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  • L’euthanasie sans demander votre avis ? Bienvenue en Belgique !

    Un article du Daily-Mail alerte sur l’inquiétant manque de contrôle des pratiques d’euthanasie en Belgique. Un constat que partage Joseph Junker qui souligne l’impunité de certains de ces actes infligés sans le consentement des victimes.

     

    Manifestation anti-euthanasie à Bruxelles en 2014. Crédits photo : Virginia Mayo/AP

    Le moins qu’on puisse dire, c’est que le contrôle de la pratique de l’euthanasie en Belgique n’en finit pas de faire parler de lui à l’étranger, et pas en bien.

    Samedi dernier encore, le grand quotidien populaire britannique Daily-Mail (second tirage du royaume) publie un article dévastateur à ce sujet, alors que le débat sur l’euthanasie fait rage des deux côtés de la manche. La raison ? La publication par le très sérieux Journal of medical ethics d’un non moins sérieux rapport académique sur la pratique de l’euthanasie en Belgique. Et le moins qu’on puisse dire, c’est que ses conclusions sont pour le moins inquiétantes pour les ressortissants du plat pays. Son auteur, le professeur Raphaël Cohen-Almagor de l’université de Hull ne mâche pas ses mots : « Les citoyens belges devraient être conscients de la situation actuelle, et savoir que leur vie peut en arriver au point où des médecins pensent qu’elle ne vaut plus la peine d’être vécue, et décider de mettre le patient à mort en l’absence de volonté contraire explicite ». Un peu plus loin, le rapport gratifie la Belgique d’un assassin : « les barrières de sécurité prévues par la loi sont inadéquates et insuffisantes », tandis qu’un opposant à la loi ajoute Ceci démontre, si les faits exposés sont corrects, que l’euthanasie en Belgique et ailleurs est complètement hors de contrôle et cela explique pourquoi je m’opposerai aux propositions de lois déposées au parlement britannique ».

    Mais ces faits sont-ils corrects ? Ce rapport scientifique n’est-il pas un peu alarmiste ? L’euthanasie est-elle vraiment hors de contrôle en Belgique alors que ce pays vient de l’élargir aux mineurs ? Une telle dérive, des euthanasies non-consenties seraient-elles donc possibles bien qu’un cadre légal existe pour indiquer précisément ce qui est permis et ce qui ne l’est pas ? [....]

    La suite dans Le Figaro.vox

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?L-euthanasie-sans-demander-votre

  • La pensée libérée : les intellectuels entre réveil et lâcheté

    L’intellectuel était une espèce disparue, ou controversée, depuis que ces phares de la pensée formatée que sont BHL, Minc ou Attali l’eurent écrasé de leurs grosses pattes pleines d’argent.

    La pensée unique a volé en éclats et les fatwas des puritains ne terrorisent plus personne. Il n’est plus une semaine sans que le gouvernement ne reçoive sa volée de bois vert de la part d’intellectuels en appelant à la défense des chrétiens d’Orient, à l’interdiction de la GPA, à l’annulation de la réforme du collège ou, comme dans le dernier numéro (mai-août 2015) de la revue Le Débat, en remettant les points sur les i à propos de la laïcité et de la manipulation Charlie.

    L’intellectuel était une espèce disparue, ou controversée, depuis que ces phares de la pensée formatée que sont BHL, Minc ou Attali l’eurent écrasé de leurs grosses pattes pleines d’argent et que les thuriféraires de l’idéologie antiraciste et autres épigones de l’œuvre dépassée de Foucault et Bourdieu dominaient les médias et l’université.

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  • Succès de la manifestation italienne pour défendre la famille

    La Manif Pour Tous se réjouit et se félicite de l’immense succès de la mobilisation populaire à Rome où une marée humaine arborant les célèbre drapeaux bleu, blanc et rose a défilé dans le calme et la détermination. Les familles sont venues de toute l’Italie pour dire non au projet de Matteo Renzi d’une union entre personnes de même sexe permettant l’adoption d’enfant.  Ludovine de La Rochère explique :

     « Il s’agit d’un mariage qui ne dit pas son nom et qui ouvre la porte à l’adoption pour les couples de même sexe. Il est urgent de bloquer ce projet pour l’intérêt des enfants qui ne doivent pas pouvoir être privés d’un père ou d’une mère ». « Bravo aux Italiens qui ont réussi une mobilisation historique que personne n’avait vu venir ! C’est un peu comme en 2012 en France lors du lancement du mouvement social contre la loi Taubira. Le succès italien d’aujourd’hui marque une étape importante dans la mobilisation pour bloquer la déconstruction de la société et le bouleversement de civilisation souhaité par un lobby LGBT aussi extrémiste et radical que minoritaire, y compris parmi les personnes homosexuelles ».

    Fort du succès de la manifestation, Jacopo Coghe, le Président de La Manif Pour Tous Italia, va venir en France dans les prochaines semaines pour rencontrer les élus pour évoquer avec eux la contestation qui monte en Europe contre l'idéologie du genre et déconstruction de la famille. Avec la France, et l’Italie, La Manif Pour Tous est aussi en cours de déploiement en Allemagne, en Finlande et dans d’autres pays de l’Union Européenne.

    Rome1

    Michel Janva

  • Last Rhodesian...

    On a vu une fois a plusieurs reprises ce qu’il arrive quand une ethnie prétend s’imposer et dominer les autres. Les 2 derniers sont Brevik en Scandinavie, et dernièrement un certain Dylan Storm Roof a Charleston, VA, USA.

    Eh oui, certains pètent les plombs, quand la "justice" de leur pays donne systématiquement raison aux "autres".

    Sans (bien sur, voyons !) cautionner ce genre d’incivilites, comme on dit quand ce sont des noirs ou des gris qui tabassent, egorgent, lapident etc, voici le site web de ce Dylan Storm Roof. Il devrait etre vite coupe par la bienpensance americaine...

    http://lastrhodesian.com/

    Il y a en fait 2 pages : Un texte en anglais dont voici un extrait plus bas, et un fichier de photos au format ZIP.

    Le probleme majeur a mes yeux est qu’aucun gouvernement ne semble vouloir comprendre la raison de ce genre d’incivilités ! Combien en faudra-t-il encore pour que les gens ouvrent les yeux sur le danger que representent certaines ethnies dans nos pays ?

    Allez, QUI osera "Je suis The Last Rhodesian" ? :)

    Extrait : Blacks

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  • ÉPINAL : RENCONTRE MILITANTE DE LORRAINE NATIONALISTE

    rencontre-epinal-lorraine-nationaliste-27062015.jpg

    À l’occasion des feux de la Saint Jean, Lorraine Nationaliste organise le samedi 27 juin 2015 à 16h une rencontre militante à Épinal.

    Projets d’avenir, grillades et camaraderie seront au rendez-vous !

    Entrée : 7€ par personne
    Contact et inscription : 06.47.96.52.03 / lorrainenatio@gmail.com

    – Covoiturages possibles depuis plusieurs départements –

  • CONTRE L’IMMIGRATION : SUCCÈS DE LA CONTRE-MANIFESTATION DE SAUVONS CALAIS

    Ce samedi était placé par l’extrême gauche sous le signe de l’aide à l’invasion de l’Europe, pour une prétendue « journée mondiale des réfugiés ». Plusieurs manifestations étaient organisées à travers le monde mêlant colons et extrémistes, unis dans un même désir de satisfaire aux ordres du mondialisme destructeur des nations et des identités.

    (Crédit photographique : Sauvons Calais)

    (Crédit photographique : Sauvons Calais)

    À Calais, le collectif citoyen Sauvons Calais a appelé les Calaisiens à contre-manifester, alors que plusieurs groupes d’extrême gauche et antifrançais organisaient une marche. Or, une manifestation de Sauvons Calais a été scandaleusement interdite il y a quelques jours sans raison par le gouvernement d’occupation.

    Malgré la présence d’environ 5 000 colons africains dans le secteur, l’extrême gauche n’a réussi à mobiliser qu’environ 500 d’entre eux, formant la quasi-totalité du cortège. Les Blancs y étaient très minoritaires, et les Calaisiens quasi inexistants.

    (Crédit photographique : Sauvons Calais)

    (Crédit photographique : Sauvons Calais)

    La contre-manifestation, organisée en hâte, a, elle, été un succès : une centaine de patriotes se sont rassemblés devant la mairie de la ville.

    « Pour une action prévue seulement quelques jours avant la date butoir et sans réelle organisation digne d’une manifestation, nous pouvons être satisfaits de la mobilisation »,

    s’est réjoui Sauvons Calais.

    « Bien avant notre arrivée, la place était déjà surveillée de très près par les forces de l’ordre. Le cortège de pro-clandestins et clandestins s’est dérouté, pour “esquiver” notre contre-manifestation, sous les ordres de la sous-préfecture de Calais. Tout s’est déroulé dans la bonne humeur, avec la présence de nombreux médias tels que TF1, Radio6, La Voix du Nord, France Télévision et bien d’autres. Nous avons également eu la fierté d’essuyer quelques insultes d’extrémistes de gauche, rapidement contrées par nos slogans très… pointus. Notre message est passé »,

    précise Sauvons Calais dans un communiqué.

  • François de BERNARD : L'emblème démocratique

    François de BERNARD : L'emblème démocratique

    Editions Mille et Une Nuits, ISBN 2-84205-321-4, 1998, 2 Euro.

    Nous n'avons pas affaire à une démocratie, nous dit François de Bernard, mais à un "gouvernement du petit nombre", dissimulé sous le masque de la démocratie. Le discours "démocratique" serait donc pur décorum, destiné à masquer une pratique oligarchique (Roberto Michels!), qui correspond à la domination de l'économie, qui atteint son apogée à l'ère de la globalisation voulue et forcée. Mais cette oligarchie à masque "démocratique" ne fonctionne que si elle garantit à tous un niveau de vie convenable et offre des perspectives d'avenir meilleur. A partir de 1975 environ, on a expliqué les ressacs visibles de l'économie par des "facteurs extérieurs", dont l'oligarchie ne pouvait être tenue pour responsable: le choc pétrolier (la faute aux Arabes!), les sacrifices exigés pour une unification européenne censée apportée ultérieurement tous les bienfaits, ensuite, même sacrifices exigés pour réussir la panacée des panacées : la globalisation. Or la globalisation doit abattre les barrières politiques (étatiques, protectionnistes, etc.) qui s'opposent à elle; par conséquent, elle doit rendre caduques bon nombre de lois, si bien qu'elle se rapproche insidieusement de la tyrannie, que Léo Strauss qualifiait à juste titre de "gouvernement sans lois", parce que non basé sur le consentement des peuples (et, ajouterions-nous, en conflit permanent avec les héritages historiques, quels qu'ils soient). Donc le fondement de la tyrannie en marche aujourd'hui n'est pas une forme ou une autre de dictature (personnelle ou commissariale, pour reprendre la terminologie de Carl Schmitt), mais un drôle de mixtum compositum de libéralisme sans frein (donc sans lois, donc tyrannique en bout de course) et de bureaucratisme dirigiste. 

    En apparence, ces deux piliers affichent des idéologies contradictoires, mais ont un point commun, nous explique François de Bernard, celui de briser sans scrupule aucun les résistances populaires pour atteindre les objectifs fixés. Il observe également que les concepts clefs de ces deux idéologies sont instrumentalisés tour à tour au gré des opportunités et de l'intérêt immédiat des oligarchies: tantôt on vante  —et on vend!— la flexibilité, tantôt une dose supplémentaire d'Etat dans un domaine bien circonscrit, tantôt une "troisième voie" à la Blair, etc. Les oligarchies dominantes détruisent, créent et recréent des lois, qu'elles défont ensuite, diffusant de la sorte un flou juridique constant qui laisse les citoyens, sujets théoriques du politique, complètement perplexes et désorientés. Le principe "nul n'est censé ignorer la loi" est désormais nul et non avenu : les lois existent parce qu'elles sont connues de tous, à partir du moment où il y a trop de lois, où il y a inflation de règlements, nous débouchons dans une situation de tyrannie, car cela équivaut à une absence de lois et celles-ci sont effectivement absentes si elles ne sont pas d'emblée dans la tête des citoyens. Xénophon : «La conséquence pratique de l'absence de lois, c'est l'absence de liberté». Un petit livre à lire, à méditer, pour ne pas être dupe, pour apprendre à nos interlocuteurs qu'il ne faut pas l'être.

    http://robertsteuckers.blogspot.fr/2015/05/embleme-democratique.html

  • POITOU-INFO - Rencontres-Charles-Martel 2015 : Hugues Bouchu

  • Une voulountà, un camin… par Bob LENISSART

    La langue est l’outil le plus perfectionné pour traduire l’âme d’un peuple, c’est pourquoi nous sommes très attentifs à tout ce qui se fait pour promouvoir et pérenniser notre langue.

    Dernièrement, nous avons, dans ce site [N.D.L.R.E.M. - Racines du Pays niçois], eu un entretien avec le président de l’A.P.L.R. (Association des professeurs de langues régionales) qui nous a dit la difficulté qu’il y avait pour installer l’enseignement de notre langue durablement dans le paysage scolaire. Dans notre pays niçois, quand bien même l’Éducation nationale ne reconnaîtrait que le terme d’occitan pour définir « la lenga nouòstra », nous n’avons aucun problème dans nos luttes et négociations pour employer le terme approprié de langue niçoise (lenga nissarda). Mais, il n’en est pas de même partout.

    C’est pourquoi notre association, Racines du Pays niçois (R.P.N.), s’est impliquée dès les prémices de la création, l’an dernier, de l’A.E.L.R. (Alliance européenne de langues régionales), alliance qui se veut être en pointe pour défendre toutes nos langues dans leur droit à exister, droit qui leur est, parfois, en certains endroits, contesté par ceux qui, loin de vouloir se développer cette diversité linguistique qui fait notre richesse, aimeraient bien tout normaliser, standardiser et imposer un modèle unique.

    Car les situations sont fort diverses ici et là, montrant des disparités criantes, entre langues dites minoritaires. À ce sujet, je voudrais faire une remarque en préambule pour dénoncer ces manipulations sémantiques qui ont tendance, par les qualifications dont on les habille, à déprécier nos langues par rapport à une « langue étatique nationale » (comme le français chez nous, ou l’italien chez nos voisins). Nous avons eu tendance depuis déjà pas mal de temps à réfuter ces étiquettes dévalorisantes que l’on applique à ces langues maternelles des pays à forte identité culturelle et historique. Que l’on en juge : langues minoritaires, langues régionales, dialecte, patois. Il n’y a qu’à ouvrir un dictionnaire pour se rendre compte que nos langues qui ont une grammaire et une syntaxe, un vocabulaire fort riche et qui n’ont pas été simplement des langages vernaculaires de base sont bien des langues qui furent largement utilisées par le monde des lettres et des sciences. Nous eussions préféré, pour notre part, et de loin le terme de langues enracinées (voire des langues populaires). Et nous défendons toujours ce point de vue à R.P.N. 

    Les situations étant fort différentes d’un territoire à l’autre au sein des « États-nations », situations souvent entretenues (voire bloquées) par ces États centralisateurs, il nous a semblé intéressant de porter le débat plus haut, au niveau de l’Europe. Nous avons constaté que ces « États-nations » cultivaient ce favoritisme injustifié en faveur de ceux qui leur ressemblait, en fait, quelque part dans leur volonté déclarée de standardiser toutes les langues apparentées et d’imposer une graphie unique bien peu connue et pratiquée par les gens du peuple. Il en va ainsi dans notre « République une et indivisible » hexagonale, à Paris, comme du côté de Rome ou de Madrid.

    Au bout d’une année de gestation, l’Alliance européenne pour les langues régionales a vu le jour et ses statuts ont été porté sur les fonts baptismaux lors de la fin de semaine des 11 et 12 avril 2015, à Maussane (dans les Alpilles), où nos amis provençaux nous accueillaient.

    De nombreuses délégations étaient présentes venue de France (Provence, Cévennes, Béarn, Gascogne, Languedoc), d’Italie (vallées provençales du Piémont, Naples), d’Espagne (Pays valencian), et bien sûr du Comté de Nice. Nous nous sommes mis d’accord sur le but de cette alliance, ses objectifs, sa façon de travailler et sur la volonté de l’ouvrir plus largement puisque pour cette première session il n’y avait pratiquement que des langues romanes. À la suite de la dernière journée de travail, il fut procédé à l’élection du bureau de l’A.E.L.R. et j’ai accepté le poste de vice-président pour le Comté de Nice.

    Naturellement, cette structure est ouverte aux autres associations nissardes et un autre poste est à pourvoir, pour notre Pays niçois, au sein du conseil d’administration.

    Cette Alliance aura pour vocation d’aller porter le débat au delà des « États-nations » qui ont tendance à bloquer les avancées de nos langues vers l’Union européenne. Nous nous sommes mis immédiatement au travail et de fructueux échanges ont déjà lieu sur nos réseaux.

    Nous ne pouvons que souhaiter longue vie à cette Alliance européenne pour les langues régionales. 

    Bob Lenissart

    • D’abord mis en ligne sur Racines du Pays niçois, le 1er mai 2015.

    http://www.europemaxima.com/