- Page 8
-
-
Rassembler les patriotes pour « la France d’après » l’UMPS
Nicolas Sarkozy affirmait en juillet 2006 «que les Français attendent une France d’après, une France où l’expression Français de souche aura disparu». Les Français attendent surtout une inversion des flux migratoires, l’arrêt de la politique d’immigration de peuplement menée par l’UMPS qui empêche toute assimilation, justement parce qu’ils entendent rester eux-mêmes, maîtres chez eux. Lors du dîner du Crif lundi soir, François Hollande a repris cette expression pour la fustiger lorsqu’il a évoqué le saccage par un groupe d’adolescents mené par un militant d’extrême gauche (ce qu’il n’a pas précisé…) du cimetière juif de Sarre-Union, « dévasté par de jeunes lycéens, Français de souche, comme on dit». Libération rapporte que l’utilisation du terme lui a pourtant valu des critiques : « une expression très connotée, dont l’emploi par le président est une faute, a jugé l’ex-ministre Aurélie Filipetti, entre autres. De son côté, la présidente du Mouvement des jeunes socialistes, Laura Slimani, a dénoncé un brouillage intellectuel (sic). (…°) François Hollande a lui-même réagi mardi lors d’une conférence de presse à l’Elysée : Pour ceux qui m’ont écouté hier soir, il n’y avait pas de doutes à avoir, a-t-il assuré. Je me suis justement distingué de cette expression ». Interrogée par l’Afp, Marine a noté comme beaucoup de nos compatriotes qu’«on a l’impression que (M. Hollande) est content que quelque chose qui soit éminemment critiquable émane de Français d’origine française»…
Une identité française qu’Alain Juppé aimerait aussi voir disparaître. Après Manuel Valls se déplaçant au Salon de l’Agriculture pour exhorter la France de terroirs et des clochers de ne pas voter FN, il s’est à son tour répandu sur son blogue pour supplier nos compatriotes de ne pas s’extraire du carcan UMPS qui conduit notre pays à la ruine.
Comme il le fait désormais régulièrement, sur la même longueur d’onde que son rival Nicolas Sarkozy ou qu’un François Fillon qui, dans un entretien récent sur France Inter pronostiquait une guerre civile si le FN arrivait au pouvoir, il appelle de ses vœux à une « offensive » contre « la montée régulière du FN dans l’opinion ». Il invite ainsi à « ne pas jouer l’avenir de (nos) enfants et de (notre) pays à la roulette russe ».
C’est incidemment pourtant le reproche que l’on peut lui faire puisqu’il a œuvré, lorsqu’il fut le catastrophique Premier ministre de Jacques Chirac, (p)artisan d’une fuite en avant, au bradage de notre souveraineté à une entité bruxelloise non viable. Un jeu de roulette russe dont il s’est aussi rendu coupable vis-à-vis du peuple libyen en cautionnant en 2011 la liquidation du régime de Kadhafi avec les résultats épouvantables que l’on constate, au nom d’intérêts bien obscurs qui n’étaient pas, en toute hypothèse, ceux de la France.
Fort de son bilan désastreux, M. Juppé se croit donc de nouveau autorisé à dénoncer de manière particulièrement grotesque mensongère et caricaturale « l’imposture du Front National », «le tsunami de la sortie de l’euro», « la gabegie budgétaire », « le mythe de l’immigration zéro » et « le risque de monter les Français les uns contre les autres » !
Rallier les Français des deux rives, poursuivre l’œuvre de réconciliation nationale, bâtir un pôle patriote, souverainiste en capacité demain d’être majoritaire c’est pourtant l’œuvre inlassablement poursuivie par le FN. Une mission essentielle à l’origine d’ailleurs de la création de notre Mouvement par Jean-Marie Le Pen en 1972, FN auquel s’agrégèrent au fil du temps et dés les années 80, anciens du PC, du PS, du RPR, de l’UMP…
C’est pourtant toujours un sujet d’étonnement dans les médias si l’on en juge par les réactions ce matin au déplacement hier, rapporte notamment le Huffington Post, de Marine Le Pen, Louis Aliot et Gaëtan Dussaussaye (FNJ) à la conférence de presse du mouvement Agir pour la France (APF).
Une petite structure regroupant d’« anciens cadres du Rassemblement pour la France (RPF) et du Mouvement pour la France (MPF) de Charles Pasqua et de Philippe de Villiers ». « Après avoir rallié d’anciens chevènementistes, obtenu le soutien d’anciens gaullistes via le Siel », la présidente du FN a donc obtenu à cette occasion le « soutien sans condition » des membres de l’APF « pour la présidentielle de 2017 ».
« Seule exception notable à cette convergence patriotique: Debout la France, le parti politique fondé par Nicolas Dupont-Aignan, refuse toujours de saisir la main tendue de Marine Le Pen en vue d’une alliance électorale. Un refus qui laisse d’ailleurs la présidente du FN « dans un abîme de perplexité tant il lui semble difficile de trouver des différences programmatiques notables entre leurs deux formations politiques. A part un ego qui pourrait le pousser à considérer qu’il a sa chance »…
Sur le site du journal L’opinion, Béatrice Houchard s’interroge : « Le gaullisme est-il soluble dans le Front National ? Fondé par des nostalgiques de l’Algérie française, le parti de Jean-Marie Le Pen a surtout un ADN anti-gaulliste ».
« N’y-a-t-il pas un grand écart de voir d’anciens gaullistes rejoindre un FN fondé en 1972 par des nostalgiques de l’Algérie française et des anciens de l‘OAS (Organisation de l’armée secrète qui combattirent le général De Gaulle)? » se demande pareillement l’article du Huffington Post.
« On n’a pas demandé aux Résistants quelle était leur couleur politique, réplique (très justement) Henry Afonso, président de l’Union gaulliste et membre d’Agir pour la France ». Et l’on sait d’ailleurs, ouvrons ici une parenthèse, que les époques troublées peuvent difficilement s’appréhender de manière manichéenne, binaire. Voir notamment la remarquable « Histoire critique de la Résistance» de Dominique Venner ou encore l’ouvrage de l’historien Simon Epstein, « Un paradoxe français : Antiracistes dans la Collaboration, antisémites dans la Résistance », pour connaître la part essentielle que les hommes et les femmes appartenant à la droite nationale, au courant maurrassien, jouèrent dans la résistance à l’occupant.
Et non pas seulement, selon la légende officielle, des démocrates-Chrétiens, des socialistes ou des communistes, hommes de gauche dont beaucoup rallièrent aussi le régime de Vichy. On connait la réflexion lapidaire de De Gaulle : « Je n’ai trouvé à Londres que la cagoule (mouvement clandestin d’extrême droite des années 30, NDLR) et la synagogue ».
L’article du Huffington Post rapporte également les propos de « Daniel Fedou, coordinateur de l’APF, et ancien compagnon de route de Paul-Marie Couteaux » : « Nous avons avec le FN trois points communs fondamentaux : il faut sortir de l’euro; il faut stopper l’immigration; il faut dénoncer les accords de Schengen, (…) » lequel souligne à l’adresse des pontes de l’UMP : « On ne peut pas se dire gaulliste quand on s’est assis ainsi sur la souveraineté populaire ».
« Le passé (lepéniste) ( ?) reste dans l’opinion nationale. Nous serons là pour rassurer les Français s’ils venaient à douter », a ajouté M. Fedou ». De notre côté, et Bruno Gollnisch l’a souvent dit, nous serons également là pour rassurer nos compatriotes nationaux, les pieds-noirs, les harkis, leurs descendants, les inviter à dépasser les traumatismes d’hier, les plaies toujours vives des crimes du gaullisme, au nom de l’intérêt supérieur de notre nation. Fort du plus grand dénominateur commun qui rassemble les Français de bonne volonté : la défense de notre souveraineté et identité nationales à laquelle Charles De Gaulle, par ses écrits et certains de ses actes, avait manifesté son attachement.
« Le passé est le passé. Il est temps de déposer les vieilles armes qui rouillent au placard », a affirmé hier avec raison Marine Le Pen. Ne rien oublier certes, mais avancer vers l’avenir sur le même chemin pour la France et les Français d’abord. Pour que la voix d’une France libre, porteuse d’une vision du monde alternative au système mondialiste à tuer les peuples, si singulière dans le concert des nations, ne s’éteigne pas et traverse encore les siècles. C’est bien pour la renaissance de cette France là, la France d’après l’UMPS, que nous luttons.
http://gollnisch.com/2015/02/25/rassembler-les-patriotes-pour-la-france-dapres-lumps/
-
Le président du CRIF reconnaît que les violences antisémites sont le fait de musulmans
Le président du Conseil représentatif des institutions juives, Roger Cukierman (photo), a affirmé lundi que « toutes les violences [antisémites] aujourd’hui sont commises par des jeunes musulmans ». Il a ajouté que, en matière d’antisémitisme, Marine Le Pen est « irréprochable personnellement ».
Le FN « dédiabolisé » est‑il en passe de gagner ses galons de respectabilité républicaine ?
On en est loin ! Le propos tenu, presque anodin, était noyé dans une phrase ne manquant pas de rappeler que le FN comptait encore, selon lui, des « négationnistes », des « vichystes » et des « pétainistes ». M. Cukierman s’est empressé de compléter qu’il ne voterait jamais Front National et que Mme Le Pen n’avait pas sa place au dîner du CRIF.
Les représentants des musulmans et leurs affidés se sont néanmoins offusqués de ces déclarations
Les représentants du Conseil français du culte musulman (CFCM), qui sont, eux, des habitués de la grand’messe annuelle du CRIF, ont immédiatement annulé leur venue. Quant à Jack Lang, il a affirmé que Cukierman était : « En infraction avec l’esprit du 11 janvier » ! Jack Lang sous‑entend donc que faire usage de sa liberté de penser et d’expression peut constituer une infraction !
C’est justement le projet du président de la République qui, à la différence du CRIF, n’est pas prêt de changer de logiciel
Comme le bulletin de réinformation en rendait compte hier, François Hollande a rappelé son projet de pénalisation de toute pensée déviante : il souhaite « que toutes les paroles, tous les écrits de haine, qu’ils soient antisémites, racistes, homophobes, ne relèvent plus du droit de la presse, mais du droit pénal ».
-
La Syrie, passage obligé pour lutter contre Daesh
Quatre parlementaires français se sont entretenus ce matin pendant une heure avec Bachar al-Assad à Damas, lors d'une visite présentée comme une initiative personnelle, mais qui désavoue sans le dire la ligne établie par Paris, qui était "aucun contact avec le régime syrien". Il s'agit du sénateur-maire centriste de Laval, François Zocchetto, de Jean-Pierre Vial (UMP- Haute Savoie) et les députés Jacques Myard (UMP- Yvelines) et Gérard Bapt (PS-Haute Garonne). (Ouest France)
"Nous ne sommes porteurs d’aucun message du gouvernement français. Il s’agit d’une mission de parlementaires membres des commissions d’amitiés France-Syrie du Sénat et de l’Assemblée nationale."
La rupture officielle avec Damas n'ayant rien donné, et les menaces de Daesh se faisant de plus en plus insistantes, la ligne imposée par Paris est de plus en plus controversée. Ayant décidé de se faire une idée de la situation directement sur place, les quatre parlementaires ont rencontré, outre Bachar al-Assad, le mufti, les patriarches catholique, orthodoxe et arménien, ainsi que les représentants du croissant et de la croix rouges, et du lycée français. De plus en plus de voix, même au sein des renseignements, s'élèvent contre le choix de la France, qui a conduit jusqu'à présent à une impasse, :
"On ne peut pas travailler sur Daesh et contre Daesh sans passer par la Syrie, donc une nécessaire reprise du dialogue est obligatoire", a ainsi estimé mercredi sur BFM TV l'ancien patron du renseignement intérieur, Bernard Squarcini. "Beaucoup de services aimeraient retourner à Damas", reconnaissait récemment un diplomate européen, soulignant que Paris et Londres étaient, au sein de l'UE, dans une position encore "extrêmement crispée" vis-à-vis de toute reprise de contact, même minimale, avec Damas." (Le Point)
Bien que Stéphane Le Foll, porte-parole du gouvernement, fasse mine de minimiser cette rencontre, il est vraisemblable qu'elle agace énormément un Laurent Fabius sourd et aveugle et qui déclarait encore dimanche :
"L'idée qu'on pourrait trouver la paix en Syrie en faisant confiance à M. Bachar el-Assad et en pensant qu'il est l'avenir de son pays est une idée que je crois fausse".
Marie Bethanie http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
-
TVL : Perles de Culture n°47 - L'artisanat mis à l'honneur
-
François Baroin cherche le moyen de financer les mosquées
Selon L’Express, François Baroin cherche le moyen de financer la construction de lieux de culte musulmans.
Qui est François Baroin ?
Ce sénateur-maire UMP fut autrefois journaliste à Europe 1, recruté par Jean-Pierre Elkabbach. Il a été plusieurs fois ministre, notamment du Budget, puis de l’Economie et des Finances. En novembre 2014, il réussit à se faire élire président de l’Association des maires de France.
Resté très « people » depuis son passage à Europe 1, il est divorcé de la journaliste Valérie Broquisse. Entre 2006 et 2008, il a fait les choux gras de la presse « people » pour sa liaison avec la journaliste télé Marie Drucker. Avant d’étaler dès l’été 2008 dans les magazines sa nouvelle relation avec la comédienne Michèle Laroque.
Terminons en précisant que François Baroin est le fils de Michel Baroin, homme d’affaires qui fut « grand maître » du Grand Orient de France (GODF).
http://www.medias-presse.info/francois-baroin-cherche-le-moyen-de-financer-les-mosquees/26566
-
Le nombre de chômeurs a encore progressé en janvier
Contrairement à ce qui est raconté. En effet, si le nombre de chomeurs inscrits en catégorie A a reculé de 19 100 le mois dernier, si on intègre les demandeurs d'emploi en activité réduite, inscrits dans les catégories B et C, le nombre de chômeurs a encore progressé en janvier, portant à 5,232 millions le nombre total d'inscrits en métropole sur les trois principales catégories de Pôle emploi.
Lien permanent Catégories : actualité, France et politique française, l'emploi, social 0 commentaire -
Nos Chers Vivant n°10 : Pierre Schoendoerffer
-
DSH - Dressons nous - Dressons nous
-
Loi Macron : un catalogue de mesurettes et de vices cachés !
L’observation de ce texte nous confirme que volonté de bien faire ne rime pas forcément avec audace.
En politique, le pragmatisme est d’un usage peu courant, mais souvent avantageux. Il suppose clairvoyance, aplomb et bonne fortune. François Hollande n’est ni réaliste ni audacieux et il ne sait pas que « la chance sourit à ceux qui n’ont pas compté sur elle ». Il est en revanche opportuniste et pusillanime. De promesses répétées non tenues en fautes non assumées, et de reniements en contradictions, il n’a cessé de berner, spolier et appauvrir la France et les Français, sans doute à « l’insu de son plein gré ».
Alors, face à ses déboires devenus notre accablement, il a pris du recul (lui pense « de la hauteur ») et laissé en première ligne des ambitieux prétendument « véristes » au sens politique. Lui s’est donné l’habit du chef de guerre qui plaît aux Français…