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  • Eric Zemmour : « Si on autorise les musulmans à fêter le Ramadan tous les soirs entre voisins, pourquoi ne pas avoir autorisé les chrétiens à fêter Pâques ? »

    Pour Éric Zemmour, c’est très clair! Si on autorise les musulmans à fêter le Ramadan tous les soirs entre voisins, pourquoi n’avoir pas autorisé les Juifs à fêter Pessah et les Chrétiens Pâques!! Extrait de Face à l’info sur Cnews.

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  • Le pire est à venir, par Maxime Tandonnet

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    L’objectif n’est pas de faire peur, mais de se préparer au moins mentalement. Dix millions de personnes au chômage, (même « partiel »), soit un tiers de la population active, des centaines de milliers de petits commerces, entreprises de restauration, PME ruinés, plus de 20 000 morts, la liberté d’aller et venir saccagée, l’explosion de violence dans les banlieues: la France comme le monde occidental connait un ébranlement titanesque. Le virus n’est sans doute que l’étincelle qui a mis le feu aux poudres. La crise de civilisation couvait. Attention! Nous n’en sommes sans doute qu’au début de la catastrophe.

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  • L'apocalypse molle Entretien avec Nicolas Bonnal

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    Cela faisait quelque temps que l'on avait perdu la trace de Nicolas Bonnal, conservateur vagabond dont on lisait les chroniques dans Le Libre Journal de la France courtoise de Serge de Beketch. Il nous revient avec Mal a droite, son dernier livre, qu'il faut lire de toute urgence. S'il est vrai que la culture, c est ce qu'il reste quand on a tout oublié, eh bien, Nicolas Bonnal est la culture à lui tout seul un îlot de science dans un océan d'insignifiance.

    Le Choc du mois : Il y a des apocalypses dures, d'autres qui sont molles. C'est le propos de votre dernier livre, Mal à droite...

    Nicolas Bonnal : Peut-être y a-t-il dans l'histoire un mouvement de balancier permanent que l'on pourrait résumer en termes schopenhaueriens en un va-et-vient de souffrance et d'ennui. La souffrance correspondant aux époques de brutalité, famines et guerres. L’ennui, où nous nous trouvons présentement, aux époques molles. Car l'apocalypse, aujourd'hui, est fatiguée. Elle a la gueule de bois, la gueule de Moi, la gueule du Mal de vivre générationnel. On l'a trop attendue et elle n'est pas venue. Ou plutôt, elle nous est arrivée toute ramollie. Notez que c'était le cas de l'empire romain. Prenez Cléopâtre de Mankiewicz avec Elizabeth Taylor et Richard Burton, c'est déjà l'apocalypse molle. Du pain, des jeux et des « people », avec les amours de Cléopâtre. Rien de nouveau sous le soleil. On disposait alors d'un confort matériel relatif imposé par la force impériale. Le modèle américain s'est imposé grâce à la bombe atomique le modèle romain, grâce aux conquêtes et à la réduction en esclavage des peuples qui avaient résisté. Ensuite, on allait aux thermes, aux bains, aux jeux, voir les chrétiens se faire massacrer et les lions dévorer les petites filles. À cela, notre époque a ajouté la dimension technologique, forme aiguë d'aliénation. Les Romains n'avaient pas d'iPod. Aujourd'hui, c'est l'iPod qui fait l'homme, et non pas l'inverse. Plutôt que de télécharger sur Internet les grands textes latins, on va sur Facebook exhiber ses fesses ou son visage.

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  • Le nucléaire et les énergies renouvables, notre humanisme.

    « Faisons remarquer, en passant, que ce n'est pas être belliciste, que d'être partisan de la défense armée de la vie, pas plus que ce n'est pas être fasciste que d'être sincèrement DEMOPHILE, sous l'égide d'une direction sociale unique, continue et traditionnelle et non pas démocrate, dans le désordre permanent des multiplicités de directions incompétentes... » (Docteur P. CARTON). Nos études sur le sujet remontent aux années 80 où sous ce titre, une chronique était publiée dans « Le Paysan Biologiste » et dans « France Paysanne et Rurale ».

    Dans la « Rubrique Ecologique » du journal : « Le Paysan Biologiste » (num. 55, 1er trimestre 1988), j'écrivais à propos du nucléaire : Cette forme d'énergie représente aux yeux de certains (EDF, gouvernement) une solution « propre ». On ne remplace pas le pétrole et le charbon par une source énergétique dont on ne maîtrise ni les conséquences (en général catastrophiques) en cas d'accident, ni le stockage illimité des rebus de sa production... Les cités et lieux de travail pourraient parfaitement jouir pour le chauffage et l'éclairage d'un mélange de gaz, de géothermie, de solaire, etc. Les solutions existent encore faut-il ne pas les nier. La radioactivité est une menace qui peut durer et se chiffrer en milliers d'années. Le péril chimique est plus contrôlable mais n'en demeure pas moins un grave danger. Le développement économique ne doit pas s'exercer, comme ce fut le cas pendant le XIXe siècle, sur la misère populaire. Cette fois-ci le martyre, serait dans une dégradation inévitable de la santé due aux retombées chimiques néfastes, mal contrôlées, d'une production industrielle ubuesque. Après Tchernobyl, de sinistre mémoire, ce fut une désinformation totale de la part de la république antisociale, qui nous a expliqués sans ciller que le nuage radioactif venu d'Ukraine s'était arrêté aux frontières de la France. La catastrophe Japonaise de Fukushima nous fut livrée, par les mass-médias, aux ordre de l’Etat, comme sans conséquence (sic) pour notre santé. Il est vrai que la situation avec le nucléaire vendu comme indispensable, à force d'arguments économiques et scientifiques, nous fait penser à une politique de « gribouille », d'apprentis sorciers des premiers âges de notre civilisation… A la moindre alerte catastrophique, cette énergie non maîtrisée entraîne de graves conséquences, souvent irréductibles. Il ne reste alors que les incantations, triste situation au XXIe siècle, de la part d'une société matérialiste redécouvrant l'humilité, en étant acculée à la prière dans un ultime appel à Dieu, bref pourquoi pas… On nous dit qu'il y avait plus de morts avec le charbon, mais doit-on pour cela faire de telles comparaisons et cela voudrait-il dire que nous regrettons le charbon ?

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  • Le recours au Moyen Age

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    Collaborateur régulier de la presse monarchiste ainsi qu'au quotidien Présent et à la revue Synthèse nationale, Aristide Leucate est intervenu plusieurs années durant comme chroniqueur dans l'émission "Synthèse" animée par Roland Hélie et Philippe Randa sur Radio Libertés. Dans le cadre de notre enquête, il nous livre ici ses réflexions sur l'après coronavirus...

    S.N.

    Aristide Leucate

    Et si l’on revenait au Moyen Age ?

    J’entends d’ici les bonnes âmes se récrier, trépigner, s’offusquer, hurler au scandale sur le ton courroucé du « mais vous n’y pensez pas », et, dans le même temps (attitude très à la mode, ces derniers temps), condamner sans appel ce « retour à l’obscurantisme et à l’ignorance », à ces autres heures sombres où la peste, la misère, l’Inquisition, les corvées, les guerres féodales, le servage et la sorcellerie, s’abattaient sur le monde comme les sept plaies d’Egypte. Et tous d’invoquer en chœur les mânes de Michelet.

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  • Anarchie partout désormais, par Jacques de Guillebon Rédacteur en chef de l’Incorrect.

    3834054413.24.jpgMonsieur le préfet de Marseille, si les propos que vous prête Le Point sont avérés, vous êtes une ordure : «  Certes, nous ne pourrons pas éviter que les gens se rendent visite les uns les autres dans une même barre d’immeubles, y explique Emmanuel Barbe, donc préfet de Marseille, parlant du ramdam qui va commencer dans trois jours. Mais, là, il s’agit d’une question de responsabilité individuelle. Il me semble que la période du ramadan permet encore plus que d’habitude de veiller les uns sur les autres  ». Donc si vous avez dit ça, vous être une quadruple ordure.

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  • La pandémie, prétexte pour Emmanuel Macron à «  aller plus loin, plus fort  » vers le fédéralisme européen

    La pandémie, prétexte pour Emmanuel Macron à «  aller plus loin, plus fort  » vers le fédéralisme européen

    Emmanuel Macron a appelé à «  aller plus loin, plus fort  » vers la souveraineté européenne, «  un concept que la France pousse depuis près de trois ans  ». Un concept absurde car il n’y a de souveraineté que nationale. Ce que Macron nomme la souveraineté européenne est un oxymore. Il plaide de fait pour plus de fédéralisme, alors que tout le monde peut constater que cela ne fonctionne pas. Mais pour ne pas employer ce mot répulsif, contraire au principe de subsidiarité, Macron utilise la méthode expliquée par Orwell dans son roman de 1984 : il faut appeler bien le mal et le mal bien.

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  • JT de la dissidence n°4 : Crise a l'UPR, Batdaf, Bataille de France, les prétendants !

  • Un vaccin contre la crise du coronavirus : les impôts !

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    Le coronavirus n’en finit pas de donner de la fièvre à nos gouvernants et beaux esprits de tous poils, Sibeth empêtrée dans les lanières de ses masques, Buzyn punaisant des affiches à la sortie des Pékin-Roissy, Didier Guillaume appelant au déconfinement agricole, l’inénarrable Cohn-Bendit insultant le mage professeur Raoult, Macron et « les sorties en plein air qui ont davantage contaminé que les élections municipales », Nuñez, son secrétaire d’État à la Sécurité qui ne veut pas la faire appliquer dans les banlieues… La liste est longue des interminables cafouillages, décisions prises au doigt mouillé servis par une communication clownesque. Il faudrait en rire avec la bonne fortune des chansonniers si les conséquences n’étaient pas aussi dramatiques.

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