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  • Le drame des enfants nés vivants durant leur avortement

    Les statistiques officielles pour l’Angleterre et le pays de Galles indiquent qu’en 2005, 66 nouveau-nés ont survécu à leur avortement et ont agonisé pendant parfois plus de dix heures.

    Lorsqu’un enfant naît grand prématuré, tout est mis en œuvre pour le sauver. Si ce n’est pas possible, il reçoit des soins de confort et est entouré jusqu’à son décès.

    Tout autre est la situation de ceux qui naissent vivants après un avortement. Il ne s’agit pas de ceux dont on provoque la naissance parce que la poursuite de la grossesse présente un danger majeur, mais bien de ceux qui naissent vivants accidentellement, suite à un « échec » de l’avortement. Une étude publiée en 2007 a conclu qu’environ une interruption de grossesse sur 30 après 16 semaines résultait en une naissance vivante. À 23 semaines, la proportion atteignait 9,7 %, soit presque 1 sur 10. Or, l’avortement est pratiqué sur simple demande jusqu’à 18 semaines en Suède, 24 semaines en Angleterre et aux Pays-Bas, et sans limite légale au Canada. Il est pratiqué jusqu’à la fin de la grossesse en cas de malformation en France et en Angleterre. Le seuil de viabilité fixé par l’OMS est 22 semaines.

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  • “Peuplement” : Manuel Valls compte transformer la France en profondeur

    Et si la “rumeur du 9-3″ n’avait été qu’un avant-goût ? Vous savez, cette “rumeur”, en fait parfaitement fondée, qui affirme que des communes rurales et certaines préfectures en province accueillent des populations d’origine extra-européenne venues des grandes métropoles… En effet, Manuel Valls, dans son obsession “remplaciste” a annoncé qu’il mettrait en place “une politique de peuplement” pour certainement répondre à l’apartheid qu’il vient de dénoncer dans un discours. Le Premier ministre ne fait donc qu’appliquer avec zèle la fameuse route de Terra Nova…

    Voici ce que précise Le Figaro :

    «Politique du peuplement, pas seulement politique du logement et de l’habitat. Politique du peuplement pour lutter contre la ghettoïsation, la ségrégation», a déclaré Manuel Valls, ex-maire d’Evry (Essonne). Celui-ci dit ne plus «supporter, comme républicain, de voir cet enfermement, cette relégation dans un certain nombre de ces quartiers (…), que dans des écoles on ne trouve que des élèves issus de familles pauvres, souvent monoparentales, issues uniquement de l’immigration, des mêmes cultures et de la même religion».

    http://fr.novopress.info/181445/peuplement-manuel-valls-compte-transformer-france-en-profondeur/

  • 28 janvier : conférence de Thibaud Collin sur le bien commun

    Le SIEL Île-de-France a la joie de recevoir Thibaud Collin, philosophe, le mercredi 28 Janvier.

    Ecrivain français, agrégé de philosophie, Thibaud Collin interviendra sur la question du bien commun.

    Rendez-vous à 20h00 au 70 boulevard Saint-Germain, 75005.

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html 

  • Ils ont rejoint l'Etat islamique et pourtant personne n'avait rien vu venir, vraiment personne

    C'est le cas de cet employé de mairie : 

    "le jeune homme de 20 ans, poli, réservé et bosseur, n'avait rien fait pour attirer l'attention.

    Arrivé de Tchétchénie à 15 ans, Youssoup Nassoulkhanov avait un travail, le projet de s'installer comme vidéaste spécialisé dans les mariages. Une petite gloire locale aussi après sa participation aux championnats du monde de "street workout", cette forme de gym de rue ultra-acrobatique.

    "On discutait, on se chambrait", raconte à l'AFP Yann Lymand, 36 ans, responsable du service infographie de la mairie, qui l'avait recruté en mai 2013. "C'était un gentil garçon, il n'avait pas de haine vis-à-vis de la France, des Français ou des non-musulmans..."

    Ou de ces deux adolescentes canadiennes : 

    "La police craint que ces deux femmes soient devenues des «esclaves» à la solde des soldats du groupe terroriste.

    C’est aussi la crainte de l’inspecteur André-Guy Lamothe, du module antiterrorisme du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM).

    «Il y avait des signes de radicalisation­­. Malheureusement, on les a perdues, elles sont déjà rendues là-bas. Elles vont servir d’esclaves pour les gens là-bas», a déclaré l’inspecteur Lamothe, qui ne voulait pas discuter de l’itinéraire utilisé ni de l’endroit où il croit qu’elles se trouvent (...)

    De 10 % à 15 % des jeunes qui quittent leur famille pour se joindre au groupe État islamique sont des jeunes femmes, selon un agent du Service canadien du renseignement et de sécurité de Montréal.

    «La radicalisation se faisait autrefois en trois, quatre ou cinq ans. Maintenant, on parle d’une période “en mois”, selon un agent de renseignement canadien dont nous devons taire l’identité.

    «J’ai rencontré beaucoup de parents et c’est triste, dit-il. Ils ne savaient pas. Il est trop tard. Ils sont partis.»

    «Ça [la radicalisation] s’est fait devant l’ordinateur. C’est du recrutement qui se fait en quelques semaines. On n’a pas pu les détecter», ajoute l’agent de renseignements. Il dit avoir tenu dans ses bras des parents qui sanglotaient après les avoir informés du départ de leurs enfants".

    Le Salon Beige  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Déjeuner maçonnique en vue pour Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur

    Comme l’avait fait Manuel Valls le 30 janvier 2014, Bernard Cazeneuve qui lui a succédé à la place Beauveau prépare une entrevue conviviale avec le gratin maçonnique des diverses obédiences.

    Un déjeuner est évoqué pour le 2 février, si l’actualité ne vient pas perturber l’agenda du ministre de l’Intérieur.

    Les heureux élus sont Daniel Keller, Grand Maître du GODF, Marc Henry, Grand Maître de la GLDF, Jean-Pierre Servel, Grand Maître de la GLNF, Michel Meley, président de la FFDH, Alain Juillet, Grand Maître de la GLAMF, Catherine Jeannin-Naltet, Grande Maîtresse de la GLFF, Roger Dachez, président de l’IMF et Alain Bauer, ancien Grand maître du GODF.

    Au cours de ce déjeuner entre gais lurons à la tête des forces occultes, le Grand Orient de France devrait réaffirmé son exigence d’obtenir la suppression du délit de blasphème, encore en vigueur en Alsace-Moselle, dernière parcelle de territoire à n’avoir pas complètement cédé au laïcisme républicain.

    http://www.medias-presse.info/dejeuner-maconnique-en-vue-pour-bernard-cazeneuve-ministre-de-linterieur/23865

  • Traités

     Traité de Ryswick (1697)
     20 septembre 1697 : Traité de Ryswick. La Hollande, l’Angleterre et l’Espagne (dont nos provinces) signent un traité de paix avec la France. Ce Traité marque l’arrêt des guerres et des pillages perpétrés par l’ignoble Louis XIV, qui doit rendre bon nombre de places qu’il avait annexées au nom de sa théorie fumeuse des « Réunions », que notre diplomate Stockman avait réfutée avec brio, dans un mémoire rédigé à l’attention des négociateurs impériaux. Le Traité de Ryswick est donc une victoire tardive de Stockman et de Rubens, qui fut certes un peintre très célèbre, mais aussi un diplomate de grande envergure au double service de l’Espagne et du Saint-Empire. À Ryswick, Louis XIV doit rendre également le Duché du Luxembourg, dont il s’était emparé avant de ravager cruellement le Palatinat, où il a laissé un souvenir épouvantable, ravivé douloureusement par l’occupation française de 1918 à 1930, marquées de sauvageries, de mesquineries et d’actes arbitraires impardonnables (à ce propos : cf. Günter Zerfrass/Hrsg., « Die Pfalz unter französischer Besatzung von 1918 bis 1930 – Kalendarische Darstellung der Ergebnisse vom Einmarsch im November 1918 bis zur Räumung am 1. Juli 1930 », Verlag Siegfried Bublies, Koblenz, 1996). Au Sud, Louis XIV, enfin vaincu, doit rétrocéder la Catalogne. En Amérique, il doit rendre l’île d’Hispaniola / Saint-Domingue, dont il avait fait un nid de pirates, sur les modèles anglais et barbaresque, menaçant toutes les côtes circumcaribéennes. Malheureusement, à Ryswick, il conserve le droit d’occuper Strasbourg et les autres territoires alsaciens, qu’il avait conquis et qui nous reviennent de droit, en tant qu’État héritier du Saint-Empire.
    http://i66.servimg.com/u/f66/11/16/57/47/ouie10.gif◘ Traité de Karlowitz (1699)
     26 janvier 1699 : Les Ottomans signent le Traité de Karlowitz qui sanctionne les victoires d’Eugène de Savoie. Après que les Polonais du Roi Jean Sobieski aient dégagé Vienne, le 12 septembre 1683, qui avaient été assiégée par les Ottomans depuis le 13 juillet, la victoire change de camp. Les Européens reprennent du poil de la bête et passent à la contre-offensive. La guerre durera en fait jusqu’en 1699. L’Europe constitue la Sainte Ligue (Autriche, Pologne, Venise, Russie), instrument de sa contre-attaque. En 1686, le Duc Charles de Lorraine écrase les Turcs à Mohacz, vengeant ainsi la défaite, au même endroit, des Hongrois en 1526. Les Autrichiens libèrent Budapest. La libération de la Croatie peut commencer. La lutte sera dure. Sous l’impulsion du vizir Mustafa Köprölü, un Albanais converti, les Ottomans résistent et relancent une offensive en direction de la Save et du Danube en 1690, aidé par des Hongrois renégats, regroupés autour du vassal ottoman Tekely (Tököly). Le Vizir mourra au combat et son successeur Mustafa II, après quelques succès initiaux, subit revers sur revers : le 11 septembre 1697, ses armées sont écrasées par les Autrichiens à Zenta (Senta) dans la Voïvodine actuelle. La Croatie, la Hongrie et la Transylvanie sont libérées définitivement : plus aucun janissaire ou auxiliaire tatar n’y mettra les pieds ou les sabots de sa monture. Les Turcs ne respecteront pas le traité : ils reprendront les hostilités en 1715-1716 mais subiront de terribles défaites, notamment à Petrovaradin le 5 août 1716. Ils perdront Timisoara (Temesvar/Temeschburg) et Belgrade (enlevée par des soldats hutois). Le Traité de Passarovitz du 21 juillet 1718 les obligent à rendre le Banat, la Valachie occidentale et la Serbie septentrionale. Les Turcs vont alors aller affronter les Perses dans une guerre de treize ans (1723-1736). Les Autrichiens en profiteront pour tenter de reprendre la Bosnie et libérer la Bulgarie, mais se heurteront à une résistance inattendue, appuyée en secret par la France, qui joue là sa toute dernière carte pro-ottomane ; après la défaite autrichienne de Gratzker, les territoires récupérés par le Traité de Passarovitz redeviendront turcs (en vertu du Traité de Belgrade du 18 septembre 1739). Les Serbes croupiront encore longtemps sous le joug ottoman et accusent les Autrichiens de les avoir laissé tomber. Les enjeux des trois traités (Karlowitz, Passarovitz et Belgrade) nous permettent de comprendre le fond des affaires balkaniques, y compris celles de la dernière décennie du 20ième siècle. Des pages d’histoire à méditer.

    • Source : Jean-Paul Roux, « Un choc de religions – La longue guerre de l’islam et de la chrétienté – 622/2007 », Fayard, 2007.

    http://i66.servimg.com/u/f66/11/16/57/47/ouie10.gif◘ Traité de Jassy (1792)
     8 janvier 1792 : Comme les souverains de Prusse et d’Autriche souhaitent mobiliser tous les efforts militaires de l’Europe pour vider le chancre de la révolution française, pure fabrication des services secrets de Pitt le Jeune et non soulèvement populaire et “démocratique” comme le veulent les légendes colportées depuis lors, les Autrichiens sont contraints d’abandonner toutes les conquêtes récentes qu’ils venaient de faire dans les Balkans. À cause des voyous parisiens stipendiés par l’Angleterre, la Russie se retrouve seule face aux Ottomans de Sélim III qui tentent de profiter de l’aubaine pour réaffirmer leur présence en Serbie. Le peuple serbe est l’une des premières victimes collectives du chancre sans-culottes, on l’oublie trop souvent, car les Autrichiens, pour faire face à une France dévoyée ont dû suspendre leur protection et ramener une bonne partie de leurs troupes à l’Ouest, où l’alliance implicite de la France et de l’Autriche, sous Louis XVI et Joseph II, les avait rendues inutiles. Néanmoins, l’armée de la Tsarine Catherine II parvient à écraser les troupes ottomanes à Mashin, le 4 avril 1791. Le Sultan ne peut plus formuler d’exigences. Il devra entériner le Traité de Jassy, signé le 8 janvier 1792.
     Dans les clauses de ce Traité, les Ottomans acceptent l’annexion de la Crimée à la Russie et la suzerainté russe sur la Géorgie othodoxe, libérée du joug musulman. Le Dniestr devient la frontière entre les empires russe et ottoman. Cette extension russe permet aux Tsars de dominer la Mer Noire, ce qui leur vaudra l’inimitié tenace de l’Angleterre, une inimitié qui se concrétisera lors de la fameuse Guerre de Crimée (1853-1856), où la France sera entraînée. Ensuite, la présence russe sur le Dniestr pèse sur les “Principautés” danubiennes, la Moldavie et la Valachie, que Vienne entendait dominer afin de contrôler l’ensemble du cours du Danube, jusqu’à son delta et d’obtenir ainsi une fenêtre sur la Mer Noire. Le Traité de Jassy jette donc aussi les bases de l’inimitié entre la Russie et l’Autriche, qui compliquera considérablement la diplomatie du 19ème siècle et constituera l’un des motifs de la Première Guerre mondiale.
     Si l’on jette un coup d’œil sur la situation actuelle dans la région, nous constatons que les États-Unis ont repris en quelque sorte le rôle de la thalassocratie anglaise : ils sont les protecteurs de la Turquie, en dépit d’une mise en scène où celle-ci fait semblant de branler dans le manche et d’adopter, avec Davutolgu, une diplomatie autonome ; en tant qu’héritiers de la politique pro-ottomane de l’Angleterre du XIXe siècle, ils veillent aussi à détacher la Crimée de la sphère d’influence moscovite, en pariant sur le contentieux russo-ukrainien et, aussi, à arracher la Géorgie orthodoxe à l’influence russe. Les États-Unis ont pour objectif de défaire les acquis du Traité de Jassy de 1792. Nous constatons également que la frontière sur le Dniestr constitue aujourd’hui aussi un enjeu, avec la proclamation de la  république pro-russe de Transnistrie, face à une Moldavie qui pourrait se joindre à la Roumanie et, ainsi, se voir inféodée à l’OTAN et à l’UE.

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