- Page 14
-
-
Dieudonné soutient Anne Sophie Leclère
-
Accueil du Tour de France à Bergerac
-
TVL : Journal du 25/07/2014
-
Anne-Sophie Leclère, condamnée sur plainte de Walwari, association de Taubira
Lu dans Minute :
"[L]’incroyable condamnation d’Anne-Sophie Leclère par le tribunal correctionnel de Cayenne est venue mettre en lumièreWalwari, mouvement fondé par Christiane Taubira. Au procès d’Anne-Sophie Leclère, Walwari s’est porté partie civile et le tribunal lui a accordé 50 000 euros à titre de dommages-intérêts ! Une somme à acquitter conjointement par Anne-Sophie Leclère et par le Front national. [...]
A quel titre Walwari s’est-il porté partie civile ? Sur quelles bases le tribunal a-t-il estimé que cette constitution de partie civile était recevable ? Mystère guyanais. Les attendus du jugement n’en disent rien. Les statuts de Walwari… non plus ! L’objet de ce mouvement politique guyanais est, entre autres banalités, de « contribuer à développer la responsabilité et la dignité de l’homme ». La possibilité d’ester en justice n’est pas prévue par les statuts… Tout juste est-il mentionné que le secrétaire général de l’organisation « agit et défend en justice le mouvement ». Or Walwari n’était pas en cause dans le photomontage. Walwari, c’est, à l’origine, le mouvement politique de Christiane Taubira-Delannon ainsi qu’elle se faisait appeler, s’étant adjoint le patronyme de son mari, Roland Delannon, rencontré dans les années 1970 alors qu’ils militaient tous deux au Mouvement guyanais de décolonisation (Mo guyde) qu’il avait fondé. [...]
Taubira n’est pas que la fondatrice – avec son mari – de Walwari comme on l’a lu depuis le jugement contre Anne-Sophie Leclère.Elle en est une des élues. Donc un membre. Ou alors, si elle l’a quitté, Walwari n’est pas au courant. Car à la rubrique « nos élus » de son site, Walwari affiche, sur le plan national, un sénateur, Jean-Etienne Antoinette, par ailleurs maire de Kourou, et « Christiane Taubira, garde des Sceaux, ministre de la Justice », avec cet ajout : « Elle n’a cessé depuis 1993 de participer pleinement à la vie de ce parti. » Pas au sein de la commission juridique tout de même ? [...]
Le siège social de Walwari est au 35, rue Schoelcher, à Cayenne. C’est l’adresse de la permanence parlementaire de Christiane Taubira. [...]"
-
Les Cristeros de Mossoul (Présent n° 8152)
Le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve (PS) a fait très fort dans le sectarisme républicain de gauche dont les gens de sa famille politique sont coutumiers. Le ministre français, dans un tweet (rapidement retiré) a manifesté sa « solidarité pour les enfants de Gaza, les Chiites de Mossoul et les jeunes Syriens ». Oubliant ou balayant au passage les chrétiens d’Irak. En réponse, l’écrivain Christian Combaz s’est fendu d’une excellente lettre ouverte dans laquelle il le sèche sur place, en beauté.
Lisez-la en entier sur le site Figarovox, elle vaut le coup de clic : « Visiblement quand on est Républicain à votre manière on n’honore que le malheur musulman, servilement, au moment où des milliers de Chrétiens fuient la ville de Mossoul après avoir été placés devant le choix de l’abjuration ou de l’exil ».
Lien permanent Catégories : actualité, géopolitique, international, lobby, magouille et compagnie, religion 0 commentaire -
Journal de bord de Jean-Marie Le Pen n°371
-
Internet censuré, liberté en danger
Les députés ont voté mardi, en commission des Lois, le blocage administratif de sites« faisant l’apologie du terrorisme », et ce, sans intervention de la justice.
L’Assemblée devra se prononcer en plénière mi-septembre sur l’ensemble du projet de loi de lutte contre le terrorisme.
Quelques heures avant le vote, une commission spécialisée avait durement contesté le projet du ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, en rappellant que « le préalable d’une décision judiciaire apparaît comme un principe essentiel, de nature à respecter l’ensemble des intérêts en présence, lorsque est envisagé le blocage de l’accès à des contenus illicites sur des réseaux numériques ».
Mais le projet, très cher au cœur de Manuel Valls sera surement validé en septembre.
Aujourd’hui, comme pour tous les projets de loi concernant les libertés sur Internet (Hadopi, Loppsi 2, Loi de programmation militaire, etc.), des députés de tous bords tentent de s’opposer en vain, à la marche forcée du contrôle d’Internet, priorité de « droite » comme de gauche.
Libertés en danger
Reporters sans frontières (RSF), qui n’a pas pour habitude de critiquer la France, n’y va pas de main morte. Dans son communiqué, ils affirment que cela « pourrait engendrer un recul de la liberté d’information puisqu’il (…) prévoit le blocage administratif de sites internet et augmente les mesures de surveillance ».
A l’heure où certains partent en garde-à-vue pour un tee-shirt Manif Pour Tous pendant que d’autres défilent librement dans nos villes un drapeau du djihad à la main, la lutte contre le terrorisme mériterait d’être bien définie…
Le terrorisme progresse, des centaines de jeunes « Français » partent faire le djihad en Syrie sans que nos services secrets ne soient capables de les intercepter ou de les surveiller correctement et les terroristes sont les premiers au courant de cette surveillance accrue d’internet. Pas moins malins que les autres, ils ont depuis longtemps opté pour une communication sans internet ni le téléphone (Lire à ce sujet Al Qaida en France, de Samuel Laurent).
La « sécurité de tous » ne passera pas par le contrôle d’internet, la censure en revanche, oui.
Et si derrière le mot « terroristes », les seuls opposants politiques étaient visés ?
-
Journal de bord de Jean-Marie Le Pen n°370
-
Nazaréen !
Communiqué du député Gilbert Collard :
"En Irak, à Mossoul, en ce moment, dans ce drôle d’été des haines et des guerres, les djihadistes exterminent des chrétiens, nos frères d’âme, seuls au monde dans les vacances de l’imprévisible, et cela en toute impunité, en toute indifférence des consciences, des micros, des caméras, des sermonneurs en onde. C’est ici, un jour ce sera là, il en est ainsi des horreurs qu’on laisse faire et qui sonnent le glas sans qu’on l’entende.
L’ONU dénonce un crime contre l’humanité ! Quelle humanité ? Elle ne préoccupe personne, c’est une humanité humble, silencieuse, massacrée, persécutée, humiliée : même une partie des chrétiens est en vacances, même les belles âmes habituellement prolixes se taisent, occupées, sans doute, à préparer les indignations de la rentrée, un petit billet par ci, une petite chronique par-là, un bon point ici, un mauvais point là, un fasciste ici, un raciste là. Et les républicains toujours en train de républicaniser que font-ils à l’image de Bernard Cazeneuve le républicain d’office des sacristies médiatiques où il récite ses patenôtres républicains ? Un tweet ainsi rédigé, puis effacé : « Quand on est républicain, on ne distingue pas entre les enfants de Gaza, les chiites de Mossoul et les jeunes syriens. » Et les chrétiens persécutés, les milliers qui fuient Mossoul, le républicain, il s’en moque, il les oublie !
En application de la charia le « califat » impose des choix inhumains aux chrétiens : partir en abandonnant tout, payer l’impôt des dhimmis, les non-musulmans en pays islamique, les inférieurs, se convertir ou mourir « par le glaive » ! Les stigmates de l’épouvante se répètent, différents selon les victimes, mais toujours les bourreaux ont les mêmes manies, marquer l’autre d’une étoile, d’une lettre, d’un repérage dont le chasseur d’humain a besoin pour loger sa proie. Sur chaque maison de chrétien, les assassins tracent un N pour « Nazaréen ». Les maisons délaissées par les fuyards ou les morts sont saisies par l’État islamique. Cette persécution s’étendrait à la banlieue d’Alep en Syrie et à celle de Bagdad en Irak, occupée par les factions islamiques. Et dire qu’on a tué les tyrans…
Que faire? Impuissance des droits de l’homme quand l’homme ne compte pas dans le commerce médiatique et commercial. On pourrait au moins crier ! Non, même pas, plus de voix, aphonie des cordes vocales des pendus à la potence des peuples persécutés. Il est où BHL ? Ils sont où les professeurs de morale politique ? Pardon pour ces quelques lignes inutiles, mais que faire ? Que faire ?
Se taire c’est se terrer. Au moins, crions ! Faisons honte au silence. On tue plus tranquillement avec un silencieux…"