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  • L'islam n'a jamais eu pour but de coexister pacifiquement avec les autres religions

    Tribune de Guillaume Bernard, maître de conférences HDR à l’Institut catholique d’études supérieures, publiée dans Valeurs Actuelles :

    "Pourquoi la quasi-totalité de la classe politique s’entête-t-elle à proclamer évidente l’hétérogénéité de l’islam et de l’islamisme ainsi que la compatibilité du premier avec la République (et non, d’ailleurs, avec la culture française), quiconque émettant un doute étant instantanément mis au ban de la catégorie des êtres pensants ? Il est devenu difficile de discuter des ambitions politiques de l’islam sans être instantanément dénoncé, dans un réflexe pavlovien, comme islamophobe (...)

    C’est avant tout l’orgueil qui conduit l’essentiel des élus à une stupéfiante cécité mentale se manifestant par le refus obstiné de voir le caractère impérialiste de l’islam(isme). C’est le syndrome Roubachof, du nom du héros du Zéro et l’Infini : ils ne peuvent changer de politique d’immigration, reconnaître que les sociétés multiculturelles sont hyperconflictuelles et que l’assimilation des immigrés (leur conversion à la culture française) n’a pas été poursuivie, sans implicitement avouer que, depuis des décennies, ils se sont trompés et-ou ont menti aux Français. Les voici conduits à faire de la surenchère. Ayant une foi aveugle dans le creuset républicain, ils sont prêts à tenter de dissimuler encore, après des naturalisations massives, le remplacement démographique en le disséminant sur l’ensemble du territoire, la mixité culturelle devenant la norme partout. Et honte aux récalcitrants : ce ne seraient que des racistes (...)

    S’autorassurant, les politiques en viennent à compter sur l’islam modéré pour vaincre sa version radicale. Ils refusent de voir que cette distinction n’est recevable qu’en termes de moyens et non de fin. Car toutes les formes de l’islam ont un même objectif : la conquête !L’hostilité de l’islam envers l’Occident n’est pas le résultat de l’actuel matérialisme de ce dernier. Son expansion militaire a commencé dès sa naissance, au VIIe siècle, à une époque où la civilisation chrétienne du pourtour méditerranéen ne pratiquait pas le culte de l’argent. L’animosité des islamistes ne vise pas uniquement, parce qu’elle les briderait, la laïcité. Les chrétiens d’Orient et d’Afrique convertis de force, réduits en esclavage ou massacrés, n’en sont pas les thuriféraires. Qu’il soit hard (guerre militaire) ou soft (guerre culturelle), le djihad vise le règne, à terme, de la charia. L’islam n’a jamais eu pour but de coexister pacifiquement avec les autres religions mais de s’y substituer."

    Philippe Carhon

  • Les Etats-Unis, évincés d’Asie centrale?

    Entretien avec le Dr. Johannes Hübner, député du Nationalratautrichien, spécialiste des questions internationales. Sur l’Axe Moscou-Pékin. Sur la situation géopolitique en Asie orientale et en Asie centrale

    Propos recueillis par Bernhard Tomaschitz

    Q. : Dans le sillage du sommet de la Coopération Economique pour l’Asie-Pacifique, on a assisté à un nouveau rapprochement entre la Russie et la Chine. Peut-on dorénavant parler d’un « Axe stratégique Moscou-Pékin » ?

    JH : Cet axe stratégique existe déjà depuis cinq ou six ans au moins. Jusqu’ici, il se concrétisait principalement dans l’Organisation de Coopération de Shanghai. Dorénavant, en effet, on devra évoquer une pluralité de liens entre les deux géants eurasiens : sur ce chapitre, il faudra surtout souligner les deux accords importants sur l’énergie, celui qui a été conclu en mai et celui qui vient d’être signé en novembre 2014. Ces deux accords renforcent puissamment les liens entre les deux économies. Plusieurs indices semblent accréditer désormais la thèse que la Chine considère in finequ’une coexistence harmonieuse avec les Etats-Unis n’est plus possible sur le long terme. Voilà pourquoi, elle mise aujourd’hui sur la Russie malgré les désavantages qu’il y a à chercher en ce moment même une alliance avec Moscou.

    Q. : Et quels seraient ces désavantages ?

    JH : Il faut aller les chercher dans le domaine économique : face à cette nouvelle alliance eurasienne, les Etats-Unis vont essayer de saboter de leur mieux les accords de libre-échange que la Chine a forgé avec les Etats de toute la région extrême-orientale, surtout avec la Corée du Sud et le Japon, et dans le cadre des accords ASEAN. Il faudra aussi s’attendre à ce que le langage médiatique se fasse plus rude à l’endroit de la Chine, ce qui signifie que l’on entendra à nouveau parler du Tibet, des droits de l’homme en Chine, de l’opposition qui s’agite à Hong Kong ou d’autres thématiques similaires.

    Q. : A quelles mesures faudra-t-il encore s’attendre, car on ne peut tout de même pas partir du principe que les Etats-Unis vont baisser les bras et se borner à observer une situation contraire à leurs intérêts, où la Chine et la Russie coopèreront toujours davantage en les excluant de leur jeu ?

    JH : Il y a déjà une chose que l’on peut observer depuis plus d’un an, c’est l’aggravation du conflit pour les groupes d’îles de la Mer de Chine du Sud. Officiellement, et pour la galerie, les Etats-Unis préconisent une politique de « désescalade ». Ils ne cessent d’affirmer qu’ils mettront tout en œuvre pour que les conflits trouvent une solution par le dialogue. Mais, en coulisses, ils chercheront à renforcer les Etats qui prendront des positions fermes et tranchées face à la Chine. Ils essaieront à coup sûr d’exercer toute leur influence sur les Philippines, où existe certes un ressentiment hostile aux Américains mais où l’on se méfie aussi des menées chinoises parce que la Chine est un puissant voisin et que les Philippines abritent une forte minorité chinoise. Avec le Vietnam, ce sera moins facile. En effet, malgré les manifestations brutales de nationalisme antichinois de ces derniers temps, où des magasins de citoyens vietnamiens d’origine chinoise ont été saccagés et incendiés, les gouvernements des deux pays restent communistes et sont donc plus proches qu’on ne pourrait bien l’imaginer. Chinois et Vietnamiens ne changeront vraisemblablement pas de politique.

    Q. : La Chine craint d’être encerclée par les Etats-Unis ; Washington cherche à installer un système antimissiles en Asie orientale, sous le prétexte du danger nord-coréen. Dans quelle mesure ces plans pourront-ils contribuer à envenimer le climat dans l’espace Asie-Pacifique ?

    JH : Il faut d’abord attendre pour voir si ce système antimissiles se mettra vraiment en place. N’oublions pas que le fameux bouclier antimissiles, prévu, disait-on dans les milieux atlantistes, pour contrer les fusées iraniennes, n’a jamais vraiment été installé en Europe centrale et orientale. Le plus important aujourd’hui est, me semble-t-il, d’observer comment se développeront les futures relations sino-japonaises. On a pu assister à un certain dégel pendant le sommet de la Coopération économique pour l’Asie-Pacifique mais cet apaisement circonstanciel ne me semble guère significatif ; on ne perçoit pas encore clairement de quel côté viendront les gestes d’apaisement : d’un Japon très influencé par les Etats-Unis qui a tendance, sous cette pression constante, à adopter des positions hostiles à l’égard de la Chine et à provoquer délibérément son voisin continental ? D’une Chine qui, pour des raisons de politique intérieure et parce que les sentiments antijaponais persistent, préfèrera jouer la carte antijaponaise car celle-ci est plus facilement « articulable » qu’un anti-américanisme frontal ? Adopter une politique délibérément anti-américaine est dangereuse pour la Chine, bien plus dangereuse que d’utiliser la vieille image de l’ennemi japonais, héritée de la deuxième guerre mondiale.

    Q. : Dans les futurs échanges gaziers entre Russes et Chinois, que vous avez maintes fois évoqués, les factures seront établies en roubles ou en renminbi. Cette décision doit alarmer les Etats-Unis car ce choix est une attaque directe contre le dollar qui, jusqu’ici, était la devise mondiale adoptée pour les échanges internationaux…

    JH : C’est le cas, effectivement. Russes et Chinois conçoivent bel et bien ce choix de devises nouvelles comme une déclaration de guerre au système économique mondial dominé jusqu’ici par les Américains. Nous devons toutefois attendre et voir si cette facturation en roubles ou en renminbi pourra ou non s’imposer sur le long terme. L’accord énergétique ne prévoit pas, expressis verbis,que les factures ne seront établies qu’en devises locales ; plus exactement, il est dit qu’elles pourront, le cas échéant, être établies en devises locales, si les tractations commerciales réciproques le permettent. La Chine avait déjà pratiqué la même politique avec d’autres partenaires commerciaux comme la Mongolie ou certains Etats d’Asie centrale. Elle tente donc bel et bien d’internationaliser le renminbi. Mais ses tentatives sont très prudentes car l’internationalisation du yuan exposerait celui-ci, et avec lui l’économie chinoise, aux spéculateurs internationaux.

    Q. : Dans les années 90 du 20ème siècle, les nouvelles républiques indépendantes d’Asie centrale, dont certaines sont très riches en matières premières, ont attiré l’attention des stratégistes américains. Plus tard, la Russie et la Chine ont créé l’Organisation de Coopération de Shanghai. Le « Grand Jeu » en Asie central est-il terminé... ?

    JH : Il semble en effet que les Américains soient hors jeu dans la région. Après le dernier changement de gouvernement au Kirghizistan et après que les Américains aient dû rendre la base de Manas, il n’y a plus de présence militaire ou policière américaine visible en cette zone. Les ONG sont, elles, toujours présentes, ce qui a donc pour corollaire une présence très forte des services secrets qui tenteront de détacher les gouvernements centre-asiatiques de l’alliance qui les lie à la Russie et qui essaieront aussi de les détourner de tous rapports commerciaux de grande envergure avec la Chine. Dans le cas du Kazakhstan, ils n’ont pas réussi, même si certaines tensions ont troublé cette année les rapports entre ce pays et la Russie. Le Kirghizistan semble s’acheminer de manière irréversible vers une adhésion à la Communauté Economique Eurasienne. Quant aux autres Etats d’Asie centrale, toutes les options sont ouvertes. L’Ouzbékistan poursuit sa politique indépendante. Le Turkménistan aussi et le Tadjikistan est, finalement, un Etat sans guère d’importance pour les nouvelles dynamiques à l’oeuvre.

    Q. : Quelles potentialités recèlent les plans chinois de relier l’Extrême-Orient asiatique à l’Europe, via l’Asie centrale, par des lignes de chemin de fer à haute vitesse et à gros gabarit ?

    JH : Ces plans pour une nouvelle route de la soie ont déjà bien progressé et reçoivent un soutien financier massif de la Chine. Il s’agit certes de la route de la soie terrestre par l’Asie centrale, que je viens d’évoquer, mais aussi de sa consoeur maritime qui doit passer par l’Asie du Sud-Est, par Singapour, pour aboutir en Inde et dans la région arabe. Il s’agit là d’une priorité centrale pour la Chine car elle doit impérativement assurer la sécurité de ses voies commerciales et de ses voies d’acheminement de matières premières. Elle doit aussi créer une zone neutre d’influence, libre de toute ingérence américaine, où les Etats-Unis ne pourront plus orchestrer des manœuvres antichinoises. Je ne dis pas une zone d’influence strictement chinoise car la Chine n’en aura pas les moyens.

    Q. : Percevez-vous le danger de la formation de deux blocs avec, d’une part, les démocraties libérales, soit les Etats-Unis et les Etats membres de l’UE, et, d’autre part, une alliance d’Etats posés comme « autoritaires », comme le Chine, ou considérés comme des « démocraties non libérales » comme la Russie ?

    JH : La formation de deux blocs, pareils à ceux que vous me décrivez, est effectivement en train de se faire et je pense aussi qu’une telle formation est souhaitée quelque part. Une telle division du monde va bien dans le sens des intérêts stratégiques américains car, d’un côté, ce nouveau clivage binaire justifie la perpétuation de l’OTAN ; d’un autre côté, il donne un prétexte parfait pour maintenir la présence de troupes américaines en Europe. Enfin, troisième raison qui me permet de conclure à l’hypothèse d’une nouvelle division du monde en deux blocs : celle-ci oblige les Européens à se soumettre sans restriction aux objectifs politiques des Américains.

    (entretien paru dans « zur Zeit », n°47/2014, Vienne, http://www.zurzeit.at ).

    http://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2015/02/07/les-etats-unis-evinces-d-asie-centrale.html

  • Doubs : la vanités des consignes (Présent 8290)

    Les républicains brevetés et les démocrates éclairés ont poussé dimanche soir un « ouf » libérateur : la République est sauvée, quoique momentanément. Il s’en est fallu de peu qu’il y ait un député du Front national de plus, augmentant les effectifs d’un seul coup de 33 % en passant de deux à trois ! Certes, ils s’y sont mis à plusieurs, et non des moindres, pour écarter Sophie Montel, car la tâche était difficile : Hollande, Valls, Juppé, NKM notamment, et à peu près tous les partis, le PS, le PC, l’UDI, les Verts, NPA… Seule contre tous, 49 % des voix c’est un succès pour le FN, même si ce n’est pas encore la victoire. Mme Montel a réussi à gagner 25 points entre les deux tours. Les socialistes ne s’y sont pas trompés, qui ont célébré l’élection de ce Barbier-là en rasant les murs, tout juste si l’élu n’a pas versé une larme, tant il avait l’air accablé…

     

    Une du numéro 8290 de "Présent"

    Une du numéro 8290 de “Présent”

    Quant à l’UMP, on voit la vanité de ses consignes, dont les électeurs se sont moqués, du moins ceux qui y ont compris quelque chose. Car il y avait trois options : le « ni-ni », le vote PS et la position baroque de Sarkozy, la liberté de vote sans la liberté de voter FN. Leurs électeurs du Doubs en avaient, eux, une quatrième : reporter leur voix sur la candidate frontiste. Ils furent 30 % à le faire.

     

    Est-ce qu’il y avait des partisans de cette solution de bon sens au bureau politique de parti de Sarkozy ? Si oui, ont-ils dû se taire, se cacher, pour éviter d’être stigmatisés comme de mauvais républicains, perdant ainsi une éventuelle investiture ? Ou cette tendance, florissante à la base, est-elle totalement inconnue du sommet ? Mais alors, quelle est la représentativité de ces dirigeants dont aucun ne se reconnaît dans le choix de 30 % des électeurs de l’UMP ? Cela ne semble pas émouvoir les hiérarques de l’UMP, qui font semblant de croire que la base votante et militante attend toujours que la lumière d’en-haut leur guide la main pour savoir quel bulletin prendre.

    « L’esprit du 11 janvier » a vécu, si tant est qu’il ait existé ailleurs que dans les fantasmes de politiciens intéressés. D’ailleurs, les socialistes ne lui ont pas attribué l’élection de leur poulain. C’est à Paris, dans les états-majors avec les têtes chercheuses de la propagande UMPS, qu’on distingue le bon grain des vrais républicains et l’ivraie des mauvais Français. Dans le Doubs, ce sectarisme n’existe pas ou alors c’est une exportation parisienne. On y vote comme on pense devoir le faire, sans exiger de certificats de bonnes vie et mœurs républicaines.

     

    Cette élection n’est que le début du chemin de croix électoral du PS et de l’UMP. Dans quelques semaines, lors des départementales, puis à la fin de l’année, pour les régionales, le même scénario va se reproduire, car l’ascension du Front national est continue. Tantôt, ce sera le candidat socialiste qui devra affronter celui du FN, tantôt le champion de l’UMP. Ils seront contraints de se faire la courte échelle s’ils ne veulent pas se faire évincer de ces assemblées locales. Quand le Front ne l’emportera pas seul, il y aura une forte représentation frontiste, ils devront s’allier pour dégager une majorité de gouvernement. Ce sera un nouveau bipartisme, celui qui s’est déjà concrétisé dimanche : d’un côté le Front national, de l’autre l’UMPS.

    Guy Rouvrais

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  • 80 djihadistes français tués en Syrie et en Irak

    Lu ici :

    "Ce sont près de 1 400 personnes qui ont été identifiées, Français ou résidents, comme étant en relation avec ces filières. Environ 750 y séjournent ou ont séjourné, 410 seraient aujourd'hui sur place, 260 repartis, et 80 Français ou résidents en France ont été tués sur place", a déclaré le Premier ministre lundi sur Europe 1."

    Et ce ne sont que les chiffres officiels jugés communiquables aux Français par le gouvernement socialiste... Ce ne sont en fait que des estimations qu'il faudrait sans doute multiplier par 3 pour approcher de la vérité.

    Philippe Carhon

  • L’UMP pourra-t-elle se remettre du fiasco dans le Doubs ?

    C’est peut-être l’UMP, en bloc, qui à force d’illisibilité, est devenue, dans le paysage politique français, secondaire, accessoire, sans importance.

    Étranges élections que ces législatives partielles du Doubs. Étranges élections car tout le monde s’accorde à dire que le grand gagnant est en réalité… le perdant. Celui qui n’a pas remporté le siège a en fait remporté la mise. Après avoir en quelques années, déboulonné le bipartisme pour instituer le tripartisme, voilà qu’il vient de remodeler la vie politique française dans sa version antérieure, sa version « face-à-face », un parti contre un autre, le Front national contre le Front républicain, l’un pesant peu ou prou le même poids électoral que l’autre. On est loin des 80 % de Jacques Chirac.

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  • L'avortement, une douloureuse réalité...

    "Choisir la vie" communique : 

    "À l'occasion des 40 ans de la loi sur l'avortement, Choisir la Vie lance une campagne de sensibilisation sur ce sujet en diffusant le plus largement possible un livret de 12 pages abordant les grandes lignes et la réalité de cl'avortement (législation, conséquences, témoignages…). Rappelons combien cette loi du 17 janvier 1975 fut une véritable "boîte de Pandorre", qui a initié toutes les dérives éthiques et morales actuelles en autorisant qu'il puisse être portée atteinte à la vie du plus faible, du plus innocent : l'enfant à naître dans le sein de sa mère.

    40 ans plus tard, cette loi dite "d'exception" a fait plus de 8 millions de victimes, enfants à naître et femmes dont le traumatisme post-avortement, bien que volontairement nié par les partisans de l'avortement, est une douloureuse réalité.

    Ce livret sera également envoyé à tous les parlementaires ainsi qu'aux présidents des conseils régionaux.

    Le commander gratuitement :
    - Par voie postale : Choisir la Vie - 6 square du Trocadero 75116 Paris 
    - Par e-mail : info@choisirlavie.fr"

    Le Salon Beige