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  • Trad’Histoire en vidéo – Henri II

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    Trad’Histoire, site historique à destination des plus jeunes, diffuse le vingt deuxième chapitre de la Petite histoire de France de Jacques Bainville adaptée en vidéo.

    Aujourd’hui: Henri II
     Retrouvez le cours, le quiz et des idées sorties en relation avec cette vidéo sur Tradhistoire.com
  • Immigration : l'aveu.

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    L'avis de Jean-François Touzé

    En couplant dans un même intitulé de commissariat européen les mots "migrations" et "protection du mode de vie européen", la nouvelle présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, a, sans doute par inadvertance et étourderie, créé une polémique qui en dit long sur les vraies intentions des tenants du mondialisme et de l'immigrationnisme.

    En hurlant au scandale et en exigeant la modification  du nom de ce portefeuille, la gauche, les Verts, le centre, la fausse droite, les libéraux planétaristes, tous unis dans une même réprobation idéologique, formulent l'aveu éclatant de leurs intentions véritables : changer le mode vie européen, transformer l'identité des peuples, saper les principes et valeurs traditionnels, substituer un soubassement culturel à un autre.
    Ce tohu-bohu, pensé, voulu et organisé porte un nom : c'est LE GRAND REMPLACEMENT. 
    Qui a parlé de fantasme ?
  • Décodeur d’Alliance Vita sur le projet de loi bioéthique 2019

    Décodeur d’Alliance Vita sur le projet de loi bioéthique 2019

    Document très intéressant, à lire ici. Extrait :

    […] Les premières lois de bioéthique ont été votées en 1994 puis révisées en 2004 et 2011. Conformément à la loi de 2011, cette révision a été précédée par une consultation citoyenne. Organisés par le Comité Consultatif National d’Ethique (CCNE), des Etats généraux se sont tenus de janvier à avril 2018 et ont fait l’objet d’un rapport. Le Conseil d’Etat, le CCNE, l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST), une mission d’information parlementaire sur la révision de la loi, ont procédé à des auditions et rendu des rapports (l’ensemble des liens vers ces rapports est disponible en annexe du présent décodeur).

    Le chiffre

    310 000 embryons humains sont conçus en éprouvette chaque année : 52% sont détruits, 22% congelés, 25% immédiatement utilisés pour des tentatives d’implantation dans l’utérus.

    18 650 enfants naissent chaque année par FIV, soit 6 % du total des embryons conçus.

    Après les 4 tentatives de fécondation in vitro remboursées par la Sécurité sociale, la moitié des couples restent sans enfant. Toutes méthodes confondues, le taux de succès des techniques d’AMP est de 17%. En moyenne, il aura fallu concevoir environ 17 embryons pour 1 naissance.

    Les principaux enjeux éthiques du projet de loi

    Le projet de loi bioéthique soulève des enjeux éthiques majeurs dans trois domaines principaux :

      1. l’accès aux techniques artificielles de procréation humaine,
      2. le développement de la recherche sur les embryons humains
      3. l’accroissement de la sélection anténatale.

    1 – Procréation assistée (Articles 1,2,3,4) 

    Quatre changements sont projetés :

      1. l’abandon du critère de l’infertilité pour l’accès à l’Assistance médicale à la procréation (AMP),
      2. le double don de gamètes,
      3. la levée de l’anonymat du don de gamètes,
      4. et, plus généralement, un bouleversement des règles de la filiation.

    […]

    2 – Dérégulation accrue des recherches sur l’embryon humain (articles 14,15,17) :

    De nouvelles digues qui prétendaient protéger l’embryon humain tombent : on pourrait

      1. le cultiver jusqu’à 14 jours,
      2. créer des embryons transgéniques, des gamètes artificiels et même des embryons chimères…
      3. La recherche à partir de cellules souches embryonnaires serait également dérégulée.

    Législation actuelle et mesures proposées 

    Le régime encadrant la recherche a évolué par étapes depuis la loi de 1994 qui posait son interdiction. Cette interdiction a été fragilisée par des dérogations croissantes en 2004 et en 2011, puis a été supprimée en 2013 sans vrai débat (ni les états généraux prévus par la loi). Les conditions de cette recherche ont aussi énormément évolué, l’impératif de « progrès thérapeutiques majeurs » de 2004 étant devenu de simples « finalités médicales » en 2013.

    […]

    3 – Intensification de la sélection prénatale (articles 19, 20, 21)

    Législation actuelle et mesures proposées 

    Le diagnostic prénatal (DPN) s’est intensifié depuis 30 ans. S’il a heureusement permis un meilleur suivi des grossesses pour accompagner la mère et l’enfant à naître, notamment par sa prise en charge précoce, parfois in utero et plus souvent à la naissance, il est régulièrement assorti de propositions d’interruption médicale de grossesse (IMG, plus de 7000 annuellement) en cas d’affection d’une particulière gravité. L’IMG peut intervenir légalement jusqu’à la veille de la naissance. Beaucoup s’alarment d’une nouvelle forme d’eugénisme en France, qui stigmatise particulièrement les personnes porteuses de trisomie : 96% des diagnostics de trisomie conduisent à une IMG. L’autorisation récente de nouveaux tests génétiques, dits non invasifs (DPNI), qui permettent par une simple prise de sang de la mère d’analyser le code génétique du fœtus, interroge sur de nouvelles pratiques qui peuvent conduire à un accroissement de la sélection prénatale. […]

    https://www.lesalonbeige.fr/decodeur-dalliance-vita-sur-le-projet-de-loi-bioethique-2019/

  • Ces quatre guerres qui se livrent sous nos yeux

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    En 2006, Warren Buffet avait osé cette provocation : « C’est ma classe, les riches, qui a déclaré cette guerre et c’est elle qui est en train de la remporter. » Il confirma cette victoire après la crise. En fait, la guerre se poursuit, ou plutôt les guerres se développent. Ce n’est pas seulement celle qui oppose la classe supérieure mondialisée, ce 1 % qui, selon OXFAM, avait capté, en 2017, 82 % de la richesse mondiale au reste de l’humanité, dont il faut dire que la pauvreté régresse, mais moins vite que la richesse des milliardaires n’augmente. Pour cette oligarchie planétaire qui se réunit à Davos, les frontières n’existent guère et il faudrait, d’ailleurs, qu’il n’en existe que le moins possible, tant la circulation des capitaux, des biens et des personnes joue un rôle positif dans la croissance des profits. Beaucoup songent à un gouvernement mondial qui régulerait le marché pour éviter les crises.

    La seconde guerre est justement celle des frontières, notamment celles des États-nations anciens qui veulent sauvegarder leur souveraineté et leur identité. L’Europe vieillissante, usée par les conflits mondiaux dont elle a été le centre, voit son importance économique reculer, son industrie dépassée et sa population changer. Son destin est-il de ne devenir qu’une péninsule de l’Asie, n’inventant plus guère, peuplée de consommateurs achetant les produits de la planète entière avec de l’argent de moins en moins issu du travail, de la production et des exportations, vendant ses entreprises au plus offrant et comptant sur l’immigration pour se renouveler et préserver son économie grâce à la modération des salaires ? Cette hypothèse ne gêne guère l’oligarchie mondiale, ni ses proconsuls au pouvoir, comme le Président français. Elle révolte une partie grandissante des peuples, ceux dont le destin et celui de leurs enfants sont liés à la nation dont ils sont les héritiers, et qui sont de plus en plus conscients du déclin, de la décadence et du risque de disparition. Les États-Unis ou l’Australie, ces colonies européennes, font preuve désormais de vigilance sur la protection de leurs frontières et la limitation d’une immigration qui les a pourtant fait naître. Cette guerre des frontières est, cependant, avant tout une guerre civile. Le cosmopolitisme des milliardaires, assez compréhensible, trouve dans le microcosme politique, médiatique et judiciaire des collaborateurs aussi zélés que totalement aveugles sur le long terme. Tous les moyens sont bons pour que les partisans de l’identité et de la souveraineté, les démocrates qui parlent au nom du peuple, soient écartés du pouvoir pour « populisme » – un mot révélateur ! Salvini trouve, en face de lui, la coalition des ennemis d’hier. Boris Johnson se voit accuser de trahir la démocratie alors qu’il essaie de mettre en œuvre la volonté exprimée par une majorité lors d’un référendum. Une étonnante « légitimité » est à l’œuvre derrière ces manœuvres : il n’y a qu’une voie et, comme par hasard, c’est celle qui correspond aux vœux de l’oligarchie mondialiste.

    Mais il y a une troisième guerre, qui est celle du G20 contre le G7, celle de l’avenir contre le passé, des puissances émergentes contre le vieil Occident. Ce n’est pas très malin d’avoir rejeté la Russie parmi les adversaires de l’Occident. La Chine, l’Inde, le Brésil et la Russie sont en train de dépasser les nations occidentales, les unes après les autres. Elles possèdent la puissance économique, acquièrent peu à peu la force militaire et aspirent à se voir reconnaître à leur niveau. La dernière réunion du G7 appartenait au passé et n’était plus qu’une apparence nostalgique privée de tout futur. On aurait tort de négliger la réponse de Bolsonaro à Macron dénonçant son colonialisme : c’était, malheureusement, le bon angle d’attaque.

    Enfin, il y a une guerre dont on s’efforce de parler moins en voyant derrière chaque terroriste islamique un déséquilibré. Elle a disparu des écrans, mais elle s’amplifie aux frontières des quartiers sensibles de plus en plus nombreux dans notre pays, très loin de Davos, d’Abou Dabi ou des îles Caïmans.

    Christian Vanneste

    https://www.bvoltaire.fr/ces-4-guerres-qui-se-livrent-sous-nos-yeux/

  • Richard Ferrand s’accroche à son perchoir – Journal du 12 septembre 2019

    Richard Ferrand s’accroche à son perchoir

    Une vilaine affaire de prise illégale d’intérêt ressort le bout de son nez et le président de l’Assemblée Nationale, Richard Ferrand, mis en examen, semble sur la sellette ! Nouvelle affaire Rugy ou feu de paille ? L’intégrité des gouvernants semble en tout cas plus que jamais mise à mal.

    Le football : un sport heureux mais pas très gay ?

    Les supporters de football accusés d’homophobie. Depuis la reprise du championnat de france de football, de nombreux matchs ont été arrêtés après le déploiement de banderoles qualifiées d’homophobie par le gouvernement et la Ligue de football professionnel. Une véritable chasse aux sorcières est ouverte pour une nouvelle fois promouvoir une minorité.

    “Movie Money”, les faux billets font leur retour !

    La France championne d’Europe du faux billet ! La movie money, une monnaie fiduciaire qui tire son origine des tournages de film, a fait son apparition dans les commerces ! Une arnaque à l’ancienne qui fait son chemin !

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/richard-ferrand-saccroche-a-son-perchoir-journal-du-12-septembre-2019

  • Casus Belli - Un regard identitaire sur les feux en Amazonie et Bolsonaro avec Julien Langella

  • Contre Zemmour, un nouveau délit : « La délinquance de la pensée » (Présent)

    Présent – Le Monde du 10 septembre, sous la plume du dénommé Gérard Noiriel, lance un appel à la répression des « délinquants de la pensée » personnifiés par Eric Zemmour, présenté comme une sorte d’Edouard Drumont du XXIe siècle.

    Selon la définition classique, la délinquance est un ensemble d’infractions, de délits, commis sur une période et en un lieu donnés. Le mot même de délinquance a la même racine que le mot délit (du latin delictum) et suppose des fautes pénalement sanctionnables. Un quotidien comme Le Monde, qui ne se veut pas un brûlot gauchiste, le sait parfaitement.

    Or Le Monde du 10 septembre met en une l’accusation selon laquelle Eric Zemmour commettrait et légitimerait, par ses écrits et ses propos, « une forme de délinquance de la pensée ». Le Monde consacre en effet une page entière à démontrer que Zemmour serait notre nouvel Edouard Drumont. Le dénommé Noiriel – nous devrions plutôt écrire le procureur Noiriel –, à l’issue d’une laborieuse démonstration, présente Zemmour comme le nouveau chantre de l’antisémitisme, un doctrinaire de la haine « qui s’attaque aux musulmans […], aux femmes, aux homosexuels, aux universitaires, etc. ».

    Cette énorme tribune donnée à un universitaire communiste pour le moins controversé et à la pensée désormais très minoritaire, Dieu soit loué ! dans le paysage intellectuel français, est un signal. C’est un signal pour mettre sur Eric Zemmour et ses « suiveurs » le maximum de pression, c’est un signal pour inciter les réseaux sociaux et les médias à accentuer leur censure, c’est une piste en direction du gouvernement et des associations du prétendu antiracisme pour les pousser toujours plus loin dans la criminalisation de mots, de pensées, de concepts, un processus de type communiste en effet, à l’œuvre en France et ailleurs depuis les lois Gayssot et autres.

    Criminalisation de la pensée non conformiste

    Comme l’écrit à juste titre l’Agrif, « il y a aujourd’hui de la graine de Pol Pot culturel dans un Gérard Noiriel, l’idéologue de la répression de la “délinquance de la pensée”, idéologue du parfait racisme en sens contraire qu’est le soi-disant antiracisme ».

    Pour parler comme Noiriel, prenez les « grammaires » de Noiriel, c’est-à-dire les règles qui sous-tendent son discours totalitaire, remplacez les mots « identitaires » par « impérialistes » et vous aurez du Pol Pot dans le texte. Quant au prétendu « renversement de la rhétorique dominants/dominés » (Zemmour, les identitaires, les patriotes, se feraient passer pour des dominés, des victimes en puissance, alors qu’ils seraient en fait les dominants), l’appel du Monde et de Noiriel à la criminalisation et à la répression judiciaire de toute pensée non conformiste en est la démonstration contraire.

    Car si on suit bien Le Monde et Noiriel dans leur logique totalitaire, des expressions comme « grand remplacement », « parti de l’étranger », « islamo-gauchistes » doivent rejoindre d’urgence, « avant qu’il ne soit trop tard », le catalogue des formules pénalement sanctionnables, et déjà interdites de médias.

    Francis Bergeron pour Présent

    https://www.tvlibertes.com/actus/contre-zemmour-un-nouveau-delit-la-delinquance-de-la-pensee-present

  • Richard Ferrand, président de l’Assemblée nationale, proche de Macron, mis en examen

    Macron avait dit vouloir incarner une « République irréprochable » et avait fait de l’exemplarité un de ses marqueurs de la campagne présidentielle. Mais depuis le début du quinquennat, plusieurs de ses proches ou de ses soutiens ont dû quitter leurs fonctions à la suite de démêlés judiciaires. Sylvie Goulard, François Bayrou et Marielle de Sarnez, avaient été contraints de sortir du gouvernement à cause de l’affaire des emplois présumés fictifs des assistants parlementaires du MoDem. En juillet, l’ex-ministre de l’écologie, François de Rugy, a dû démissionner pour une polémique provoquée notamment par des dîners fastueux.

    Dernier en date à faire la Une des quotidiens : Richard Ferrand, qui avait dû abandonner son poste de ministre en juin 2017 après l’ouverture de l’enquête sur les Mutuelles de Bretagne, mais avait été propulsé président de l’Assemblée nationale, vient d’être mis en examen, ce jeudi 12 septembre, à Lille pour « prise illégale d’intérêts » dans cette même affaire des Mutuelles. Il est soupçonné d’avoir favorisé sa compagne.

    Bien qu’Emmanuel Macron ait annoncé lui conserver « toute sa confiance », Richard Ferrand pourrait ne pas garder son portefeuille. D’ailleurs pour un gouvernement se disant vouloir appliquer la la jurisprudence « un ministre mis en examen doit démissionner », la démission de Ferrand devrait être automatique. Et est en effet demandée par de nombreux opposants politiques.

    Le quatrième personnage de l’État a cependant aussitôt annoncé, dans un communiqué, être « déterminé à poursuivre [sa] mission » à la tête de l’Assemblée, en affirmant vouloir « poursuivre sa défense » pour « obtenir un non-lieu ». « Il n’est pas question d’une démission car une instruction n’est en aucun cas une condamnation », a indiqué son entourage, en rappelant que l’enquête avait d’abord été classée sans suite par le parquet de Brest, en octobre 2017. Bref, on voilà un qui ne veut pas perdre son fauteuil ! Le même, qui lors de l’affaire Fillon écrivait sur Twitter :

    « Une droite voudrait que soit placé dans nos mairies et nos écoles le portrait d’un homme mis en examen, qui a perdu toute autorité morale. »

    Bruno Jeudy
    @JeudyBruno

    Ce tweet de Richard Ferrand (exhumé par @GuillaumeDaret) au sujet de l'affaire Fillon risque de rattraper le president de l'Assemblee nationale apres sa mise en examen https://twitter.com/richardferrand/status/852938381365522434 

    Richard Ferrand
    @RichardFerrand

    Une droite voudrait que soit placé dans nos mairies et nos écoles le portrait d'un homme mis en examen, qui a perdu toute autorité morale.

    428 personnes parlent à ce sujet

    Ferrand a du oublier depuis ses leçons de morale politique…

    Francesca de Villasmundo

    https://www.medias-presse.info/richard-ferrand-president-de-lassemblee-nationale-proche-de-macron-mis-en-examen/112205/