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  • Plainte de l'Agrif contre Caroline Mecary

    Suite à ses propos haineux, l'Agrif porte plainte :

    "L'AGRIF a immédiatement fait constater les faits par voie d'huissier de justice et a chargé son avocat Maître Jérôme Triomphe de poursuivre sans plus attendre devant le tribunal correctionnel Maître MECARY pour provocation au meurtre des catholiques, infraction qui lui fait encourir 5 ans d'emprisonnement.

    L'AGRIF rappelle que l'association LGBT ACT UP avait déjà appelé au meurtre des chrétiens. Son Président vient d'être mis en examen sur sa plainte."

    Michel Janva

  • Gender : l'Education nationale s'inquiète de la contre-offensive

    Suite à l'action nationale lancée par Farida Belghoul, proposant de retirer les enfants des écoles durant une journée, pour protester contre l'enseignement de l'idéologie du gender, différentes académies ont réagi. Par exemple, voici celle de Versailles :

    "Nous sommes alertés par l’activisme du mouvement  « journée de retrait de l’école » (le 24 janvier voire le 27) porté notamment par Farida Belghoul dans plusieurs communes du département : Bagneux, Asnières, Nanterre, Gennevilliers et Villeneuve-la-Garenne. Des parents reçoivent un texto qui met en cause l’Education nationale au motif qu’elle promeut la théorie du genre. [...]

    Nous vous recommandons de signaler ce type de démarche, notamment lorsqu’elle survient sur la voie publique, à votre correspondant de la police nationale. Il serait utile d’informer les directeurs d’école de ces manœuvres dans la mesure où des familles peuvent s’inquiéter de ce qui est effectivement enseigné par l’école.

    Je vous remercie de bien vouloir nous transmettre toutes informations relatives aux agissements de ce mouvement et de leurs incidences sur le fonctionnement des écoles."

    On ne lâche rien.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/

  • Une des photos du jour

     

    Ukren Ukraine, prêtres entre forces de l'ordre et manifestants.

    Lahire

  • Au Moyen-Orient, la terrible défaite de l'Occident

    Dominique Moïsi professeur au King'sCollege de Londres, est conseiller spécial à l'Ifri(Institut français des relations internationales).

    Bachar Al Assad est toujours au pouvoir en Syrie. Et Al Qaida reste puissante en Irak. Deux symboles de l'échec cuisant de l'Occident, incapable de bâtir une stratégie commune. Premier responsable, les Etats-Unis.
    Bachar Al Assad est toujours au pouvoir à Damas et le drapeau noir d'Al Qaida flotte sur les villes de Fallouja et Ramadi en Irak. Au-delà du fait que le processus de fragmentation en Syrie a désormais gagné l'Irak, il existe une cause commune entre ces deux réalités que l'on pourrait résumer d'une simple formule : l'échec de l'Occident. La prise, même temporaire, des villes de Fallouja et de Ramadi par des milices sunnites se réclamant d'Al Qaida est un symbole fort et humiliant même de l'échec de la politique menée par l'Amérique en Irak. Un peu plus de dix années après le renversement du régime de Saddam Hussein et après des centaines de milliers de morts du côté irakien et plus de 5.000 du côté américain, on ne peut arriver qu'à une bien triste conclusion : tout cela pour ça ! En Syrie, c'est le même constat d'échec qui s'impose. Bachar Al Assad et ses alliés et soutiens fidèles que sont la Russie et l'Iran sortent renforcés de leur confrontation avec l'Occident. Massacres de civils y compris par le biais des armes chimiques n'y ont rien fait. Le régime tient bon - même s'il ne contrôle plus des parties importantes de son territoire - fort du soutien de ses alliés et, plus encore, de la faiblesse de ses opposants et de ceux qui les soutiennent.
    En réalité, du Moyen-Orient à l'Afrique, c'est toute la question de l'intervention extérieure qui se voit ainsi reposée dans un univers largement post-américain. Quand et comment intervenir à bon escient ? Quand à l'inverse, la non-intervention, devient-elle, « plus qu'un crime, une faute », pour reprendre la célèbre formule de Talleyrand au lendemain de l'assassinat du duc d'Enghien en 1804 ?
    Quand faut-il intervenir ? L'urgence humanitaire est un concept d'une grande flexibilité. Le sort des civils syriens est-il moins tragique que celui des Libyens ? Pourquoi en 1992 intervenir en Somalie et non pas au Soudan alors que les souffrances des Soudanais sont au moins égales, sinon supérieures, à celles des Somaliens ? La décision d'intervention traduit pour partie des émotions sélectives, qui peuvent elles-mêmes correspondre à des sensibilités ou plus prosaïquement à des intérêts bien compris. L'intervention est d'autant plus probable qu'elle suit la réussite d'une première action ou, à l'inverse, si elle succède à une décision d'abstention qui a laissé derrière elle un mélange de massacres et de remords. La tragédie de l'Afrique des Grands Lacs en 1994 - sans parler du massacre de Srebrenica en Bosnie en 1995 - a certainement contribué à la décision occidentale d'intervenir au Kosovo en 1999. En réalité, l'intervention par un pays donné, à un moment donné, suppose la rencontre entre de multiples facteurs : l'existence d'une culture interventionniste, un sentiment d'urgence, un minimum d'empathie avec le pays ou la cause qui justifient l'intervention, enfin, bien sûr, l'existence de moyens perçus, à tort ou à raison, comme suffisants et adaptés.
    Au-delà de la question du « quand », se pose celle du « comment », les deux étant de fait souvent indissolublement liées. Intervenir seul présente de nombreux avantages : rapidité d'exécution, et donc souvent efficacité de mise en oeuvre. L'armée française n'était pas mécontente de se retrouver seule au Mali. A l'inverse, si elle ralentit le calendrier des opérations, la constitution de coalitions fournit un supplément de légitimité à l'intervention et un partage des coûts et des risques entre les différents acteurs. Il est probable que la France, qui, sur la lancée du Mali, s'est engagée en Centrafrique dans un conflit encore plus incertain, souhaiterait s'y trouver moins seule, tant pour des raisons de coûts et de moyens que pour des raisons politiques. On ne souhaite pas partager un succès, on veut par contre ne pas se retrouver seul dans une impasse éventuelle.
    En réalité, l'échec de l'Amérique, en Irak tout comme en Syrie, est celui de l'Occident dans son ensemble, même si la part de responsabilité de Washington est incontestablement plus grande.
    L'échec est généralement le produit de la rencontre entre trois facteurs principaux qui sont presque toujours les mêmes : l'arrogance, l'ignorance et l'indifférence. L'arrogance conduit à surestimer ses capacités et à sous-estimer les capacités de résistance de son adversaire. Il est tellement facile de gagner la guerre et de perdre la paix. La « démocratie à Bagdad allait conduire à la paix à Jérusalem ». Le slogan de certains néoconservateurs américains a viré à la catastrophe en Irak. L'arrogance est toujours, pour partie au moins, le produit de l'ignorance. Que sait-on des cultures et de l'histoire des populations que l'on veut sauver du chaos ou de ses dictateurs ? Les officiers coloniaux qui, hier, traçaient des lignes dans le sable pour créer les frontières de nouveaux empires ou de nouveaux Etats faisaient fi des complexités tribales et religieuses locales. Aujourd'hui, c'est sans doute pis encore. C'est l'ignorance pure et simple qui l'emporte.
    Enfin, il y a le péché d'indifférence. Certes, l'EIIL (l'Etat islamique en Irak et au Levant) inquiète légitimement Washington et conduit à un rapprochement entre les positions américaines et celles de Téhéran sur l'Irak. Mais le point de départ a été, en Syrie, la peur de l'Amérique de prendre ses responsabilités. Le résultat est clair. Une double défaite pour l'Occident stratégique et éthique. Washington a offert sur un plateau d'argent une victoire diplomatique éclatante à Moscou et permis le maintien au pouvoir de Bachar Al Assad.

    Source: http://www.lesechos.fr/

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EFApVyyEEkhbbkHcne.shtml

  • Les Français rognent sur leur budget santé

    PARIS (NOVOpress via le Bulletin de réinformation) – L’explosion fiscale conjuguée à une inflation générée par l’euro a eu raison des dépenses de santé des Français.

    Selon une étude, le budget moyen d’un Français a baissé de 8 % pour l’année 2013. Les auteurs de l’enquête dressent un constat alarmant : « Que les Français renoncent de plus en plus aux soins et recherchent plus systématiquement des solutions alternatives, en France comme à l’étranger, pour optimiser leur budget et réduire leurs dépenses ». Les postes de dépenses les plus contraints par cette rigueur budgétaire concernent au premier chef les lunettes, les lentilles et les prothèses dentaires. 45 % des personnes interrogées déclarent avoir renoncé à en acheter.

    Pour pallier le manque de moyens, les Français se tournent malgré eux vers les traitements génériques. Ces médicaments bien que peu onéreux ne proposent pas toutes les garanties en termes de qualité et sécurité lorsqu’ils sont fabriqués dans des pays qui ne répondent pas aux critères européens, et notamment français.

    http://fr.novopress.info/153850/les-francais-rognent-budget-sante/

  • NDP : soutien à la manifestation du 26 janvier

    COMMUNIQUÉ

    La Nouvelle Droite Populaire soutient la manifestation « Jour de colère » du dimanche 26 janvier.

    François Hollande essaie de nous faire croire tout et n’importe quoi. Il ne sait plus quoi inventer pour cacher l’état lamentable dans lequel notre pays est tombé. En réalité, François Hollande n’est ni libéral, ni socialiste, il est encore moins social-démocrate ou patriote comme il le prétend ; François Hollande n’est qu’un petit mondialiste servile qui mène, tout comme ses prédécesseurs, une politique soumise aux ordres de la haute-finance planétaire.
    Cela, les Français sont de plus en plus nombreux à s’en rendre compte, ils sont aussi de plus en plus nombreux à ne plus pouvoir le supporter. Voilà pourquoi ils ne croient plus dans les carabistouilles de la classe politique. Voilà aussi pourquoi ils seront nombreux le dimanche 26 janvier prochain sur le pavé parisien pour manifester leur légitime colère.
  • Les députés écologistes obtiennent la suppression de l'expression "en bon père de famille" notamment dans le Code civil

    La survivance de l'expression "en bon père de famille" dans le code civil, le code de la consommation ou encore le code de l'urbanisme représente une "expression désuète qui remonte au système patriarcal". 
    C'est ainsi que les 17 députés écologistes ont expliqué dans un amendement leur volonté de supprimer cette formule. Et ont obtenu gain de cause le 21 janvier au soir, lors de la suite de l'examen du projet de loi sur l'égalité entre les femmes et les hommes. 
    Désormais, "en bon père de famille" sera remplacé par "raisonnablement", soit la traduction d'une expression datant de 1804. Concrètement, quinze parties des codes en vigueur doivent être modifiées.

    Source

    http://www.oragesdacier.info/2014/01/les-deputes-ecologistes-obtiennent-la.html

  • Bedos vs Dieudonné : l’arroseur arrosé ?

    Avant, on risquait le panier à salade pour avoir exhibé son cul au bourgeois. Désormais, c’est pour avoir dévoilé de mauvaises pensées.

    Retour de l’ordre moral ? Il est un fait qu’en France, en 2014, on ne peut quasiment plus rien dire ni écrire. Et qu’il est tout juste possible de penser à voix basse. Au début du siècle dernier, les autorités religieuses pouvaient condamner leurs ouailles aux flammes de l’enfer parce que dans dans un film, il était possible d’entrevoir le sein de Martine Carol. Enfin, juste un bout, et encore, pas les deux à la fois.

    En notre époque de libéralisme avancé, de nouveaux clercs nous disent donc ce qu’il est licite ou non de voir ; ce qu’il est bien ou mal d’entendre ou de proférer. Une bigoterie chasse l’autre. Bigoterie qui, pourtant, peut se retourner contre ses instigateurs. Simple exemple ? Nicolas Bedos, fils de Guy, qui vient de se faire attraper par la brigade de la pensée pour s’être moqué des Antillais.

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