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  • MAUVAIS GENRE

    Je découvre avec stupéfaction les racines très concrètes de la fumeuse théorie du genre popularisée dans les années 90 aux Etats-Unis par la philosophe Judith Butler qui ne cache pas l’inscription de sa pensée dans la lignée déconstructiviste de Foucault, Deleuze-Guattari et Derrida.

    En 1966, les époux Reimer consultent le docteur John Money (1921-2006), sexologue et psychologue néo-zélandais spécialiste de l’hermaphrodisme à l’université américaine Johns Hopkins. Cet homme affirme depuis 1955 que l’identité sexuelle biologique du mâle ou de la femelle ne suffit pas à constituer le genre sexuel du garçon ou de la fille – la thèse cardinale de la Théorie du Genre. Le problème des Reimer ? La circoncision de David pour des raisons médicales, un phimosis, l’un de leurs jumeaux, a raté : la cautérisation électrique a brûlé le pénis, la verge est calcinée.

    Le Docteur Money saisit l’occasion pour prouver expérimentalement la validité de ses hypothèses théoriques. Il invite les parents à éduquer David comme une fille. David devient Brenda. Il subit un traitement hormonal. Quatorze mois plus tard, on lui retire les testicules. Elle est habillée en fille, traitée comme telle. A six ans, il semble devenu une fille. John Money publie des articles et des livres pour défendre la théorie du genre avec ce qui est devenu dans la littérature spécialisée « le cas John / Joan ».

    Or David/Brenda grandit douloureusement. Sa voix mue à l’adolescence ; il est attiré par les filles. Le médecin veut lui imposer une vaginoplastie ; il refuse. Money contraint les deux jumeaux à simuler des relations sexuelles pour stimuler le désir de David. A treize ans, David menace de se suicider si ses parents continuent à lui imposer les visites à Money. A quinze ans, le jeune homme arrête son traitement hormonal et se fait prescrire de la testostérone. Il subit une mastectomie et deux opérations de phalloplastie. Ses problèmes identitaires le détruisent. Il boit. Il suit un traitement médical pour schizophrénie.

    Devant sa détresse ses parents lui révèlent enfin la vérité. Brenda redevient ce qu’il était : David. Il épouse une femme. Mais ne trouve ni la paix, ni la sérénité. Il se suicide en 2002 par une overdose de médicaments. Son frère Brian met fin lui aussi à ses jours en 2004. Silence de Money qui avait publié Homme & Femme, Garçon & Fille en 1972 en racontant l’histoire qui prouvait selon lui la validité de ses hypothèses. Précisons qu’il défendait par ailleurs la pédophilie et stigmatisait l’hétérosexualité comme une convention à déconstruire…

    Michel Onfray

    La suite sur le site officiel de Michel Onfray

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?MAUVAIS-GENRE

  • Publication des comptes des médias : Minute appuie Copé

    L'hebdomadaire est d'accord avec la proposition de Jean-François Copé, concernant la presse subventionnée :

    "[...] Jean-François Copé veut que « les principaux dirigeants et salariés de ces groupes qui utilisent des fonds publics soient désormais soumis aux mêmes règles et obligations de déclarations d’intérêts et de patrimoine que celles des parlementaires ». Le texte s’appliquerait à tout média percevant des subventions, de la publicité étatique ou de collectivités, etc. Bref, à tout le monde ou presque.

    A « Minute », notre position est claire et se résume en un mot: banco ! A l’appel de Copé – « J’appelle toutes celles et tous ceux qui sont, comme moi, attachés à une véritable transparence et à une véritable démocratie à soutenir dès aujourd’hui ma proposition et à faire entendre leur voix » –, nous répondons présent. Et nous appelons tous nos confrères à faire de même. En se mettant quelques instants dans la peau des politiques, quels qu’ils soient. Suivant la voie ouverte, dans les années 1960, par « Le Canard enchaîné », « Minute » et « L’Express », tous les médias se sont peu à peu engouffrés dans l’investigation – ou, pour certains, dans la publication de dossiers pré-fournis mais c’est une autre histoire. La quasi-totalité des médias est maintenant en quête de « révélations » et exige – c’est le terme – des hommes politiques une totale transparence. Les seuls qui ne soient pas sommés de s’expliquer sur leurs liens avec tel groupe de pression, leurs collusions avec telle entreprise ou tel parti politique, leur train de vie: les médias et leurs principaux collaborateurs – leurs dirigeants. La presse n’enquête pas sur la presse. Ou alors à la marge, par « nécessité » économique ou dans un but politique. L’argent coule-t-il moins à flots dans les rédactions, télévisées par exemple, que dans les partis politiques ? Les journalistes en vue, qui n’ont de comptes à rendre à personne, sont-ils moins influencés dans leurs prises de position que les hommes politiques qui, eux, ont au moins à rendre compte à leurs électeurs ? De récentes études d’opinion indiquent que, pour les Français, les journalistes ne sont plus crédibles. Voilà une occasion de regagner un peu du discrédit qui les frappe… à moins, évidemment, que ce soit plutôt l’occasion, pour une partie d’entre eux, de perdre définitivement tout crédit…"

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/03/publication-des-comptes-des-m%C3%A9dias-minute-appuie-cop%C3%A9.html

  • Donner la parole au peuple ? Vous n’y pensez pas !

    La liberté, la démocratie et les valeurs républicaines ont parfois de bien curieux défenseurs et suivent d’étranges détours.

    Montrée du doigt, puis mise à l’index et maintenant au piquet… Après avoir condamné l’agression sauvage perpétrée par la Russie contre l’Ukraine, les États-Unis et l’Union européenne, fermement résolus à ne pas s’y opposer par la force, compensent leur inertie dans les faits par une escalade dans les mots. Comme des parents qui discuteraient devant un enfant turbulent de la punition qu’ils lui infligeront, comme des juges qui délibéreraient en présence d’un prévenu, les dirigeants occidentaux, à commencer par un Obama qu’on aurait cru plus maître de ses nerfs, ne s’interdisent d’avance aucune riposte ni, pour commencer, aucun excès verbal face à « la pire crise du XXIe siècle en Europe ».

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  • L’UMP joue la transparence sur sa comptabilité… dès que les magouilles seront terminées

    PARIS (Bulletin de réinformation) - L’UMP se trouve mêlée à un nouveau scandale avec des accusations du journal Le Point en raison de prestations surfacturées par des prestataires de communication qui seraient proches de Jean-François Copé. Ce dernier se prétend victime d’une chasse à l’homme et annonce la mise à “disposition de l’intégralité de la comptabilité” de l’UMP.

    Il a aussi annoncé déposer une proposition de loi pour soumettre les “principaux dirigeants et salariés des médias” bénéficiant d’aides ou de fréquences attribuées par l’État à des contrôles comparables à ceux des parlementaires. Courageux, mais pas téméraire, il attend l’issue du vote sur ces textes pour mettre à disposition la comptabilité de son parti.

    http://fr.novopress.info/158607/lump-joue-transparence-comptabilite-les-magouilles-seront-terminees/

  • Accueil de Ayrault à Nantes le 28 février : dictature socialiste

  • Des enseignants ou des saltimbanques ?

    Selon le baromètre d'un site d'offres d'emploi, le métier le moins attractif en 2013 a été celui d'enseignant.
    Le site d’offres d’emploi jobintree.com publie un baromètre des emplois en fonction de leur attractivité. Il s’agit de comparer le nombre de candidatures que les offres d’emploi reçoivent par profession. Le métier le moins attractif en 2013 a été celui d’enseignant. Il était à la quatrième place du « palmarès » dans le précédent classement ; il passe cette année à la première place.
    Cette étude s’inscrit, hélas, dans une série qui montre le véritable déclassement que subit cette profession. L’OCDE a montré que les enseignants en France sont parmi les plus mal payés des pays développés ; la fondation Varkey GEMS  a relevé qu’ils étaient parmi les plus mal considérés.

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  • [Paris] Cercle du vendredi 7 mars 2014

    Vendredi 7 mars -18h30- Projection du film "Michael Collins" 1996. Directeur des services secrets de l’IRA et Commandant en chef de l’Armée nationale irlandaise. Un exemple d’investissement et d’abnégation dans la lutte nationaliste.

    Présentation par Antoine Desonay, secrétaire général des étudiants.

    Apéro suivra.

    parisetudiants@actionfrancaise.net