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  • Abrogation de la loi Taubira et du Pacs

    La charge de Philippe Arino contre l'Union civile :

    "Tolérer l’Union civile, c’est reconnaître qu’un amour pourrait se baser sur l’exclusion de la sexualité et de la différence, et en particulier de la différence la plus fondatrice de notre existence : la différence des sexes. Et ça, c’est une croyance grave, en plus de surréaliste. Je me demande même comment une femme qui se dit catholique [Frigide Barjot] arrive à soutenir une telle exclusion de la différence des sexes. Tout comme je me demande comment une Ludovine de la Rochère, qui soi-disant ne tiendrait pas le même discours que Frigide Barjot, arrive à faire croire qu’elle s’oppose au PaCS tout en s’interdisant de parler d’homosexualité. Cette attitude relève de la même stratégie d’évitement du vrai. Les deux femmes adoptent exactement le même discours, finalement : l’une comme l’autre soutiennent le PaCS en ne parlant pas d’homosexualité, en disant « oui » à l’Union civile sans s’expliquer ou en lui disant « non » sans s’expliquer non plus. Frigide soutient le PaCS plus ouvertement et franchement que Ludovine; Ludovine, par un « non » jamais explicité, le soutient par défaut, par omission. La cohérence et la franchise dans l’erreur d’un côté, la lâcheté silencieuse et l’incohérence dans la Vérité de l’autre. La peste ou le choléra. La même phobie de l’homosexualité (qui s’appelle au fond homophobie).

    Existe-t-il une troisième voie ? Bien sûr. Je le crois. Celle que je développe sur mon site (article 1article 2article 3, et sur l’article 4), celle que je lis dans la plume de certains amis, que j’entends aussi de la part de Béatrice Bourges (qui n’est absolument pas l’extrémiste que beaucoup de gens engagés à LMPT imaginent : elle a compris que notre mouvement souffrait de ne pas assumer son appartenance religieuse, sa couleur catholique, et qu’il n’était pas seulement un « mouvement de conscience » mais bien un mouvement religieux, spirituel, en même temps que politique. Sans Jésus, pas d’unité possible et pas de Vérité possible. C’est exactement ce que je crois, et ce que Béatrice, avec ses Précurseurs, défend. Les Précurseurs et lesCUCH sont frères.)."

    Sur la nécessité d'abroger le Pacs, lire ce post.

    Michel Janva

  • Réforme du droit d’asile : une accélération du « Grand Remplacement » ?

    André Posokhow, consultant pour Polémia, fait le point sur la prochaine réforme du droit d’asile qui risque de dégrader encore la situation.

    Les SDF français ont de plus en plus de mal à trouver des hébergements à Paris comme en province : centres d’accueil et hôtels pour précaires sont pleins ; pleins de vrais (ou faux) demandeurs du statut d’asile qui bénéficient d’une priorité de fait.

    Polémia

    Chacun le sait, dans les préfectures comme dans les associations, mais tout le monde se tait : l’omerta administrative et médiatique règne sur ce qui est une préférence étrangère de fait. Le constat est général : le système français du droit d’asile est à bout de souffle et sa situation très dégradée. Assiégé par un nombre croissant de demandeurs d’asile (70.000 en 2012), considéré comme laxiste par beaucoup et comme trop rigoureux et inhumain par les immigrationnistes, le droit d’asile français mécontente tout le monde. Même Manuel Valls, lorsqu’il était ministre de l’Intérieur, a reconnu que « le droit d’asile est dévoyé et détourné » par des migrants économiques venus chercher du travail.

    Le gouvernement actuel, stimulé par ce constat, a entrepris de réformer non seulement le droit d’asile mais également le droit des étrangers. La motivation du gouvernement n’est pas de préserver la France du raz de marée humain que nous connaissons année après année, mais de promouvoir l’immigration et le droit d’asile. Comme l’a dit Bernard Cazeneuve dans un entretien dans Libération : « La France est une terre d’immigration et une terre d’asile. Elle doit le demeurer : les pays refermés sur eux-mêmes sont condamnés au déclin. » De la part de tels gouvernants tout est à craindre.

    De fait les deux textes présentés en conseil des ministres le 23 juillet 2014 apparaissent ambigus et de nature à ouvrir le chemin à des dérives redoutables : répartition des demandeurs d’asile sur tout le territoire, renforcement des droits des bénéficiaires du droit d’asile, notamment dans le domaine du regroupement familial, généralisation du titre de séjour pluriannuel, droit à l’accès des journalistes dans les centres de rétention et les zones d’attente, etc.

    Il est trop tôt pour conclure ; les débats parlementaires devraient se dérouler prochainement. Polémia, déjà attentif au contenu de ces deux projets de loi, se montrera vigilant quant à leur finalisation législative.

    ALERTE.

    Le gouvernement veut légiférer sur la protection des droits des étrangers et sur le droit d’asile.

    L’article de Polémia du 12 juin 2014 sur Me Barbemolle, juge du droit d’asile, qui relatait les invectives de Jean-Michel Belorgey, magistrat à la Cour nationale du droit d’asile (CNDA), envers ses collègues de cette Cour a été l’occasion de souligner la situation très dégradée de l’application du droit d’asile en France.

    http://www.polemia.com/maitre-barbemolle-juge-du-droit-dasile/

    « Le système est à bout de souffle », affirme Pascal Brice, diplomate nommé à la tête de l’OFPRA : délais trop longs pour statuer sur les dossiers (un an et demi en moyenne), saturation des dispositifs d’hébergement, coût exponentiel des aides aux requérants en attente de jugement.

    Manuel Valls, alors ministre de l’Intérieur, a reconnu que « le droit d’asile est dévoyé et détourné » par des migrants économiques venus chercher du travail. Il avait promis une réforme du droit d’asile pour le printemps 2014 ; ele a été couplée avec une réforme du droit des étrangers. Deux projets de loi ont ainsi été présentés en Conseil des ministres le 23 juillet 2014.

    De la part d’un gouvernement déterminé à promouvoir le plus possible et jusqu’au bout les conditions du « Grand Remplacement » de Renaud Camus par idéologie sectaire et intérêt électoraliste, tout est à craindre. Selon Bernard Cazeneuve dans Libération « La France est une terre d’immigration et une terre d’asile. Elle doit le demeurer : les pays refermés sur eux-mêmes sont condamnés au déclin. »

    La réforme du droit d’asile

    D’emblée le ministre de l’Intérieur annonce la couleur : « C’est une loi éminemment de gauche que je revendique comme telle et que je défendrai avec beaucoup de force et de conviction au Parlement. » Qu’attendre d’autre de la part d’un gouvernement qui s’apprête à naturaliser 200.000 étrangers âgés ! De toute façon les Français paieront.

    Il s’agit de transposer de nouvelles directives européennes adoptées en juin 2013, en renforçant les garanties des personnes ayant besoin d’une protection internationale, et en statuant plus rapidement sur les demandes d’asile.

    Une nouvelle procédure accélérée, qui remplace l’actuelle procédure prioritaire, sera mise en œuvre sous le contrôle de l’OFPRA. Les moyens de ce dernier seront accrus, afin qu’il soit en mesure d’assurer un traitement plus rapide des demandes d’asile. Le gouvernement se fixe l’objectif de parvenir à un examen des demandes d’asile dans un délai moyen de 9 mois alors qu’aujourd’hui ce délai est d’environ deux ans.

    Les procédures contentieuses sont également revues, notamment par la création d’une procédure accélérée de recours suspensif, devant un juge unique de la CNDA en cinq semaines. Le délai de jugement en procédure normale imparti à la CNDA, qui voit réaffirmer son rôle de juge de l’asile, est fixé à cinq mois.

    Les « garanties » des demandeurs d’asile sont renforcées à tous les stades de la procédure :

    -enregistrement plus rapide de leur demande ;

    -présence d’un conseil lors de l’entretien avec un officier de protection ;

    -meilleure prise en compte des vulnérabilités, notamment de celles des mineurs ;

    -généralisation de l’effet suspensif des recours contre les décisions refusant l’asile.

    Le projet de loi prévoit de rendre les conditions d’accueil des demandeurs d’asile plus justes et plus équitables, mais aussi plus contraignantes, avec un dispositif d’hébergement permettant d’affecter un demandeur d’asile dans une autre région que celle où il se présente. En cas de refus de l’hébergement proposé, le demandeur perdrait son droit aux allocations.

    Ainsi on voit bien que ce dont se plaignait l’ancien ministre Arthuis et que niait l’ineffable Taubira au sujet des mineurs isolés, c’est-à-dire la dissémination sur le territoire français des immigrés posant problème, constitue une réalité aujourd’hui concrétisée par un projet de loi.

    Enfin, selon le portail du gouvernement, le projet de loi vise à définir et renforcer les droits des bénéficiaires dans les domaines d’accès aux droits, de réunification familiale et de documents de voyage qui sont « des éléments essentiels de l’intégration à la société française ».

    Il apparaît clairement que la défense des intérêts de celle-ci face au mascaret de l’immigration est complètement oubliée. Mais surtout ce projet de loi semble élargir la brèche du regroupement familial aux demandeurs de droit d’asile.

    L’occultation du problème par dissémination

    Il est évidemment trop tôt pour porter un jugement définitif sur ce projet de loi qui doit être discuté au cours de la session législative de cet automne. Soulignons-en simplement la grande ambiguïté et les vrais dangers.

    Bien entendu les immigrationnistes de tout poil, comme le Syndicat de la magistrature, hurlent à la suspicion généralisée, à la justice expéditive et à la violation des droits les plus fondamentaux. Le GISTi, quant à lui, se borne sobrement à réclamer la réhabilitation du droit d’asile par la liberté de circulation.

    Retenons seulement les critiques plus posées de Julian Fernandez, juge assesseur au Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) à la CNDA. Celui-ci redoute que « l’hébergement directif » se transforme en assignation à résidence et souligne les très courts délais dont disposeront les déboutés du droit d’asile qui feraient l’objet d’une mesure d’éloignement : 7 jours. Il parle de précipitation déraisonnable comme pour la procédure dite accélérée dont la juridiction opérera en formation restreinte et non collégiale.

    D’un autre côté nous pouvons redouter que « l’hébergement sélectif » des demandeurs du droit d’asile sur notre territoire ait pour objectif réel une occultation du problème par dissémination.

    Plus grave apparaît le renforcement des garanties des demandeurs comme la présence d’un conseil lors de l’entretien avec un officier de protection et de leurs droits en matière de réunification familiale. Cela voudra-t-il dire que tout demandeur d’asile pourra faire venir sa famille avant toute décision et comment définir ce que représente la famille d’un Erythréen musulman ?

    La réforme du droit des étrangers

    Le projet de réforme du droit des étrangers apparaît également ambigu et encore plus inquiétant.

    Selon le portail du gouvernement, ce projet de loi s’inscrit dans le cadre des trois priorités du gouvernement en matière d’immigration :

    -améliorer l’accueil et l’intégration des étrangers régulièrement admis au séjour ;

    -renforcer l’attractivité de la France en facilitant la mobilité des talents internationaux ;

    -lutter plus efficacement contre l’immigration irrégulière, dans le respect des droits fondamentaux.

    Tout d’abord le projet de loi engage une simplification du droit au séjour des étrangers par la généralisation du titre de séjour pluriannuel pour l’ensemble des étrangers, après un an de séjour en France. Cette mesure serait couplée à un nouveau parcours d’intégration, marqué par un renforcement du niveau de langue requis et une redéfinition des prestations servies par l’Office français de l’immigration et de l’intégration.

    « Pour cela, le titre pluriannuel de séjour de quatre ans permettra, dans l’attente de l’accès à la carte de résident de dix ans, de ne pas avoir à faire ces démarches nombreuses, complexes et encore une fois obérant de l’intégration de ceux qui viennent sur le territoire de notre pays », a expliqué Bernard Cazeneuve sur France inter le mercredi 23 juillet.

    Tout aussi inquiétant, le projet de loi prévoit pour la première fois un droit à l’accès des journalistes dans les centres de rétention et les zones d’attente. On devine facilement l’occasion qui est offerte ainsi à tous les plumitifs gauchistes de transformer chaque demandeur d’asile en victime et de multiplier les controverses sur la place publique.

    Le projet de loi est également plus protecteur pour les étrangers malades, notamment en prenant en compte la capacité du système de soins du pays d’origine à faire bénéficier l’étranger du traitement que sa pathologie requiert. Si l’on comprend bien, si un demandeur d’asile soudanais est lourdement malade, la France est tenue de le traiter, compte tenu de ce que l’on sait du système de santé de son pays.

    Le projet de loi prévoit d’une manière plus positive que le passeport « talents », titre de séjour valable jusqu’à quatre ans pour l’étranger et sa famille, constituera le titre unique ouvert aux investisseurs, aux chercheurs, aux artistes et aux salariés qualifiés. L’emploi des étudiants étrangers qualifiés sera également facilité.

    Enfin le texte du gouvernement veut, il faut le souligner, doter la France de nouveaux outils en matière de lutte contre l’immigration irrégulière :

    -l’assignation à résidence devient la mesure de droit commun en matière de privation de liberté des étrangers, tout en précisant et encadrant les pouvoirs des forces de l’ordre dans ce cadre ;

    -les pouvoirs des préfectures en matière de lutte contre la fraude sont renforcés.

    En définitive ces projets de loi ne sont pas complètement négatifs : la volonté ou la velléité de lutter contre l’immigration irrégulière doit être notée. Ils paraissent cependant fort inquiétants pour trois raisons :

    – La première est l’ambiguïté de certaines dispositions comme la procédure accélérée. Celle-ci permettra-t-elle de désengorger les hébergements ou bien servira-t-elle à faciliter l’acceptation de dossiers des futurs demandeurs d’asile ?

    – D’autres dispositions évoquent le diable qui se niche dans les détails : c’est le cas du droit à l’accès des journalistes dans les centres de rétention et les zones d’attente ou la présence d’un conseil que le contribuable paiera, bien évidemment, lors de l’entretien avec un officier de protection.

    – Mais surtout ces textes vont venir en discussion au Parlement. Il y a lieu de tout craindre de la part d’un gouvernement en situation de faiblesse sur le plan de la politique économique et qui souhaiterait retrouver la confiance de sa majorité en cédant aux demandes et aux amendements de celle-ci sur un texte ayant trait à l’immigration. Il reviendra à Polémia de manifester la plus grande vigilance sur cette question législative.

    André Posokhow,27/09/2014

    Voir aussi :

    Le roman noir des demandeurs d’asile

    L’imposture Leonarda : la grande arnaque au droit d’asile

    http://www.polemia.com/reforme-du-droit-dasile-une-acceleration-du-grand-remplacement/

  • Pour que LMPT ne devienne pas L'UMPT ?

    C'est l'esprit d'une tribune de Maître Frédéric Pichon, ancien colistier d'Aymeric Chauprade aux élections européennes et candidat au comité central du FN :

    "Encore une fois, j’étais comme des centaines de milliers de Français dans les rues de Paris pour défendre la famille et les droits des enfants.

    Encore une fois, j’ai été impressionné par cette forte mobilisation et touché par la générosité de milliers de bénévoles.

    Et encore une fois, je crois qu’il est plus que jamais nécessaire de ne pas lâcher.

    Mais cette fois-ci, trop c’est trop ! Je crains que cette magnifique mobilisation ne soit récupérée et ne serve à entretenir dans l’illusion des milliers de braves gens pour servir la soupe à Sens commun et à l’UMP en attendant que Nicolas Sarkozy, le messie de la droite cocue, ne se décide à effleurer – ne serait-ce que des lèvres – la perspective d’une abrogation de la loi Taubira : ce qu’il ne fera évidemment jamais.

    Le souci du combat commun ne doit pas nous empêcher de faire une critique positive. Qui plus est lorsque des centaines de milliers de familles se déplacent parfois de très loin pour défendre les droits des enfants.

    Encore une fois, on a pu voir des élus UMP, dans le cadre d’une vidéo préenregistrée, prendre la parole sur l’écran géant comme si les nombreux élus du Front national (députés, députés européens, maires et maintenant, même, sénateurs) qui s’étaient déplacés n’étaient pas tout aussi légitimes pour prendre la parole sur ce combat. Cela sans doute pour ne pas entacher le manteau virginal des rabatteurs de voix de l’UMP.

    Lire la suite "Pour que LMPT ne devienne pas L'UMPT ?"

    Paula Corbulon

  • Les élites américaines commencent à passer en mode survivaliste par Dave Hodges

     

    Quelque chose d’important va se produire. Comment puis-je le savoir ? Je le sais parce que les gens que j’ai fréquenté pendant des années m’ont prévenu que le dernier trimestre 2014 serait le début de la fin pour beaucoup de nos institutions et peut-être même pour notre mode de vie.

    Certains de mes meilleurs contacts m’ont précisé qu’il était temps d’arrêter d’essayer de prévenir tout le monde, car désormais le moment est venu de se cacher de ceux qui veulent vraiment notre perte. Ma première réaction a été de ne pas les croire, mais il y a trop de sources bien renseignées qui me remontent les mêmes infos pour ne pas les prendre au sérieux.

    En écrivant ces lignes, j’ai eu un contact mail avec le pasteur Lindsay Williams, concernant les temps difficiles à venir. Le Pasteur Williams a été invité à mon émission plusieurs fois. Je lui ai renvoyé un courriel lui demandant quand il voudrait revenir, il m’a répondu qu’il avait cessé de faire des interviews. Cela devient récurent, ce week-end passé, une de mes meilleurs sources m’a dit qu’il allait arrêter la diffusion d’informations, parce que ce qu’il avait à dire n’aurait plus d’impact sur les événements à venir. Il m’a déclaré: « Le train ira jusqu’à sa destination finale et on ne peut plus l’arrêter. Les américains a eu leur chance pour se mobiliser et essayer d’arrêter la tyrannie à venir, mais ils ne voulaient pas descendre du canapé et arrêter de regarder cette putain de TV. Eh bien, le nouveau terme NFL (Not For Longtime) signifie « pas pour longtemps » et qui est combien de temps il reste à ce pays. Les Américains se sont vautrés dans leur propre apathie et leur ignorance pendant des décennies. Bientôt, ils se vautreront dans leur propre sang ». C’est le témoignage d’un général qui a vécu deux guerres.

    Le 9 décembre 2012, dans un entretien, Jim Marrs a examiné comment environ 400 à 500 grands banquiers de haut niveau ont quitté leur poste et ont disparu du système. Jim Marrs a rappelé à mon auditoire la façon dont les élites ont stocké des semences dont ils sont les seuls à y avoir accès. Marrs a fait clairement allusion au fait que des événements très désagréables vont survenir et que l’élite mondiale en est consciente. Elle se prépare à y survivre. Mes sources m’informent que la même chose se produit dans divers organismes fédéraux, et que certains ont récemment pris leur retraite de la CIA, du DHS, de la NSA et de la FEMA.

    Ce fait est incontestable. J’ai des informations de première main qui stipulent que quatre hauts-fonctionnaires et à leurs familles ont déménagé dans des enclaves sécurisées, alors que cela était très contraignant pour leurs vies de leurs familles respectives. De plus en plus, il semble que des événements majeurs se précisent et que des personnes ayant des informations de première main tentent de s’y soustraire.

    Lorsque de nombreux représentants du gouvernement, des divers organismes, quittent leurs postes, ce n’est pas nécessairement un événement marquant. Toutefois, lorsque ces mêmes fonctionnaires donnent leurs démissions en masse puis déménagent dans des enclaves survivalistes, alors c’est quelque chose que nous devrions tous prendre en considération, surtout quand nous voyons le même type de comportement de la part de cadres de Wall Street.

    Dans mes rapports avec certains informateurs, j’ai reçu quelques avertissements très graves concernant ce qui nous attend en Amérique. J’ai commencé à recevoir ces informations il y a deux ans, sur les temps dangereux qui s’annoncent, Doug Hagmann a également rendu public ses conversations qu’il a eues avec le DHS.

    J’ai eu des conversations avec deux initiés et le parent d’un autre initié, qui racontent des histoires semblables d’une série à venir d’événements apocalyptiques. La plupart des informations de Doug Hagmann, dans une large mesure, correspondent aux informations que j’ai déjà reçues.

    Déplacements de personnels de la DHS et de la CIA

    Certains responsables actuels de l’EDS et de la CIA, ainsi que leurs familles, seront déplacés dans des sanctuaires, à l’abri dans divers endroits stratégiques, dans le Colorado. La plupart des gens informés sont au courant des installations souterraines qui se trouvent en dessous de l’aéroport international de Denver, qui a un chemin de fer souterrain reliés aux installations souterraines de Cheyenne Mountain NORAD / Fort Carson / Peterson Air Force Base. Les structures font partie du programme de continuité du gouvernement, élaboré par le gouvernement des États-Unis dans les premiers jours de la guerre froide. Toutefois, ces installations sont de plus en plus le refuge prévu pour un grand nombre d’élites mondiales résidant aux Etats-Unis, lorsque l’enfer se déchaînera.

    L’opération « Montagne Gardian » était un exercice de continuité gouvernementale, lié à une catastrophe.

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  • A quoi cela sert-il de manifester ?

    Réponse de Cyril Brun :

    "[...] Ennuyer l’ennemi, le tarauder, lui tourner autour, lui faire perdre la tête, l’encercler de toute part, tel est le résultat de la multiplicité et de la diversité des actions qui ont été menées depuis deux ans et que, m’est avis, il faut continuer et intensifier. Plus nous les agacerons de nos veillées, contre lesquelles ils ne peuvent rien, de nos sentinelles, qui les réduisent à l’impuissance, de nos marches paisibles, sur lesquelles ils n’ont aucune prise, plus nous gagnerons du terrain. Oh, pas un terrain militaire, mais un terrain politique, parce que nous sommes en train, petit à petit, de reprendre la main en imposant notre tempo. Manuel Valls s’exprime avant la manifestation, François Hollande prend la Manif pour tous comme illustration de certains de ses propos. Ils sont en train de perdre pied et il n’est pas question de les laisser reprendre leurs esprits. Ce combat, nous pouvons le gagner par KO et faire tomber la forteresse, comme le peuple juif tournant avec ses trompettes autour de Jéricho ! Voilà pourquoi qu’importe qu’il n’y ait pas de capitaines dans notre armée de va-nu-pieds, ce qui compte c’est de tourner autour de la citadelle, non pour être plus forts qu’elle, mais pour qu’elle s’effondre d’elle-même.

    Ne cherchons pas en effet l’affrontement de face, nous ferions leur jeu en entrant dans ce principe marxiste du rapport de force. En nous mettant sur leur terrain, nous sommes forcément perdant, parce qu’ils jouent avec le renversement de ce rapport et ils reviendront plus forts dans quelques années. En utilisant leurs armes, ils gagneront parce qu’ils les manient mieux que nous. Mais visiblement, ils sont désarçonnés devant la forme inédite que prend notre armée. Nos trompettes de l’espérance, la cadence de nos marches ébranlent leurs constructions à peine posées sur le sable. Et pour ce faire, il nous suffit d’être nous-mêmes et de démontrer la beauté de la vérité que nous défendons. L’exemple des veilleurs, proposant à des milliers de jeunes l’édification de soi par la culture, celui des sentinelles, faisant de la patience et du silence, les vertus du héraut de la défense des libertés, celui encore des comités d’accueil des ministres, ne désarmant pas depuis des mois et des mois dans la bonne humeur, témoignent sobrement d’une assurance et d’une espérance qui, à elles seules, sont autant de flèches décochées dans les cœurs avides de bonheur de nos contemporains.

    Les trompettes de Jéricho couvriront sans mal les sirènes enrhumées des bobos. Déjà elles s’essoufflent. Mais perverses, elles cherchent assurément d’autres issues pour échapper à l’encerclement de la citadelle. Alors ne nous évanouissons pas dans la nature par impatience, regrettant le coup de force qui les écraserait ! Mais au contraire, partout, en tous lieux, tout temps, ici et maintenant, sans attendre demain, ni ce général providentiel (il viendra en son temps),labourons le terrain, ennuyons l’ennemi, sonnons très fort et sans trêves les trompettes de Jéricho. Mais attention, n’oublions pas que l’adversaire n’est pas « le reste de ceux qui ne pensent pas comme nous ». Bien au contraire, l’immense majorité de nos contemporains est emprisonnée dans cette cité de la pensée unique, captive des sirènes trompeuses d’une idéologie mortifère qui est notre véritable ennemi.C’est bien pour cela que la tactique biblique des trompettes de Jéricho vise bien à faire tomber les remparts et non à écraser la population. Car ce combat est un combat de liberté. Il ne s’agit pas d’imposer notre vérité, mais de faire s’effondrer le mensonge.

    Nous pourrions avoir l’impatience du découragement ou de la colère, mais soyons au contraire convaincus que plus nous mettrons d’intensité dans nos trompettes, plus vite la victoire nous sera donnée.

    Et une fois les murs tombés me direz-vous ? Chaque chose en son temps ! Le temps qui est le nôtre est celui de la préparation.Comme dans les tranchées, que nous commémorons cette année, il va falloir nous installer pour durer, rivaliser d’imagination pour « disputer le moulin », sans jamais perdre notre âme, ni notre flamme. C’est le temps ardu du laboureur qui s’ouvre à nous. Un labour qui n’exclut pas cependant de préparer ceux qui seront les cadres de demain. Ce temps, en tout cas, requiert patience, tempérance et espérance, ce que d’aucuns résument en quatre lettres : ONLR !"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/10/a-quoi-cela-sert-il-de-manifester-.html

  • Ségolène Royal recule sur l’écotaxe

    Ségolène Royal vient d’annoncer le report « sine die » de l’écotaxe. La ministre de l’environnement avait pourtant tenté de relancer cette nouvelle taxe, appelant même les routiers « à se calmer » ; elle a dû finalement reculer devant la menace d’une mobilisation forte et déterminée – qui avait été menée par le mouvement des bonnets rouges – que le gouvernement craint particulièrement vu son impopularité.

    Ce dispositif n’est pas une fabrication de la gauche mais avait été imaginé et voté par le gouvernement Fillon. Car là aussi, le dispositif avait été imaginé en dépit du bon sens, taxant une profession aux marges déjà très faibles et soumise à une concurrence féroce d’entreprises étrangères n’ayant pas les mêmes contraintes fiscales et sociales et qui plus est, payant déjà des niveaux de taxes records via le carburant.

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