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  • Sortir de l'euro, c'est possible même de manière "amicale"

    C'est le plus européiste des hommes politiques français et auteur du texte fondateur du projet de constitution européeenne rejetée par la France en 2005 qui le dit. Voici ce que vient de déclarer Valery Giscard d'Estaing à propos de la Grèce :

    Images"L'entrée de la Grèce dans l'euro en 2001 fut une erreur évidente, j'étais contre à l'époque et je l'ai dit. Il n'y a, à l'heure actuelle, aucune agitation particulière dans la zone euro. La situation de la Grèce est singulière et extrême. »

    Ce processus de sortie ordonnée doit et peut se dérouler de manière non conflictuelle, dans l'intérêt mutuel de chacun. C'est ce que j'appellerais une'friendly exit', une sortie dans un esprit amical.

    La question fondamentale est de savoir si l'économie grecque peut repartir et prospérer avec une monnaie aussi forte que l'euro. La réponse est clairement négative (...) La Grèce a besoin de se donner la possibilité de dévaluer sa monnaie. Si elle ne le faisait pas, sa situation s'aggraverait et déboucherait sur une crise encore plus sévère"

    Pourquoi ce qui semble techniquement possible pour la Grèce ne le serait pas pour la France ?

    Philippe Carhon

  • L’islamisation de la France ou la haine de soi

    Les pouvoirs publics, ayant inconsciemment enfanté un monstre par leur laxisme, leur aveuglement et leur inertie, se sentent aujourd’hui totalement dépassés par leur créature et incapables de la maîtriser.

     

    L’islamisation de notre pays est donc avant tout, qu’on le veuille ou non, un phénomène démographique, les conversions à l’islam étant statistiquement en nombre infime. Cette réalité démographique, que l’on peut déplorer ou célébrer, s’inscrit dans les statistiques de la population française. Mais il faut quand même savoir que pendant 30 à 40 ans, cette réalité a été soigneusement occultée, tronquée, dissimulée par les deux institutions administratives chargées de suivre l’évolution de la population de notre pays, à savoir l’INSEE et surtout l’INED.

    Pourquoi les statisticiens et les démographes travaillant au sein de ces deux administrations ont-ils agi ainsi ? L’on peut se perdre en conjectures sur les motivations de ces agents de l’État. Mais, en fin de compte, il faut se résigner, faute de mieux, à y voir la conséquence d’un certain gauchisme intellectuel pervers.

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  • Un jour, un texte ! Les Français dans la guerre, Un esprit chevaleresque par Desmond YOUNG (19)

    « La civilisation française, héritière de la civilisation hellénique, a travaillé pendant des siècles pour former des hommes libres, c'est-à-dire pleinement responsables de leurs actes: la France refuse d'entrer dans le Paradis des Robots. » Georges Bernanos, La France contre les robots.

    Notre premier ministre a déclaré que la France est en guerre. Mais l'ennemi est chez nous, au sein même de la population française. Il ne s'agit plus d'envoyer des professionnels, formés et aguerris combattre loin de nos terres, mais de se battre contre un ennemi sournois et impitoyable, qui use pour ses attaques de toutes nos libertés et des droits des citoyens français. Avant de faire une telle déclaration, encore eût-il fallu cultiver au sein du peuple français les valeurs qui font la force morale des nations. Cette nouvelle rubrique sur la guerre a pour objet de proposer des textes pour aider tout un chacun à réfléchir sur des sujets précis et si possible, d'actualité, elle est un peu modifiée pour montrer :les Français dans la guerre, Un esprit chevaleresque par Desmond YOUNG (19)

    Ce n'est pas sans raison que le maréchal Erwin von Rommel a intitulé ses mémoires : « La guerre sans haine » ; il mena la guerre du désert à la tête de son célèbre « Afrika Korps » avec un esprit chevaleresque.

    « Chaque fois qu'il passait devant un de nos soldats, prisonnier ou blessé, Rommel le saluait comme un soldat en salue un autre ; il les traitait toujours très correctement. Le général-brigadier Hargest, qui fut fait prisonnier à Sidi Azeiz, fin novembre 1941, et qui fut amené devant Rommel à Bardia, avait eu la même impression. Je crois qu'il le dit dans son livre Farewell Campo 12. (Le général-brigadier Hargest fut réprimandé par Rommel pour n'avoir pas salué. « Cela ne l'empêcha pas, écrivit Hargest, de me féliciter pour la combativité de mes hommes. »)

    […]

    Pour résumer l'état d'esprit qui présidait à la guerre du désert, je dois citer le général von Ravenstein. « Lorsque j'arrivai au Caire, dit-il, je fus très courtoisement reçu par l'aide de camp du général Auchinleck. Puis je fus introduit dans le propre bureau du général. Il me serra la main et me dit : « Je vous connais très bien de nom. Votre division et vous-même, avez combattu avec un esprit chevaleresque. Je désire vous traiter aussi bien que possible... » Avant de quitter Le Caire, j'avais appris que le général Campbell venait d'être décoré de la « Victoria Cross ». Je demandai et obtins la permission de lui écrire. J'ai toujours une copie de ma lettre : si elle vous intéresse. »

    Cette lettre dit :

    Abbasia, 10 février 1942.

    Cher Major-Général Campbell,

    J'ai lu dans le journal que vous aviez été mon courageux adversaire au cours de la bataille de chars de Sidi Rezegh, les 21-22 novembre 1941. C'était ma 21e division de panzers qui combattait ces jours-là la 7edivision blindée pour laquelle j'ai la plus vive admiration. Votre 7egroupe de soutien de l'artillerie royale nous a rendu le combat également très dur et j'ai encore dans les oreilles le sifflement de ses obus près de l'aérodrome.

    Les camarades allemands vous félicitent de tout cœur pour votre « Victoria Cross ».

    Pendant la guerre votre ennemi, mais avec le plus grand respect.

    Von RAVENSTEIN

     

    « Jock » Campbell fut tué peu après, sa voiture s'étant retournée près de Buq-Buq. Mais il eut le temps de recevoir cette lettre et d'en faire afficher des copies, sur les tableaux de service des mess, peu après la revue au cours de laquelle sa décoration lui fut remise.

    On peut prendre deux positions sur la question de l'esprit chevaleresque à la guerre. Celle du général von Ravenstein ou celle du général Eisenhower, qui écrit dans Crusade in Europe : « Lorsque von Arnim traversa Alger, en route pour son camp de prisonniers, certains membres de mon état-major pensèrent que je devais respecter l'usage du passé et lui permettre de me voir. Cette coutume trouve son origine dans le fait que les mercenaires de jadis n'éprouvaient aucune animosité envers leurs adversaires. Les deux côtés se battaient pour le plaisir du combat, en dehors de tout sentiment du devoir, et, le plus souvent, pour de l'argent. Un chef fait prisonnier au XVIIIe siècle était, pendant des semaines ou des mois, l'hôte honoré de son vainqueur. La tradition selon laquelle les soldats de carrière sont des frères d'armes a, sous une forme dégénérée, persisté jusqu'à nos jours.

    En ce qui me concerne, la Deuxième Guerre mondiale était une affaire beaucoup trop personnelle pour que j'entretinsse de tels sentiments. A mesure qu'elle se développait, une conviction se fortifiait en moi : jamais auparavant, au cours d'une guerre qui fait s'affronter tant de peuples, les forces qui défendent le bien de l'humanité et les droits de l'homme n'ont eu à le faire devant une conspiration d'une méchanceté aussi évidente et complète ; il ne pouvait y avoir avec elle aucun compromis. Comme il ne pouvait y avoir de monde possible qu'après une complète destruction des forces de l'Axe, cette guerre fut pour moi une croisade...

    Dans ce cas particulier, je dis donc à mon officier de renseignements de tirer toutes les informations possibles des généraux faits prisonniers ; mais que, en ce qui me concernait, je m'intéressais seulement aux généraux encore en liberté. Je ne permettrais à aucun d'eux de m'être présenté. J'observai cette règle de conduite jusqu'à la fin de la guerre. Je n'ai jamais adressé la parole à un général allemand avant le jour où le maréchal Jodl signa l'acte de reddition à Reims, en 1945 ; les seuls mots que je lui adressai alors furent pour lui dire que je le tenais personnellement pour entièrement responsable de l'exécution des termes de l'acte de reddition. »

    Le général Eisenhower est un homme sage et généreux avec qui on ne se trouve pas volontiers en désaccord. Son attitude est parfaitement logique et compréhensible. Néanmoins, certains pensent que, même usées jusqu'à la corde, certaines traditions méritent d'être sauvegardées pour le cas où, les guerres étant terminées, vainqueurs et vaincus se trouvent dans l'obligation de vivre et de travailler dans le même monde. »

    Desmond Young

    Extrait de : « Rommel »

    Ed. "J'ai lu" – 1962.

     Lois Spalwer http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Pour Manuel Valls, « le Front national n’aime pas la France »

    Se muant une nouvelle fois en l’apologiste d’un front anti-national, Manuel Valls perd tout sens commun et déshonore sa fonction de Premier ministre.

    « Je crois que le Front national n’aime pas la France, que ses propositions détruiraient ce que nous sommes et la couperait encore une fois de son projet historique et de sa place en Europe et dans le monde », a déclaré, toute honte bue, le Premier ministre sociétaliste Manuel Valls. Se muant une nouvelle fois en l’apologiste d’un front anti-national, Manuel Valls perd tout sens commun et déshonore sa fonction de Premier ministre. Le Premier ministre s’inscrit dans la droite ligne de Nicolas Sarkozy en utilisant les plus hautes fonctions de l’État comme un tremplin pour mener campagne et idéologiser l’exercice du pouvoir. Il ne fait pas preuve de la retenue nécessaire à l’accomplissement de ses missions et méprise le parti qui mobilise aujourd’hui, sur son seul nom, le plus grand nombre d’électeurs.

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  • {Rambouillet] Cercle du 15 février 2015

    Dimanche 15 février, la jeune section de Rambouillet organisait son deuxième cercle de la saison avec la présentation de l’Action Française depuis 1898 !

    Formation, Action, Insurrection...

    Rejoignez l’AFE Rambouillet !

     

     

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Rambouillet-Cercle-du-15-fevrier

  • Les contradictions de la République Hollande-Valls.

    « La France a besoin d’autorité », déclare M. Valls au soir du jour où il décide d’en appeler à l’article 49-3 pour faire passer la loi Macron et dépasser les oppositions de son propre camp, dont quelques uns des députés grognent devant une politique libérale pour laquelle ils n’avaient pas été élus en 2012, si l’on se rappelle les professions de foi de l’époque...

     

    Les journalistes et les « frondeurs » du P.S. ont beau s’amuser du reniement d’un président Hollande qui, quand il était premier secrétaire du Parti Socialiste, parlait de « déni de démocratie » pour qualifier le recours au 49-3 par le gouvernement de M. de Villepin, cela n’a guère d’importance et montre, au contraire, la force des institutions tout en décrédibilisant, dans le même temps, la parole politique et la confiance que les citoyens peuvent avoir en celle-ci : contradiction éminemment démocratique, certes, mais qui ne doit plus surprendre ceux qui, à étudier l’histoire parlementaire de notre pays, savent que « les promesses n’engagent que ceux qui y croient », selon la formule célèbre attribuée à l’ancien président Jacques Chirac.

    Certains diront que ce genre de contradiction nourrit les populismes, terme utilisé par ceux qui ont depuis longtemps oublié le « peuple », ne voyant en lui qu’un spectateur et redoutant de le voir se rebeller ou de vouloir devenir, pour un temps au moins, acteur. D’autres y verront la condition même du fonctionnement de la démocratie et de son gouvernement, qui ne doivent pas être bloqués par des « oppositions forcément stériles » (à en croire les Le Roux et Le Guen, véritables godillots du président et de son premier ministre, dont les quelques ressemblances pourraient faire penser aux Dupont et Dupond du socialisme « notabiliaire »...)...

    Ce qui est certain, c’est que le gouvernement de M. Valls peut désormais gouverner sans sa majorité, en s’appuyant sur quelques sondages qui semblent le conforter dans ses ambitions réformatrices et sur un Parti parlementaire qui cherche à conserver son apparence de pouvoir quelques temps encore, attendant que l’élection présidentielle de 2017 lui redonne quelques couleurs si l’actuel président, dans le cadre d’un « front républicain » (sic !) de second tour, était reconduit dans ses fonctions... Quant aux « frondeurs » socialistes, ils se trouvent réduits à l’impuissance, ne pouvant voter une motion de censure qui signerait leur propre exclusion d’un parti autoritariste à défaut de pouvoir faire preuve de cette autorité qui est aussi la confirmation de la force et du respect que l’on suscite : désormais, que peuvent-ils faire, si ce n’est attendre le grand règlement de comptes du congrès socialiste de juin prochain et espérer y jouer un rôle ? Et si ce congrès les marginalise et les prive de possibilité de parole efficace au sein de ce parti, que feront-ils ? Abandonneront-ils la politique comme Arnaud Montebourg ? Fonderont-ils un nouveau parti comme leurs prédécesseurs Jean-Pierre Chevènement ou Jean-Luc Mélenchon, avec le risque, en choisissant la fidélité à leurs convictions, de ne plus rien peser dans la vie politique et de laisser la place au social-libéralisme qu’ils exècrent ? Car le P.S. n’est pas le PASOK grec, et la gauche de la Gauche (en France) n’est pas en passe de devenir un nouveau Siriza... [....]

    En fait, la partitocratie républicaine est un piège (et d'abord pour les électeurs...) dont le général de Gaulle avait voulu sortir la France en fondant les institutions de la Cinquième République, dont cet article 49-3 était une pièce maîtresse pour passer au-dessus de la démagogie partisane : mais, en se « républicanisant » de plus en plus et, en vérité, assez vite après la fin de l'ère gaullienne, la Cinquième est retombée dans les manœuvres politiciennes oublieuses des intérêts de l’État et de la parole populaire, le référendum étant relégué aux oubliettes depuis 2005 et ce désaveu électoral français de toute une classe politique trop européiste pour être vraiment honnête... En somme, le 49-3 est devenu pour une République Hollande-Valls (issue du Parti Socialiste) aux abois un moyen de contourner une opposition interne qui a, parfois, quelques bonnes raisons d'être et de se battre...

    Alors, pour sortir de cette contradiction démocratique et rendre à l'autorité une légitimité qu'elle ne peut avoir en République (ce pouvoir des éternels Créon), tout en permettant aux citoyens, à ce « pays réel » souvent frustré, de retrouver quelques pouvoirs concrets sans remettre en cause la nécessité de l’État, il faut repenser et reposer la question politique et institutionnelle : certains, frondeurs ou populistes, pourraient bien y réfléchir...

    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1199:les-contradictions-de-la-republique-hollande-valls&catid=49:2015&Itemid=60

  • L'autisme favorisé par les pesticides, Monsanto pointé du doigt

    La chercheuse américaine Stephanie Seneff établit une corrélation entre l'utilisation croissante du glyphosate (présent dans le pesticide Round Up) et le développement de l'autisme chez les enfants américains. 
    « D'ici 2025, la moitié des enfants nés aux États-Unis seront diagnostiqués autistes ». C'est le constat alarmiste que dresse le Docteur Stephanie Seneff, chercheuse au MIT (Massachussetts Institute of Technology) au laboratoire d'Informatique et intelligence artificielle. 
    La chercheuse a expliqué, lors d'une conférence à Groton (Massachusetts), qu'il y aurait une corrélation entre l'utilisation du glyphosate (le Round Up, du groupe américain Monsanto) et le nombre d'enfants autistes aux Etats-Unis. 
    Glyphosate : une utilisation croissante 
    « J'ai passé plusieurs années à faire des recherches sur l'autisme afin d'en comprendre ses caractéristiques, et j'ai remarqué que l'augmentation de l'usage du glyphosate sur les cultures de maïs et de soja correspond exactement à l'augmentation de l'autisme aux États-Unis. De plus, les effets connus du glyphosate sur le système biologique peuvent expliquer de nombreuses caractéristiques de l'autisme. », a expliqué Stephanie Seneff à Bio à la Une. 
    Sont notamment détectés chez les enfants autistes un haut taux de glyphosate, des carences en zinc et en fer ou encore des maladies mitochondriales. 90% des cultures de maïs, soja, colza et betterave à sucre de l'industrie agro-alimentaire américaine sont traitées au Roundup. Le glyphosate resterait ensuite présent dans ces aliments, même transformés (bonbons, sodas, lait ou viande - pour les animaux nourris au maïs ou au soja). 
    Son utilisation n'a cessé de croître dans les exploitations américaines depuis son lancement sur le marché en 1990. « Les achats américains de glyphosate représentent 25% du marché mondial, et nous ne représentons clairement pas 25% de la population mondiale. » De 1 pour 5000 en 1975, le nombre d'enfants autistes serait passé à 1 pour 68 aujourd'hui, tandis que la quantité de glyphosate utilisée serait passée de 10000 tonnes (pour le soja et le maïs) en 1998 à plus de 80000 en 2010. 
    Alors comment échapper au glyphosate, qui serait présent, non seulement dans la nourriture des américains, mais aussi dans l'air et dans l'eau ? La solution,Stephanie Seneff la voit dans les cultures biologiques, qui se développent de plus en plus aux États-Unis, notamment grâce à la demande croissante des consommateurs. 
    « Il y a un groupe de chercheurs qui pense que faire paître les vaches sur l'herbe peut à la fois contribuer à réparer le sol (détruit par le glyphosate et par les méthodes d'exploitation chimique) et offrir une nourriture saine à la population. », conclut-elle. 
  • 5 nouvelles propositions pour faciliter le crime sur l'enfant à naître

    La délégation aux Droits des femmes de l'Assemblée nationale a présenté aujourd'hui un rapport d'information, faisant 21 propositions pour le projet de loi santé, qui doit être examiné au printemps à l'Assemblée nationale.

    Cinq propositions visent à améliorer l'accès à l'avortement :

    • suppression de l'obligation du délai de réflexion entre la première et la deuxième consultation. Actuellement, deux consultations médicales sont obligatoires, avec un délai de réflexion d'une semaine entre les deux. Il peut cependant être réduit à 48 heures lorsque le délai légal de 12 semaines de grossesse approche.
    • suppression de la clause de conscience permettant aux médecins de refuser de pratiquer un avortement. Les auteurs estiment cette disposition spécifique à l'avortement redondante avec la clause de conscience générale, s'appliquant à tous les actes médicaux et inscrite dans le Code de la santé publique.
    • permettre aux sages-femmes et infirmiers de réaliser la première consultation et de délivrer l'attestation correspondante. 
    • permettre la pratique des avortements instrumentales sous anesthésie locale dans les centres de santé, de planification et les maisons de santé pluridisciplinaires, par les sages-femmes.
    • Le projet de loi prévoit de permettre aux sages-femmes de pratiquer des avortements par voie médicamenteuse. Il prévoit en outre de donner aux infirmiers scolaires la possibilité de délivrer la contraception d'urgence.

    La Délégation fait d'autres propositions pour faciliter l'accès à la contraception :

    • harmoniser la couverture géographique des centres de planification,
    • demander à la Haute autorité de santé (HAS) une étude sur la possibilité de mettre les microprogestatifs (minipilules) en vente libre dans les pharmacies.

    Et l'avortement laïque, gratuit et obligatoire, c'est pour quand ?

    Michel Janva