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  • Islamo-fascisme et mon cul sur la commode…

    L’antifascisme sans fascistes commençant à rouiller aux jointures, le changement de braquet s’imposait. Bienvenue donc à l’anti-islamisme de comptoir et de beaux quartiers.

    Hier, dans ces mêmes colonnes, l’auteur de ces lignes dénonçait l’inflation du langage, la déperdition du sens des mots et toutes ces sortes de choses. Bref, entre point Godwin et réduction ad hitlerum, dont Pierre Cassen, fort bon camarade au demeurant, vient de donner un assez bel exemple hier.

    Eh oui, toujours la même histoire… l’occupant islamiste, les résistants, les collabos, en attendant un prochain procès de Nuremberg, à l’occasion duquel les barbus seront tondus ?

    Dernier vocable à la mode, l’islamo-fascisme. Bien, fort bien. Quelle imagination. Quelle fête de l’esprit. C’est l’Almanach Wehrmacht. Nazislamistes. Talibanlieusards. CoAllahbos. Et tous ces trucs. Dans la foulée, l’islam sera le communisme du XXIe siècle ou le prochain totalitarisme. Normal, l’antifascisme sans fascistes commençant à rouiller aux jointures, le changement de braquet s’imposait.

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  • « Un jour, les digues peuvent sauter »

    L’hebdomadaire Marianne n’a pas manqué de le rappeler, «en 2006 François Hollande, alors député de Corrèze et Premier secrétaire du PS » s’était élevé «contre la décision de Dominique de Villepin d’utiliser le mécanisme du 49-3 pour faire passer la loi sur le CPE.   Quand on fait fi du dialogue social et du Parlement, quand on ne dit pas la vérité, qu’on gouverne seul avec des méthodes brutales, on ne peut que susciter la défiance.  Le 49-3 est une brutalité, le 49-3 est un déni de démocratie, le 49-3 est une manière de freiner ou d’empêcher le débat parlementaire, expliquait-il. Pourtant, neuf ans plus tard, (…) il  a donc finalement autorisé son Premier ministre Manuel Valls à recourir à cet article de la Constitution sur la loi Macron » -dite « loi pour l’activité et la croissance » NDLR. « Un mécanisme qui permet au gouvernement d’engager sa responsabilité sur un texte sans qu’il y ait un vote. Le seul moyen de s’y opposer étant de faire voter une motion de censure (…). Mais pourquoi Valls s’est-il donc fourvoyé en utilisant ce mécanisme tant contesté à gauche ? (…) D’après les estimations connues, même dans le pire des scénarios, la loi Macron n’aurait pas été rejetée… (…) ». Alors « volonté de Valls d’empêcher les frondeurs socialistes de se  compter dans l’Hémicycle à quelques mois du congrès socialiste qui pourrait bien se jouer sur sa personne ? Il y a des chances. Enfin, nécessité pour l’exécutif de ne prendre aucun risque sur un texte vivement réclamé par la Commission européenne et qui lui permettra de s’attirer ses bonnes grâces ? Fort possible, également ».

     « Ce qui est certain, c’est qu’à un mois des élections départementales et alors qu’une déculottée est annoncée pour le camp socialiste et plus largement pour la gauche, Valls, s’il voulait jouer la carte du rassemblement, vient lui-même de se mettre un sacré bâton dans les roues… »

     Difficile en effet d’en appeler de nouveau à l’esprit du 11 janvier, une arme dont tous les coups ont déjà été tirés et qui est bonne désormais à jeter, quand on se vautre pareillement dans la frousse de déplaire aux maîtres bruxellois, dans  cuisine politicarde, les combinazione de l’arrière boutique socialiste.

     Esprit du 11 janvier dont l’acte de décès officiel a donc été signé hier mais auquel le très démonétisé François Hollande s’accroche de manière bien pathétique. Formule de communicant politique constate Bruno Gollnisch, qui  s’inscrit chez lui dans la lignée de la réitération des immortels principes. « Quiconque se rendra coupable d’actes antisémites ou racistes sera inlassablement recherché, interpellé et condamné » a  ainsi de nouveau  proclamé ces derniers jours le président de la République comme l’ont fait avant lui Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy.

     Bien sûr, l’indignation à des limites et il ne fera pas le déplacement jusqu’au cimetière du village de Tracy-sur-Mer  (Calvados). On peut y voir un triste effet mimétique, la conséquence de la médiatisation du saccage du cimetière juif de Sarre-Union, celui-ci a été à son tour profané, certainement dans la nuit de lundi à mardi. A la manière des agissements des satanistes, «plusieurs dizaines de crucifix ont été déplacés, certains d’entre eux retournés et plantés dans le sol», a relaté un communiqué du ministre de l’Intérieur.

     Dans un tweet, Marine a précisé qu’il y avait «en France 434 profanations dans les cimetières catholiques par an.Hollande chaussez vos basquettes si vous êtes équitable et juste».Mutisme dans les allées du pouvoir mais réponse de l’ex ministre socialiste et ardente propagandiste du front ripoublicain, Michèle Delaunay : « il n’y a pas de cimetières catholiques». Bien sûr, il n’y a pas de cimetières catholiques en France, il n’y a pas  non plus de Français de souche et les racines helléno-chrétiennes de notre civilisation sont un mythe détestable à éradiquer, tout se tient…

     Dans un registre différent François Bayrou a lui aussi attaqué le  FN qu’il juge  sans boussole, ni sérieux. Interrogé par Le Journal du Dimanche, le président du MoDem s’inquiète de la possibilité d’un raz-de-marée national-populiste : « On devrait faire attention: le scrutin majoritaire accentue les vagues. Un jour, les digues peuvent sauter».

     Aussi s’est-il  dit, comme l’opposition nationale, favorable à l’élection des députés à la proportionnelle  mais au prétexte qu’ «en excluant (les électeurs du FN) «qui ont les mêmes droits que les autres», «on les sert!» «Être maintenus en dehors de tout, c’est le secret de leur succès! C’est lorsque les extrêmes seront dans les assemblées qu’on découvrira leurs incohérences et leurs faiblesses» (sic).

     Au-delà des interventions parfaitement calibrées de Marion Maréchal-Le Pen à l’assemblée nationale notamment, M. Bayrou ignore apparemment -faute d’élus du MoDem dans les assemblées ?- le travail sérieux, parfaitement cohérent fournis notamment par les groupes FN dans les conseils régionaux. Les élus  nationaux y défendent  leurs électeurs en empêchant souvent par leur seule présence de nombreuses dérives et en y présentant nos  solutions alternatives.

     Aussi, redisons-le, le déni du réel, les vieilles recettes, les vieilles ficelles politiciennes, la fossilisation idéologique, les mensonges, la veulerie, l’impuissance, les échecs de l’exécutif socialiste les Français ne sont pas  condamnés à les subir. Etape importante sur la route de la conquête du pouvoir, Marine présentait hier avec le secrétaire général du FN Nicolas Bay, lors d’une conférence de presse à Nanterre, un Front National en ordre de bataille pour les élections départementales des 22 et 29  mars.

     Si «une victoire dans un département serait une heureuse surprise, mais une véritable surprise», la présidente du FN a pronostiqué cependant une présence  «massive» des candidats nationaux au second tour. L’opposition nationale sera ainsi représentée par 7 648 candidats dans 1 912 cantons sur  les 2 054 cantons appelés à élire leurs représentants, soit dans 93,1 % des circonscriptions électorales.

     « Nous partirons avec un message clair : montrer notre attachement à cette structure de proximité qu’est le département, montrer notre opposition à la réforme territoriale, et montrer que nous sommes attachés au tryptique républicain Etat-nation/département/commune », a expliqué Marine. Soulignons encore que les exécutifs départementaux sont chargés, au nombre de leurs attributions, de distribuer les aides sociales.  Il y a là pour les futurs élus  FN qui y feront leur entrée,  la possibilité de contrôler utilement les agissements de l’UMPS  dans ce domaine, ce qui ne manquera pas d’intéresser les Français…et pourraient les renforcer dans leur volonté de faire sauter les digues!

    http://gollnisch.com/2015/02/18/un-jour-les-digues-peuvent-sauter/

  • Racisme anti-Blanc et terrorisme, par Gérald Pichon

    Gérald Pichon est l’auteur de « Sale Blanc ! Chronique d’une haine qui n’existe pas », sorti il y a maintenant deux ans.

    Lorsque les médias évoquent les motivations des terroristes comme Khaled Kelkal ou des frères Kouachi, ils parlent évidemment de cette volonté d’importer le djihad (« guerre sainte ») sur le sol européen.

    Pourtant, il manque un élément essentiel dans leur motivation criminelle, c’est la haine raciale du Blanc/Français de souche.

    Délinquance + racisme anti blanc + islamisme = Terroristes djihadistes

     Les parcours des terroristes islamiste ayant sévi en France ces trente dernières années sont quasi-similaires : de jeunes délinquants, pur produit de la culture banlieue (rap anti-français) et de l’éducation nationale (discours victimaires), ayant connu l’islam en prison avant de basculer dans le terrorisme.

    La haine du Blanc/Français de souche est donc bel et bien présente dans le passage à l’acte. Le visage pâle qui était considéré comme un « beauf raciste » dans la cité, avant de devenir un « colonisateur-esclavagiste» et pour eux désormais après leur conversion, un « croisé » ou « un occidental dégénéré ».

    Déclarations des terroristes ou témoignages sur les Blancs/Français de souche :

     

    Fouad Ali Saleh dit « Ali le Tunisien » est l’organisateur présumé de quinze attentats qui font au total 13 morts et 303 blessés à Paris de décembre 1985 à septembre 1986 :

    « L’Occident grouille de “Blancs infects”, les chrétiens, acharnés depuis plus d’un millénaire à “déchirer le Coran dans le cœur des musulmans”, sont par définition les“ vecteurs du mensonge” »

    Me Jacques Chanson, avocat de SOS-Attentats, excédé par son attitude méprisante lui demande “de ne pas rire devant les victimes, de ne pas se comporter comme un petit fou et un crétin”. Plus rapide qu’une mitraillette, il riposte avant d’être expulsé :“C’est toi le crétin, fils de porc, sale Blanc… Tu crois me faire peur ! Je vais revenir et te cracher au visage.” Fouad Salah devant la cour d’assises de Paris Exaltations contrôlées Le Monde 06/04/1992

    « L’Occident sera sanctionné sans pitié jusqu’à l’extermination du dernier Européen de la planète, judéo-chrétien, gréco-romain blanc et occidental » 

    Khaled Kelkal  terroriste islamiste algérien membre du Groupe islamique armé (GIA) et le principal responsable de la vague d’attentats commise en France à l’été 1995

    « J’avais les capacités de réussir, mais j’avais pas ma place, parce que je me disais:l’intégration totale, c’est impossible; oublier ma culture, manger du porc, je ne peux pas. »

    « Pour moi, les Occidentaux, ils ont aucun respect. (…) Jamais je pourrais sortir avec une femme, je l’amène chez moi et je l’embrasse devant mes parents, ça serait impossible. Le mec qui baise sa femme devant ses parents, c’est de la liberté ? Non, c’est un manque de respect. Il y en a même qui regardent des films pornographiques avec leurs parents. C’est une honte. (…) Pour moi, musulman, la religion chrétienne, c’est une fausse religion, parce que tous les ans vous avez une nouvelle version de la Bible.» (Libération)

    Safir Bghiouia, 25 ans, abattu par le GIPN de Marseille et son complice voulaient «tuer des flics» en septembre 2001. « Au lance-roquettes, ils ont carbonisé une voiture de police, pris pour cible le commissariat de la ville héraultaise [Bézier], tiré sur un fonctionnaire de l’identité judiciaire. Puis abattu Jean Faret, chef de cabinet du maire de Béziers, à l’arme automatique. » (Libération)

    « Devant les locaux de l’hôtel de police, où la mère du forcené est interrogée, un homme se présente comme le beau-frère du meurtrier. Il se dit “fier” de Safir, abattu par les hommes du GIPN. Il désigne une petite fille qui l’accompagne : C’est sa sœur. Elle aussi, elle est fière de son frère. L’homme essaie d’expliquer les motivations de Bghioua : “C’est idéologique. Vous comprenez ? Vous vous souvenez de Khaled Kelkal ? C’est la même chose. Il a fait ça parce qu’il ne supportait plus la vie à La Devèze [le quartier où il vivait], le regard des autres, le racisme.” »

    Les frères Kouachiles auteurs de l’attentat contre le journal Charlie Hebdo ayant eu lieu le 7 janvier 2015 à Paris et ayant entraîné la mort de 12 personnes.

    « Saïd et Chérif disent : “Nous, les Algériens.” (…) Les frères Kouachi, “rebeus” revendiqués, “n’aimaient pas beaucoup les Français en théorieIls ne portaient pas les Blancs dans leur cœur, ça, c’est sûr”. » (Le Monde du 10 février 2015)

    « enchaîne les aventures sexuelles avec les filles du foyer, déteste “les Gaulois”(les Français de souche) et le fait savoir en affichant un dédain silencieux vis-à-vis des éducateurs qui tentent de l’aider malgré lui. (…) “il ne portait pas trop les blancs dans son cœur non plus”, se souvient Pierre. » (Le Matin)

    http://fr.novopress.info/182602/racisme-anti-blanc-terrorisme-gerald-pichon/

  • Grandes Gueules : les auditeurs ne sont pas dupes

    Extrait d'un article de Présent :

    7465338-11505401"Au milieu d’une actualité particulièrement chargée en massacres, attentats, enlèvements et autres décapitations commis au nom d’Allah, RMC a réussi le tour de force d’organiser vendredi dernier son célèbre talk-show en direct de la mosquée de Bordeaux, avec l’intention à peine déguisée de convaincre ses auditeurs que l’islam est une « religion de paix et d’amour ». Mais, manque de chance pour la radio, ceux-ci sont moins bêtes qu’elle ne le pense.

    Pour l’occasion et en bons dhimmis, Marschall et Truchot, ainsi que leurs « GG » du jour Pascal Perri, Jacques Maillot et Marie-Anne Soubré, devaient bien sûr présenter l’émission en chaussettes : l’une des conditions fixées par l’imam, avec l’obligation également de « surveiller leur langage »(...) Aussi, et comme l’on pouvait s’y attendre, l’émission censée traiter des « grandes questions liées à l’islam en France » n’aura-t-elle été qu’un rabâchage du discours officiel dissociant djihadistes et « vrais musulmans ».

    Present-chardMoment fort du programme : l’intervention de l’imam Tariq Oubrou, qui confia avoir invité les GG dans sa mosquée « pour une raison essentiellement pédagogique ». Et pédagogie il y eut : Marschall et Truchot écoutèrent gentiment l’imam proche des Frères musulmans expliquer que l’islam est une religion de paix, qu’il doit certes entamer une réforme, mais que cela prendra du temps… (...)

    Le hic, c’est que beaucoup de gens ne « marchent » plus. Comme cet auditeur qui reprocha très justement à Marschall et Truchot de ne présenter que « les bons côtés de l’islam ». Ou encore ces centaines d’internautes qui, dès l’annonce de l’émission par RMC, dénoncèrent la démarche scandaleuse de la radio. Et, depuis, les auditeurs ne décolèrent pas sur les réseaux sociaux. Certains confiant leur dégoût et leur colère. D’autres annonçant qu’ils écouteront dorénavant Europe 1, ou appelant à boycotter RMC.

    Philippe Carhon

  • Vengeant les chrétiens égyptiens décapités, un maréchal Al-Sissi impérial !

    Les Français n’ont pas à regretter d’avoir vendu des Rafale au chef d’État égyptien : en attaquant les terroristes islamistes pour avoir décapité des coptes (chrétiens égyptiens), lui, musulman fervent, prouve qu’il est à nos côtés. Envoyons-lui immédiatement plusieurs Rafale et leurs instructeurs pour le remercier !

    Homme d’État ayant la réputation d’être un croyant, pratiquant avec dévotion voire passion sa religion, le maréchal Abdel Fattah al-Sissi est à la tête de la République arabe d’Égypte depuis juin 2014 après des élections contestées lors desquelles il a officiellement obtenu 96 % des voix face à un seul autre candidat « autorisé », M. Hamdine Sabahi, poète, journaliste de gauche. Depuis les imposantes manifestations populaires et la destitution, en juillet 2013, du président Mohamed Morsi, soutenu par les très influents Frères musulmans opposés à tout État laïc, ceux-ci sont fortement combattus par les nouvelles autorités du pays : en décembre 2013, ce mouvement est d’ailleurs déclaré « terroriste ». La répression sera impitoyable.

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  • Les séparatistes investissent la ville de Debaltsevo

    La guerre dans le Donbass a connu un nouvel épisode avec l’entrée des combattants rebelles dans la ville de Debaltsevo, où la garnison de Kiev est encerclée.

    D’après Kiev, il s’agit d’une infiltration terroriste, mais pour les séparatistes, 80 % de la ville seraient déjà tombés, notamment la gare et la banlieue-est, après des combats de rues. Environ 300 soldats fidèles au régime de Kiev auraient été fait prisonniers. Cette localité étant considéré comme faisant partie de leur « territoire intérieur », un représentant des rebelles, Denis Pouchiline, a déclaré :

    « Nous n’avons pas le droit [d’arrêter les combats à Debaltsevo]. C’est une question morale. »

    Le cessez-le-feu appliqué dans la nuit de samedi à dimanche est globalement respecté sur le reste de la ligne de front, bien que les armes lourdes n’aient pas été retirées comme le prévoyaient les accords de Minsk 2. La chancelière allemande, Angela Merkel, et le président ukrainien, Petro Porochenko, ont appelé Vladimir Poutine afin qu’il fasse pression pour obtenir un arrêt total des combats et que l’OSCE puisse se déployer partout pour faire respecter le plan de paix.

     

  • Un jour, un texte! les Français dans la guerre,“Une arme modeste, mais glorieuse…” par Georges BLOND (18)

    « La civilisation française, héritière de la civilisation hellénique, a travaillé pendant des siècles pour former des hommes libres, c’est-à-dire pleinement responsables de leurs actes: la France refuse d’entrer dans le Paradis des Robots. » Georges Bernanos, La France contre les robots.

    Notre premier ministre a déclaré que la France est en guerre. Mais l’ennemi est chez nous, au sein même de la population française. Il ne s’agit plus d’envoyer des professionnels, formés et aguerris combattre loin de nos terres, mais de se battre contre un ennemi sournois et impitoyable, qui use pour ses attaques de toutes nos libertés et des droits des citoyens français. Avant de faire une telle déclaration, encore eût-il fallu cultiver au sein du peuple françaisles valeurs qui font la force morale des nations. Cette nouvelle rubrique sur la guerre a pour objet de proposer des textes pour aider tout un chacun à réfléchir sur des sujets précis et si possible, d’actualité, elle est un peu modifiée pour montrer : les Français dans la guerre,Une arme modeste, mais glorieuse…” par Georges BLOND (18)

    Le commandant Raynal, héroïque défenseur du fort de Vaux, vient faire sa reddition au Kronprinz qui l’accueille de façon très chevaleresque.

    « - Admirables, mon commandant. Votre ténacité et votre vaillance, ainsi que celles de vos hommes, ont été admirables.

    Le Kronprinz, debout, regardait l’officier français prisonnier, debout devant lui. La dernière semaine du Fort de Vaux avait marqué ce visage. Menton fort, front haut, yeux vifs écartés, un visage bien français. Le Kronprinz observait volontiers les visages des prisonniers français. Curieux mélange de races où l’on voyait rarement surgir un caractère physique exceptionnel. Heureux mélange, sans doute, puisque c’étaient ces gens-là, ce peuple bavard et divisé qui tenait en échec la solide armée allemande, l’organisation allemande. Malgré les affirmations de Falkenhayn, de Knobelsdorf et des autres, le front français ne pouvait plus maintenant être enfoncé à Verdun, voyons, c’était clair. La percée décisive, il fallait en faire son deuil. La guerre d’usure avait recommencé, ici comme ailleurs. « Naturellement, je ne dirais pas cela devant le front des troupes, pensait le Kronprinz, mais je l’écrirai peut-être un jour : on pourrait presque dire dès maintenant que les Français ont remporté une victoire, une victoire défensive, puisqu’ils ont soutenu notre choc. Grâce à l’incroyable résistance d’hommes comme celui-ci. »

    Le commandant Raynal regardait attentivement le Kronprinz debout devant lui. L’accueil avait été courtois et franc. « Le Kronprinz n’est pas laid, pensait le commandant Raynal. Il n’est pas ce singe des caricatures. Un cavalier mince et souple, en réalité, élégant et non sans grâce. Rien de la raideur allemande. Les caricaturistes allemands, il est vrai, ne se gênaient guère pour représenter Joffre comme un poussah. Quelle forme idiote de la guerre ! »

    Un aide de camp s’était approché. Le Kronprinz prit ce qu’il apportait.

    - Désireux d’honorer votre vaillance, mon commandant, j’ai fait rechercher votre épée, que je me dois de vous rendre. Malheureusement, on n’a pu la retrouver. Je n’ai pu me procurer que cette arme modeste d’un simple soldat et je vous prie de l’accepter.

    Arme de simple soldat, en effet : un coupe-chou de sapeur du génie. L’officier français haussa les sourcils, son visage se durcit.

    - L’arme est modeste, mais glorieuse, mon commandant, reprit le Kronprinz. J’y vois, comme dans l’épée la plus fière, le symbole de la valeur française.

    Déjà Raynal se détendait. Étrange dialogue où le prince appelait l’autre « Mon commandant ». Le Kronprinz, au courant des moindres nuances des usages militaires, parlait comme un officier qui veut honorer exceptionnellement un camarade d’un grade inférieur au sien. Le commandant prit le coupe-choux :

    - Ainsi présentée, j’accepte cette arme et remercie Votre Altesse de l’hommage qu’elle rend à la grandeur de mes humbles camarades.

    Allons, la réponse n’était pas mal tournée. Un salut militaire, un demi-tour, tout était terminé. Il n’y avait plus que le long voyage vers la captivité. Mais non. Le commandant n’avait pas fait cent pas dehors, son coupe-choux à la main, que l’aide de camp revenait :

    - Herr major, Son Altesse impériale vous prie de revenir.

    Quoi encore ? Cette fois le Kronprinz tenait à deux mains une épée, un vrai sabre-épée d’officier français.

    - J’ai trouvé, mon commandant. Je vous prie d’accepter cette arme plus digne de vous, en échange de celle que je vous avais offerte, à défaut d’autre.

    Tandis que le Kronprinz regarde s’éloigner l’officier français avec qui il vient de se montrer si courtois — chevaleresque, voilà le mot, ah le beau mot français ! Et cette élégance ne fait-elle pas partie des plaisirs des princes, des plaisirs de la guerre telle que la font les princes ? — Oui, à peu près à cette heure, la brigade constituée par le général Nivelle, 2e Zouaves et Marocains s’élance vers le fort de Vaux dans la boue, sous la pluie battante. Sous le déluge tombé du ciel et sous la pluie d’obus de 210. »

    Georges Blond

    Extrait de : « Verdun. »

    Ed. Le Livre de Poche.

    Lois Spalwer  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Quand Hollande dénonçait le recours à l’article 49-3

    En 2006, celui qui était alors premier secrétaire du Parti socialiste estimait que le recours à cet article de la Constitution était une "brutalité".

     

    Assez de magouilles républicaines !

    Vu sur LCP

  • [Tribune] Qui est extrémiste ? (Remettons la réalité en place)

    Nous aimons un pays et ses âmes, nous osons déclamer et réclamer une identité dont nous sommes fiers comme nos aïeux le firent en toute liberté à travers les siècles. C’est qu’au regard de son histoire, à la richesse de ses écrivains, de ses architectes, de ses médecins, de ses scientifiques, de ses insurrections, de son rôle phare, la France peut se contempler dans sa psyché et en rougir d’orgueil somme toute immodeste, mais mérité. Nous sommes heureux d’être français et voulons la pérennité en nos terres.

    Nos opposants politiques, idéologiques n’ont trouvé comme arguments que l’indignation et la classification d’extrémistes devant cette légitimité. L’émotion indignée ne saurait être un argument, à peine un chantage affectif, une impossibilité de répondre à la raison. Ils ressentent, les pauvres oisillons frileux, nous ressentons aussi, bien pensons maintenant. Nous serions extrémistes, nous, devant notre déportation des banlieues de France, l’agression constante des nôtres dans l’indifférence politique, associative et médiatique, la violence inouïe qu’une idéologie mondialiste apporte à notre praxis. Allons, nous nous tenons debout et dignes dans le respect de la loi et de la démocratie, quel extrémisme ? Que vont-ils inventer dans leur surenchère sémantique demain : terroristes ?

    Alors, contemplons ces dits modérés. Ils vendent des morceaux de terre de France à une clientèle internationale. Ils laissent venir une immigration de masse dans un pays asphyxié par le chômage, d’immenses soucis immobiliers et économiques sans tenir compte de la détresse de la population de souche. Ils ont gommé quasiment toute trace de sources culturelles françaises dans la chanson, la littérature, les arts. Ils ont rallié l’OTAN nous faisant perdre l’indépendance d’une armée de plus en plus démunie en hommes et moyens.

    Ils ont promu l’avortement tout en favorisant l’importation de populations exogènes pour palier soit disant à un problème de retraites. Ils ont détruit et ringardisé la famille, à moins qu’elle ne soit homosexuelle et aille faire son marché GPA/PMA dans les comptoirs d’Indes et autres usines à bébés. Ils n’ont de cesse de hiérarchiser ceux qui vivent en France en mettant tout au bas de la pyramide la population naturelle. Ils laissent des voyous saccager le quartier du Trocadéro impunément, mais sont intransigeants avec des manifestants pacifiques venus en famille dire leur mécontentement devant la loi Taubira. Loin de résoudre les immenses problèmes de délinquance et de criminalité, ils les encouragent par des lois qui n’ont plus rien de répressives. Ils n’ont eu de cesse de ternir l’image du Français et d’enjoliver celle de l’étranger. Comme modération, on a vu mieux ou plus exactement dans l’histoire des civilisations, nous n’avons jamais vu pire.

     

    Et ces grands destructeurs seraient le parangon de la modération, eux qui ne font que des lois sociétales tendant à ne plus laisser le citoyen rire, penser, aimer, manger comme il l’entend ? Et nous attachés à la liberté individuelle, à la bonne vie puisque attachés traditionnellement à la France, nous serions des extrémistes ?

    Allons, en réalité, on ne trouvera chez nous que la volonté indéfectible de ne pas laisser notre peuple victime d’un génocide, que de protéger notre famille en pères et mères responsables, que de nous défendre comme d’autres le firent jadis devant les invasions et pillages.

    Nous ne demandons pas le droit d’être qui nous serait refusé, nous le prenons puisque nous sommes. Nous sommes dans notre région, notre pays et notre continent.

    Nous sommes identitaires.

    Ludovic Lefebvre.

    http://fr.novopress.info/182622/tribune-extremiste-remettons-realite-en-place/