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  • Remettons les mots à leur place : les français ne sont ni racistes ni xénophobes

    Maintenant quand on parle d’étrangers on pense tout de suite maghrébins ou africains. Quand on parle d’émigrés on pense la même chose. Quand on dit musulman on assimile l’ensemble : étranger immigré  maghrébins !

     

    Alors certains en prennent pour leur grade alors qu’ils ne sont pas concernés !

    Imaginez le nombre d’étrangers en France après qui on n’a aucune animosité, belges, allemands, espagnols, italiens, grecs, polonais, portugais, asiatiques, indous …eux qui viennent en France et enrichissent notre pays, ne doivent pas se sentir concernés, car ils se fondent dans le paysage sans faire parler d’eux, et sont intégrés !

    Le problème vient en particulier des maghrébins et des roms, qui arrivent les mains vides avec des oeufs sous les bras pour bénéficier de toutes les aides qui leurs sont généreusement octroyées, et certains s’ils ne les ont pas (ou pas assez), ils volent et commettent des actes répréhensibles en voulant imposer leurs coutumes.

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  • Sondages : le FN toujours en tête aux départementales

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    e nouveau sondage réalisé ce mois-ci par Odoxa pour L'Express, la presse quotidienne régionale et France Inter, revient sur la spectaculaire hausse de popularité de l'exécutif au lendemain des attentats de Paris ainsi que sur les intentions de vote aux élections départementales. Revue de détail.n
    Fin de l'effet 11 janvier
    La popularité de l'exécutif a été dopée par les attentats puis l'esprit du 11 janvier. Le Président a ainsi gagné 10 points en un mois et le Premier ministre 8. Les Français ont jugé positivement leur action à la suite des attentats. L'un et l'autre sont désormais redevenus populaires au sein de leur propre camp (68 % de popularité à gauche pour Hollande et 72 % pour Valls).
    Mais la hausse s'est à présent arrêtée, le Président ayant engrangé l'essentiel de ses gains au lendemain des attentats (+ 5 points après les 7 et 8 janvier) puis de la marche du 11 janvier (+ 3 points entre le 9 et le 13 janvier) et ne progressant plus guère depuis. Le Premier ministre, lui, a progressé plutôt linéairement sur l'ensemble de la période, gagnant ses 8 points tout autant après les attentats qu'après les grandes marches du 11 janvier dernier. Le Président comme le Premier ministre ne sont toutefois pas du tout au même niveau dans l'opinion, Hollande étant toujours largement rejeté par les Français tandis que Valls est désormais apprécié par une nette majorité de nos concitoyens.
    Palmarès de l'adhésion
    Déjà à des niveaux "stratosphériques" et peu en vue sur la période post-11janvier, Alain Juppé est l'une des rares personnalités politiques à ne pas progresser ce mois-ci. Il demeure, de loin (10 points de plus que les seconds), la personnalité politique suscitant le plus d'adhésion dans le pays, 47 % des Français éprouvant à son égard du soutien (15 %) ou au moins, de la sympathie (32 %). Son principal adversaire pour 2017, Nicolas Sarkozy, et François Bayrou complètent notre podium de l'adhésion (37 %). S'il devance l'ancien Président auprès de l'ensemble des Français, le maire de Bordeaux accuse toujours un net retard chez les sympathisants de droite.
    Élections départementales
    L'esprit du 11 janvier ne bouleverse pas le rapport de force observé en décembre, mais les écarts se resserrent (voir infographie ci-dessus), le PS – toujours 3e – progressant nettement (+ 3 points), tandis que l'UMP et surtout le FN, malgré leurs baisses de 2 points en un mois occupent les deux premières places. La déroute annoncée pour la gauche se confirme, mais la gifle pourrait être moins forte que prévue.
    Nous l'avions constaté en décembre, les élections départementales de mars devraient engendrer la présence de nombreux binômes étiquetés FN au 2nd tour. Dans notre rapport de force national de janvier, le FN reste le 1er parti de France (26 %, - 2 points) devant l'UMP (23 %, - 2 points et le PS (20 %, + 3 points). Avec cette hiérarchie et la règle de 12,5 % des suffrages exprimés pour se qualifier au second tour, le PS serait éliminé dans de nombreux cantons et verrait donc l'UMP et le FN s'affronter au 2nd tour.
    Mais la bonne gestion des attentats par l'exécutif a redonné du crédit au PS, tandis que le FN et l'UMP ont reculé de 2 points. Le rapport de force s'est transformé en un affrontement serré entre les trois principales formations politiques.n
    Source : La Provence
  • IL Y A QUELQUE CHOSE DE POURRI AU ROYAUME DE HOLLANDE (par Maurice D.)

    On veut donc nous faire croire que Charlie c’était la France et que chaque Français était Charlie. Maintenant que le soufflé est, comme prévu, retombé, est-il possible d’exercer cette liberté d’expression qui nous a été présentée comme la première des valeurs républicaines ?

    Pas sûr, car la com de l’Elysée veut préserver le plus longtemps possible l’effet d’aubaine obtenu, avec une grande habileté il faut le reconnaître, et laisser le président planer dans les sondages.
    Au moins jusqu’à la prochaine partielle du Doubs afin de donner au mauvais candidat socialiste qui n’avait aucune chance de passer le premier tour et a fortiori et d’être élu au second, le crétin qui représente l’UMP ayant déjà fait savoir qu’il se désisterait en sa faveur (un truc à ne jamais dire avant, c’est pousser les électeurs à voter tout de suite pour un autre) !
    Il n’y a toujours pas deux neurones à l’UMP.

    Charlie était en quasi faillite, il ne lui restait plus le 6 janvier que 10 000 abonnés, moins de 30 000 lecteurs et il était vertement critiqué même à l’extrême gauche. « Qu’ils crèvent » disait Bedos, Debbouze n’en pensait pas moins.

    000 - Bedos
    (cliquez sur les photos pour les agrandir)

    Siné, viré de Charlie en 2008 sur une dénonciation en antisémitisme de l’ayatollah-procureur Claude Askolovitch, avait dépassé Charlie en tirage grâce à des collaborateurs de qualité comme Delfeil de Ton et un humour certes de gauche et libertaire mais qui évtait le scatologique (c’est à dire la merdouille) dans lequel se vautrait Charlie et dont Luz nous a donné un extrait le jour de l’enterrement de Charb. « Charb, mon amant… Ah, qu’est-ce qu’on s’est enculé toutes ces années !.. Tu aurais dessiné Netanyahou et Mahmoud Abbas. Dans ton dessin, ils ne se tiendraient pas la main, mais ils tiendraient la bite à Sarkozy… »

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  • Echapper à la mort de la France : conférences les 4 et 12 février

    De François Billot de Lochner, Président de la Fondation de Service politique :

    "Les élections présidentielle et législatives de 2017 approchent à vive allure, et nous avons l’intention de peser de tout notre poids sur les candidats et leurs programmes.

    Pour cela, nous avons besoin de vos avis sur les mesures de redressement de la dernière chance que je propose dans mon dernier livre, Echapper à la mort de la France.

    Nous serions donc très heureux que vous acceptiez de participer aux deux débats que nous organisons, sous la direction de Louis DAUFRESNE, rédacteur en chef de Radio Notre-Dame :

    L

    Michel Janva

  • Zenit rencontre le M.A.S: Entrevue avec Arnaud de Robert

    Interview réalisée par Matteo Caponetti de l'Association Culturelle Zenit avec Arnaud de Robert, responsable du Mouvement Action Sociale.

    1.Bonjour Arnaud peux tu nous parler du MAS ,de son année de fondation ainsi que son engagement politique sur le territoire français?

    Le Mouvement d’Action Sociale a été créé en 2008 par des militants provenant de différents groupes et ayant eu des engagements variés: politiques, métapolitiques, associatifs, syndicaux. L’objectif que nous nous sommes assignés est de générer des communautés de combat, des totalités dynamiques engagées réellement auprès de nos concitoyens. Trop longtemps, la mouvance militante s’est contentée de se parler à elle-même. Le lien avec le peuple s’est distendu voire rompu. D’autres ont parlé à notre place, ont parlé pour nous. Nous voulons reconquérir le peuple, nous voulons que nos principes et notre Idéal puissent devenir une réalité ancrée dans le quotidien des Français. Pour cela, nous avons développé des outils, des vecteurs de projection en direction de publics variés : Sport, Culture, radio, conférences, actions de terrain, agitation, entraide sociale, écologie, art… Nous ne nous interdisons aucun domaine, aucune lutte. Nous fondons notre volonté d’agir sur le principe souverain que tout est nôtre.

    2.Quelles sont vos références politiques et culturelles?

    La France est le creuset, le berceau de ce que l’on a appelé plus tard le fascisme. Notre histoire politique a été témoin de cette union entre la justice sociale et la défense de la Patrie. Nous sommes clairement issus de ce creuset, de cette fusion. En conséquence, nos référents culturels se trouvent autant dans les aspirations anarcho-syndicalistes, socialistes que dans l’expression des mouvements nationaux. Se croisent ici Sorel, Proudhon, Lafargue, Nietzsche, Junger, Evola, Venner… mais aussi tout ce que la dissidence a produit de novateur à gauche comme à droite. Nous aimons à réduire les contraires, à fusionner les pensées, à fluidifier les doctrines. De nombreux sites web, mais particulièrement Zentropanous ont ouvert sur un monde d’avant-garde, de radicalité joyeuse et conquérante. Ce site (nous saluons son fondateur Sébastien que beaucoup connaissent et estiment) a été pour nous un levier autant esthétique que militant. Sur le plan structurel, Casapound et son aventure ont été et restent pour nous des références. L’image, le sens, l’élan des camarades italiens est un éperon qui aiguillonne l’ensemble de notre démarche. Nous sommes également très attentifs et curieux des initiatives de la gauche radicale et alternative. Nous parlons ici des avant-gardes et non des valets antifascistes.

    3.Quels sont vos rapports avec les autres mouvements européens?

    Nous avons, comme nous venons de le dire, d’excellents rapports, avec les camarades de Casapound, avec ceux de la communauté Zenit en Belgique, avec les Espagnols, les Allemands, les Polonais, les Russes et les Ukrainiens. Nos échanges nourrissent notre volonté de créer une Europe-puissance, ils nous aident aussi à penser qu’en Europe se lève une nouvelle génération, pleine de maturité et de radicalité. Une génération qui fait face à son destin, sans ciller, prête à relever les défis démesurés qui nous attendent.
     
    Associazione Culturale Zenit – Filtra la verità!

    4.Que pensez-vous de la crise ukrainienne?

    Nous pensons qu’il y a en Ukraine des camarades qui luttent pour leur souveraineté et pour le droit légitime à voir un ethnos s’incarner dans un Etat. Nous saluons leur combat même si nous regrettons que des guerres opposent des frères. Nous avons un ennemi commun avec les camarades ukrainiens: les oligarchies qu’elles soient à Kiev, Paris, Washington ou Moscou. Une Ukraine libre sans l’OTAN ni la Russie, voilà leur volonté. Nous respectons cela comme nous respectons tous ceux qui dans le monde se battent pour la préservation de leur identité. Nous regrettons l’attitude emprunte de nostalgie de monsieur Poutine. Nous pensons que sur l’affaire ukrainienne, le gouvernement russe a manqué une occasion historique d’incarner la 3eme voie que nous sollicitons. Nous nous sommes exprimé sur le sujet, aujourd’hui nous observons attentivement la suite des évènements. Cela nous préoccupe, mais l’essentiel de notre combat est ici et maintenant, sur nos terres, dans nos villages, dans nos villes. C’est là que les nôtres ont besoin de nous!
  • Pendant ce temps-là, les adolescents se suicident...

    Les médias ont largement parlé ces derniers jours de la parution du livre de Nora Fraisse Marion, 13 ans pour toujours. Dans celui-ci, l’auteur, mère d’une ado qui s’est donné la mort il y a deux ans, traite d’un sujet très préoccupant et très symptomatique de « notre » société malade : le suicide des adolescents.

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    « Notre » belle société y est habituée depuis près de 3 décennies. Ce n’est pas une nouveauté et cette cause de mortalité est l’une des principales chez les moins de 20 ans. Cela est connu. Dans un monde d’excès comme le nôtre, il était impensable que cela ne s’arrête qu’aux adolescents et ne finisse pas par toucher les jeunes ados ou pré-ados. C’est chose faite ! Plusieurs affaires ont été traitées par les médias ces derniers mois au sujet d’enfants de 12-13 ans se donnant volontairement la mort. La première constatation que l’on peut en tirer, c’est que nous vivons dans une époque de mal-être généralisé. S’il est choquant de voir des jeunes de 12-13 ans (donc des enfants quelque part) se suicider, ce n’est pas étonnant à mon sens.  Pourquoi ? Premièrement, parce que nous vivons dans un monde sans repères et le passage entre l’enfance et l’âge adulte est une phase souvent difficile. Cette phase s’appelle « l’adolescence ».  C’est une émanation du monde moderne car jadis nos anciens passaient directement de l’enfance à l’âge adulte. Pas de période intermédiaire. Comment se fait le basculement aujourd’hui? A quel moment ? Ce passage est-il évident pour l’enfant ? Y-a-t-il un rite de passage, un évènement qui le fait sortir de l’enfance ? Je ne le pense pas et l’entrée au collège ne joue certainement pas ce rôle… La plupart des groupes sociaux ayant été abattus dans la société libérale (Famille, Eglise, Armée, scoutisme, etc…), les enfants cherchent bien souvent leurs propres rites de passage : le jeu du foulard, la première cigarette, la première cuite, le premier joint, la multiplication des partenaires sexuels, les scarifications, l’identification aux stars, et bien sûr, la consommation effrénée… tout ça participe à cette transition douloureuse et sans repères sociaux et culturels.

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  • Reportage sur la résistance à l’islamisation de l’Europe

    Suite aux récents attentats islamistes en France, Le Point Quotidien a consacré un reportage à la montée de l’”islamophobie” en Europe…
    Le Point Quotidien est une production VICE Media France avec la participation de France Télévisions.

    http://fr.novopress.info/

  • La naissance du jihad

    Le Figaro Histoire consacre son nouveau numéro à la conquête musulmane du VIIe et VIIIe siècle et à l'âge d'or du Califat. Voici l'éditorial de Michel De Jaeghere :

    J"Nous étions en guerre, et nous ne voulions pas le voir. Nous n'avons pas reconnu cette guerre parce qu'elle ne se présentait pas sous les mêmes couleurs qu'autrefois. La violence ne s'y manifestait que par spasmes. Elle semblait vouée à épargner notre vie quotidienne, notre territoire. Pas ici, pas pour moi. La télévision, les réseaux sociaux, Internet nous mettaient en contact avec des réalités d'un autre âge: un Etat islamique, des jihadistes, un califat. Des chrétiens expulsés de leurs terres ancestrales. Des otages égorgés par des hommes vêtus de noir. Des villages dévastés, des fillettes enlevées de leurs écoles pour être réduites en esclavage. Nous en regardions en boucle les images avec le sentiment de voyager dans le temps.

    Nous pensions sans le dire que l'avancement de nos technologies, la sophistication de notre confort, la bienveillance de nos institutions, le caractère policé de nos mœurs nous mettaient à l'abri de telles tempêtes. La semaine sanglante ouverte par les assassinats du 7 janvier est venue nous rappeler qu'ils nous en abritaient aussi sûrement que ne l'avait fait la ligne Maginot face aux troupes du Reich. Qu'il suffisait à un petit nombre d'utiliser nos failles. Près de 1200 jihadistes sont aujourd'hui disséminés sur notre sol. Il est peu probable qu'ils en resteront là. Nous savons désormais que l'histoire n'a pas cessé d'être tragique parce que nous avions cessé de nous en apercevoir.

    Les événements ont suscité, à travers le pays, une immense mobilisation. Reste à savoir pour quoi.

    A sortir d'un unanimisme qui nous a d'abord conduits à nous abstenir de désigner clairement l'adversaire auquel on se proclamait décidé à faire face; à le réduire à une identité abstraite, née de rien, venue de nulle part: un mal sans explication, sans visage.

    A dissiper le malentendu qui, devant la folie meurtrière, nous a fait considérer le droit à la dérision, à l'injure, le mépris de toutes les croyances et de toutes les fois, l'obscénité, le blasphème comme le cœur même de l'identité française et de la civilisation occidentale.

    A dépasser la satisfaction quelque peu narcissique qui nous a amenés à nous rassurer devant la seule image qu'un peuple descendu dans la rue pour dire son refus de la violence et du terrorisme, son amour de la liberté, de la patrie, peut-être, nous donnait de nous-mêmes: comme si la volonté de vivre en paix avait la vertu de contaminer l'adversaire, de lui imposer, par mimétisme, l'abandon de la violence, de lui faire déposer les armes; comme si nous pensions vaincre par le seul affichage de notre désarroi.

    Cela suppose que l'on s'efforce de comprendre les ressorts de la tragédie dont le monde musulman est aujourd'hui le théâtre, l'islamisme radical, l'acteur principal.

    Le Figaro Histoire voudrait y contribuer ici en étudiant sans parti pris ce que furent les commencements de l'islam. Quelle place tint le jihad dans la fulgurante cavalcade qui permit aux cavaliers arabes de terrasser l'Empire perse, vaincre les Byzantins, dominer la Méditerranée, et s'imposer jusqu'en Espagne. Comment cette expansion se traduisit pour les populations annexées au fil de la conquête. Comment se développa aussi, par le remploi et la synthèse des cultures asservies, une civilisation originale.

    L'histoire n'a rien, bien sûr, d'une science expérimentale. Les événements qu'elle rapporte ne se reproduisent pas à l'identique, comme dans le huis clos d'un laboratoire. Il n'en reste pas moins qu'elle constitue l'expérience des peuples. Qu'il serait imprudent d'en ignorer les leçons. [...]"

    Michel Janva