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  • Déni de réalité par François Hollande sur les massacres anti-chrétiens au Kenya

    François Hollande, nouveau Ponce Pilate ? Est-ce pour éviter le sacro-saint « pas d’amalgame » ?

    Le président de la République dans son communiqué en date du 2 avril 2015 condamne le massacre de 148 Kenyans. Il omet de préciser deux réalités :

    ils ont été tués à cause de leur Foi chrétienne

    les coupables sont des musulmans qui ont agi au nom d’Allah en épargnant les étudiants musulmans.

    http://www.elysee.fr/communiques-de-presse/article/attaque-terroriste-au-kenya/

    Attaque terroriste au Kenya

    Le président de la République exprime sa solidarité avec le peuple kenyan, qui doit faire face au terrorisme le plus abject, celui qui s’attaque à la jeunesse, au savoir et à l’éducation. 

    Il s’associe à la douleur des nombreuses victimes de l’attaque contre l’Université de Garissa et présente ses condoléances au Président du Kenya, Uhuru Kenyatta. 

    La France se tient aux côtés des autorités kenyanes et est prête à coopérer avec elles dans la lutte contre le terrorisme.

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  • L'UMP donne le top départ de la primaire pour 2017

    La charte adoptée à l'unanimité par le groupe de travail dirigé par Thierry Solère doit être validée aujourd'hui par le bureau politique de l'UMP.

    Les rivaux de Nicolas Sarkozy qui le soupçonnaient de vouloir enterrer la primaire ont dû l'admettre: le patron de l'UMP n'a pas usé de ses prérogatives pour détourner à son profit le processus de désignation du candidat de la droite et du centre à la présidentielle de 2017. «Ceux qui réclamaient la primaire au départ ne lui trouveront peut-être pas le même charme à l'arrivée, mais elle s'imposera à tous», ironise Brice Hortefeux dans Le Journal du dimanche.

    Le projet de charte soumis cet après-midi au bureau politique a été adopté à l'unanimité par le groupe de travail animé par Thierry Solère et qui regroupe des représentants de tous les candidats déclarés ou potentiels, sauf deux: Nathalie Kosciusko-Morizet et Laurent Wauquiez, respectivement vice-présidente déléguée et secrétaire général du parti. NKM a fait savoir qu'elle jugeait trop élevé le nombre de parrainages de parlementaires demandé pour se présenter à la primaire. Il en faut au moins 25 pour valider une candidature, alors que 13 suffisaient lors de l'élection à la présidence de l'UMP.

    Fillon ne trouve rien à redire

    Invité dimanche du «Grand rendez-vous i-Télé-Le Monde-Europe 1», Thierry Solère a rappelé qu'entre les députés, les sénateurs et les eurodéputés, l'UMP comptait «près de 400 parlementaires». «Après, on peut discuter le trait du crayon, 25, 20, on verra bien», a concédé le député des Hauts-de-Seine.

    Mais pour lui, la primaire ne peut pas être «uniquement un tour de chauffe». «Si vous n'arrivez pas à convaincre 25 parlementaires de votre famille politique que vous êtes un candidat à la présidence de la République, a-t-il estimé, ce sera difficile de convaincre une majorité de Français.» Proche de Bruno Le Maire, Thierry Solère s'est par ailleurs déclaré «certain» que l'ex-ministre de l'Agriculture sera candidat à la primaire.

    Sur la question des parrainages de parlementaires, Xavier Bertrand devrait joindre sa voix à celle de NKM. Candidat déclaré à la primaire, l'ex-ministre de la Santé juge lui aussi la barre trop haute. Le député maire de Belfort, Damien Meslot, son représentant dans le groupe Solère, n'en a pas fait un casus belli. Il a préféré «préserver l'esprit de cohésion qui a prévalu pendant tous les travaux» plutôt que de «faire la guerre». «Un chiffre entre 15 et 20 serait préférable, explique-t-il au Figaro. Ce serait assez pour éviter les candidatures farfelues, et pas suffisamment élevé pour ne pas donner l'impression que la primaire est réservée à deux ou trois candidats. Mais on a décidé d'un commun accord que ce serait au bureau politique de trancher.»

    François Fillon, lui, ne trouve rien à redire aux propositions du groupe de travail. En déplacement en Jordanie, il ne participera pas au bureau politique, mais il a fait savoir que le projet de charte, «préparé de façon collective», lui convenait. Édouard Philippe, député maire du Havre et représentant d'Alain Juppé au sein du groupe, n'a pas non plus émis d'objection. Représenté par le député de la Manche Philippe Gosselin, qui a également approuvé le projet de charte, Hervé Mariton juge qu'il répond «globalement» aux conditions requises pour réussir une «primaire ouverte», mais souhaiterait des «précisions».

    Source : Le Figaro :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuklFukEpuCxdDyBZV.shtml

  • Axel Tisserand : « Un état fort est respectueux du pays réel »

    Essayiste et historien, Axel Tisserand a publié Charles Maurras, soixante ans après et une biographie de Pierre Boutang.

    Monde et vie : Axel Tisserand, les notions de droite et de gauche vous paraissent-elles avoir un sens aujourd’hui ?

    Axel tisserand : A l’origine, la droite, c’est, au début de la Révolution, la place occupée par rapport au président de la Constituante, par les députés royalistes favorables à un exécutif fort, incarné par le Roi, dont le droit de veto n’était plus qu’un succédané de l’indépendance. Dès lors, en système républicain, seuls les royalistes incarnent théoriquement la « droite ». Mais avec le temps et son reniement progressif de la figure du roi, la droite parlementaire a perdu toute identité et donc toute légitimité : elle ne se définit plus que par rapport à la gauche, qui représente le mouvement perpétuel et a imposé son ordre moral. On dira qu’aujourd’hui la gauche a rejoint les valeurs du libéralisme. Justement ! Les libéraux ont méthodiquement sapé la Restauration, puis une Monarchie de Juillet qu’ils avaient pourtant portée sur les fonts baptismaux. Le libéralisme libertaire n’est qu’un retour à une gauche authentique, longtemps occultée par le marxisme, maladie infantile du libéralisme - leur origine matérialiste et consumériste est la même. S’il s’agit d’évoquer l’UMP et le PS, l’opposition entre une droite et une gauche également européistes, oligarchiques et mondialistes n’a effectivement aucun sens. Revenir aux notions fondamentales implique de dépasser les faux clivages qui engraissent le pays légal.

    Vous avez écrit une biographie du philosophe royaliste Pierre boutang. Lui-même estimait que « notre société n’a que des banques pour cathédrales ; elle n’a rien à transmettre qui justifie un nouvel « appel aux conservateurs ». » Comment se positionnait-il par rapport aux conservateurs ?

    Les conservateurs - « un mot qui commence mal » pour le duc d’Orléans - dégoûtaient profondément Pierre Boutang. Il voyait dans ces adeptes de la peau de chagrin l’incarnation de l’imposture. Si de cette société minée par l’usure, « rien n’est à transmettre » et donc, à conserver, quel peut être le rôle des conservateurs, sinon de servir, comme au royaume-Uni avec Thatcher, de caution au règne de l’argent et à la dissolution de la société ? Thatcher a aidé, dans l’opposition, les travaillistes alors au pouvoir à légaliser l’avortement et c’est Cameron qui a dénaturé le mariage. L’oeuvre de mort de Giscard pour la France doit-elle être rappelée ? Dans son Précis de Foutriquet, Boutang rappelle que Thiers « avait inventé, sur le tas, la « république conservatrice » comme notre Foutriquet a inventé la « société libérale avancée ». » Boutang opposait évidemment aux conservateurs la figure révolutionnaire du Prince chrétien. Engagée au premier rang du printemps français de 2013, toute une jeunesse renie aujourd’hui les reniements de ses ainés. Espérons qu’elle aille jusqu’au terme de sa contre-révolution spontanée. d’ailleurs, où sont aujourd’hui les conservateurs ?

    Que peut attendre de l’Etat un homme de droite ?

    Un homme de droite ? Je ne le sais que trop bien, s’il est membre de l’UMP : l’effacement progressif de l’Etat français au profit du Léviathan européen, la forfaiture du traité de Lisbonne en 2008 puis celle du traité budgétaire européen en 2011, sans oublier au milieu le retour dans le commandement intégré de l’OTAN : trois traités de Troyes en trois ans, cela fait tout de même beaucoup ! Il n’y en a eu qu’un en mille ans de monarchie française. Et encore, Charles VI était fou : autant dire qu’il ne pouvait plus « raison garder » - la devise des Capétiens. En revanche, s’il s’agit d’évoquer l’Etat pour un royaliste, alors je rappellerai ce mot de Maurras ! « L’Etat est le fonctionnaire de la société ». Autant dire que le Prince est là non pas pour fonder la société qui lui préexiste, mais pour lui donner forme et dépasser, en les hiérarchisant, le faux clivage entre intérêt général et intérêts individuels - on sait comment, d’un côté, les libéraux et, de l’autre, les fascistes et les communistes, le résolvent : soit en donnant tout à l’intérêt privé, le public étant chargé de solder les comptes, soit en donnant tout à l’Etat ou au parti, censés « incarner », ou plutôt désincarner, la société : c’est la définition du totalitarisme. Alors que l’Etat est là pour assurer le Bien commun, qui peut prendre différentes formes selon les époques, tout en ayant le devoir de laisser la personne, créée à la ressemblance et à l’image de Dieu, faire son salut. En ce sens, l’ »homme de droite » est thomiste. Assurer les conditions vivre-ensemble, comme on dit aujourd’hui, sans empiéter sur les droits fondamentaux, qui sont avant tout d’ordre moral et spirituel. Les questions relatives au statut de la fonction publique, à l’Etat stratège ou au périmètre de son sont d’ordre simplement technique. Nos rois ont toujours fait preuve, en la matière, du plus grand pragmatisme. C’est ainsi qu’un royaliste ne sera ni favorable ni opposé, par principe, à une nationalisation ou à une privatisation : ne prévaut que la nécessité du moment. En revanche, il sera attaché à une véritable décentralisation - Maurras fut royaliste parce que fédéraliste - et au respect de l’autonomie éducative des familles. Un état fort est respectueux du pays réel.

    Quels peuvent être les rapports entre une vraie droite et le peuple ?

    Une vraie droite… C’est-à-dire, si je comprends bien, une droite qui aurait recouvré ses fondamentaux et, de plus, réussi à restaurer le Roi… « Je pense en principe chrétien, j’agis en prince français » : telle est la devise du dauphin de France. Le reste viendra par surcroît. En attendant, il s’agit de tenir, aux Français, un discours de vérité. C’est la seule façon d’être démocrate, ou plutôt démophile.

    Propos recueillis par Eric Letty monde&vie de décembre 2014

    Boutang, coll. Qui suis-je ? éd. Pardès, 2013, 12€

     

    Charles Maurras, soixante ans après, éd. Pierre Téqui, 2013, 20€

  • Chrétiens d’Orient : la RATP cède à l’indignation générale

    Face à la polémique suscitée par la censure de l’affiche des Prêtres, la RATP a finalement accepté que soit rétablie la mention « chrétiens d’Orient » sur une nouvelle campagne d’affichage.

     

    La polémique a enflé durant tout le weekend pascal . La censure de la mention « chrétiens d’Orient » sur une affiche de concert par la RATP a déchainé les réseaux sociaux et indigné les politiques de tous bords, au point que lundi soir, l’entreprise publique finisse par céder, acceptant de rétablir l’affiche initiale. C’est le sénateur écologiste Jean-Vincent Placé qui a annoncé le premier la nouvelle sur son compte twitter : « Merci à @GroupeRATP et son président #pierremongin qui vient de m’appeler : la mention #ChretiensdOrient sera rétablie sur les affiches ». « Les nouvelles affiches concernant le concert du choeur des prêtres du 14 juin prochain comporteront bien évidemment la mention ‘En faveur des chrétiens d’Orient’ » a confirmé le président de la RATP Pierre Mongin dans un communiqué.

    Auparavant, Manuel Valls en personne avait appelé sur twitter la société de transports publics à « assumer ses responsabilités ». « Stop aux débats stériles ! Soutenons les chrétiens d’Orient, victimes de la terreur obscurantiste. La RATP doit assumer ses responsabilités », a écrit le Premier ministre sur son compte Twitter. [....]

    La suite sur Le Figaro.fr

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Chretiens-d-Orient-la-RATP-cede-a

  • Communiqué de Vendée Militaire : Le samedi 18 avril prochain Journée vendéenne à Valanjou

    Organisée par la Vendée Militaire, une journée vendéenne, ouverte à tous, aura lieu à Valanjou le 18 avril prochain. A Gonnord et Joué-Etiau, on entretient jalousement le souvenir de Jean Onillon, l’aîné, de Jean Onillon, le jeune et de Jeanne Albert, veuve de François- Michel Gelineau qui achetèrent comme bien national, en 1798, le château, les terres et deux métairies de La Grue, domaine dans la fameuse enclave qui porte le même nom.

    Ces biens furent restitués par ces mêmes acheteurs, en 1801, à la famille du Verdier de Genouillac qui possédait cette terre depuis le début du XVIIIes. Pour rappeler cet acte de désintéressement, une plaque commémorative sera apposée sur la mur de La Grue, près du porche d’entrée. Voici le programme de cette journée de la mémoire : 10h00 les parti- cipants se retrouveront sur le parking autour de l’église de Gonnord, puis début de la pro- menade-découverte avec arrêt à La croix des martyrs (route de la Salle de Vihiers) ; La Galonnière, ancienne demeure de la famille de Dommaigné ; l’oratoire des Rebretières. A 12h30, un déjeuner original sera servi au restaurant Les Cerfs de La Fardellière. A 15h00,

    inauguration à La Grue de la plaque commémorative, suivie d’une évocation sur l’histoire de La Grue et des familles Gelineau, Albert et Onillon. 15h30 mairie de Valanjou, accueil par le maire M. Briodeau qui présentera sa commune, puis 204eveillée vendéenne, ani- mée par Dominique Lambert sur le thème : Gonnord et Joué-Etiau pendant la Révolution et les guerres de Vendée. Vin d’honneur pour terminer la journée. Un livre sur l’histoire de la Grue et des soldats et victimes de Valanjou sera disponible ce jour-là. Tirage limité, il est bon de retenir son exemplaire.

    Renseignements et réservations : Vendée Militaire, 2 avenue de la gare, 49123 Ingrandes. Tel : 02.41.39.25.36

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Communique-de-Vendee-Militaire-Le

  • M. Sapin : venez sur les bancs de mon école d’économie

    Avant d’invectiver les entrepreneurs, vous devriez peut-être vous poser des questions sur votre propre logiciel.

    Monsieur Le Ministre,

    Je vous ai écouté vendredi dernier sur une grande antenne de radio, et on sent bien que vous vous impatientez. Au petit matin, vous avez largement tancé un entrepreneur qui vous interpellait sur la croissance soi-disant retrouvée.

    Votre réponse en a laissé plus d’un pantois. Comme si les entreprises privées se laissaient aller aux délices de la prospérité paresseuse, vous lui avez demandé – ou plutôt exigé de lui – qu’il investisse. Vous l’avez même accusé de ne pas avoir changé de logiciel comptable, car il avait l’outrecuidance de se plaindre de ne pas ressentir la baisse des charges annoncée !

    C’est vrai, pourquoi nos entreprises n’investiraient pas ? À vous entendre, grâce à votre politique économique, nous avons retrouvé un « bon niveau de taux de marge ».

    Allez, Monsieur le Ministre, prenez quelques jours et venez sur les bancs de mon école d’économie.

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  • Mgr Gollnisch : "Inventons la laïcité du XXIe siècle"

    Excellente intervention du directeur général de l'Oeuvre d'Orient, Mgr Pascal Gollnisch, de retour du Kurdistan, sur la décision de la RATP, la laïcité à la française, le communiqué de l'Elysée qui ne mentionne pas que les victimes kenyanes sont chrétiennes...

    Pour faire un don à l'Oeuvre d'Orient, c'est par ici.

    Louise Tudy