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  • Les paroles de "paix" de l'imâm de Copenhague la veille des attentats

    L'imâm de Copenhague a prescrit la guerre plutôt que le dialogue avec les Juifs... la veille des attentats. Une vidéo proposée par l'Observatoire de l'islamisation (sous-titres en anglais) :

     

    "Notre prophète Mohammad avait des voisins juifs à Médine. A-t-il appelé à des relations plus étroites, à l’harmonie et au dialogue avec eux, selon les méthodes de l’ONU et de ceux qui appellent à concilier le Vrai et le Faux ? Ou bien les a-t-il appelés à adorer Allah ? Lorsqu’ils ont violé leur serment et qu’ils n’ont pas accepté son appel – vous savez très bien ce qu’il leur a fait. Cela figure dans sa biographie (Sîra). Il a déclaré la guerre aux Juifs."[...]

    Mais à part ça, il va de soi que l'islam n'a rien à voir avec l'antisémitisme. Padamalgam.

    Marie Bethanie http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Une justice d’apartheid en Yougoslavie

    Dans une démocratie digne de ce nom, la loi doit être la même pour tous, c’est le principe de l’égalité devant la loi. Elle ne saurait comporter d’exception. 
         Or, l’existence même du TPIY [tribunal pénal international pour la Yougoslavie] réservé aux Yougoslaves contredit ce principe d’universalité. 
         Le TPIY, c’est l’apartheid judiciaire : on poursuit les Serbes des exactions commises au Kosovo mais pas les Américains pour faire céder le gouvernement serbe sans risquer la vie d’un seul soldat allié, ont multiplié les crimes contre l’humanité contre les civils serbes : destructions d’écoles, d’hôpitaux, de centrales électriques, d’œuvres d’art, etc. 
         Dans une interview au Herald Tribune en date du 1er février 2001, Mme Del Ponte, procureur général du TPIY ne cache pas sa priorité : « Notre priorité est de poursuivre les génocides et les crimes contre l’humanité. Karadzic, Milosevic et Mladic doivent passer en jugement. C’est ça notre priorité actuelle. 
         Bien sûr, les 16 morts [suite au bombardement du quartier général de la télévision] ne sont pas sans importance, mais ils ne sont pas ma priorité. » 
         Une autre illustration de la partialité du TPIY se trouve dans le traitement par le TPIY et par Mme Arbour, procureur général auprès du TPIY avant Mme Del Ponte, d’un rapport de 150 pages concernant les crimes de guerre commis par les forces armées croates contre les Serbes dans la province de Krajina (200 000 personnes déplacées, 150 exécutions sommaires, plusieurs centaines de disparus). 
         Ce rapport, divulgué grâce à une fuite au New York Times (à la consternation des officiels du Tribunal), estimait que les assassinats croates et autres actes inhumains étaient « nombreux et systématiques », et qu’une « matière suffisante » était disponible pour rendre trois généraux croates, nommément désignés, responsables devant la loi internationale (New York Times, 21 mars 1999). 
         Mais l’article du New York Times rapporte aussi que les États-Unis, qui soutenaient le nettoyage ethnique des Serbes de Krajina par les Croates, non seulement ont défendu les Croates devant le Tribunal, mais ont refusé de communiquer les photos satellite des régions de Krajina attaquées par les Croates ainsi que les autres documents demandés. 
         Le résultat a été que les trois généraux croates cités dans le rapport sur l’Opération Tempête n’ont jamais été inculpés, et que – bien que le nombre de Serbes exécutés et disparus ait été au moins égal au chiffre des 241 victimes des Serbes cités dans l’inculpation de Milosevic – aucune inculpation parallèle du président croate Tudjman n’a jamais été dressée par le Tribunal. 
    Jacques Vergès 
    Pierre-Marie Gallos et Jacques Vergès, L’apartheid judiciaire. Le tribunal pénal international arme de guerre

  • Donbass, Débaltsevo. Les habitants témoignent [sous-titrage français]

  • Régression du progressisme

    “Retour du sacré”, ou pas ? Rien de tel qu’un petit topo de Régis Debray pour se faire une religion.

    Récemment, ici même, je vous entretenais du Régis Debray politique, à propos d’un court pamphlet sur l’économisme et la République (l’Erreur de calcul). Le voici de retour à l’anthropologie, son refuge d’altitude depuis trente ans, avec la parution d’Un Candide à sa fenêtre. Dans ce deuxième tome d’une série intitulée “Dégagements”, il analyse, sans enthousiasme excessif, le “retour du religieux” — dans une époque qui croyait au moins en une chose : s’en être définitivement débarrassée.

    Pour l’occasion, Michel Field consacre à l’auteur, sur la chaîne Histoire, un numéro spécial de son émission Historiquement show où, en compagnie du théologien Jean-François Colosimo, il “accouche” Debray. « L’“intellectuel engagé” est-il vraiment devenu un intellectuel dégagé ? » entame Field. « Difficile d’y croire… » De fait, l’ami Debray n’est pas devenu zutiste ; toujours aussi grave et ronchon, mais non sans raison.

    Entre engagement et dégagement, il n’y a d’ailleurs pas contradiction pour lui. Plutôt une dialectique, tirée de ses observations comme de son expérience personnelle : impossible de s’engager intelligemment sans savoir se dégager des rumeurs de la ville et de l’époque. « Se retirer du brouhaha pour comprendre ce qui se passe. »

    Jusque-là on est d’accord, j’imagine. Quant au fond, Debray enchaîne stoïquement des constats de plus en plus déplaisants pour lui. Et d’abord le plus évident : le religieux, “de retour”, ne fait que reprendre sa place. Il comble ainsi le vide laissé par le politique, qui lui-même l’avait remplacé triomphalement — avant de perdre peu à peu toute crédibilité (idéologies à court d’idées, pouvoirs impuissants… je ne vous raconte pas tout).

    Le vrai paradoxe, pour Régis, c’est la façon dont le progrès technique et scientifique a « balkanisé » le monde à force de l’uniformiser : « Plus on est déraciné, plus on se recherche une identité — quitte à fantasmer un retour aux origines », explique-t-il ; et si vous trouvez ça banal, c’est juste que vous êtes plus réac que lui.

    Quand même, notre chercheur est accablé par ses propres découvertes. Il fait son “travail de deuil”, avec une rigueur intellectuelle peu commune chez ses collègues en cour. Attali et Minc, par exemple, n’ont jamais eu tort, du moins à leur connaissance. Debray, lui, reconnaît ses erreurs et les « désillusions du progrès », comme disait Aron. [....]

    Basile de Koch

    La suite sur Valeurs Actuelles

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Regression-du-progressisme

  • Le rapprochement Russie-Chine, erreur stratégique des USA

    Washington commet une erreur stratégique de taille en durcissant le ton à l'égard de Moscou, car ce comportement favorise le rapprochement entre la Russie et la Chine.

    Le rapprochement entre Pékin et Moscou résulte de la politique pratiquée par l'Occident à l'égard de la Russie, estime le quotidien en ligne The Conversation.

    Selon le Fonds monétaire international (FMI), l'économie chinoise surpasse actuellement celle des Etats-Unis si l'on tient compte de la parité du pouvoir d'achat. La Chine, qui cherche à dominer dans sa région, multiplie les efforts en vue d'augmenter son potentiel militaire. Dans ce domaine, Moscou lui apporte son concours. Si Washington et Bruxelles ne modifient pas leur comportement hostile envers la Russie, la Chine sera prochainement en mesure de tenir tête aux Etats-Unis.

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  • De l’Ukraine à la Grèce, une Europe ni pacifiée ni prospère

    Bureaucratique, oligarchique, ploutocratique, notre union est un empire d'un genre particulier : l'empire du mou.

    La guerre civile dans l’est de l’Ukraine est en passe de prendre une nouvelle dimension. Notre duo comique Merkel-Hollande aura tenté l’impossible, un an après que l’Ukraine a fait sa « révolution », la deuxième de l’ère post-URSS, révolution dirigée contre la Russie et les oligarques corrompus, encouragée par les Européens et les États-Uniens, et soutenue par la CIA en sous-main, en violant le principe immémoriel des zones d’influence, ou des États tampons entre puissances, et le droit de la Russie à ne pas se sentir assiégée par ses ennemis.

    De bailout en plans de sauvetage, on en est toujours au même point avec la Grèce. Voilà cinq ans que ça dure. On est surpris d’apprendre que les réformes vitales tenant à la collecte des impôts, à l’évasion fiscale ou à la corruption n’ont pas été menées. Les Grecs ont beaucoup de torts, mais pourquoi les bailleurs de fond ont préféré exiger de baisser les salaires et les retraites ou démolir le système de santé ? Il est peu probable qu’Aléxis Tsípras osera refiler le mistigri de la dette à ses créanciers et mettre le pataquès dans la zone euro en déclarant son pays en faillite. Dommage.

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  • Elections départementales : vers un nouveau succès du Front National ?

    Un an après l’énorme succès du FN aux élections municipales, doit-on s’attendre à une nouvelles vague bleue pour les départementales ? Eléments de réponse avec Planet.fr.
    En pole position. Voici comment se place le Front National à quelques semaines des élections départementales. Selon un sondage Ifop pour Le Figaro, le parti de Marine Le Pen arrive en tête des intentions de vote avec 30%. Un résultat qui confirme "les tendances constatées scrutin après scrutin depuis cinq ans", souligne le journal. On se souvient notamment du succès du parti d’extrême droite aux élections municipales et européennes de l’an dernier. "A droite comme à gauche, certaines avaient imaginé que le score du FN aux européennes s’expliquerait par le caractère ‘défouloir’ de l’élection’ ", a rappelé Jérôme Fourquet, le directeur du département Opinion d’Ifop, dans les colonnes du quotidien. Mais aujourd’hui la donne aurait changé. Le parti démontrerait actuellement sa capacité à s’imposer dans tous les scrutins, y compris "ceux que l’on disait les traditionnellement à l’abri d’une telle poussée", note-t-il encore.
    Le FN pourra-t-il remporter le second tour ?
    Mais si le FN est fortement pressenti pour engranger un nouveau succès électoral, sera-t-il néanmoins capable de s’emparer d’un Conseil départemental ? Le parti de Marine Le Pen part de très bas avec seulement 3 élus sur les quelque 4 096 conseillers généraux que compte actuellement la France. "Le FN sera le premier parti de France en nombre de candidats", a pourtant prévenu la leader frontiste. Et il se pourrait bien qu’elle ait vu juste. Son parti devrait en effet être présent dans plus de neuf cantons sur dix, notamment grâce aux dizaines de candidats que lui ont apportées les municipales. Mais de là à ce que ses candidats décrochent des Conseils municipaux au second tour... "Les plus gagnables seraient le Vaucluse et l'Aisne, mais ça resterait une prouesse", a d’ailleurs estimé un membre exécutif du FN interrogé par TF1. Ce serait "une heureuse surprise", a quant à elle confié Marine Le Pen.
    Parmi les départements que le FN pourrait éventuellement décrocher, figurent également l’Oise, le Pas-de-Calais et le Var. C’est en effet dans ces deux premiers départements que le parti fondé par Jean-Marie Le Pen a enregistré ses meilleurs scores aux élections européennes, tandis qu’il est déjà implanté dans le troisième.
    Des candidats parfois gênants

    Le Front National a encore quelques semaines pour tenter de convaincre les électeurs. Mais certains candidats ne lui facilitent pas la tâche, au contraire. Plusieurs d’entre eux se sont faits remarquer sur les réseaux sociaux à cause de dérapages racistes, islamophobes, antisémites ou homophobes. Des couacs qui sont souvent sanctionnés par une exclusion du FN mais qui n’en mettent pas moins des bâtons dans les roues à la vaste entreprise de dédiabolisation lancée par Marine Le Pen pour conquérir davantage d’électeurs.

    planet.fr :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/dep_interieur/EukuZyllZETueYYjLB.shtml

  • « Français de souche » : les identitaires sont-ils en train de gagner la bataille des mots ?

    (via Le Rouge & le Noir)
    Le monde politique et médiatique français est en émoi. En cause, une expression employée par François Hollande dans son discours au dîner du CRIF. Revenant sur la profanation du cimetière juif de Sarre-Union par des jeunes proches des idées antifascistes, le chef de l’État a parlé d’un « cimetière dévasté par de jeunes lycéens, Français de souche comme on dit ».

    « Français de souche »

    Ce sont ces mots, « Français de souche », qui sont au cœur de la polémique. Plusieurs ministres, députés, personnalités politiques ou médiatiques sont montés au créneau dès hier soir et toute la journée pour dénoncer l’emploi de ce terme. « Je n’emploie jamais cette expression et d’ailleurs je bloque systématiquement sur les réseaux sociaux ceux qui se revendiquent de cela » déclare Bruno Le Roux, président du groupe PS à l’Assemblée nationale. « Français de souche : plus qu’une maladresse, une faute » pour Aurélie Filippetti, ancienne ministre de la Culture.

    Pourquoi tant de remue-ménage ? La réponse est elle aussi donnée par Aurélie Filippetti : « en utilisant ce terme il lui donne une légitimité qu’il n’avait jamais eue encore ». Car il faut bien comprendre que ce terme de « Français de souche » fait peur. Et le voir employé dans la bouche du président français est une victoire pour l’extrême-droite car il signifie que le mot a été accepté par les français, y compris par ses élites, même si elles ne l’emploient que pour le dénoncer. Et de même, la presse, avec un empressement qui relève presque de la panique, s’est immédiatement attachée à dénoncer ce terme : « Français de souche : pourquoi l’expression accaparée par l’extrême-droite n’a pas de fondement historique » titre par exemple le Huffington Post.

    La « bataille des mots » du PS

    « Gagner contre le Front national, c’est d’abord gagner la bataille des mots » déclarait Manuel Valls à l’université d’été du PS de La Rochelle en Aout 2013. Voir un président français socialiste parler de français de souche est, en soi, une claque pour le PS.

    Il ne faut pas se leurrer pour autant. Le français de souche n’existe dans la bouche des hommes politique de gauche uniquement quand il s’agit de le stigmatiser (collaboration, colonisation, profanation…).

    Cette « bataille des mots » se joue à la télévision, dans les médias et dans les discours politiques. C’est là qu’est le paradoxe : le PS, pourtant bien placé pour en contrôler le jeu, semble impuissant à empêcher certains termes, opinions et polémiques d’émerger dans le débat politique. L’hyper-médiatisation d’expressions propres à la gauche : “vivre-ensemble”, “éviter l’amalgame”, “stigmatisation”, “discrimination”, “tolérance”, … ne prend pas, quand les termes ne sont pas purement et simplement détournés de leur sens par une partie de la population française. Les débats restent obstinément centrés depuis plusieurs années sur les questions d’identité, d’immigration et d’islamisation.

     

    Français de souche, grand remplacement et remigration

    Ces mots n’existaient pas dans le vocabulaire politique et médiatique il y a dix ans. Si l’histoire derrière le terme « Français de souche » est ancienne, son sens actuel est récent et intimement rattaché au site Fdesouche (dont la presse évoque aujourd’hui l’influence dans ses différents articles ayant trait à la polémique soulevée par les propos de François Hollande). Le terme vise principalement à distinguer les Français « de souche » de ceux dits « de papiers ».

    En dix ans le terme a fait son apparition dans les milieux dits d’extrême-droite, sur les réseaux sociaux, dans la bouche des militants, puis progressivement dans les médias et dans les discours et débats des hommes politiques (en commençant par ceux les plus à droite pour atteindre jusqu’à la bouche critique de Jean-Luc Mélenchon).

    Ce terme, fortement lié à l’identité est en train d’en tirer deux autres vers la même lumière médiatique.

    Le « grand remplacement », théorisé par l’écrivain Renaud Camus, s’est d’abord développé dans les milieux identitaires jusqu’à faire depuis un an des sorties médiatiques de plus en plus nombreuses. Employée par Eric Zemmour, Ivan Rioufol, Jean-Marie Le Pen, Aymeric Chauprade, Marion Maréchal-Le Pen, … l’expression désigne, pour reprendre la définition qu’en donne la benjamine de l’assemblée nationale, « un effet de substitution sur certaines parties du territoire de ce qu’on appelle les Français de souche par une population nouvellement immigrée ».

    Le député de la Ligue du sud, Jacques Bompard, a même introduit ce terme à l’Assemblée Nationale en déposant une proposition de loi sur la « lutte contre le grand remplacement » [8]. Une rapide recherche dans l’actualité montre à quel point ce terme est maintenant régulièrement employé par les médias depuis plusieurs mois, y compris dans Libération, Le Monde, Le Nouvel Obs, L’Express, …

    Le troisième terme qui s’impose actuellement est celui de « remigration ». Promu par le Bloc Identitaire, il désigne une inversion de flux migratoires, non pas dans sa population globale, mais un flux inverse au flux qui a conduit des individus à quitter leur pays d’origine pour venir s’installer en France. Il s’agit donc d’un retour au pays de personnes ayant immigré en France au cours des dernières décennies.

    Bien souvent présenté dans les media comme un « fantasme », la remigration seraient aux portes du FN d’après Libération. En effet, le terme attire de plus en plus les militants FN et même certains de ses dirigeants.

    Déjà médiatisée par Eric Zemmour, la remigration attire aussi Aymeric Chauprade, ce qui n’a pas manquer de faire bondir à chaque fois SOS Racisme.

    Les nombreux débordements lors des rencontres sportives de l’Algérie, puis des manifestation pro-palestiniennes durant l’été dernier ont donné à Fabrice Robert, président du Bloc Identitaire l’occasion d’appeler, avec un certain écho médiatique outré, ces populations immigrés à retourner chez elles : « Ce que nous vous proposons, c’est une remigration dans la dignité sur le sol de vos ancêtres et l’intérêt de nos deux peuples (…) Vous, Algériens avez tout à gagner à vous ré-enraciner. Car l’identité hors-sol n’existe pas ».

    De même, les tragiques attentats de début janvier en France et ceux de février au Danemark poussent la population à s’interroger sur la possibilité réelle d’un vivre-ensemble.

    Le premier ministre a voulu une bataille des mots, il est en train de la perdre. A force de dénoncer en permanence ces termes sans proposer une quelconque alternative, les media et les politiques les apprennent aux Français. Ceux qui ignoraient ou sentaient confusément que l’immigration est de plus en plus présente et qu’il faudra bien y trouver une solution reçoivent avec joie ces termes que les media leurs font découvrir en pensant les combattre. Gagner la bataille des mots c’est dans le même temps gagner la bataille des idées. Les identitaires sont-ils en train de gagner la bataille des mots ?

    http://fr.novopress.info/182954/chez-confreres-francais-souche-les-identitaires-en-train-gagner-bataille-mots/