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  • Une paroisse catholique du Michigan loue le local occupé par un centre d avortement et le convertit en centre pro-vie

    Etats-Unis – Une paroisse catholique de Lansing (Michigan) a trouvé une méthode innovante pour fermer le seul centre local d’avortement :  elle a loué le bâtiment qui abrite le centre d’avortements WomanCare. L’initiative a été autorisée par l’évêque du diocèse, Mgr Earl Boyea.  L’Eglise a donné deux mois au centre pratiquant l’avortement pour quitter la propriété, maintenant consacrée à la promotion de la Vie.
    L’Eglise accueillera dans ce bâtiment de 4.100 mètres carrés, situé au 1601 Grand River Avenue, des bureaux et les activités du groupe pro-vie ’40 Days for Life’.

    L’un des protagonistes de cette initiative, le prêtre Steve Mattson, a SIGNAL2 qu’il avait déjà notifié par écrit au propriétaire de l’avortoir de WomanCare, Theodore Roumell, l’avis d’expulsion, qui débutera le 1er Octobre.
    Les organisations pro-vie qui ont participé à la campagne de prière et de jeûne pour la fin de l’avortement vont profiter à partir de maintenant de 1.500 m² pour développer leurs programmes, et principalement pour aider les femmes enceintes en situation de besoin.

    Le centre d’avortement de WomanCare était à charge du chirurgien de 78 ans, Theodore Roumell, qui a été contraint de fermer un autre centre quand le scandale de l’avortement forcée d’une femme a été connu. Un autre centre d’avortement, également à Lansing avec le même nom, avait été fermé en 1989, après que les pro-vie aient trouvé les corps de bébés avortés dans une benne à ordures près du centre.

    http://medias-presse.info/une-paroisse-catholique-du-michigan-loue-le-local-occupe-par-un-centre-d-avortement-et-le-convertit-en-centre-pro-vie/13912

  • L'Action française et l'histoire (1900-1940)

    Le colloque sur L’Action française, culture, société, politique du Centre d’histoire de Sciences Po, premier d’une série de trois consacrés à l’AF, a donné naissance à un ouvrage universitaire titré de la même façon, ouvrage auquel il nous semble important de consacrer une série d’articles pour faire le point des connaissances sur notre propre histoire politique et en tirer des enseignements eux aussi éminemment politiques. Après l’article sur Les ligues nationalistes et l’Action française, voici celui sur L’AF et l’Histoire (de 1900 à 1940), au travers du regard porté sur deux communications rapportées dans l’ouvrage.

    L’Action française a toujours accordé une grande place à l’histoire, qui venait étayer son argumentation à l’égard des nationalistes en leur montrant que ses leçon ne pouvaient que les amener à conclure à la monarchie. C’est ce que montrent Christian Amalvi et Philippe Boutry.

    Ils rappellent quelques noms souvent ignorés des monarchistes eux-mêmes et qui, pourtant, ont participé parfois à l’élaboration, plus souvent à l’actualisation et à la diffusion de "l’histoire capétienne" véhiculée par l’Action française : Jacques Bainville et Pierre Gaxotte, mais aussi Frantz Funck-Brentano, Marie de Roux, Louis Dimier, Auguste Longnon et son fils Jean, et, plus proches de nous dans le temps, Philippe Ariès ou Raoul Girardet (encore de ce monde, d’ailleurs). Les deux communications, se chevauchent et se complètent fort utilement.

    Le passé en vue de l'avenir

    Amalvi comme Boutry ajoutent à la liste des "non-historiens" qui, par leur recours et leur lecture politique du passé, ont, à leur manière, forgé une vision d’AF de l’histoire : des idéologues, comme Maurras ; des journalistes, le plus souvent polémistes, comme Léon Daudet et Georges Bernanos. M. Amalvi souligne que « le passé affleure constamment dans l’oeuvre de Maurras, non comme récit chronologique, mais comme preuve concrète pour appuyer une démonstration théorique et abstraite d’une rigueur implacable », ce que confirme M. Boutry : « Maurras lui-même, en dépit de ses immenses lectures, n’est nullement un historien ; ni son argumentaire ni sa polémique n’ont, en toute rigueur, besoin du document ou de l’archive pour exister ; sa "synthèse subjective" et son "empirisme organisateur" ne sont pas fondamentalement d’ordre historique, mais doctrinal. »

    Sans doute Maurras signifie-t-il ainsi que, pour lui, l’histoire est le moyen de connaître ce qui "a marché" et, au contraire, ce qui est néfaste pour la France : il en a une lecture non pas purement historienne, mais, au contraire, éminemment politique. Jamais Maurras, d’ailleurs, ne s’est voulu historien et il écrit en politique par le biais de l’empirisme organisateur (« la mise à profit des bonheurs du passé en vue de l’avenir que tout esprit bien né souhaite à sa patrie », suivant sa conception) ; il intègre l’histoire à sa démonstration, au risque parfois de déconcerter les historiens eux-mêmes.

    "École capétienne"

    Il y avait des historiens royalistes et même une "histoire royaliste", avant l’AF et Maurras. Mais l’AF en fait un usage qui prend le contre-pied de l’histoire universitaire républicaine, et l’on peut dater la formation d’une véritable "école capétienne" sur le plan historique à la fondation de l’AF. Au delà de Jacques Bainville, Boutry signale que « la plupart de ceux qu’on rattache, de près ou de loin, à l’influence et aux doctrines de l’Action française sont bien davantage des "compagnons de route", des sympathisants ponctuels, plus ou moins nettement affirmés (car une appartenance déclarée au mouvement maurrassien ruinerait à coup sur, dans la France radicale, une carrière universitaire), des archivistes, des érudits, des historiens conservateurs plus ou moins hostiles à la république laïque et démocratique, des journalistes et des essayistes qui trouvent dans l’Action française, son journal et ses revues, des convergences intellectuelles et politiques, des affinités de réactions et de sentiments, une "communauté émotionnelle" et une chambre d’échos [...]. Une "nébuleuse", plutôt qu’un parti, à dire le vrai, mais capable de se constituer et de structurer en "école". » Cela aboutit à une « véritable hégémonie culturelle » dans les années trente, « construite en quelque trois décennies sur le paysage historiographique français par les hommes de l’Action française [...] parallèlement à l’Université et en partie contre elle ». L’Histoire de France de Jacques Bainville destinée au grand public (rééditée dernièrement dans une collection de poche et vantée, l’été dernier, sur... France-Info !), connaît un immense succès grâce à son refus du langage universitaire trop abscons.

    Donner du sens à l'histoire

    Cet ouvrage permet de mieux comprendre, selon M. Amalvi, la conception bainvillienne de l’histoire. « Dans sa préface, il développe les trois principes de base qui éclairent sa conception du passé : c’est d’abord une histoire psychologique traditionnelle dans laquelle la compréhension des individualités qui font l’histoire est capitale » ; Bainville privilégie les "grands hommes" et, éventuellement, les "minorités énergiques". C’est d’ailleurs une conception qu’il a en commun avec la IIIe République qui met en valeur les grandes figures comme le prouvent à l’envi les manuels scolaires de l’époque (mais ce ne sont pas toujours les mêmes, bien évidemment, ni les mêmes jugements en particulier pour les périodes "controversées" de l’histoire de France...), soucieux de donner des "héros nationaux" à une France en cours de nationalisation et de républicanisation (cf le cas emblématique de Jeanne d’Arc).

    « C’est ensuite une histoire politique classique, qui privilégie l’étude des institutions, ignorant superbement la vie économique et religieuse du pays » : sans doute est-ce là encore un effet du "Politique d’abord", que Bainville a reconnu avant même de le connaître chez Maurras...

    Cela veut-il dire, comme semble l’indiquer M. Amalvi, que Bainville (qui n’est pas, et comme Maurras ne l’est pas non plus, "toute" l’AF) méconnaît cette vie économique et religieuse ? En fait, c’est oublier que les auteurs de l’AF ont, d’une certaine manière, une lecture "utilitaire" de l’histoire, en particulier ceux qui ne sont pas des professionnels de l’histoire, et qu’elle leur fournit des éléments pour étayer leur propre raisonnement politique, raisonnement fondé principalement sur la comparaison des régimes politiques qui se sont succédé en France. En écrivant Nos raisons contre la République, pour la Monarchie (ou plutôt en regroupant des textes épars pour faire ce volume), Maurras n’a pas pour objectif de "servir l’histoire" mais d’en tirer des leçons ou, plutôt, de "donner du sens à l’histoire" dans une optique politique et monarchique. La question principale de l’AF, comme de tout mouvement politique, n’est pas, en soi, de faire de l’histoire, mais de faire l’histoire. L’histoire n’est qu’un moyen de la politique, surtout pour l’AF et les monarchistes qui doivent désarmer les préjugés à l’encontre d’une monarchie qui semble aller à contre-courant du "sens de l’histoire" vanté par les démocrates et, plus encore, par les universitaires marxistes comme Matthiez ou Soboul…

    Histoire analogique

    Dernier trait signalé par M. Amalvi : « C’est une histoire analogique, qui considère que les hommes d’autrefois ressemblaient à ceux d’aujourd’hui et que leurs actions avaient des motifs pareils aux nôtres. » En somme, c’est l’idée que, fondamentalement, les hommes ne changent pas : ce qui ne signifie pas que les sociétés, elles, n’évoluent pas, que les besoins et les désirs ne soient pas différents ou que les mentalités ne penchent pas plus d’un côté que de l’autre, entre individualisme et traditionalisme, selon les époques...

    « De cet axiome de base découlent plusieurs conséquences de grande portée. Bainville considère en premier lieu que c’est le présent qui donne la clé du passé. » Du coup, Bainville, mais aussi Gaxotte et d’autres historiens dans la mouvance de l’AF, cherchent dans le passé des éléments du présent, des ressemblances qui permettraient d’apporter en politique des réponses à une situation donnée : conception cyclique d’une histoire, "éternel recommencement".

    "La vraie tradition est critique"

    En fait, il semble que la formule la plus appropriée pour comprendre la conception "AF" de l’histoire serait celle de Maurras : « Toute vraie tradition est critique », ce qui n’empêche ni la mise en perspective ni la mise en valeur des grands axes (principes ?) de l’histoire des hommes et des sociétés constituées, ni, bien sûr, la violente critique de la Révolution française. Il est certain que, par contre, une partie des lecteurs de Maurras, en particulier ceux qui privilégiaient l’ordre sans le définir autrement que par la peur du désordre, ne cherchaient dans l’histoire qu’un refuge face à l’adversité du moment, voire une nostalgie sans chercher à "penser la monarchie" autrement que dans ce passé "idéalisé" d’un "avant la Révolution" forcément meilleur…

    Un autre élément évoqué est "l’appropriation" de l’oeuvre d’historiens, proches ou non, antérieurs ou contemporains de l’AF, comme Augustin Cochin (de tradition monarchiste et rédacteur occasionnel de la revue bimensuelle d’avant-guerre L’Action Française) et Fustel de Coulanges, républicain mais ayant défendu une conception "française" de l’histoire et de la nation après la défaite de 1870. Agaçante pour les républicains ou les universitaires, elle est en définitive l’occasion pour l’AF de démontrer son "ouverture" et de récupérer des arguments qu’elle met en ordre de bataille contre le "système" politique de la République.

    Un repli sur l'histoire ?

    Dernier élément évoqué de façon fort intéressante par M. Amalvi : l’existence, non d’une seule "école capétienne", mais de deux, l’une proprement politique (Maurras, Bainville, Marie de Roux, etc.) tandis que l’autre est spécifiquement (et parfois professionnellement) historienne (Pierre Gaxotte, Frantz Funck-Brentano, etc.), dont, précise l’auteur, « la lecture présente encore aujourd’hui le plus vif intérêt », ce qui est un bel hommage de l’université contemporaine à des historiens qui, longtemps, s’en sont retrouvés en marge...

    C’est parfois en se séparant, ou en s’éloignant, du cercle purement maurrassien, d’après M. Amalvi, que Philippe Ariès ou Raoul Girardet ont pu renouveler leur approche de l’histoire, en privilégiant « l’autonomie de la société par rapport à l’État, et l’imaginaire politique ». Mais Ariès n’a jamais abandonné l’idée d’une politique monarchique à la tête de l’État, comme tend à le prouver sa participation à Aspects de la France puis à La Nation Française de Pierre Boutang, ce qui montre que "combat politique" et "réflexion historique" ne sont plus, dans l’esprit des royalistes de "l’ère post-maurrassienne", forcément mêlés.

    Est-ce ici la remise en cause de l’empirisme organisateur, ou du "Politique d’abord" ? N’est-ce pas plutôt une séparation ou, plus sûrement encore, une autonomisation des domaines sociétal et social de la "décision politique" ? Cela n’annonce-t-il pas aussi un repli sur l’histoire qu’il s’agit de comprendre et d’écrire désormais, à défaut de la faire politiquement ? (Une certaine "démobilisation politique" était déjà intervenue chez beaucoup de monarchistes au profit de l’action religieuse, au moment de la mort du comte de Chambord puis du Ralliement.) Autant de questions qu’il reste encore à étudier... mais pas seulement par les historiens...

    JEAN-PHILIPPE CHAUVIN L’Action Française 2000 du 1 er août au 3 sptembre 2008

    * L’Action française - Culture, Société, politique. Éd. du Septentrion, Paris, 2008, 24 euros.

    * Pour consulter une version plus développée de cet article, visitez le blog http://jpchauvin.typepad.fr/

  • L'avortement n'est jamais une délivrance

    Réflexion de Gustave Thibon, lue dans L'Echelle de Jacob, écrit en 1946 :

    "Tous ces êtres qui s'agitent... Que cherchent-ils ? Ils ont tous soif d'avorter de quelque chose. Ils n'ont pas la force de laisser mûrir dans leurs entrailles leur douleur, leur solitude ou leur Dieu, et ils cherchent des moyens rapides et proches de se débarrasser de ces choses : qui les bras d'une femme, qui une vie facile, qui les vains jeux de la gloire ou du pouvoir. Ils ne veulent pas enfanter dans la douleur - et dans la douleur stérile et sans issue. Car l'avortement n'est jamais une délivrance, et le fruit vert arraché se survit dans les entrailles par une plaie qu'on n'arrache pas."

    Michel Janva

  • Profanation et sacrilège dans la basilique de Thonon-les-Bains

    Mardi matin, vers 7h45, un homme d’origine tunisienne muni d’une barre de fer a détruit les autels, le mobilier, les objets de cultes du XVIIème siècle et des vitraux de la basilique Saint François de Sales et de l’église Saint Hippolyte à Thonon-les-Bains en Haute-Savoie.

    Plusieurs heures après les faits, Jacky, le sacristain de la basilique, n’en revient toujours pas : « comment, en moins de quinze minutes, un homme peut-il faire autant de dégâts ? C’est un massacre ». Alerté par les bruits, Jacky a eu le temps de mettre un homme qui priait en sécurité dans la sacristie avant d’appeler la police.

    Immédiatement interpellé par les policiers dans le presbytère, l’individu a été placé en garde à vue. « C’est un acte isolé, il souffre d’un déséquilibre mental » explique le commissaire de Thonon. « Il parlait de l’enfer et du paradis » se souvient Jacky. Le dimanche 10 août, l’évêque viendra participer à la messe de réparation puisque le curé a affirmé : « il y a eu profanation mais aussi sacrilège, les saintes espèces ayant été piétinées ».

    Mardi soir, il a été interné dans un hôpital psychiatrique.Pour l’heure, ses gestes n’ont pas encore reçu d’explication même s’ils ont tous les aspects d’une crise de « démence », peut-être mystique… Selon le curé Le Tué, il s’agirait d’un « jeune musulman ».

    Le maire a indiqué que la ville, propriétaire des murs de la basilique et de l’église, allait porter plainte. Il a par ailleurs rappelé que l’église Saint-Hyppolite était classée monument historique depuis 1909 et que des spécialistes d’art sacré allaient donc venir pour savoir comment restaurer les objets détruits.

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • Le jihad gagne le Liban

    Un article alarmant qui fait écho à ce précédent post. Depuis samedi, l'armée libanaise affronte plusieurs milliers de jihadistes (certains se cachant dans les camps de réfugiés syriens) à Ersal, près de la frontière syrienne :

    "Encore faut-il que la troupe puisse sortir victorieuse de cette bataille dont le sort est absolument déterminant pour l'avenir du pays. Si l'on en croit un haut responsable de l'armée, la situation était « très critique » et la bataille « extrêmement dure » durant les dernières 48 heures où les soldats devaient affronter « quelque 7 000 islamistes » bien entraînés, armés jusqu'aux dents et prêts à tout. La trêve « humanitaire » décrétée en soirée était toutefois porteuse d'espoir. Il reste à voir si les milices islamistes vont obtempérer et répondre favorablement aux conditions posées par l'armée.

    La bataille a été d'autant plus difficile que les jihadistes – un cocktail Molotov de takfiris de tout genre et de tout calibre – ont tenté par tous les moyens de prendre le contrôle de Ersal pour pouvoir accéder aux localités chiites environnantes, l'objectif ultime étant la bataille sunnito-chiite et la reddition de comptes par le sang, exigée du Hezbollah."

    Louise Tudy

  • "Israël" se prépare à la débâcle: retrait total de Gaza

    L'armée d’occupation israélienne s’est complètement retirée de la bande Gaza dès l'entrée en vigueur du cessez-le-feu mardi à 08H00 locales (05H00 GMT), a annoncé un porte-parole de l'armée d’occupation à des journalistes.
    Selon ce porte-parole, Peter Lerner, "aux termes des directives du gouvernement l'armée israélienne sera redéployée en dehors de la bande de Gaza sur des positions défensives dès l'entrée en vigueur du cessez-le-feu".
    Peu avant d'accepter la trêve de 72 heures, « Israël » a annoncé qu'il ne comptait pas encore se retirer.
    "Nous ne partons pas, nous restons dans la bande de Gaza, il y a encore beaucoup d'autres missions à terminer", a indiqué à la télévision Moti Almoz, le porte-parole de l'armée d’occupation, après avoir prétendu que "tous les tunnels repérés avaient été détruits".
    Un régiment de la brigade Golani arrêté, "Israël" craint une guerre d’usure
    Entre-temps, la hiérarchie au sein de l'armée israélienne vient de donner l'ordre d'arrestation de tous les membres d'un régiment de la brigade élite, Golani, pour avoir refusé de poursuivre la guerre, c’est ce qu’a rapporté le site israélien 0404.
    Rappelons que la brigade Golani a subi de très lourdes pertes dès le premier jour de l'offensive terrestre israélienne contre Gaza. Cette brigade élite a été décapitée et a aussi perdu son commandant adjoint tout comme 13 de ses soldats. Au total, 64 soldats israéliens et 3 colons ont été tués depuis le 8 juillet.
    Selon les informations qui parviennent de l'intérieur des territoires occupés, de nombreux militaires, soldats et officiers israéliens ont désormais peur d’entrer dans une guerre d’usure avec les combattants palestiniens !
    La plupart des forces israéliennes affirment pour leur part que le statu quo à Gaza est susceptible de plonger « Israël » dans une situation économique et sociale très critique. 
    Entrée en vigueur d'un cessez-le-feu de 72 heures
    Bien qu’au début de la guerre, « Israël » avait officiellement déclaré qu’il n’y a pas question de négocier avec le Hamas ou de discuter d’un cessez-le-feu. Or, la situation a changé après un mois au début de la guerre, de grands efforts sont actuellement déployés pour parvenir à un accord de cessez-le-feu sauvant la face d' « Israël ». Faute de quoi, il y aura une guerre d’usure.
    Dans ce contexte, l’Egypte a annoncé qu’« Israël » et le Hamas ont accepté lundi soir une proposition égyptienne d'une trêve de 72 heures.
    Le cessez-le-feu est entré officiellement en vigueur mardi à 08H00 locales (05H00 GMT) dans la bande de Gaza.
    Lundi, un responsable égyptien a annoncé que "les contacts de l'Egypte avec les différentes parties ont permis d'obtenir une trêve de 72 heures à Gaza et que le reste des délégations se rendent au Caire pour de plus amples négociations".
    "Israël respectera le cessez-le-feu à partir de demain à 08h00 (05h00 GMT)", a ensuite déclaré à l'AFP un responsable israélien, qui a confirmé qu'une délégation de son pays se rendrait bien dans la capitale égyptienne.
    Alors que le Yediot Aharanot a déclaré qu’une délégation des renseignements israéliens se trouve au Caire depuis plusieurs jours. Les Israéliens prétendaient qu’ils avaient refusé d'aller au Caire.
    Côté palestinien, "le Hamas a informé il y a quelques minutes Le Caire de son approbation de la trêve de 72 heures pour demain", a pour sa part affirmé un porte-parole du Hamas, Sami Abou Zouhri.
    Un autre mouvement de la résistance palestinienne, le Jihad islamique, qui doit également prendre part aux pourparlers au Caire a, quant à lui, fait savoir dans un communiqué que "le cessez-le-feu interviendra dans les prochaines heures".
    Echec des objectifs de la guerre sur Gaza
    Pour les experts israéliens, "Israël" a subi une nouvelle défaite. L'armée israélienne n'a pas réussi à stopper les tirs de roquettes contre les colonies.
    Or, quelques minutes avant l'entrée en vigueur du cessez-le feu, les médias israéliens ont fait état de plus de 26 roquettes tirées de l'enclave palestinienne vers dizaine de colonies israéliennes en riposte aux crimes israéliens ayant fait plus de 1850 martyrs, en majorité de civils dont plus de 400 enfants.
    L'aviation israélienne menait pour sa part une série de raids contre plusieurs localités de la bande de Gaza, a indiqué une porte-parole de l'armée d’occupation.
    Rappelons que l’arrêt des tirs de roquettes palestiniennes sur les colonies, et la destruction de tous les tunnels, étaient à la tête des objectifs de l'agression israélienne contre Gaza lancée le 8 juillet.
    Embarras international
    La guerre israélienne contre Gaza et les images des centaines d’enfants tués par l’aviation israélienne avaient ces derniers jours embarrassé les dirigeants occidentaux.
    "Israël peut faire davantage pour empêcher des victimes civiles", a ainsi martelé Jennifer Psaki, la porte-parole du département d'Etat américain. "Mais cela ne change pas le fait qu'Israël reste un partenaire important en termes stratégique et de sécurité. Il a le droit de se défendre", a-t-elle ajouté.
    Le ministre français des Affaires étrangères Laurent Fabius a reconnu le droit "total" d'Israël à se défendre. "Mais ce droit ne justifie pas qu'on tue des enfants et qu'on massacre des civils", a-t-il dit.

    "Combien de morts faudra-t-il encore pour que s'arrête ce qu'il faut bien appeler le carnage de Gaza ?", a-t-il encore demandé. Le président français François Hollande a parlé, quant à lui, de "massacres".
    Devant l'ampleur des souffrances endurées par les 1,8 million de Gazaouis prisonniers de la guerre sur un tout petit territoire, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a joint sa voix à toutes celles ayant réclamé un cessez-le-feu.
    De son côté, l'Assemblée générale de l'ONU tiendra mercredi une "réunion informelle" de ses 193 membres, convoquée à la demande du groupe des pays arabes à l'ONU, pour examiner la situation dans la bande de Gaza, a indiqué lundi une porte-parole.

    source :

    http://www.almanar.com.lb/french/adetails.phpeid=185194&cid=18&fromval=1&frid=18&seccatid=20&s1=1

    http://www.voxnr.com/cc/d_antisionisme/EupZkylyFZEfjvqAYz.shtml

  • Najat Belkacem et le triple mensonge de l’IVG

    Le Conseil constitutionnel a validé la suppression de la notion de « situation de détresse » pour avoir recours à l’avortement. Le Nouvel Observateur a demandé la réaction de Najat Vallaud-Belkacem, ministre des Droits de la femme. Naturellement, elle s’en félicite, et en profite pour réitérer le triple mensonge, la triple imposture du droit à l’avortement, dans une seule phrase :

    « Je considère moi que pouvoir disposer librement de son corps est non seulement un droit mais est même le préalable à l’autonomie et à la liberté véritable des femmes. Ce texte permet de véritablement consacrer le droit à l’IVG. »

    IVG

    Non, Madame Belkacem. Comme on le sait encore dans votre (autre) pays, avec l’avortement la femme ne dispose pas de son corps mais du corps et de la vie d’un autre, d’un tout petit être humain sans défense.

    Non, Madame Belkacem. Ce n’est pas une liberté véritable que de pouvoir légalement tuer un enfant, son propre enfant.

    Non, Madame Belkacem. On n’a pas le droit d’utiliser le mot « consacrer » quand il s’agit d’un meurtre, et rien ne peut consacrer un droit qui n’existe que dans une législation illicite, car on n’a jamais le droit de tuer des innocents, et de camoufler le meurtre sous le sigle mensonger IVG. Comme s’il s’agissait de seulement interrompre un processus que l’on pourrait reprendre…

    Tout à l’heure dans mon épicerie préférée j’entendais deux jeunes femmes qui se disaient l’une à l’autre qu’elles ne voulaient pas d’enfants. L’une parlait d’une de ses amies qui avait eu un enfant « par accident », et qui était tombée enceinte une nouvelle fois « par accident ». Eh bien « celui-là aussi elle l’a gardé ». Elle a gardé quoi ? sinon son enfant, et non pas uneexcroissance de son corps.

    Mais ce qui m’a choqué était l’insouciance du propos. Cette amie pouvait garder ou ne pas garder son enfant. L’une ou l’autre possibilité était envisagée avec le même sourire. Elle pouvait le garder ou le jeter. C’est moralement équivalent.

    Et l’on parle encore de civilisation…

    Yves Daoudal

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/najat-belkacem-et-le-triple-mensonge-de-livg_113452.html#more-113452

  • Conflit israélo-palestinien : « divergences » au FN ?

    « Pour la première fois en 18 siècles, il n’y a plus de chrétiens dans la ville irakienne de Mossoul». Bruno Gollnisch a toujours apporté son soutien aux manifestations, rassemblements, initiatives diverses visant à interpeller nos compatriotes et le gouvernement sur le sort terrible qui frappe les Chrétiens d’Orient, et notamment ceux d’Irak depuis l’élimination du régime de Saddam Hussein. Ils sont aujourd’hui  chassés, persécutés, exécutés comme leurs frères de Syrie, par les milices djihadistes qui menacent désormais le Liban…La pétition soutenue parAleteia à l’intention de l’Onu et de la Ligue Arabe, pour leur demander d’intervenir au plus vite afin de mettre fin aux exactions commises par l’Etat Islamique (EI) et à l’éradication systématique des Chrétiens d’Irak, a déjà recueilli plus de 120000 signatures.

     Jacques Bordes le notait sur son blogue, la lettre Nûn (ﻥ) de l’alphabet arabe tracé sur les maisons chrétiennes par les miliciens de l’EI « est désormais le signe de reconnaissance et de solidarité de tous les chrétiens d’Orient et ceux qui les soutiennent. N pour Nazaréen, en référence à Jésus de Nazareth ».

     Comment en est-on arrivé là en Irak ? A cette question M. Bordes répond qu’ «il a été décidé au(x) plus haut(s) sommet(s) des États Occidentaux de ne pas bouger le petit doigt (…). Première raison à cela, la thalassocratie étasunienne, dans sa tension dialectique avec la puissance régionale montante qu’est l’Iran (avec laquelle il faudra bien qu’elle arrive à un partage des rôles) n’a pas directement intérêt à lui servir la part d’Irak qui relèvera d’un probable arc (ou croissant) chi’ite sur un plateau. Et pour l’aider à tempérer ces ardeurs iraniennes (les combattants de l’EI ) «dans le rôle de caillou dans le soulier persan,en valent bien un autre. À l’évidence, dans ce kriegspiel la peau de nos Chrétiens d’Orient compte pour des prunes… ».

     Enfin, outre le soutien financier du Qatar, d’émirs du Golfe, «une bonne partie du nerf de la guerre (des djihadistes), leur vient de l’argent des rançons payées par les lâches démocraties que nous sommes. En tête desquelles la République française ». Comme avant lui les calamiteux boutefeux Sarkozy, Juppé, BHL, François Hollande « était prêt à se jeter au col du seul État résolument laïc du Levant, la Syrie que, certes, notre pays (force de l’habitude, sans doute) a toujours poignardé dans le dos ».

     Nous le savons au moins depuis le Vietnam, on peut gagner une guerre sur le terrain mais la perdre sur le front médiatique. A cette aune les images des victimes civiles (dites « collatérales »en langage militaro-technocratique), dont de nombreux enfants, des attaques israéliennes sur Gaza, sont désastreuses. Par delà la réalité ou non des accusations de l’utilisation de civils comme bouclier humain, elles compliquent la tâche des diplomates et du gouvernement de l’Etat hébreu chargés de « vendre » et de justifier l’opération de Tsahal « bordure protectrice » en cours contre le Hamas.

     Si Benyamin Netanyahu s’est dit déterminé « à finir le travail », le Huffington Post Maghreb, publiait le 3 août un article qui soulignait que «malgré quelques remous dans la relation israélo-américaine, les Etats-Unis contrent toute initiative anti-israélienne aux Nations unies». Pour autant, «la campagne Boycott, désinvestissement, sanctions (BDS) lancée en 2005 par 171 ONG palestiniennes », popularisée principalement en France par l’extrême gauche et  visant à sanctionner Israël,  prend de l’ampleur.

     « Les appels au boycott (…) gagnent en popularité au point d’inquiéter sérieusement en Israël, mais ils sont loin de faire l’unanimité. En France, François Hollande, encore loin d’être président, cosignait avec Manuel Valls, Bernard-Henri Levy, plusieurs intellectuels et une vingtaine d’autres personnalités dans Le Monde en 2010, une tribune intitulée: Le boycott d’Israël est une arme indigne».Plus mesuré, «le président de l’Autorité nationale palestinienne Mahmoud Abbas rejette le boycott généralisé d’Israël mais soutient celui des colonies israéliennes».

     Quelques articles paru dans les médias ont voulu noter un embarras des dirigeants du FN au sujet du conflit israélo-palestinien. Le Scan Politique du Figaro, le 29 juillet,  indiquait que si «le FN a pris des positions tranchées sur la Syrie, la Libye et l’Ukraine, (il) communique moins activement sur les évolutions récentes du conflit israélo-palestinien » notamment en raison de « divergences internes sur la question ».

     Divergences le mot est fort et n’est pas le plus adéquat.  Il est surtout plus prosaïquement question ici dans ce domaine particulier de sensibilités, qui existent plus largement  dans toutes les formations politiques et qui sont souvent structurées en « courants »,  et d’approches différentes du problème. Sachant que la position de fond du FN est invariable et partagée par tous ses dirigeants : le droit pour les Palestiniens comme pour les Israéliens de vivre en paix dans deux Etats viables, aux frontières sûres et reconnues. 

     « Au Scan du Figaro, Bruno Gollnisch a expliqué quen dehors de discussions informelles, l’exécutif (du FN) n’a pas pris de position officielle sur le conflit israélo-palestinien». Il a dénoncé les violences commises lors des manifestations pro-palestiniennes, « mais prône le droit de manifester et trouve normal que les arabophones s’identifient aux Palestiniens».

     Au nombre des divergences, il est cité le fait que Louis Aliot ait critiqué par exemple sur Sud Radio (la semaine dernière) le fait que «la France a plus de facilités à intervenir en Libye que de s’occuper de la guerre Israélo-palestinienne». Ou encore qu’il préconise «que la communauté internationale fasse pression pour obtenir une paix durable et le respect du droit». Alors que ce son côté  Bruno Gollnisch récuse tout interventionnisme: «Nous ne nous croyons pas tenus de prendre parti, c’est contraire à l’intérêt de la France. Aujourd’hui, c’est la mode, il faut toujours prendre parti sur tout».

     Sur le site de Marianne aujourd’hui, Romain Massa signe un article («Proche-Orient, lapatate chaude du Front National») qui voit dans le«silence inattendu » du FN (tout de même bien relatif !), «presque suspect » (sic),  la marque d’un tiraillement entre « pro » et «anti  sionistes»«Le Front est pris entre deux feux: celui de son histoire, marquée par une forte défiance envers Israël et symbolisée par Jean-Marie Le Pen ou encore Bruno Gollnisch et l’autre plus récente, pas encore totalement affirmée ni assumée, pro-israélienne,incarnée par Louis Aliot».

     A l’appui de cette « explication » qui ne s’embarrasse ni de finesse ni de subtilité, il est précisé que Marine Le Pen le 31 juillet, dans un entretien donné sur RMC, «a renvoyé Israël et le Hamas dos à dos » tout en refusant de condamner la LDJ, et en affirmant aussi quelques semaines plus tôt que  « le Front National est le meilleur bouclier contre le fondamentalisme islamiste pour les Juifs de France ». Dans le même temps, écrit M. Massa, «Louis Aliot affiche et assume son positionnement pro-israël», «s’y est d’ailleurs rendu et ne manque pas d’évoquer  ses origines juives pour dédouaner le FN d’un quelconque soupçon d’antisémitisme».

     Mais l’influence d’Alain Soral est il encore expliqué, de «la frange de l’extrême droite nationale-révolutionnaire, historiquement pro-palestinienne et très pourvoyeuse en militants» équilibrerait les deux plateaux de la balance. « Car oui, les musulmans sont aussi susceptibles de voter pour Marine Le Pen. La stratégie a été vendue à la direction du FN par Alain  Soral (…)   pour l’élection de 2007 », même si « la stratégie ne s’est pas révélée convaincante sur le plan électoral».

     Autre élément  à prendre en compte pour ce journaliste, qui acterait ainsi une marginalisation du courant antisioniste, «Marine Le Pen pourrait avoir la tentation de prendre le pas de sescollègues européens d’extrême droite. Les plus influents d’entre eux, défendent une ligne clairement sioniste».

     « Le FPO autrichien explique-t-il, les Démocrates suédois » (formation qui a  annoncé, contrairement aux autres partis cités ici, son  refus de faire un groupe au parlement européenavec le FN, NDLR) « ou encore la très sulfureuse Ligue du Nord italienne prennent fait et cause pour Israël, s’érigeant en défenseurs de la communauté juive contre l’islamisme. Sans oublier l’illustre Geert Wilders, leader du Vlaams Belang » (c’est faux, M. Wilders, Néerlandais, est président du PVV, le Vlaams Belang est un parti belge flamand présidé parGerolf Annemans, NDLR), « ultra sioniste, ami de l’ancien vice-Premier ministre d’Israël,Avigor Lieberman, adepte de la solution de  la bombe atomique sur Gaza. Tous ces partis qui font la cour à Israël ont un point commun : la virulence de leur propos sur l’Islam. Le Hollandais n’a pas manqué de comparer le Coran à Mein Kampf (… )». «Ces positions fermement pro-Israël induisent de fait la rupture totale avec l’électorat musulman ». 

     Pour autant, alors que la France compte les communautés arabo-musulmane et juive les plus importante d’Europe, il s’agirait pour le FN de « rassurer et séduire la communauté juive sans s’aliéner ni froisser la communauté musulmane » (« 2 millions de musulmans ont été appelés aux urnes en 2012 »): « la position est périlleuse et d’autant plus difficile à tenir quand les tensions sont vives là bas ».

     Nous le constatons, à l’appui de sa thèse, cet article de Marianne (comme d’autres du même métal) mélange avec approximation beaucoup de choses . «Le FN est pro-Français, occupons-nous des problèmes des Français d’abord» indiquait Louis Aliot sur Sud Radio.

     Une vérité comprise par tous les patriotes français, de toutes origines, qui a échappé pour le coup à l’académicien Alain Finkielkraut qui, réactivant  le slogan soixante-huitard de Daniel Cohn-Bendit  («nous sommes tous des juifs allemands »), déclarait  maladroitement il ya quelques mois que « face à la haine, nous sommes tous des sionistes !».

     Le FN lui, ne peut être par essence ni «sioniste» ou «anti sioniste», mais se veut en effet pro-Français tout simplement! Au sens ou les nationaux  ont  compris que si les Etats ont des intérêts permanents, des empathies particulières, civilisationnelles notamment,  comme avec nos frères Chrétiens d’Orient, ils ont aussi des amitiés transitoires et ne peuvent être éternellement liés 

     Nous le notions déjà en septembre 2011 sur ce blog, la grille de lecture du conflit israélo-palestinien par l’opposition nationale est beaucoup plus simple que les explications fournies par  les articles précités.

     Elle consiste à adopter le point de vue le plus conforme à la défense de nos intérêts nationaux qui doivent être la seule boussole d’un pays se voulant indépendant et non soumis aux intérêts géopolitiques de Washington, souvent liés à ceux de Tel-Aviv (et inversement) ; lesquels  ne sont pas toujours, très loin s’en faut, ceux des Français et des Européens.

     Certes, le plus dur pour un homme ou une femme, a fortiori pour un chef d’Etat,  n’est pas toujours de faire son devoir mais de le connaître. C’est pourquoi diriger un pays nécessite des qualités de clairvoyance, de courage et d’âme exceptionnelles qui font aussi actuellement défaut à la France sur la scène internationale.   

    http://gollnisch.com/2014/08/05/conflit-israelo-palestinien-divergences-au-fn/

  • Le communautarisme en maillot de bain

    Le personnel de deux des trois piscines de Châlons-en-Champagne menace de faire valoir son droit de retrait, tant les tensions sont fortes avec la communauté musulmane : insultes, menaces, chantage, requêtes communautaristes (port du voile, de la djellaba)... depuis quelques années, on ne peut pas dire que tout baigne. Après l'agression d'un agent de sécurité la semaine dernière (qui risque de perdre l'usage de son oeil), voici la goutte d'eau qui a fait déborder le bassin :

    "« un homme, qui s’est annoncé comme le représentant des jeunes qui posent problème » selon la direction de Régis-Fermier, a demandé s’il était possible de réaliser quelques entorses au règlement. En clair, qu’on laisse les jeunes qui le demandent entrer en short. « Selon lui, les tensions pourraient disparaître s’il y avait un assouplissement des règles pour certains mais égalementsi l’un des agents de sécurité pouvait être remplacé par un représentant de la communauté maghrébine choisi par eux-mêmes », s’étonne la responsable de Régis-Fermier."

    Louise Tudy