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  • Irak : une milice chrétienne attire des "cowboys"

    Lu dans Direct Matin :

    "Après avoir servi l'armée américaine en Irak entre 2006 et 2007, celui qui se fait appeler Brett y est de retour, cette fois comme volontaire pour soutenir une milice chrétienne.

    Composée d'une centaine d'hommes, la milice Dwekh Nawsha a été formée dans le but de défendre les chrétiens d'Irak des persécutions de l'organisation Etat islamique (EI).

    Brett, 28 ans, incarne un mouvement émergeant d'Occidentaux qui abandonnent tout pour venir défendre les Assyriens, l'une des plus anciennes communautés chrétiennes du monde. 

    Brett se décrit comme un "croisé"

    Un tatouage de mitrailleuse sur le bras gauche et de Jésus dans une couronne d'épines sur le droit, il se décrit lui-même en plaisantant comme un "croisé".

    "Le terroriste des uns est le combattant de la liberté des autres", explique Brett. "Ici, nous nous battons pour que les gens puissent vivre en paix, sans persécution, pour que les cloches de l'église continuent de sonner". [...] Brett explique que l'un de ses objectifs est la création d'une "légion étrangère" en Irak.

    Grâce à ses talents de recruteur, il a convaincu cinq autres volontaires d'Amérique du Nord et du Royaume-Uni de le suivre. Ils ont tous, selon lui, une expérience dans l'armée ou avec des sociétés militaires privées. Et il prétend avoir 20 candidats de plus en attente.

    La première recrue de Brett est Louis Park, qui a quitté les Marines en décembre.

    "Je ne me suis pas bien habitué à la vie en temps de paix", explique ce Texan, en chiquant du tabac. "Je voulais revenir". [...]

    La milice attire aussi les déçus d'autres groupes armés, comme ceux qui s'étaient initialement enrôlés auprès des combattants kurdes. Scott, un vétéran qui a servi dans l'armée américaine pendant sept ans, explique qu'il souhaitait rejoindre les Unités de protection du peuple (YPG), jusqu'à ce qu'il découvre qu'ils étaient "un tas de foutus gauchistes". D'autres étrangers de Dwekh Nawsha affirment qu'ils ont été rebutés par ce qu'ils considèrent comme la fibre socialiste des kurdes des YPG, dont la résistance dans la ville syrienne Kobané face aux jihadistes de l'EI a séduit de nombreux volontaires."

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La politique américaine en Ukraine va-t-elle entraîner une nouvelle guerre froide ?

    Au cœur du glacial hiver russe de l‘année 1990, le très républicain et très texan secrétaire d’état américain James Baker a fait à Moscou une bien étonnante promesse.

    Présent au Kremlin, il a juré la main sur le cœur pendant une discussion avec Mikhaïl Gorbatchev, que l’Alliance militaire occidentale ne s’étendrait pas vers l’est si Moscou acceptait que l’Allemagne réunifiée intègre l’Otan.

    Plus largement, cela voulait dire que les occidentaux ne chercheraient pas à profiter de la dissolution du pacte de Varsovie, et du retrait des troupes soviétiques d’Europe centrale. Ceci fut confirmé par le ministre des affaires étrangères allemand qui s’adressait à son homologue soviétique, Edouard Chevardnadze.

    Plus tard c’est Bill Clinton lui-même qui raconta dans un ouvrage qu’il avait écrit qu’en 1997, Boris Eltsine lui avait demandé de limiter une éventuelle extension de l’OTAN aux anciens membres du pacte de Varsovie mais d’en exclure les états de l’ex-Union Soviétique, comme les pays Baltes et l’Ukraine.

    Alors que la nouvelle Russie était promise à l’effondrement, le sursaut russe avant le chaos s’est traduit par l’élection d’un inconnu: Vladimir Poutine. Pendant les 15 années suivantes, (de 2000 à nos jours) il s’est attaché à rétablir non seulement l’ordre et la stabilité intérieure mais aussi à préserver autant que possible la complexe relation qui existe entre Moscou et ses marches depuis l’effondrement de l’Union Soviétique.

    Etrange naïveté postsoviétique, les Russes en général sont restés longtemps médusés en constatant que les élites américaine ne tenaient absolument pas leur parole, et que la promesse: « L’OTAN ne s’étendra pas à l’Est », qui résonnait encore à leurs oreilles, n’avait aucune valeur. Bien au contraire, la pression américaine n’a fait que s’accentuer.

    Il y a eu tout d’abord le bombardement de l’allié serbe en 1999 et l’adhésion à L’OTAN des Polonais, des Tchèques et des Hongrois la même année. Puis la création d’une force de réaction rapide à Prague en 2002 suivie en 2004 d’une vague d’extension de l’OTAN a 7 états supplémentaires: l’Estonie, la Lettonie, la Lituanie, la Bulgarie, la Roumanie, la Slovaquie et la Slovénie, amenant ainsi l’Otan aux frontières russes.

    N’oublions pas la mise en place qui se poursuit en Pologne, de missiles américains soit disant installés là pour intercepter des missiles intercontinentaux qui pourraient être lancés par l’axe du mal (Iran — Corée du Nord).

    Dans le même temps, d’étranges révolutions démocratiques managées par des ONG américaines se sont produites sur les marches russes, en Ukraine et en Géorgie. Dans le cas de la Géorgie, la situation a débouché sur des opérations militaires. La Russie et l’Ouest se sont affrontés dans une guerre indirecte et asymétrique, par l’intermédiaire d’un état fusible interposé.

    En 2009 c’est la France, via Nicolas Sarkozy qui opère son retour dans le commandement intégré de l’OTAN, fermant ainsi la fenêtre historique qui avait été ouverte en 1966 par le Général de Gaulle et achevant ainsi la mainmise de l’OTAN sur l’Europe.

    L’emprise de l’OTAN s’est en effet fortement accentuée sur l’Europe, il faudrait être sourd et aveugle pour ne pas en être conscient. L’Amérique est plus unilatéraliste que jamais, les décisions de l’Union Européenne sont de plus en plus alignées sur les décisions de Washington, c’est ce que constatent et ressentent les élites russes, qui voient que la Russie est progressivement cernée par des pays qui abritent des bases de l’OTAN.

    La politique extérieure de la Russie s’attache pour sa part à faire émerger un monde multipolaire. Dans ce contexte, les évènements qui secouent l’Ukraine prennent une importance particulière, et ne peuvent que détériorer gravement les relations entre l’Ouest et la Russie.

    En novembre 2013, un député ukrainien du nom d’Oleg Tsarev, lors d’un discours à la Rada ukrainienne (l’assemblée nationale locale) dénonce clairement l’implication directe de l’Amérique dans la préparation d’un coup d’Etat et le déclenchement d’une guerre civile en Ukraine.

    Selon lui, ce ne sera pas une révolution de couleur « pacifique » comme en 2004 mais bel et bien une opération sanglante visant à faire de l’Ukraine une zone d’affrontement entre la Russie et l’Ouest dominé par l’OTAN. Oleg Tsarev sera après ce discours brutalement agressé pendant que sa tête et celle de ses proches seront mises à prix par l’un des oligarques qui ont émergé après les évènements du Maïdan de Kiev.

    18 mois plus tard on ne pourra que constater la justesse des propos d’Oleg Tsarev alors que l’Ukraine plonge dans une guerre civile dont on se demande bien comment elle va en sortir, et alors qu’OTAN et Russie s’y affrontent de nouveau en sous-main et de façon indirecte, comme ils l’ont fait en 2008 en Géorgie, mais d’une manière beaucoup plus radicale cette fois-ci.

    Sur ce point on peut clairement réaliser que les élites russes ne se sont pas trompées: l’accord d’association de l’UE à l’Ukraine visait bien à accélérer l’intégration de l’Ukraine à l’OTAN pour permettre à la coalition d’achever la réalisation d’un axe Berlin-Varsovie-Kiev, nouvelle colonne vertébrale de l’OTAN au sein du continent. 

    Les Occidentaux ont beaucoup de mal à percevoir que le printemps russe de 2014 en Crimée est un miroir du printemps allemand au moment de la réunification. Les manifestants qui ont traversé le mur les 9 et 10 novembre 1989 n’étaient sans doute pas si différents de ceux qui ont chanté à Sébastopol le 18 mars 2014 lors du retour de la Crimée au sein de la Fédération de Russie. Comme en Allemagne, il y avait bien sur l’espoir d’un avenir meilleur, mais aussi et surtout le retour au sein de la patrie historique.

    A la pression militaire déclenchée par l’ingérence occidentale en Ukraine s’est ajoutée une guerre économique visant à étouffer la Russie financièrement et économiquement, en profitant de la baisse du pétrole ou par l’escalade malsaine des sanctions. Ce n’est pas une surprise, la Russie opère donc en retour de grandes manœuvres de ré-réorientation économiques et stratégiques qui l’éloignent encore plus d’une Europe de l’Ouest toujours plus dominée par l’OTAN.

    Un divorce total est donc en train d’émerger, qui risque de replonger le monde dans une quasi guerre froide et de scinder à nouveau l’hémisphère nord en deux blocs. Cette fois-ci le mur ne serait pas au cœur de l’Allemagne mais vraisemblablement quelque part au cœur de l’Ukraine.

    http://alexandrelatsa.ru/2015/02/la-politique-americaine-en-ukraine-va-t-elle-entrainer-une-nouvelle-guerre-froide/

  • "Les chrétiens, ces oubliés de la république"

    D'Ivan Rioufol :

    "La profanation, mardi, d’une trentaine de tombes du cimetière catholique de Tracy-sur-Mer (Calvados) ne verra pas la république se déplacer. Manuel Valls s’est contenté de son compte twitter pour dire son "sentiment de dégoût et d’indignation". "Assez !", a écrit le premier ministre, en référence à la profanation de 250 tombes du cimetière juif de Sarre-Union (Bas-Rhin) qui a suscité la venue de François Hollande, mardi. L’indifférence portée aux catholiques n’est évidemment pas une nouveauté. Elle se lit jusque dans la Loi Macron, prétexte à une crise politique au sein de la gauche déboussolée et sans repères. Samedi, en catimini, l’Assemblée nationale a en effet adopté un amendement, déposé par la députée socialiste de La Réunion, Ericka Bareigts, autorisant à remplacer les jours fériés liés aux fêtes chrétiennes par des "jours fériés locaux", dans les départements et régions d’outre-mer. En clair, le lundi de Pâques, l’Ascension, le lundi de Pentecôte, l’Assomption et la Toussaint pourraient disparaître au profit de fêtes religieuses exigées par des minorités. Cet amendement, qui poursuit la mise à l’encan du dimanche férié, est une autre expression du mépris dans lequel le catholicisme est tenu. Dimanche, dans un communiqué publié après l’égorgement en Libye de 21 chrétiens coptes par des djihadistes de l’Etat islamique, l’Elysée s’est contenté de "condamner avec la plus grande fermeté l’assassinat sauvage de 21 ressortissants libyens", sans mentionner leur religion : une omission volontaire, révélatrice de la crise d’identité qui traverse la société et ses élites. Mais comment la nation peut-elle prétendre intégrer et donner du sens si elle n’ose rappeler ses propres racines, judéo-chrétiennes en l’occurrence ?

    L’oubli de soi est le mal dont la république doit se guérir, si elle entend s’affirmer dans son autorité ébranlée par l’islam radical et son communautarisme. La honte que montre la France officielle à s’affirmer comme héritière d’une culture millénaire est une faiblesse propice aux tables rases. L’Oeuvre d’Orient a raison de s’indigner de la prudence élyséenne. Hier, selon La Croix de ce mercredi, elle a dit son "souhait que l’appartenance religieuse chrétienne des victimes (syriennes) ne soit pas escamotée" et que "la France présente ses condoléances au patriarche copte". Pour sa part, le porte-parole des évêques de France, Mgr Olivier Ribadeau-Dumas, a dénoncé, mardi, "une attaque forte contre la religion catholique" dans l’amendement à la loi Macron . "Nous ne pouvons l’accepter (…) Il est illusoire en effet de penser que cela resterait  demain à l’outre-mer". Il est heureux de voir ainsi l’Eglise cesser de tendre l’autre joue. D'autant que l’islam politique, en quête de toujours plus de visibilité, attend la première occasion pour s’imposer dans le calendrier. Mais c’est d’abord à la gauche au pouvoir de mesurer les conséquences de son indifférence pour la mémoire catholique, en pleine vitalité comme l’a montré La Manif pour Tous. Lundi, sur RTL, le premier ministre a jugé très justement qu’il fallait "comprendre notre propre histoire, d’où nous venons, nos valeurs, notre identité (…) Oui, il  faut apprendre à aimer, lucidement, mais à aimer ce que nous sommes et d’où nous venons". Mais alors, pourquoi le pouvoir s’obstine-t-il à faire l’inverse ?"

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Une bien belle année électorale 2015 à venir

    L’année 2015 invitera le corps électoral à se prononcer par deux fois dans le cadre d’élections locales qui successivement seront départementales puis régionales. Paradoxalement, le Front National est un mouvement relativement récent. S’il fut créé voici quatre décennies, il n’est connu des Français que depuis trois. Il n’a pas été non plus le continuateur d’un parti plus ancien. A contrario, l’Ump est fils du Rpr, de l’Udr, de l’Unr et trouve sa source dès la libération. Fatalement donc – le parallèle peut aussi être effectué avec le parti socialiste, fruit de la Sfio – Le Front National ne dispose toujours pas d’une forte implantation locale qui exige du temps, ce dont ont bénéficié ses concurrents. Il n’empêche : les résultats lors des dernières élections municipales sont des plus encourageants et, pour reprendre l’expression de Charles Pasqua, la mayonnaise prend. C’est ainsi que de plus en plus de Français, bien souvent non politisés à l’origine, en raison de l’abandon dont ils sont victimes de la part des élites politiques traditionnelles, ont donc décidé de prendre leur destin en main, ce en s’investissant dans le cadre du Front National. Ce dernier donc, n’est ni vraiment de droite ou de gauche comme on l’entend de façon classique. C’est plutôt le triste constat que la situation va de mal en pis – exemple du chômage multiplié par vingt en l’espace d’un demi-siècle – dans le cadre de ce qu’il faut bien appeler le Système puisque, malgré les alternances, les politiques menées sont presque les mêmes, conduisant à l’échec que l’on sait. D'où le nombre croissant de Français décidés à prendre leur destin en main, eux qui furent et sont encore abandonnés par le tandem Umps.

    Ces élections locales, donc de prime abord peu favorables au Front National, ont toute chance d’être une extrapolation des excellents résultats obtenus ces dernières années. Voilà qui assurément montrera le maillage territorial croissant et de plus en plus dense. De surcroît, il ne faut pas non plus négliger le renfort qui est celui d’élus issus de l’Ump comme du Ps, écoeurés par les renoncements de leur parti d’origine, rejoignant donc de plus en plus nombreux, le Front National, en qui, ils fondent leur dernier espoir.

    Nous ne devons pas omettre non plus la psychologie des électeurs de droite comme de gauche. A leurs yeux, voter Front National ne constitue nullement une trahison. On vient de le constater récemment dans l’élection partielle du Doubs où, nonobstant les consignes issues des états major, le corps électoral a montré qu’il n’appartenait pas corps et âme aux directions parisiennes. Prosaïquement, pour l’électeur de droite, il s’agit de battre la gauche, et réciproquement.

    Le Front National joue sur du velours : il n’a pas même besoin d’être brillant pour réussir tant ses concurrents pratiquent successivement de détestables politiques. Or, il s’avère, en plus, que sociologiquement, le niveau du corps électoral estampillé Front National, monte. A titre d’exemple emblématique, le Front a su attirer au sein de la fonction publique – fait nouveau – plus précisément dans le cadre de la catégorie C. Or, progressivement, c’est la catégorie B qui n’est plus insensible au discours frontiste. C’est là fait relativement nouveau : auparavant, il y a longtemps il est vrai, étaient touchés par les problèmes, les classes socialement les moins favorisés. Aujourd’hui, la gangrène du désespoir se propage, atteignant des catégories plus diplômées, qui se considéraient naguère protégées. Tel n’est donc plus le cas.

    Encore plus grave, l’élection dans le Doubs a montré que les nombreux journalistes, se prenant un peu vite pour des politologues assermentés, qui évoquaient le retour du tripartisme (Fn, Ump, Ps), étaient en fait déjà en retard sur l’avenir que l’on voit poindre à l’horizon. C’est en effet vers le bipartisme que l’on s’achemine, opposant le Front National à son concurrent systémique bifacial.

    Alain Rebours

    http://www.voxnr.com/cc/a_la_une/EukukpkEFpVwJGFtgi.shtml

  • Uraine/Novorossia : Déroute ukrainienne totale à Debaltsevo

    Le drapeau de Novorossia flotte sur Debaltsevo
    Selon l'agence RIA Novosti, des centaines de militaires de l'armée ukrainienne qui se trouvaient encerclés à Debaltsevo dans l'Est de l'Ukraine ont commencé à rendre leurs armes.

    «Les militaires de l’armée ukrainienne rendent leurs armes massivement. Le nombre de ces soldats s’évalue par centaines», a déclaré le président de l’administration du chef de la République autoproclamée de Donetsk, Maxime Leshenko. (Source : RT)

    Derniers rapports publiés par mes sources préférées :

    1. Il semble maintenant que les forces ukrainiennes ont commencé à se retirer de la section sud-ouest de la pocheLes villages de Kolonia EniakievoAleksandrovskoe et Olenovka sont maintenant entre les mains des séparatistesCe matin, les troupes ukrainiennes ont commencé à se retirer des villages restants dans les secteurs du sud et du centre de la pocheBoulavinskoe,KamyshatkaOlkhovatkaKamenkaDanilovoPolovoe et IlynkaKamyshatka est déjà passé dansles mains des FANUn journaliste polonais à Artemovsk a observé quelques troupes ukrainiennesqui avaient trouvé moyen de sortir de la poche pendant la nuit sous le couvert de l'obscuritéLa plupart avaient du fuir à piedbien que certains véhicules ont également été observésDans les conditions actuelles dans la pocheil est douteux qu'ils puissent sauver quoi que ce soit de leur artillerie, de leur matériel lourd ni de leurs réserves de munitions. Les FAN ont dégagé lesdistricts de l'Estet le district de Konaev à DebaltsevoLes combats se poursuivent dans le secteur des usines et dans les quartiers centraux.
    source : "Skob" 

    2. "La nuit à Donetsk s'est déroulé calmement. Je ne me souviens pas que si c'était aussi paisible pendant la dernière trêve, si le troisième jour, il y avait un tel silence. Les civils paraissent relativement calmes, beaucoup osent même marcher dans les rues. Mais tant dans la milice que parmi les civils, tout le monde pense que cette situation ne durera pas longtemps. En ce qui concerne ceux qui sont revenus de la zone des combats, notamment de Debaltsevo, ils disent que le chaudron n'existe plus".
    Source : Cyril Romanowski
     
    3. Selon une autre source (
    "Yana") des combats acharnés se poursuivent dans certains secteurs de Debaltsevo. Depuis deux jours, l'ennemi a perdu au moins 400 hommes tués, et plus de 300 ont été fait prisonniers. 



    4. Zakharchenko blessé sans gravité à Debaltsevo. Selon LIFEnews, Zakharchenko traversait une des rues principales au milieu des tirs nourris et a été blessé à la cheville. La Sécurité du chef de la RPD lui a donné les premiers soins. Zakharchenko a été ensuite emmené à l'hôpital de campagne d'Alchevs'k avec trois miliciens blessés. La vie d'Alexandre Zakharchenko ne court aucun danger, le chef de la DNR était conscient durant le transport et se porte bien.


    Zakharchenko à l'hopital d'Alchevsk (RPL) reçoit la visite de son homologue Plotnisky, leader de la RPL, hier soir (ce mec rigole avec du shrapnel de mortier dans la jambe! Je sais pas si tout le monde se rend bien compte...)

    5. Du coté ukrainien, Porochenko a annoncé qu'il se dirige vers la ligne de front, je présume que c'est pour observer la situation, pas pour se battre. La plus grande partie du district central deDebaltsevo a été défrichée et les combats se déroulent actuellement dans le quartier Ryzantsev(dans  le coin SE). Les FAN sont maintenant à environ 500 mètres de l'intersection desimportantes autoroutes M03 et M04 sur la lisière sud de la villeLes Ukrainienscependant, ont mis en place plusieurs postes renforcés dans ce secteur.

    Porochenko en plein délire sur twitter : "Nos soldatsbraves défenseurs de notre terreont donnéun coup dans les dents à ceux qui tentaient de les encercler et se sont retirés de Debaltseve" 
    Réponse de Sergei Bar : "Donc, avons-nous déja gagné la guerre ou devons-nous encore attendre que vous ayez réussi a perdre Kharkov pour célébrer vos dons de stratège ?"

    6. Une info originale pour changer : Un rapport des garde-frontières biélorusses fait état d'un groupe de 20 hommes armés à cheval (!) qui ont tenté de traverser la frontière de la Biélorussiedepuis l'UkraineLes assaillants se sont enfuis après un échange de coups de feu, en abandonnantquatre chevaux et en emmenant plusieurs blessés avec eux. (source)

    Vidéos :


    Le drapeau de Novorossia flotte sur Debaltsevo


    Combats de rue, hier, à Debaltsevo


    Troupes ukrainiennes prisonnières des FAN dans le chaudron de D.

    + de vidéos à suivre...

    http://gaideclin.blogspot.fr/2015/02/urainenovorossia-deroute-ukrainienne.html

  • Pour Michèle Delaunay, les cimetières catholiques n’existent pas

    L’ancien ministre socialiste est au cœur d’une polémique sur les réseaux sociaux.En effet, alors qu’un internaute relavait qu’il y a « en France 434 profanations dans les cimetières catholiques par an », la fille de l’ancien préfet et député de la deuxième circonscription de Gironde lui a répondu qu’il « n’y a pas de cimetières catholiques » en France, rajoutant « ce sont des cimetières républicains et non dédiés à une confession » !

     

    Selon une étude du journal le Monde du 29 novembre 2011 : « Le nombre de profanation de lieux de culte et de cimetières est passé de 304 en 2008 à 621 en 2010. Les faits concernent majoritairement des lieux chrétiens (308 églises et 214 cimetières en 2010, des chiffres en augmentation de 33 % par rapport à 2009) puis les lieux musulmans (50 mosquées et 7 cimetières, +216%) et les lieux juifs (30 synagogues et 12 cimetières, -36% après une hausse spectaculaire entre 2008 et 2009) ».

    Vus sur Infos Bordeaux

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Pour-Michele-Delaunay-les