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  • Le symbole de la Francisque de François Mitterrand

    Puisque un des sujets du jour est l'antisémitisme et que l'on a évoqué Roland Dumas, fidèle de François Mitterrand, voici ce que vient de déclarer Louis Aliot sur France Info :

    Louis-Aliot-3"On a pointé du doigt pendant des décennies l'antisémitisme supposé du Front national et de l'extrême droite et on s'aperçoit aujourd'hui que cet antisémitisme-là, il vient directement de l'islam radical.

    Les phrases de Jean-Marie Le Pen auront à mon sens toujours moins de symbole que la Francisque de François Mitterrand.

    Il faut arrêter avec les phrases. Il y a les phrases et il y a les actes. Et les actes aujourd'hui, c'est ce que nous vivons dans la rue et ce que les Juifs de France sont en train de vivre."

    Philippe Carhon

  • Nous avons d'abord un problème politique

    Le peuple va au ski l'esprit moins tranquille que d'habitude. Certes la neige n'est pas épaisse et moins de pistes seront ouvertes mais le tracas est ailleurs. On quitte pour quelques jours son chez soi, ses activités professionnelles, ses amis souvent, en ayant l'impression que rien ne restera fixé en notre absence, tout finalement peut arriver. Si l'avenir est bouché, le sol bouge et nous inquiétons même nos voisins qui nous regardent de travers. Nous percevons que le système est foireux, à la masse de gens sans travail qui nous entourent, et le pouvoir nous assomme de petites choses sans intérêts comme pour cacher son impéritie : feux de cheminée, crèches, cannabis, sans-papiers, dimanches ouvrables, aéroport de Nantes... Quelle que soit la compétence des services de l'Etat, le gouvernement en charge du pays ne donne pas confiance, à l'image du président qui a plongé lui-même dans la plus parfaite déconsidération en se comportant comme un... (inutile d'injurier un métier, il n'y en a pas de sots). Il faut dire qu'il a mis le paquet pour tester sur lui l'effet du Ridicule. En bref, il peut se passer n'importe quoi dans la plaine pendant qu'on améliore le planter du bâton !
    Grâce au modèle social que le monde entier nous envie sans jamais oser le demander, les problèmes économiques français sont avant tout des problèmes sociaux. Si des génies de la saine gouvernance peuvent résoudre les équations financières, il n'y a qu'une volonté politique pour affronter les nombreuses dérives de l'assistance publique, sans encore toucher aux schémas de Ponzi construits partout pour faire rouler les trains du Progrès, qui, eux, convoquent un titan. Or les quinze dernières années ont montré à l'envi que nous - les cons - avions garni les allées du pouvoir de velléitaires et aucun caractère suffisamment trempé pour affronter lobbies, syndicats, corporations et autres gangs. Au-delà des compétences nécessaires, nous cherchons aujourd'hui une volonté politique. Et il n'y en a pas ! Par contre nous ne sommes pas en peine de mimes et de clowns dans l'emploi.
    La fonction présidentielle est d'abord celle d'une pointe de pyramide, un repère fixe, visible de partout, un peu ce clocher au village qu'on voyait de tous les champs sur les chromos des calendriers. Nous n'en avons pas. Le dernier président qui émettait des ondes rassurantes était Georges Pompidou. Ils ont depuis dégringolé les marches : se sont succédé, un pharaon coupé des réalités qui déclara vouloir vider le programme de son adversaire de sa substance (?!); un pervers politique qui détruisit l'esprit entrepreneurial du pays pour nourrir ses électeurs ; un grand dépendeur d'andouilles qui tourna au roi-fainéant quand il eut compris qu'on ne pourrait rien lui reprocher s'il ne faisait rien ; une pile à décharge du modèle le plus vulgaire en rayon ; et puis ça, le casque de la rue du Cirque ! 
    La fonction seconde est la décision. Inutile d'épiloguer... c'est un désastre.

    La pyramide politique du pays n'a plus de faces planes, la pointe n'existe pas, la base est en liquéfaction lente parce que le premier parti de France est celui des émigrés de l'intérieur. Ils laissent le champ libre à un nouveau parti, celui des râleurs, sans programme construit ni tenable. Le bureau politique du Front national dérive sur la mer des idées en fonction de la pêche aux voix ; les prébendes sont maintenant à portée d'urnes, tout est valable, on frétille même du croupion. Entre-temps, le gouvernement donne le change en agitant le tapis de poussière mais les coups de menton du Premier ministre ne convainquent personne. Il faut dire que les hiérarques socialistes à la manœuvre sont particulièrement gratinés. Le sentiment d'inquiétude est général, il traverse aussi ma famille et je fais ce billet un peu découragé. 
    C'est paraît-il ce que n'éprouvent pas les sujets des monarchies du Nord, qui au milieu de leurs soucis ont quand même le repère du roi ou de la reine, astreint en famille à des manifestations coutumières exaltant les traditions rassurantes et communiquant avec leur peuple, sans arrière-pensées politiciennes, pour exprimer la continuation de la Nation. L'implication tardive de la Reine d'Angleterre dans la dispute écossaise fut... magistrale. 
    Pourrions-nous en France en bénéficier ?
    Certainement ! Avec qui, est une autre histoire ! Nous avons aussi un problème politique de ce côté. On y reviendra.

    http://royalartillerie.blogspot.fr/2014/12/nous-avons-dabord-un-probl-politique.html

  • Après l’exécution de 21 chrétiens, l’Égypte bombarde l’Etat islamique en Libye

    Tôt lundi matin, les avions de combat de l’armée de l’air égyptienne ont visé des camps, des sites d’entraînement et des arsenaux du groupe terroriste. Dans la foulée, la France et l’Egypte ont demandé une réunion du Conseil de sécurité des Nations unies et de nouvelles mesures contre l’Etat islamique.

     

    Des hommes portant des combinaisons oranges, semblables à celles d’autres otages exécutés ces derniers mois en Syrie, sont conduits le long de la plage pour être exécutés par la branche libyenne de l’Etat islamique. Crédits photo : -/AFP

    Le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi avait averti : les « assassins » seront punis de la manière « adéquate ». Moins de 24 heures après la diffusion d’une vidéo montrant la décapitation de 21 Égyptiens coptes revendiquée par l’État islamique (EI), des avions de combats de l’armée de l’air égyptienne ont bombardé tôt lundi matin des positions de Daech en Libye. Dans le viseur de l’armée : des camps, des sites d’entraînement et des arsenaux de l’EI situés à proximité de la frontière avec la Libye.

    Dimanche, la branche libyenne du groupe terroriste a mis en ligne une vidéo montrant la décapitation de 21 Égyptiens de confession chrétienne copte, récemment kidnappés en Libye. Sur cette vidéo de 5 minutes, des hommes portant des combinaisons oranges, semblables à celles d’autres otages exécutés ces derniers mois en Syrie, sont alignés sur une plage les mains menottées dans le dos. Un homme habillé en treillis militaire s’exprime en anglais avec un couteau à la main alors que les autres bourreaux, un derrière chaque prisonnier, sont intégralement vêtus de noir et silencieux. Tous sont masqués.

    Le corps d’Oussama ben Laden

    Le groupe djihadiste dit agir en représailles à d’anciens incidents sectaires en Égypte, durant lesquels l’Église avait été accusée d’avoir empêché la conversion à l’islam des épouses de deux prêtres coptes. Une incrustation au début de la vidéo situe la scène dans la province de Tripoli ( « Wilayat Tarabulus » pour l’EI) et un autre message écrit explique que les victimes sont « des gens de la Croix fidèles à l’Église égyptienne ennemie ». « Aujourd’hui, nous sommes au sud de Rome, sur la terre musulmane de la Libye (...) cette mer dans laquelle vous avez caché le corps du cheikh Oussama ben Laden, nous jurons devant Allah que nous allons la mêler à votre sang », assène-t-il avant que les bourreaux ne décapitent les 21 Egyptiens au couteau [...]

    La suite sur Le Figaro.fr

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Apres-l-execution-de-21-chretiens

  • 21 Coptes assassinés et attentat au Danemark : inégalité de traitement

    Alors que BFM et iTélé ont traité en boucle le sujet de l'attentat qui a lieu hier au Danemark, Bernard Antony s'interroge sur la moindre médiatisation de l'assassinat de 21 Coptes par l'Etat islamique, crime particulièrement odieux et diffusé par vidéo, dans laquelle le message est pourtant clair et vise spécifiquement les Chrétiens : "Message signé avec le sang adressé à la nation de la croix"

    "D’évidence, la décapitation de 21 chrétiens coptes en Libye par les barbares de l’État islamique ne soulève pas la même intensité d’indignation médiatique que celle suscitée par d’autres odieux assassinats en Europe ou en Amérique

    De même, s’interrompt bien vite le suivi des abominations et enlèvements perpétrés par les hordes de Boko-Haram. Ceci est profondément regrettable. Faut-il parler d’une inégalité de traitement, inconsciente peut-être, mais réelle selon l’origine ethnique ou religieuse des victimes ? 

    Peut-être aussi ne veut-on pas évoquer l’accablante responsabilité de la politique à l’égard de ce pays du gouvernement français de M. Nicolas Sarkozy avec M. Juppé comme ministre des Affaires Étrangèreset Bernard-Henri Lévy comme principal instigateur ? On se souvient trop peu de ce que le 26 août 2011 M. Juppé n’hésita pas à déclarer au quotidien Le Parisien avec l’assurance hautaine qui le caractérise : 

    « L’opération française en Libye est un investissement sur l’avenir» (sic !). 

    Le même Juppé précédemment, le 6 mars 2011, avait, on s’en souvient aussi, exprimé combien étaient « intéressants » les Frères musulmans qu’ils avait rencontrés au Caire. Pour une telle suite d’inepties, dans d’autres pays on aurait sinon invité M. Juppé à se faire « hara-kiri », du moins à avoir la décence de ne plus prétendre à des responsabilités gouvernementales

    Chrétienté-Solidarité formule des vœux pour que le général Sissi puisse poursuivre son œuvre de libération de l’Égypte de la dictature des Frères musulmans hélas très implantés à Bordeaux (...) 575x194xisis-message-blood-575x194_jpg_pagespeed_ic_0VbrVeM3XEx_XAVapyXw
    Comme le souligne justement Yves Daoudal sur son blog sur le même sujet :

    "Il faudrait mettre Sarkozy et BHL en première ligne. Ou au moins les juger. Car, si les mots ont un sens, le renversement et l’assassinat de Kadhafi ont été un crime contre l’humanité."

    Philippe Carhon

  • Un jour, un texte! Les Français dans la guerre, Cocardes victorieuses par René CHAMBE (16)

    « La civilisation française, héritière de la civilisation hellénique, a travaillé pendant des siècles pour former des hommes libres, c’est-à-dire pleinement responsables de leurs actes: la France refuse d’entrer dans le Paradis des Robots. » Georges Bernanos, La France contre les robots.

    Notre premier ministre a déclaré que la France est en guerre. Mais l’ennemi est chez nous, au sein même de la population française. Il ne s’agit plus d’envoyer des professionnels, formés et aguerris combattre loin de nos terres, mais de se battre contre un ennemi sournois et impitoyable, qui use pour ses attaques de toutes nos libertés et des droits des citoyens français. Avant de faire une telle déclaration, encore eût-il fallu cultiver au sein du peuple français les valeurs qui font la force morale des nations. Cette nouvelle rubrique sur la guerre a pour objet de proposer des textes pour aider tout un chacun à réfléchir sur des sujets précis et si possible, d’actualité, elle est un peu modifiée pour montrer : les Français dans la guerre,Cocardes victorieuses par René CHAMBE (16)

    « 7 h 40. - Robert vient de jeter un dernier regard à la montre de bord. Puis à l’altimètre : 2.200.

    Là-bas, petites boules noires, les têtes du pilote et de l’observateur, ennemis à présent, se distinguent. On les voit. Ils sont deux !

    Yeux durs, front de marbre, toute volonté tendue, ramassée, inflexible, Navarre fonce.

    Robert doit sourire encore, il sourit toujours. Comme Navarre, il ignore la crainte. On va se battre ! On l’a tant cherché ! Au travers de ses gants, ses doigts étreignent sa carabine, sa pauvre petite carabine, jouet dérisoire pour un pareil duel.

    Les dernières secondes...

    - Pan ! Pan ! Pan !

    A deux cents mètres, l’ennemi ouvre le feu.

    Fusil-mitrailleur.

    A bout de nerfs, incapable de se dominer plus longtemps, l’observateur vient de tirer.

    Les détonations sèches se distinguent étonnamment sur le vacarme des moteurs. Robert et Navarre les perçoivent. Rien de nouveau.

    Virage à droite, virage à gauche.  Navarre crochète.

    - Pan!  Pan!  Pan 1

    L’Allemand insiste. De brèves lueurs jaillissent de sa carlingue. Mais les balles se perdent. Pas une n’arrive au but. Pas même une chiquenaude sur les toiles.

    La distance diminue. A voir grandir les cocardes françaises, il semble que l’ennemi s’affole. Les coups se succèdent à toute vitesse.

    - Pan ! Pan! Pan! Pan! Pan!

    Son tir ne parvient pas à se régler.

    Robert, méprisant, ne baisse pas les yeux. Il ne tirera, lui, qu’à vingt-cinq mètres. Il se l’est juré. Il ne gaspillera pas ses cartouches. Il veut être sûr, sûr!  La doctrine est formelle, à la 12 : pour obtenir un résultat décisif, il est indispensable d’aller au corps à corps - presque à l’abordage.

    Rien ne saurait arrêter ni Navarre ni Robert, ils iront jusqu’au bout ! Les croix de fer de l’Aviatik sont maintenant immenses, toutes noires, sur fond blanc. On est si près, que tous les détails apparaissent. Il est impossible qu’au cours de ce combat, l’un des deux, Aviatik ou Morane, ne soit envoyé par le fond. On ne s’approche pas impunément d’aussi près. Et l’on ne se manque pas à bout portant.

    Incomparable manoeuvrier, Navarre exécute différents exercices de voltige pour dérouter le feu de l’adversaire. Il est plus haut que lui. Et brusquement, d’un seul coup, comme un épervier, il se laisse tomber.  Puis il se redresse.

    Vingt-cinq mètres !

     

    Lire la suite "Un jour, un texte! Les Français dans la guerre, Cocardes victorieuses par René CHAMBE (16)"

    Lois Spalwer

  • Padamalgam : Le Monde s'indigne

    Le Monde ne s'indigne pas des meurtres à répétition commis par des adeptes de l'islam. Non : Le Monde s'indigne du... "racisme" diffus de ceux qui osent utiliser ce néologisme :

    "Depuis deux jours, les hommages des internautes français aux attentats survenus le 14 février au Danemark sont pollués, à la marge, par un discours à connotation raciste« Le tueur terroriste de #Copenhague s'appelle Omar (...) mais n'oubliez pas dès demain votre biberon médiatique #Padamalgam », ironise par exemple un membre de Twitter. « L'Etat islamique affirme dans une vidéo avoir décapité des Egyptiens, car ils étaient chrétiens. Mais chut... #PADAMALGAM », commente un autre. « Pour ceux qui avaient un doute sur l'identité du voleur de voiture dans la #Drome Mais #PADAMALGAM », peut-on encore lire.

    Les auteurs de ces messages sont assez transparents sur leur idéologie politique : on y retrouve pêle-mêle des « Français de souche », des militants frontistes, des zemmouriens, des catholiques proches de la Manif pour tous ou encore des anarchistes de droite."

    Dans ce sens là, l''amalgame est permis et même chaudement recommandé. N'est-ce pas ?

    Michel Janva

  • Loi Macron : feu vert au travail le dimanche

    Les magasins pourront ouvrir plus fréquemment leurs portes le dimanche et des zones touristiques internationales (ZTI) seront créées.

    C’est l’une des mesures les plus emblématiques, mais aussi l’une des plus controversées du projet de loi Macron qui a été adoptée samedi en première lecture par la majorité des députés. Malgré l’opposition des frondeurs socialistes, les magasins pourront ouvrir plus fréquemment leurs portes le dimanche et des zones touristiques internationales (ZTI) seront créées. Le texte porté par le ministre de l’Économie, Emmanuel Macron, n’a finalement été que très peu amendé. « Je ne suis pas ouvert à des compromis de façade », pour « rallier des voix », avait prévenu samedi le ministre.

    À l’avenir, les élus locaux pourront donc autoriser jusqu’à 12 ouvertures de magasins dominicales (entre 0 et 12), contre 5 actuellement. Les maires conserveront toute latitude pour 5 ouvertures, mais ils n’y seront pas obligés. Au-delà de 5, leur décision devra être validée au niveau intercommunal. Ces « dimanches du maire » seront payés double comme c’est déjà le cas aujourd’hui.

    « C’est un recul démocratique »

    Dans les nouvelles « zones touristiques » (620) et « commerciales » (elles remplaceront les 41 Puce), qui seront fixées par décret, les magasins pourront ouvrir 52 dimanches par an. Il en sera de même dans les futures zones touristiques internationales (ZTI) où les commerces pourront entre outre, tous les jours, fermer leurs portes à minuit. Ces dernières zones seront également délimitées par décret. Au grand dam de la maire de Paris, Anne Hidalgo, qui réclamait qu’elles soient créées avec « un avis conforme du maire ». « C’est un recul démocratique », s’est emportée cette dernière samedi.

    Les commerces de 12 gares connaissant une grande affluence (les six gares parisiennes, Avignon TGV, Lyon Part-Dieu, Marseille, Bordeaux, Montpellier et Nice) pourront eux aussi rester ouverts tous les dimanches. Le dispositif pourrait aussi s’étendre aux gares autoroutières ou aux gares maritimes. « Cela va à la fois créer des emplois, apporter un supplément de pouvoir d’achat aux salariés et permettre aux touristes, qu’ils soient français ou étrangers, d’être beaucoup plus nombreux », s’est félicité Laurent Fabius, le ministre des Affaires étrangères et du Tourisme au micro du « Grand Rendez-vous i-Télé-Le Monde-Europe 1 ». [....]

    La suite sur Le Figaro.fr

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Loi-Macron-feu-vert-au-travail-le

  • Attentats de Copenhague : un défi européen – par Vincent Revel

    Après Londres, Madrid, Bruxelles et Paris, nous avons à présent Copenhague ! Si le sujet n’était pas aussi tragique et si nous n’avions pas la « chance » d’avoir le sauveur du monde libre comme président, nous pourrions dire : « A qui le tour ? »

    Pour ne pas citer correctement le problème auquel nous sommes confrontés, nos journalistes et nos politiques nous expliquent avec sérieux que le terrorisme vient encore de frapper le monde libre. En employant ce mot, neutre et impersonnel, en niant l’ampleur et la réalité des faits, nos désinformateurs utilisent ce moyen détourné pour ne pas avoir à nommer précisément la cause et l’origine de ce terrorisme.

    Ce déni de réalité, dicté par la pensée unique, nous emmène tout droit vers une prochaine catastrophe. Pourtant, et malgré la propagande officielle du bien vivre ensemble, au Danemark, depuis l’affaire des caricatures de Mahomet, publiées dans le quotidien Jyllands-Posten, les Danois commencent doucement à prendre conscience que les valeurs de l’islam ne sont pas toujours compatibles avec les leurs. Représentant désormais 5% de la population de ce petit royaume scandinave, les musulmans connaissent là aussi de sérieux problèmes d’intégration.

    Pour ne pas citer correctement le problème auquel nous sommes confrontés, nos journalistes et nos politiques nous expliquent avec sérieux que le terrorisme vient encore de frapper le monde libre. En employant ce mot, neutre et impersonnel, en niant l’ampleur et la réalité des faits, nos désinformateurs utilisent ce moyen détourné pour ne pas avoir à nommer précisément la cause et l’origine de ce terrorisme.

    L’ancien ministre de l’Intégration Rikke Hvilshoj se plaignait en 2006, malgré le politiquement correct qui sévit aussi chez eux, que de nombreuses femmes musulmanes cherchaient avant tout à « bénéficier de tous les avantages sociaux »sans jamais vouloir travailler, mettant en péril l’Etat-providence. Lors de cette crise dite des « caricatures » et face à la menace de boycott des pays musulmans qui s’en suivit, le Danemark se retrouva bien seul. L’éditeur Flemming Rose avoua tristement :« Cette affaire dépasse tout ce que l’on peut imaginer, c’est complètement fou. Tout ce que nous avons fait est de publier douze dessins. »

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  • Les sympathisants UMP veulent l'alliance avec le FN

    Les dirigeants UMP sont déconnectés de leur base. Suite à l'élection du PS dans le Doubs et l'élimination dès le 1er tour du candidat UMP, les sympathisants de l'UMP sont de plus en plus nombreux à souhaiter une alliance avec le Front national. Selon le dernier baromètre TNS Sofres sur l'image du parti frontiste,ils sont la moitié (50%) à souhaiter une évolution en ce sens au niveau local. C'est 10 points de plus qu'il y a un an. Ils sont même 43% à souhaiter que les deux formations politiques aillent encore plus loin et scellent un accord au niveau national. Contre 37% en 2014.

    Les anciens électeurs de Sarkozy seraient 42% à voter à envisager de voter pour le FN à un scrutin local, selon une étude Odoxa pour Le Parisien. Seuls 36% opteraient pour le «ni-ni». 

    Michel Janva