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Au début 1970, le Cambodge, dirigé par le prince Norodom Sihanouk, tente de maintenir une fragile neutralité dans le conflit vietnamien. Cependant, le pays est de plus en plus impliqué malgré lui. Les forces communistes vietnamiennes, notamment le Viêt-Cong et l’Armée populaire du Nord-Vietnam (APNV), utilisent les zones frontalières cambodgiennes comme sanctuaires pour leurs bases logistiques et leurs lignes d’approvisionnement, connues sous le nom de «piste Ho Chi Minh».
Le volume principal des livraisons militaires a été fourni par Washington, a rappelé ve 4 mars le porte-parole de la présidence russe. Retrouvez ci-dessous les autres points clés du discours de Dmitri Peskov.
Trois exemples résument la lâcheté complice de l’Etat Macron, face aux agressions, aux violences et aux intimidations des gauchistes. Rappelons qu’à ce jour, aucune organisation se disant antifa ou Black Bloc n’a été dissoute, aucun casseur antifa n’est arrêté préventivement avant une manifestation, quand la répression s’abat sur les militants patriotes.
Au-delà de la schadenfreude qu’il a procuré à ceux qui essaient de résister depuis trois ans à l’inepte propagande russophobe et aux conséquences de l’aveuglement des élites à la réalité du monde, le traquenard tendu à Zelensky dans le bureau ovale appelle quelques observations.
En quelques minutes, on a vu tomber l’épais manteau d’illusions dont s’étaient couverts nos eurobéats.
Le Premier ministre François Bayrou a adressé, ce lundi après-midi, à une Assemblée nationale plutôt clairsemée, des mots révélateurs, des mots de rupture. En quelques minutes, on a vu tomber l’épais manteau d’illusions dont s’étaient couverts nos eurobéats, avant que Marine Le Pen ne rappelle utilement les bienfaits d’une nation qui s’assume. Scène centrale, qui restera sans doute dans les annales. Le président américain l’avait pourtant annoncé urbi et orbi : il forcerait les belligérants en Ukraine à signer la paix dans des délais record. Les Européens, toujours entre deux états gazeux, y voyaient un bluff, une parole en l’air. Les choix radicaux de Trump en faveur de ceux qui l’ont élu estomaquent toujours, en Europe, les politiciens qui ont pris l’habitude de trahir leurs électeurs, à peine élus. Les écailles tombent ainsi des yeux de François Bayrou tandis qu’il s’exprime au perchoir. Nous vivons la crise « la plus grave et la plus dangereuse que notre pays a connue depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale », constate avec raison le Premier ministre, sur le ton du « Que d’eau, que d’eau ! »
Transition obligatoire vers l’électrique dont plus personne ne veut, hausse des coûts de production et des matières premières, réglementation hystérique, il n’en faut pas plus pour finir de déglinguer la filière automobile européenne. Les professionnels de l’automobile, depuis les constructeurs jusqu’aux petits garages, n’en peuvent plus et entrevoient une année 2025 calamiteuse, après les précédentes déjà marquées par le marasme. Les problèmes structurels et réglementaires conduisent les acteurs de la filière à tenter de discuter avec l’État, pour quoi faire, un changement de perspective ou des aides dont on n’a pas les moyens ? Les idéologues « climatistes » hyper-minoritaires ne veulent rien lâcher et on sent même que la fin de cette filière leur fait plaisir. Les aides, c’est fini, plus de moyen, plus de volonté…