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  • Le Front National sous la coupole ? La France dans le monde ?

    L’Académie française abrita tout au long de son histoire de fieffés réactionnaires et autresaffreux « d’extrême droite ». Pour autant « Le Front National ne doit pas entrer sous la Coupole » déclarait dernièrement un académicien sous le sceau de l’anonymat. Une déclaration qui en dit long sur la nature de la polémique qui a agité le petit monde germanopratin depuis que la candidature d’Alain Finkielkraut à l’Académie a été connue. Celui-ci a cependant été élu hier dés le premier tour par 16 voix sur 28 au fauteuil 21, en remplacement de l’écrivain d’origine belge Félicien Marceau décédé il y a deux ans. De manière plus ou moins explicite, Pierre Nora, Michel Déon, Max Gallo, Hélène Carrère d’Encausse ou encore Jean d’Ormesson, avaient apporté leur soutien à Finkielkraut, M. d’Ormesson ayant même affirmé qu’il ne siégerait plus sous la coupole en cas de non élection de ce dernier !

    La présence dans cette auguste assemblée de Valéry Giscard d’Estaing ou de Simone Veil, pour ne citer qu’eux, permet de douter que les actuels académiciens, comme d’ailleurs un grand nombre des générations précédentes, soyons justes, y font toujours leur entrée pour des raisons ayant trait à leur génie littéraire, artistique, pour leur apport essentiel au débat intellectuel. Bref que leur immortalité dépassera quelquesgénérations. Reste que l’aura médiatique d’Alain Finkielkraut, qui élabore incontestablement par ses travaux une réflexion de fond sur le devenir de notre société, qu’on l’approuve ou non, était sans commune mesure avec celle des cinq autres candidats en lice, Alexis Antois Gérard de Cortanze, Yves-Denis Delaporte, Robert Spitzhacke et Athanase Vantchev de Thracy.

    Nous avons déjà évoqué sur ce blog les évolutions heureuses de la pensée de l’ex militant gaucho-maoïste Alain Finkielkraut, actées notamment par son dernier ouvrage L’identité malheureuse, déjà vendu à plus de 80 000 exemplaires. Au delà de son sionisme de droite, dénoncé avec virulence par l’extrême gauche altermondialiste, l’extrême droite antisioniste, des figures de la communauté musulmane, la gauche progressiste…. et les sionistes de gauche, c’est bien ce livre qui a réactivé les accusations de crypto frontisme portées contre lui.

    Avec 20 ans de retard sur l’opposition nationale, les écrivains et essayistes appartenant à cette famille de pensée, il est devenu un contempteur du modernisme, du multiculturalisme, des dérives de l’Education dite nationale, d’une idéologie antiraciste quia aujourd’hui pris le relais de l’intolérance communiste. Il entend désormais défendre le « Français de souche », atourné radicalement la page du cosmopolitisme à tout crin, de l’apologie de l’immigration, du métissage généralisé et de la disparition des Etats nations qu’il célébrait encore dans les années 90 aux côtés des Jacques Attali, de son ami BHL et autresAlain Minc.

    Pour autant, les outrances, les ambiguïtés, les positionnements géopolitiques en contradiction avec les intérêts de la France du personnage sont connus. Emmanuel Ratier en fait la recension dans un portrait qu’il dresse du nouvel académicien sur le site d’E & R. Ayant ses entrées à l’UMP, célébré par Nicolas Sarkozy, toujours membre du comité d’honneur de laLicra (comme les immortels Simone Veil et Jean-Denis Bredin), M. Finkielkraut réaffirmait il y a quelques années qu’il réservait sa « haine » (!) au FN ou encore dernièrement qu’il considérait comme « insultant » d’être comparé à Marine le Pen.

    Est-ce là l’expression d’une certaine schizophrénie, d’une conviction profonde ou le biais qu’il a trouvé pour éviter une certaine marginalisation, énoncer certaines vérités, garder ses entrées dans les médias et la tête de son émission sur France Culture ? Peu importe après tout, puisque à son corps défendant ou non, il participe à la légitimation de beaucoup d’analyses portées par le Front National, à la remise en cause d’idées et d’évolutions mortifères.

    Les téléspectateurs qui ont regardé hier Marine Le Pen, invitée Des paroles et des actes, confrontée notamment sur les questions européennes au socialiste Yann Galut et au député européen UMP Alain Lamassoure, défenseur de la création d’un impôt européen (!), ont pu mesurer la justesse du jugement de M. Finkielkraut sur les évolutions de l’UE. Il notait le 13 octobre dernier dans Le Figaro que « l’Europe n’est plus une construction, ni une civilisation, mais une maison de redressement, et ses commissaires sont des pions aigres et vindicatifs qui, juchés sur les tabourets de ce qu’ils croient être la mémoire d’Auschwitz, font la leçon aux peuples européens ».

    Face à Marine, M. Lamassoure a ainsi déroulé de faibles arguments moraux, de pure propagande, convoquant l’histoirepour justifier l’inféodation de la France à Bruxelles(principalement la réconciliation franco-allemande), le terrible bilan de la monnaie unique, le caractère irrémédiable de l’UE. Embarqué dans un wagon de première classe, ses amis pilotant la locomotive, ne voulant ou ne pouvant stopper la machine ou changer d’aiguillage,l’Europe, vantée avec un autisme sidérant par Alain Lamassoure évoque la description de l’éthologue américain Robert Ardrey : « un train de munitions qui fonce, tous feux éteints, dans le brouillard nocturne. »

    De manière plus générale, M. Lamassoure comme les technocrates des officines bruxelloises sous domination de Washington, leurs clones des partis européistes, sont aussi porteurs d’unpensée historiciste, d’une croyance en un sens de l’histoire, derrière laquelle se cache et travaille les forces de la subversion mondialiste.

    Le réalisme européiste de M. Lamassoure, des dirigeants de l’UMPS, n’est en fait que la décalque du dogme marxiste selon lequel l’histoire obéit à une fin immanente, fin qui avec le marxisme a pris conscience d’elle-même. La vision d’une histoire perçue comme une marche progressive, parfois heurtée, mais jamais interrompue, vers une sociétésocialiste ; vers une société européenne, sous gouvernance mondial (isée), émergeant sur les ruines des États nations, chez MM. Lamassoure, Galut et leurs amis.

    Telle serait la façon réaliste de juger l’histoire pour les marxistes, toute autre perspective serait « irréaliste », « subjectiviste », « antiscientifique ». « Démagogique », « non crédible », « menant à la catastrophe » disent les adversaires de la voie alternative portée par les défenseurs de l’Europe des patries et des nations libres. Ainsi, seule l’intégration poussée plus avant de nos nations au sein du magma bruxellois serait conforme à cette marche, au sens de l’histoire.

    Cette vision là est singulièrement étrangère au vrai génie, à la vision du monde de notre civilisation européenne. Bruno Gollnisch affirme lui que ce sont aux hommes libres qu’il appartient de faire ou de défaire l’histoire. Il n’est pas envisageable, par fatalisme, paresse intellectuelle, renoncement, d’accepter notre déclin, un État croupion et colonisé, ravalé au rôle de länder, de figurant de troisième zone. Oui, la France, plus vieille nation du monde avec la Chine, peut recouvrer sa prospérité ; oui elle a un destin ;oui elle a encore un rôle essentiel à jouer dans le monde, un message à apporter aux peuples qui luttent pour la sauvegarde de leur identité, de leurs libertés, de leur souveraineté.

    http://gollnisch.com/2014/04/11/front-national-coupole-france-monde/

  • Quand Zemmour valide la notion de « Grand Remplacement » !

    J’ai eu le plaisir d’assister à un grand moment de télévision, le vendredi 11 avril 2014. Mémorable. En effet, au terme d’une diatribe enflammée, Éric Zemmour l’a enfin dit : le « Grand Remplacement » est une réalité ! C’est une première, le concept de Renaud Camus a été repris sur un grand média, i>Télé, dans l’émission « Ca se dispute ». Même Nicolas Domenach n’a pas eu le temps de relever, il était sonné.

     

    Alain Finkielkraut passait alors sur le banc des accusés : avait-il été, ou non, trop loin en affirmant que certains Français votent Front national car ils estiment que leur civilisation disparaît, que nos charcuteries traditionnelles sont remplacées par des boucheries halal, ou qu’il n’y a plus d’autochtones dans certaines villes de la banlieue parisienne ? Fantasmes, selon Nicolas Domenach, ou effet secondaire d’autres crises sociales, économiques… [...]

    Gabriel Robin - La suite sur Boulevard Voltaire

  • 26 avril : marche pour le choix à Luxembourg

    Alors que le gouvernement luxembourgeois menace la liberté éducative, avec des enseignements obligatoires de morale dans les écoles, une marche pour la liberté scolaire est organisée le 26 avril, avec le soutien de Mgr Hollerich, archevêque de Luxembourg.

  • Balkans : des processus d’éclatement réactivés

     

    Au cœur de l’Europe du sud-est, des processus d’éclatement sont réactivés depuis quelques mois. Derrière une révolte sociale étendue aux Républiques de Bosnie-Herzégovine, du Monténégro et de Serbie, on voit poindre plusieurs mécanismes :

    - le rejet par les populations locales des privatisations effrénées et des abus de pouvoirs par les autorités régionales et locales dans chacune des républiques ; 

    - la reconfiguration politique des entités créées aux accords de Dayton en 1995, et le pouvoir d’attraction de leur matrice respective (Croatie, Serbie, Turquie) ; 

    - la renaissance de la question d’orient, avec l’essor de la politique néo-ottomane, l’action des ONG états-uniennes et l’ingérence croissante de l’UE.

    pour voir la video 

     

  • Union Européenne : Comment le lobby financier pèse sur Bruxelles

    120 millions d’euros : il s’agit du montant, en euros, dépensé chaque année par l’industrie financière en actions de lobbying à Bruxelles, auprès des institutions européennes.

    C’est ce que révèle le think tank européen Corporate Europe Observatory (CEO), mercredi 9 avril. Selon ce dernier, la finance emploie 1 700 lobbyistes dans la capitale belge, soit bien plus que tous les autres secteurs.

    Le rapport de CEO, intitulé « The Fire Power of the Financial Lobby », est publié à la veille des élections européennes et alors que nombre de régulations, comme celle visant à instaurer une taxe sur les transactions financières, sont encore en négociation à Bruxelles.

    Pour obtenir ces estimations, les experts de CEO ont passé au crible le « registre de transparence » instauré en 2008 sous la pression des eurodéputés, et où toutes les organisations exerçant du lobbying sont censées s’enregistrer.

    « Comme l’enregistrement est volontaire, le véritable nombre de lobbies est sans doute plus élevé », remarque le rapport.

    Les chercheurs ont également épluché des dizaines d’autres documents, comme les « Lobbying contact reports », ou « rapports des contacts avec les lobbies », des Conservateurs Britanniques.

    On y découvre que sur les six premiers mois de 2013, les 25 députés européens Conservateurs du Royaume-Uni ont rencontré 74 représentants de l’industrie financière ou assimilés.

    « Les régulations en cours, comme celle des produits dérivés, ont été discutées lors de ces réunions, explique le rapport. Parmi les organisations actives, JP Morgan, Citigroup et Goldman Sachs étaient également présentes ».

    Agenda européen sous influence

    Dans le « registre de transparence », CEO a identifié 208 organismes déclarant officiellement s’adonner à du lobbying relatif aux « services financiers », et 700 au total en ajoutant ceux non enregistrés. Ils exercent leur influence essentiellement auprès du Parlement européen et de la Commission européenne.

    « C’est le jeu démocratique : tout le monde fait cela », remarque un banquier parisien, soulignant que des associations œuvrant pour faire contrepoids à la finance, comme l’ONG Finance Watch, sont également présentes dans la capitale belge. C’est vrai, mais elles restent minoritaires, souligne toutefois le rapport.

    Ainsi, sur les 906 organisations consultées par Bruxelles pour réfléchir aux régulations à mettre en place après la crise, 55 % représentaient la finance, contre 12 % pour les autres secteurs et 13 % pour les ONG, syndicats et associations de consommateurs.

    De plus, sur les 700 lobbies recensés, 140 sont originaires du Royaume-Uni, ce qui en fait le pays le plus présent.

    « Il est évident qu’en déployant de tels moyens, ces organisations ont largement réussi à influencer l’agenda européen sur les réformes financières, conclut CEO. Nous estimons qu’il est dangereux qu’un secteur qui a provoqué autant de dégâts puisse avoir une telle influence sur les législations qui le concerne. »

    Le Monde

    http://fortune.fdesouche.com/336143-union-europeenne-comment-le-lobby-financier-pese-sur-bruxelles#more-336143

  • [Entretien] Anne Brassié et Stéphanie Bignon à L’AF 2883 : La foi contre le féminisme

    Respectivement écrivain et ingénieur, Anne Brassié et Stéphanie Bignon expriment d’une plume commune leur hantise du féminisme. Elles ont bien voulu nous présenter leur petit livre.

    À la veille de sa démission, le gouvernement de Jean-Marc Ayrault avait confirmé son engagement « dans la lutte pour l’égalité entre les femmes et les hommes »,...

     

    ...poursuivant un objectif demeuré apparemment consensuel, en dépit des polémiques sur le "genre", ses "études" et sa "théorie". Ici ou là, cependant, quelques voix discordantes se font entendre. « Cessez de nous libérer ! », clament Stéphanie Bignon et Anne Brassié, dans un petit livre paru en février dernier (2014). « L’égalité est une tarte à la crème », écrivent-elles. « Elle n’existe pas. Nous sommes égaux devant Dieu, mais sur la terre nous avons des fonctions distinctes à assumer. »

    LE DROIT AU COCUFIAGE

    De leur point de vue, « nous sommes accablés de mensonges sur la condition féminine ». Les "droits" dont on nous raconte sans cesse la conquête n’en seraient pas vraiment... « Croyez vous que le droit de vote soit un progrès ? », nous demande Anne Brassié ; ce n’est jamais que « le droit de se faire cocufier » ! Au Moyen Âge, nous rappelle-t-elle, « la femme avait son héritage, elle le gérait, et son mari n’avait rien à dire ». Mais en dépit des mystifications républicaines, les inégalités salariales ne sont-elles pas de flagrantes injustices ? « La vérité oblige à dire que ces mêmes femmes » qui en seraient victimes « choisissent des fonctions moins prenantes pour rentrer plus tôt chez elles auprès de la petite famille qui les attend », répondent les auteurs. Stéphanie Bignon nous a rapporté en avoir discuté avec ses collègues de travail. « Ne croyez-vous pas que le salaire est ailleurs ? », leur a-t-elle demandé. Hélas, regrette-t-elle, « notre société ne reconnaît que la valeur financière ». Cela étant, les hommes ne pourraient-ils pas passer eux-mêmes davantage de temps au foyer ? « Il faut aussi apprendre aux chiens à ne pas pisser dans un jardin », rétorque Anne Brassié. « Il y a des choses qui se font depuis toute éternité qu’on ne change pas », affirme-t-elle. « L’éducation n’est pas en cause mais la chimie », est-il précisé dans le livre. « En effet, la biologie est essentielle dans le déterminisme du sexe. »

    « Nous voulons défendre la liberté de chacune et permettre la libre expression des vocations profondes », expliquent les auteurs. Or, celle des femmes peinerait à s’épanouir aujourd’hui. À la différence d’Éric Zemmour, Stéphanie Bignon ne croit pas que la société se soit "féminisée". « C’est l’inverse », nous dit-elle. « Nous vivons dans un monde uniquement masculin, tourné vers la performance, la vitesse, etc. » Travaillant sur des chantiers sous-marins, elle revendique un rôle protecteur à l’égard des ingénieurs qu’elle encadre - ses « petits poussins », comme elle les appelle –, veillant tout particulièrement à la sécurité. « C’est cela être femme ! Je fais mon métier au-delà de la nécessité de gagner de l’argent, pour protéger la mer et les générations futures. »

    L’HISTOIRE PLANIFIÉE ?

    Enthousiaste, passionnée même, elle considère la société actuelle avec une profonde indignation. « Les gens n’ont jamais été aussi emprisonnés, aussi peu libres que sous cette république décadente », déplore-t-elle. « On leur a appris à ne pas vivre de leur travail. Voilà ce dont il faut nous libérer ! Apprenons à faire sans l’État, refusons les aides ! Si les agriculteurs avaient réagi ainsi il y a vingt ans, l’agriculture n’en serait pas là... » Autrement dit, « la libération ne se fera que par le travail de chacun ». Plus précisément, c’est « à l’intérieur de nous-mêmes » que la « reconquête » serait à mener.

    La foi irrigue chaque page de l’ouvrage. Elle inspire même le regard porté sur l’Histoire, qui n’est pas sans rappeler celui d’un Pierre Hillard, par exemple. « Ce n’est pas un hasard si on en est arrivé là », écrivent Anne Brassié et Stéphanie Bignon, fustigeant l’évolution des mœurs. « Certains se sont fixé un tel objectif », affirme-t-elles. « Dans le rôle du chef d’orchestre on trouve, au fil de l’histoire, des francs-maçons. Systématiques dans leurs intentions, efficaces dans leurs actions, ils ont tout annoncé clairement. » Leur motivation ? « Jouir sans entrave », nous souffle Anne Brassié. En effet, nous explique-t-elle, « vous ne pouvez pas jouir librement d’une femme si elle ne prend pas la pilule, si elle ne peut pas avorter ». En réaction, donc, « il nous faut remettre Dieu dans la sphère publique », clament les auteurs. « On nous dit souvent que la France a traversé des périodes difficiles », poursuit Stéphanie Bignon. « C’est vrai, mais la France a toujours été croyante. Sans retrouver Dieu, on ne retrouvera pas de Jeanne, on ne retrouvera rien », prévient-elle.

    MAURRAS EN MER

    « Je suis devenue royaliste en lisant Charles Maurras, dont j’avais emporté les livres en mer », nous a-t-elle raconté. « Ce faisant, j’ai pu découvrir tout un univers. J’ai tiré les fils de la bobine... Je n’avais fait ni ma confirmation, ni ma première communion. Grâce à Maurras, je suis remontée à l’essentiel, c’est-à-dire notre religion catholique. Cela m’est apparu aussi évident que le fait d’être royaliste. » Quoique cela nous éloigne du "politique d’abord", les institutions sont toujours en cause. « L’Ancien Régime et la République fonctionnent différemment, l’un sur l’ordre naturel, la famille, le pouvoir reçu de Dieu et le bien commun, l’autre sur les partis, les luttes d’intérêts et le profit », soulignent les auteurs. « L’un admet l’imperfection des choses de ce monde, l’autre prétend à la perfection et nous impose une marche forcée ver l’utopie égalitariste. » Fussent-ils agnostiques, c’est une analyse que partageront vraisemblablement la plupart des esprits formés à l’école d’Action française.

    Propos recueillis par Grégoire Dubost - L’AF 2883 - Journal d’un eurosceptique désabusé

    Stéphanie Bignon, Anne Brassié, Cessez de nous libérer !, éditions Via Romana, 166 pages, 12 euros.

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Khmers-roses-L-Inter-LGBT-veut

  • Ukraine : USA et UE qui pleurent et Poutine qui rigole ?

    C’était malheureusement prévisible, mais la tension monte en Ukraine. Ce samedi, à Slaviansk, à l’est russophone du pays, des « milices » d’hommes armés et cagoulés, mais sans uniforme, ont investi les QG de la police locale des services secrets ukrainiens, la SBU. À l’heure où ces lignes sont écrites, un mort et cinq blessés chez les loyalistes ukrainiens et un « nombre indéterminé » chez les séparatistes russophiles et russophones.

    Où sont le droit et la légitimité ? La question mérite d’être posée, le président pro-russe Viktor Ianoukovitch ayant été destitué, non point à la suite d’élections ou de référendum, mais sous la pression de la rue. Rue dont la légitimité peut être, elle aussi, sujette à caution, surtout quand on se rappelle qu’une précédente révolution locale, la « révolution orange », avait été largement manipulée par la CIA et financée par George Soros, milliardaire américain connu pour ses manières singulièrement intrusives.

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  • TVL : persécutions judiciaires contre Riposte Laïque et le Réseau Identité