurs que l'auteur de Das Kapital, après plus de 30 ans de travaux n'était pas parvenu au bout de sa tâche, qui ne sera achevée qu'après sa mort, par les soins de son ami, bienfaiteur et vulgarisateur Engels.

    Le marxisme proprement dit est ainsi vraiment né discours de 1883 de celui-ci sur la tombe de son maître, de sorte que l'on pourra longtemps encore gloser, à l'infini, sur le degré de responsabilité, que je crois pour ma part immense dans les crimes du communisme[1].

    Plus généralement, d'ailleurs, on peut considérer que la pente naturelle de toutes les utopies, et de toutes celles que Jules Monnerot appellent les "religions séculières", y compris l'islamisme politique par conséquent, puisqu'il est un corpus juridique plus qu'une théologie, les conduit nécessairement au totalitarisme.[2]

    Or, l’égalitarisme est aujourd'hui en train de se faire tailler de nouveaux habits par un confectionneur de grande série en la personne de Piketty. Depuis longtemps ses sophismes m'étaient connus. En 2011, il allait commettre sous le titre "Pour une révolution fiscale"[3] sous couverture rouge, une addition de contre-vérités,de niaiseries, d'à-peu-près et d'erreurs grossières, faciles à réfuter. Même un François Hollande, alors en marche pour la présidence, était parvenu à lui river son clou dans un débat installé sur le site de Médiapart. Cherchant à élever le débat votre serviteur s'amusa à lui consacrer une réponse, publiée sous le titre "Pour une libération fiscale", sous couverture bleue.

    Quoiqu'une partie de mon travail, novateur pour l'époque, soit devenu presque banal, assez couramment repris aujourd'hui par les conservateurs qui réclament enfin la diminution de la dépense publique... quoiqu'une autre partie ait été contemporaine de la soi-disant RGPP à laquelle s'époumonait alors, poussivement mais avec opiniâtreté, une Valérie Pécresse... j'ai la faiblesse de croire encore utile d'en recommander la lecture.

    En particulier, il me semble nécessaire de réhabiliter non pas seulement la propriété et la richesse, qu'on appelle avec dédain "capitalisme", mais, fondamentalement, l'inégalité sans laquelle aucune justice, aucun progrès, aucune liberté n'est possible. La seule égalité souhaitable concerne la dignité intrinsèque des êtres humains, précisément dans la mesure où, en réalité, quant à leur fortune, à leur beauté, à leur intelligence, ils sont inégaux.

    Il faut n'avoir rien lu de Gobineau (1816-1882) pour imaginer qu'il incite à la haine ou au mépris. Son Essai de 1855, si souvent cité et si rarement lu disserte sur ce que le XIXe siècle tient pour un lieu commun. L'idée d'inégalité des races était universellement répandue en son temps, et habituellement alors suggérait l'idée d'une supériorité des peuples anglo-saxons. Or, il nous conduit à considérer, au contraire de toute haine raciale que chaque peuple possède son génie propre, irréductiblement et nécessairement différent.

    Si les hommes étaient égaux, ils seraient des fourmis.

    Ils sont inégaux, c'est ce qui fait leur noblesse.

    JG Malliarakis 

    Une réunion des Amis de l'Insolent
    Mercredi 18 septembre
    JG Malliarakis donnera une conférence suivie d'un débat sur le thème

    "Le Moment conservateur"
    de 18 h à 20 h
    Brasserie du Pont Neuf 14 quai du Louvre Paris 1er M° Louvre/Pont Neuf/Châtelet Parking : St Germain l'Auxerrois [consommation de la brasserie : 6 euros, participation libre aux frais]

    Apostilles

    [1] On doit lire à ce sujet le livre d'André Senik "Le Manifeste du Parti communiste aux yeux de l'histoire", 2015, ed. Pierre-Guillaume de Roux.
    [2] cf. sa "Sociologie du communisme" dont le premier tome est précisément intitulé "L'islam du XXe siècle"
    [3] cf. "Pour une Libération fiscale" par JG Malliarakis, 2012, ed. Trident.

    https://www.insolent.fr/

  • 1500 personnes à Lyon rassemblées contre l’extension de la PMA

    1500 personnes à Lyon rassemblées contre l’extension de la PMA
  • Trouver un milliard pour les hôpitaux ? Facile : il suffit de supprimer l'AME !

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Encore une arnaque. Les 750 millions d'euros prétendument déployés par Agnès Buzyn, ministre de la Santé, pour permettre de faire face à la crise des Urgences et enrayer la dégradation de nos services hospitaliers, dégradation continue malgré le dévouement, le courage et parfois l'abnégation des personnels soignants, ne seront pas financés en dépenses nouvelles mais en redéploiement de budgets auparavant dédiés à d'autres secteurs hospitaliers.
    Autrement dit, l'Exécutif déshabille Pierre pour habiller Paul, et des pans entiers de nos services médicaux auront à pâtir de ce tour de passe-passe comptable. 
    Il aurait pourtant été aisé de trouver ces 750 millions sans dommage: en supprimant totalement et définitivement l'Aide Médicale d'État (AME) dont bénéficient mécaniquement, pour un coût annuel avoisinant le milliard d'Euros payé par les contribuables, tous les étrangers présents sur notre sol y compris les clandestins, pour des soins qui, dans bien des cas, dépassent largement les situations vitales ou d'urgence. Un récent rapport indiquait que des implantations de prothèses mammaires à des migrantes avaient ainsi été prises en charge par l'État.
    Le Gouvernement se prépare, au contraire, à pérenniser l'AME pour la grande joie des migrants. À l'occasion du débat factice qui se déroulera à la fin du mois de septembre à l'Assemblée nationale, cette aide scélérate se verra confirmée par le Premier ministre dans sa forme, son coût, ses contours et son périmètre d'attribution. 
    Tandis que des milliers de nos compatriotes se voient obliger de renoncer à certains soins essentiels...