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  • (Esclavage aujourd’hui) Grande-Bretagne : 1 400 mineures blanches violées par des criminels pakistanais protégés par les autorités

    « Personne ne connaît l’ampleur de l’exploitation sexuelle qu’ont subi des enfants à Rothertham à travers les années » a précisé Alexis Jay, auteur d’un rapport sur la mise en esclavage de plusieurs centaines d’enfants blancs par des gangs criminels pakistanais durant plus de quinze ans à Rotherham. Les menaces des familles des criminels, comme la peur et la honte des Blancs agressés et les mensonges des autorités ont empêché de dresser un bilan exhaustif des crimes racistes commis contre les Blancs par les occupants de la Grande-Bretagne. L’enquêtrice a reconnu que, les plaintes de nombreuses victimes ayant été ignorées par la police, il a été impossible de retrouver la trace de nombreuses blanches violées.

    Selon les chiffres obtenus, 1.400 enfants mineurs ont été victimes de viols entre 1997 et 2013 à Rotherham, dans le nord de l’Angleterre. Les Pakistanais ont commis contre ces Européens d’innombrables crimes parmi les plus odieux ; certaines ont été contraintes à se prostituer, ont été « prêtées » à des réseaux de criminels étrangers opérants dans d’autres villes.

    « Des enfants ont été aspergés d’essence puis menacés d’être enflammés, ont été menacés avec des armes, ou encore ont été forcés d’être témoins de viols très violents ».

    D’autres ont été « victimes de viols collectifs, d’échanges avec d’autres villes du nord de l’Angleterre, enlevés, battus et intimidés ». Les plus jeunes filles identifiées avaient onze ans.

    Ces crimes ont été commis avec la complicité des autorités. La police a reçu de nombreuses plaintes sans jamais enquêter ; les faits ont fait l’objet de trois rapports officiels, que les services de Rotherham ont ignoré ou censuré.

     

    Les victimes blanches ont subi le véritable racisme antiblanc du système. Le professeur Alexis Jay note que la police a « considéré un grand nombre de ces victimes avec mépris ». Certains fonctionnaires complices des racistes antiblancs ont « fait part de leur nervosité à identifier les origines ethniques asiatiques des auteurs présumés, de peur de passer pour raciste ».

    À ce jour, seuls cinq criminels pakistanais ont été condamnés à de légères peines de prison ; aucun des fonctionnaires ni des élus de Rotherham – ces derniers s’étant contentés de présenter leurs « excuses à ceux qui ont été abandonnés alors qu’ils avaient besoin d’aide » n’ont été poursuivis. Aucun n’a fait l’objet de salutaires mesures de justice populaire.

    La mairie de Rotherham était dirigée par des travaillistes, la version britannique de la gauche marxiste ; le maire Roger Stone a annoncé sa démission après la parution de ce quatrième rapport. Outre les criminels marxistes, les esclavagistes bénéficiaient de l’appui de certains des leurs au sein de la municipalité, comme celui de Jahangir Akhtar, qui a sciemment caché les faits, sachant que ses coreligionnaires ciblaient des enfants blancs.

    Il est à noter que la totalité des médiats francophones qui ont évoqué l’affaire ont masqué le caractère raciste antiblanc des criminels Pakistanais, présenté en France comme des « Asiatiques », alors que ces faits sont très clairement présentés ainsi par les médiats du système britannique comme The Guardian.

    Source : JN

    http://www.contre-info.com/grande-bretagne-1-400-mineures-blanches-violees-par-des-criminels-pakistanais-proteges-par-les-autorites#more-34221

  • Pologne : la gauche disparaît

    Lors du 1er tour des élections présidentielles en Pologne dimanche 10 mai, 3 candidats de droite sont arrivés en tête, tandis que la gauche a été proprement éliminée :

    • 1er le candidat de Droit et Justice avec 35% (le parti du défunt Lech Kaczyński)
    • 2è Plate-forme civique avec 33% pour le président sortant (démocrate chrétien proeuropéen)
    • 3è 20% pour l'indépendant Paweł Kukiz droite nationale (il s'est fait remarqué pour son opposition à la fécondation in vitro et à l'adoption par des homosexuels).

    Magdalena Ogorek, candidate soutenue par l’Alliance de la gauche démocratique (SLD) mais qui se voulait la représentante de toute la gauche, a recueilli 2,4% des suffrages. 

    Le 2è tour aura lieu dimanche prochain entre les 2 candidats arrivés en tête.

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Esclavage : aujourd’hui la repentance, demain les réparations ?

    Inauguration du Mémorial ACTe sur l’esclavage : au delà de la repentance hémiplégique habituelle, se dessine la possibilité de réparations. La preuve, Hollande l’a exclu.

    La grand-messe de la repentance sur la traite négrière s’est tenue hier. C’était la journée nationale de commémoration de la traite et de l’abolition de l’esclavage. François Hollande a inauguré, à Pointe-à-Pitre en Guadeloupe Mémorial ACTe, centre caribéen d’expressions et de mémoire de la traite et de l’esclavage. Le plus grand centre au monde consacré à la question a coûté au contribuable la bagatelle de 80 millions d’Euros, un argent que les Guadeloupéens auraient peut-être préféré voir investi dans des activités plus rentables pour l’île en crise.
    Au delà de l’exercice désormais traditionnel de repentance sur le commerce triangulaire, on entend toujours aussi peu de bonnes âmes sur la traite des blancs par les Barbaresques ou sur la traite des Africains par d’autres Africains ou des Arabes (dont la rédaction avoue ne pas savoir si elles sont abordées par le mémorial ACTe…).

    L'esclavage à enseigner aux enfants

    Musée DA SILVA – L’esclavage à enseigner aux enfants – Porto Novo – Bénin

    On n’a pas non plus entendu François Hollande rappeler le respect de la dignité humaine lors de son voyage en Arabie saoudite, sujet sûrement trop sensible chez ce partenaire économique de la France qui monte en puissance. Pas un mot enfin sur la traite d’esclaves sexuelles, principalement chrétiennes, par les troupes de l’État Islamique. Le seul lien avec l’actualité fait par François Hollande concernait les trafiquants et passeurs d’immigrés clandestins en Méditerranée, ce qui lui a valu en substance d’être traité d’imbécile par sa ministre de la justice. On en a démissionné pour moins que ça, mais au vu du silence radio sur l’épisode, il semble que l’immunité totale reste acquise à Christiane Taubira.

    L’autre couac est venu du CRAN : Le Conseil Représentatif des Associations Noires de France a annoncé par l’intermédiaire de son président Louis-Georges Tin avoir assigné en Justice le baron Ernest-Antoine Seillière pour « crime contre l’Humanité et recel de crime contre l’Humanité ». L’association communautariste accuse l’ancien président du Medef de jouir d’une fortune forgée grâce à la Traite négrière. Louis-Georges Tin a souligné que « Les descendants des esclavagistes ne sont pas coupables, mais ils sont bénéficiaires et leur fortune est faite de biens mal acquis », ajoutant « Et en refusant toute réparation, ils deviennent solidaires de fait du crime dont ils essaient de se démarquer en vain ». En parallèle, la section CRAN Guadeloupe a assigné la France en personne pour les mêmes chefs d’accusation.

    Dans le droit français, les crimes contre l’humanité sont imprescriptibles, ce qui en théorie rend la plainte valide. Il n’est donc pas absurde qu’elle aboutisse, au besoin avec l’appui des cours européennes de justice, toujours promptes à créer ce type de précédent jurisprudentiel.
    Preuve supplémentaire de la crédibilité de cette plainte : François Hollande excluait au même moment dans son discours toute indemnisation relative à l’esclavage…

    http://fr.novopress.info/

  • Droit d’asile : quand l’enfer est pavé de bonnes intentions

    Le président-dictateur général de Bruxelles, qui fait la pluie et le beau temps en Europe, propose d’imposer des quotas d’accueil aux pays européens.

    À première vue, la tribune de Bernard Cazeneuve parue dans Le Figaro d’hier sous le titre « La réforme du droit d’asile ne peut plus attendre » pourrait passer pour un retour au réel. La lecture de son texte montre qu’il n’en est rien, alors que, de son côté, Jean-Claude Juncker propose des quotas obligatoires d’accueil aux pays d’Europe.

    Cazeneuve constate le drame humain qui se joue en Méditerranée, et le relie assez lucidement au chaos libyen. Il poursuit en ces termes : « Ni l’Europe ni la France ne peuvent rester aveugles à cette réalité. C’est pourquoi il est plus que jamais urgent de moderniser notre système de l’asile, afin de nous donner les moyens d’accueillir sereinement ceux qui relèvent de notre protection. » Et c’est là que les choses se gâtent.

    Car le ministre se garde de définir ceux qui ont besoin de notre protection… Évoquant ensuite la saturation des centres d’accueil, de même que l’allongement du délai de traitement des procédures administratives, il ne propose évidemment pas une politique de fermeté, mais une « solution » typiquement socialiste : le gouvernement « a créé 4.000 places supplémentaires en CADA en deux ans et se fixe l’objectif d’en ouvrir 5.000 de plus d’ici à 2017, afin que ce type d’hébergement soit enfin la norme pour les demandeurs d’asile accueillis en France. » En clair, face à la déferlante migratoire (que, sans crainte de la contradiction, le ministre réfute par ailleurs), ouvrons plus grand les guichets d’accueil.

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  • [Radio Courtoisie L’action française, ce soir sur Radio Courtoisie à 18h

     

    Ce soir sur Radio Courtoisie à 18h, notre secrétaire général de l’Action Française Étudiante, Antoine Berth, interviendra dans l’émission de Charles de Meyer qui s’intitulera "Faut-il être républicain ?". Avec comme autres intervenants : le député Nicolas Dhuicq, la journaliste Eugénie Bastié, et Philippe Pichot-Bravard, professeur d’Histoire du droit et auteur d’un ouvrage récent sur la Révolution française.

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Radio-Courtoisie-L-action

     
     
  • Nigel Farage reste à la tête de l'Ukip

    Lu ici :

    Nigel_Farage_of_UKIP"Le comité exécutif de l'Ukip, parti que Farage a cofondé en 1993, n'entendait cependant pas se passer aussi longtemps de son charismatique leader : il a refusé d'entériner la démission de Farage, qui reste donc de fait à la tête du parti.

    "Comme promis, Nigel Farage a remis officiellement sa démission en tant  que leader de l'Ukip au parti. Elle a été refusée à l'unanimité par les  membres du comité (...) Sur ces bases, Nigel Farage a retiré sa  démission et reste président de l'Ukip"

    Nigel Farage va désormais concentrer ses efforts pour que le référendum sur la sortie de la Grande-Bretagne de l'Union européenne promis par le premier ministre David Cameron pour 2017 soit organisé plus tôt, « avant Noël 2015 », réclame-t-il.

    Philippe Carhon http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Contre le confusionnisme de gauche : pourquoi il n’y a pas de fascisme français

    Parmi les inversions accusatoires habituelles de la soi-disant gauche radicale [1], l’accusation de confusionnisme est très utilisée contre les patriotes, sous-entendant sans jamais le démontrer, que le camp national mélange tout, pour créer une confusion chez celui qui écoute son discours. Mais cette même extrême gauche ne s’embarrasse jamais de subtilités lorsqu’il s’agit de qualifier ses adversaires, qui sont nécessairement d’extrême droite et fascistes.

    Les communistes, dès avant la Seconde Guerre mondiale, ont accusé tous ceux qui n’étaient pas d’accord avec eux de fascisme, y compris, par exemple, le Général De Gaulle. L’extrême gauche a conservé cette habitude.

    Mais lorsqu’on est sérieux, on sait que le nationalisme au singulier n’existe pas, et qu’il existe de nombreux courants, souvent très différents d’un pays à un autre. En France il y a essentiellement ainsi diverses tendances, très différentes.

    Les Contre-révolutionnaires

    Il existe tout d’abord les Contre-révolutionnaires, autour de Joseph de Maistre et de Louis de Bonald, dont l’objet principal est la critique de la révolution de 1789 comme destruction des solidarités historiques que sont la corporation (loi Le Chapelier, fondement historique de l’interdiction des syndicats ouvriers), la paroisse, la province, et la monarchie, protectrice des corporations et stabilisatrice du prix des matières premières, contre la spéculation défendue par les libéraux. Globalement cette tendance n’existe plus qu’à titre de témoignage culturel et a été phagocytée par la suivante.

    L’Action française

    L’Action française est le second grand mouvement de la droite nationale française. Elle se structure autour de Maurice Pujo et de Henri Vaugeois, qui sont plutôt des républicains de gauche, mais qui formulent une critique de la IIIème république, en tant que traîtresse à ses promesses [2]. Il y a aussi durant cette période de nombreux scandales financiers, et la critique de l’anglophilie des milieux d’affaires perçue comme une trahison de l’intérêt national. Ce à quoi Charles Maurras, dans Enquête sur la monarchie, va répondre que la défense des intérêts de la nation [3], passe par le rétablissement de la royauté qui avait défendu les intérêts de la France, au moins jusqu’à Louis XIV [4]. C’est aussi un mouvement très régionaliste [5], décentralisateur. D’ailleurs, l’un des axes de pensée de Maurras est son fameux « l’autorité en haut, les libertés en bas », ce qui explique sa critique de la politique centralisatrice menée par les Jacobins. Avant la guerre de 14, c’est un mouvement très porté sur la question sociale, qui un temps entretiendra des relations avec le milieu syndicaliste révolutionnaire [6] d’Édouard Berth [7] et Georges Sorel [8], au sein du Cercle Proudhon [9].

    Le troisième grand courant de la droite nationale française naît dans les années 60, d’abord autour de Dominique Venner et de son Pour une critique positive10. Il lancera une revue, Europe-Action, qui veut surtout rompre avec les traditions de la droite nationale classique. C’est un mouvement européiste, non francocentré, païen, anti-catholique, rejetant la thématique de l’Algérie française, et plutôt raciste à ses débuts.

    Les nationalistes révolutionnaires

    A partir de là se formeront deux tendances, les nationalistes révolutionnaires, autour de François Duprat surtout, dont Christian Bouchet fut longtemps un représentant. Très vite ce mouvement rompt avec le racisme pour passer à l’ethno-différentialisme, c’est à dire l’idée d’une nécessité de la préservation de tous les peuples, à égalité de dignité, ce qui s’oppose évidemment au racisme qui hiérarchise les races. C’est aussi en France la naissance d’une droite nationale anti-sioniste11, et tiers-mondiste, défendant par exemple le nationalisme arabe ba’assiste ou nasserien.

    Le GRECE

    L’autre mouvement qui découlera d’Europe action est moins politique, plus métapolitique, c’est le GRECE12. C’est un mouvement païen, euro-fédéraliste, ethno-différentialiste, tiers-mondiste13, anti-libéral et anti-communiste, assez anti-américain, très inspiré de Nietzsche, de la Révolution Conservatrice Allemande14, la figure centrale de ce mouvement étant Alain de Benoist. C’est aussi un mouvement qui défend particulièrement la démocratie directe. D’ailleurs son ethno-différentialisme est très teinté de culturalisme. L’intégration à une nation passe pour lui plus par l’adhésion à une culture qu’à une appartenance biologique. De Benoist a d’ailleurs écrit trois livres contre le racisme, et même appelé l’un d’eux, tout simplement « contre le racisme ».

    Le poujadisme

    Entre temps, il y avait eu le poujadisme, qui est avant tout une contestation du système fiscal en défaveur de la libre entreprise, et une lutte contre la IVème république. Son principal défaut était que Pierre Poujade n’a jamais voulu de théorisation. Alors qu’en Allemagne, l’Ordoliberalismus15 porté par l’aile sociale de la CDU-CSU et le droite agrarienne scandinave ou suisse en est un équivalent tout à fait sérieux.

    La droite bonapartiste

    Il y a aussi en France la droite bonapartiste telle que définie par René Rémond, qui se définit surtout par son caractère plébiscitaire, sa méfiance envers les parlementaires qui privent le peuple de la parole politique. On retrouve cette mouvance autour du Général Boulanger, de certaines ligues des années 30 comme les Croix de feu16, ou plus tard De Gaulle, dont les dernières incarnations ont pu être Philippe Seguin, Jacques Chaban-Delmas ou d’une certaine façon Chevènement prolongeant la synthèse des gaullistes sociaux de l’UDT17. Actuellement, c’est surtout représenté par ce qu’on appelle les souverainistes.

    L’absence de fascisme français

    Depuis Zeev Sternhell18, traîne l’idée approximative de l’origine française du fascisme. Or, en y regardant de près, la définition du fascisme de Sternhell est qu’il s’agit de toute idéologie n’étant ni libérale, ni marxiste, et que le point central du fascisme, est le rejet de l’héritage philosophiques des Lumières. Évidemment, avec une définition si large, à peu près tout en dehors du libéralisme et du marxisme y rentre.

    Si on veut faire une définition rigoureuse du fascisme, c’est un mouvement centralisateur19 anti-marxiste, certes capitaliste, mais contre l’usure20 21 et anti-électoraliste22 23. En dehors de très éphémères expériences dans l’entre-deux-guerres24 ou durant la seconde guerre mondiale, le bref panorama dressé plus haut montre qu’aucun mouvement significatif en terme de membres, peut à proprement parler être qualifié de fasciste au sein de la droite nationale française.

    Toute qualification de fascisme d’un mouvement patriotique français est avant tout une stratégie de reduction ad mussolinium et donc ad hitlerum, mais ne répond à aucun souci de rigueur ou d’honnêteté intellectuelle.Notes

    [1] Il s’agit ici essentiellement de la gauche sociétale, issue de la deuxième gauche, née autour de la revue Telos aux États-Unis.

    [2] Le fameux liberté, égalité, fraternité.

    [3] Sur une définition assez proche d’Ernest Renan et de son « Qu’est-ce qu’une nation ? », et certainement pas « völkisch », ce qui s’explique, vu la germanophobie de Maurras.

    [4] Marion Sigaut explique très bien comment les expériences économiques des physiocrates, ancêtres des libéraux, sont une explication à la chute de la monarchie. http://www.dailymotion.com/video/xy17ze_alain-soral-marion-sigaut-comprendre-les-lumieres-1-2_news

    [5] Maurras était proche d’Alphonse Daudet dans sa jeunesse.

    [6] Le syndicalisme révolutionnaire est un courant du socialisme, s’opposant au marxisme sur la question du sens de l’histoire. Si Marx croit en un sens de l’histoire, Sorel, en héritier de Nietzsche, a plutôt une vision cyclique du temps, et rejette les visions téléologiques de l’histoire.

    [7] Cf. Les Méfaits des intellectuels, éditions Kontre Kulture. Berth souhaitait faire une synthèse entre les pensées de Maurras et de Sorel suivant le schéma Apollon et Dionysos, Apollon étant Maurras, le grand classique et Dionysos, Sorel, le romantique. Cf Édouard Berth ou le socialisme héroïque (Sorel – Maurras – Lénine), Alain de Benoist, édition Pardès. Après une brouille avec Valois vers 1917, il se rapprocha de Henri Barbusse et de la revue Clarté, avant de revenir au syndicalisme-révolutionnaire, par déception de l’expérience soviétique, ayant déjà perçu ses dérives autoritaires. De même il fut toujours très hostile à Mussolini pour excès d’étatisme.

    [8] Cf. Textes choisis, réunissant Réflexions sur la violence, Les Illusions du progrès et La Décomposition du marxisme, éditions Kontre Kulture. L’une des idées centrale de son œuvre est la défense d’un mythe mobilisateur, celui de la grève générale, opposant la mauvaise force de l’État à la bonne violence de la révolte prolétarienne.

    [9] Cf. Les Cahiers du Cercle Proudhon, éditions Kontre Kulture.

    http://www.eraquitaine.fr/contre-le-confusionnisme-de-gauche-pourquoi-il-ny-a-pas-de-fascisme-francais/

  • Jean-Marie Le Pen va créer une formation qui ne sera pas concurrente du FN

    Jean-Marie Le Pen était ce soir l'invité de Henri de Lesquen sur Radio Courtoisie. Voici quelques uns des ses propos relayés en partie sur son compte twitter :

    "Marine Le Pen est devenue la prisonnière de gens qui se sont rendus indispensables. Pour Florian Philippot, Marine Le Pen n'est plus que quelqu'un dont on se sert. Je ne veux pas que le Front national devienne l'aile droite d'une majorité pour que Florian Philippot devienne ministre. Je suis attristé de cette situation. Je pense que Marine Le Pen a de grandes valeurs, de grandes qualités.

    Je ne vais pas créer un autre parti. Je vais créer une formation qui ne sera pas concurrente du FN. Un parachute contre le désastre qui recueillera ceux qui sont indignés par la ligne actuelle du FN dans le but de peser pour rétablir la ligne politique qui est celle qui a été suivie depuis des décennies. Je suis un poisson combattant, par conséquent, je me battrai tant que j'en ai la force.

    Il faut voter FN, il faut essayer de corriger les erreurs qui ont été commises dans notre propre camp. Il faut que Marion Maréchal Le Pen se présente. Je pense que Marine Le Pen devrait le faire également dans le Nord.

    Si Marine Le Pen retrouve les chemins de la liberté de penser, tout est encore possible. Je voterai pour Marine Le Pen en 2017 si sa ligne est celle du FN officiel."   

    Selon le Figaro :

    "Cette «formation» envisagée par le président d'honneur du Front national devrait porter le nom d'Association des amis de Jean-Marie Le Pen. La structure, qui ne serait pas envisagée sous la forme d'un parti politique, ne sera aucunement liée au FN ni au Rassemblement Bleu Marine. Aucun accord ou alliance ne serait envisagé en ce sens au sein du parti frontiste. Le projet de Jean-Marie Le Pen n'a pas étonné le député européen Bruno Gollnisch, qui a confirmé lundi soir au Figaro, avoir déjà échangé avec lui sur le sujet. Lui aussi confirme que le projet n'est pas envisagé dans l'esprit d'un parti politique concurrent. «Je l'ai même entendu l'exclure explicitement», précise Bruno Gollnisch en confirmant, par ailleurs, le souhait de Jean-Marie Le Pen de rassembler des sensibilités proches dans un courant de pensée fidèle à ses idées."

     

    Philippe Carhon http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html