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  • L'escroquerie du soi-disant anti-racisme

    Communiqué de l'Agrif :

    "Les medias répercutent aujourd’hui des statistiques sur les délits anti-musulmans et antisémites. Mais rien sur les actes anti-chrétiens pourtant en augmentation exponentielle.

    Tout cela est pipé. D’une part on recense systématiquement au nombre des délits anti-musulmans ou antisémites tous les propos, spectacles et écrits souvent en effet susceptibles d’offenser la sensibilité des musulmans ou des juifs. En revanche, les spectacles les plus abominablement anti-chrétiens dans un flux ininterrompu d’obscénités blasphématoires, malgré leur charge de haine sont considérés comme relevant de la liberté imprescriptible de dérision, le droit au blasphème étant désormais présenté comme un des fondements de la laïcité. Peu importe ce que peuvent éprouver les chrétiens dont on ne cesse pourtant de persécuter ou martyriser ou exterminer tant de leurs frères en des terres dites d’islam.

    On peut donc comme à Bordeaux, une fois encore organiser une exposition ignoblement anti-chrétienne. Celle qui est en cours s’appelle « je vous souhaite d’être follement aimé ». L’AGRIF ne poursuit pas. Sûre hélas d’être coûteusement déboutée par une triste « justice ». Son président tient du moins à exprimer son plus total mépris pour les 16 soi-disant artistes, pauvres débiles obsédés, vautrés dans le glauque conformisme anti-chrétien le plus baveux.

    L’AGRIF observe combien le respect de la dignité de la personne humaine, que la loi devrait protéger, est bafouée en de pareils spectacles. Elle est évidemment attentive à relever tout acte d’indéniable violence directe contre les Français parce qu’ils sont Français, quelle que soit leur race et leur religion et contre les chrétiens quelle que soit leur origine ou Église parce qu’ils sont chrétiens. Dans ces cas, bien sûr, elle intentera les procédures qui s’imposent. L’AGRIF travaille aussi avec ses milliers d’adhérents pour que vienne un changement politique, médiatique et culturel, pour le respect du christianisme et des chrétiens à l’égal des autres citoyens."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/05/lescroquerie-du-soi-disant-anti-racisme.html

  • Alors Bruno?

    Par 32 voix pour sur 39, trois contre et quatre abstentions, le Bureau politique du FN a voté ce lundi une motion demandant aux deux députés siégeant dans cette instance, Bruno Gollnisch et Marie-Christine Arnautu, d’en démissionner. Contrairement aux consignes données, ils étaient en effet présents au  discours du 1er mai de Jean-Marie Le Pen, avec une  collègue élue au parlement européen Mireille d’Ornano. Celle-ci, tout comme le conseiller régional Philippe Chevrier (SD des Yvelines) également présent place des Pyramides,  a   été relevée de ses fonctions départementales. Le député européen FN a déclaré à l’Afp que « (ses) états de service (lui)  permettent de ne pas devoir répondre dans l’instant à une sommation avec le couteau sous la gorge. »  « Je vais consulter mes amis, prendre un certain nombre d’avis, voir mon emploi du temps, envisager toutes les implications de cette décision. » Sébastien Chenu  délégué national du RBM, affirme, rapporte Le Point,  qu’ « On peut difficilement imaginer qu’ils (Bruno et Marie-Christine, NDLR)  puissent continuer de siéger dans les instances de direction. » « C’est la fin d’une aventure. Marine Le Pen solde tout. » Tout solder ?  La formule est un peu maladroite !  Marianne rappelle que  « les deux « rebelles (sic) sont relativement populaires parmi les militants : à l’élection au comité central (du FN) fin 2014, sorte de baromètre interne, M. Gollnisch est arrivé 5e, Mme Arnautu 9e. » « M. Gollnisch a longtemps incarné un courant soucieux de continuité lepéno-lepéniste au FN face  à Mme Le Pen, qui faisait vœu de modernisation et d’aggiornamento »  ajoute encore l’article de  Marianne qui n’échappe pas ici à la caricature.

     Bruno a surtout  œuvré  aux côtés, à côté  et non « face » à Marine  pour le  développement du FN; quant aux  idées, aux  valeurs  qu’il défend,  elles ne sont pas plus passéistes ou clivantes  que les fondamentaux du FN, toujours d’une brûlante  actualité. Ils partagent aussi tous deux une conviction, à savoir que la vocation du FN n’est pas simplement d’être le premier  mouvement d’opposition  nationale au Système.  Bien plus que cela, il s’agit  de devenir majoritaire pour porter demain nos idées au pouvoir, ce qui est la finalité même du combat politique:  non pas simplement  témoigner mais gouverner!

    Interrogé  dimanche sur la possibilité d’être sanctionné pour sa participation  au dépôt de gerbe deJean-Marie Le Pen, Bruno Gollnisch avait indiqué  qu’il « (avait)  passé l’âge de craindre les punitions. »  Sa présence place des Pyramides était  une manière, c’est vrai, de rendre  un hommage au courage, à la pugnacité, à la  lucidité, au caractère visionnaire de  Jean-Marie Le Pen;  une fidélité,  aussi  aux  nombreux combats menées  en commun,  avec les  frontistes, et avant eux par les  militants de la cause patriotique,  pour la renaissance nationale, la  justice sociale.

    « Je suis partisan de l’unité. Je pense que c’est une condition nécessaire de la victoire. J’ai donné des gages de ma fidélité à nos idéaux et à notre mouvement » a expliqué Bruno Gollnisch qui assume ses propos mais ne cautionne pas forcément   ceux des autres, toutes les phrases, sorties ou humeurs de Jean-Marie Le Pen. « J’avais d’ailleurs ambitionné d’aller aux dépôts de gerbes Jean-Marie Le Pen ET de Marine Le Pen, ainsi qu’à son banquet pour entendre son discours ». Mais  « Marine Le Pen m’a dit qu’elle craignait que ma présence ne perturbe la couverture médiatique. Comme je suis d’un tempérament conciliant, je me suis incliné. »

     « Cette affaire de gerbe déposée avec Jean-Marie Le Pen est une tempête dans un verre d’eau » poursuit-il,   « même si un certain nombre d’imbéciles et d’indécents ont appelé à une purge, poussant les journalistes carnassiers à se jeter sur ce morceau de viande fraîche. » D’autant que comme il l’a toujours fait,  Bruno Gollnisch « (dit)  à (ses)  amis qui seraient tentés de quitter le FN de n’en rien faire », rappelle une  nouvelle fois qu’il « souhaite la victoire de Marine en 2017. » .

    Aussi,  la seule vraie question, « ce qui compte, bien au delà de ces problèmes assez navrant de personne, c’est la question de rassembler nos électeurs, de rassembler les Français et de conserver le cap de nos convictions, qui rencontrent de plus en plus l’adhésion des Français. Or  un certain nombre de gens comme moi, qu’on le veuille ou non, incarnent la défense des valeurs traditionnelles, l’accueil de la vie, la famille, la lutte contre le fiscalisme, etc. »

    Ce qui devra être confirmé  si ce n’est par le programme du FN (le dernier date de  2001) du moins  par le projet de notre candidate.  Qu’avons nous à dire, à affirmer  en matière de rétablissement des libertés économiques, contre le fiscalisme qui spolie et la bureaucratie qui paralyse ? Notre politique sociale est-elle toujours fondée sur l’accession à la propriété? Changeons-nous quelque chose dans la défense de l’identité culturelle, spirituelle et charnelle de la France ? Et en matière de politique familiale, d’accueil de la vie, de lutte contre le déclin démographique ? Sommes-nous toujours pour la liberté de l’enseignement,  le rétablissement de la liberté d’expression et l’abrogation des lois liberticides ?  Quel est le périmètre de notre lutte contre  contre le mondialisme ? Quid de la politique étrangère,  de coopération, de l’alternative envisagée  à l’idéologie bruxelloise, de notre éventuel projet   alter européen? 

    Bruno Gollnisch a indiqué vouloir se donner « le temps d’une brève réflexion. » « Je vais demander une entrevue à Marine Le Pen, on doit se voir à Strasbourg la semaine prochaine. J’espère une discussion politique, car après l’éviction de Jean-Marie Le Pen, cette affaire de demande de démission prend une tournure politique. Il y a beaucoup de flou sur un certains nombre de sujets du programme du FN, sur la famille, mais aussi sur la fiscalité. J’aimerais m’en expliquer avec elle et je prendrai une décision ensuite. Les membres du BP devraient comprendre que ma présence rend service à Marine, je cautionne sa candidature et je conjure mes amis de le faire. Je suis un facteur d’unité et il m’arrive de donner mon avis qui n’est pas toujours dénué de fondement! »

     

    http://gollnisch.com/2016/05/03/alors-bruno/

  • Continuer à être gouverné par des incapables corrompus est très dangereux !

    Pour Charles de Gaulle, l’élection présidentielle était la clef de voute des institutions. C’était le moment quasiment mystique ou « un peuple rencontrait un homme ». Pour de Gaulle, dont la famille était profondément maurassienne, cette élection correspondait un peu à ce qu’était le couronnement à Reims des rois de France, le moment où la nation s’incarnait en un homme.

    Cet homme, dans la Constitution de la Vème, était en charge des intérêts supérieurs du pays, le Premier ministre conduisant la politique au jour le jour. Au cas où un différent se produisait entre la classe politique et le président, ce dernier pouvait soit avoir recours à l’arme du référendum soit dissoudre le Parlement pour demander au peuple de trancher. En cas de défaite, le président ayant perdu l’onction sacrée devait se retirer.

    Pour être parfaitement honnête, je n’ai jamais aimé cette conception de la démocratie tant elle repose sur l’émergence d’un individu admirable et un peu surhumain. Une Constitution doit être faite pour fonctionner avec des hommes normaux, voire médiocres (les deux vont souvent de pair, comme on le voit en France en ce moment) et non pas pour donner les pleins pouvoirs à un envoyé du destin. Une constitution ne fonctionne en fait que si « le pouvoir arrête le pouvoir », c’est-à-dire si la séparation des pouvoirs y est organisée convenablement.

    Dans un article précédent, j’ai dit tout le mal que je pensais de la constitution de la Vème République et de son rédacteur Michel Debré. Je continue à soutenir que beaucoup des malheurs de la France viennent des institutions mises en place par cet homme. Citons entre autres la concentration du pouvoir dans la fonction présidentielle, une constitution sans réelle séparation des pouvoirs, la création de l’ENA, de l’Ecole Nationale de la Magistrature, du Ministère de la Culture et j’en passe.

    Ayant dit cela, je suis prêt à concéder que cette conception du pouvoir ne manquait pas d’une certaine grandeur. Le président était en charge des intérêts supérieurs de la nation et responsable devant le peuple et devant lui seul. Si la confiance entre les deux venait à disparaître, le président, n’ayant plus aucune légitimité, devait s’en aller. La pratique du pouvoir depuis plus de cinquante ans a montré au-delà de ce qui est nécessaire la nocivité de ces institutions.

    Les hommes politiques ont immédiatement adoré le cadeau qui leur était fait d’un pouvoir présidentiel omnipotent (ce qui leur paraissait une très bonne idée), mais ils n’ont jamais très bien compris pourquoi ils avaient besoin de faire appel au peuple fréquemment (par exemple au travers de référendums), ce qui pouvait mettre leur situation en péril. En termes simples, De Gaulle recherchait la légitimité pour gouverner. Ses successeurs se sont contentés de s’appuyer sur la légalité formelle, ce qui n’est pas du tout la même chose.

    Et donc, depuis 1958-1962, tous les changements apportés à notre système politique ont eu comme seul but de réduire les pouvoirs du peuple pour stabiliser autant que faire se pouvait la situation des politiques. C’est-à-dire des deux partis de gouvernement. Nous en avons un exemple parfait avec ce qu’il est convenu d’appeler les primaires.

    Revenons à la définition gaullienne de l’élection présidentielle, moment « où un peuple et un homme se rencontrent ». Le système des primaires en est l’exacte contradiction. Les élections primaires sont organisées sous l’égide des partis politiques existants pour que ceux-ci continuent à être les seuls à fournir au pays l’homme qui occupera la fonction présidentielle. Ce n’est plus du tout la rencontre entre un homme et un peuple, mais une sélection organisée par les deux partis de gouvernement pour se donner la meilleure chance de rester au pouvoir en tant que parti. Nous devrions plutôt parler ici de captation d’héritage plutôt que rencontre entre un homme et un peuple.

    A la question, pourquoi des primaires aujourd’hui et non pas il y a dix ou vingt ans, la réponse est simple: l’émergence du Front national. Le seul but des partis de gouvernement est de fournir un candidat qui sera présent au deuxième tour. Ils sont en effet tous persuadés que le candidat du FN en tout état de cause sera présent(e) au deuxième tour, et qu’il suffira d’être «l’autre» participant au deuxième tour pour être élu, un peu comme Chirac l’avait été. Il faut donc empêcher tout émiettement de son électorat et n’avoir qu’un seul candidat qui loin d’être désigné par le peuple le sera par les militants On voit la différence avec la conception gaullienne.

    Qu’est-ce que cette grosse ficelle peut bien vouloir dire? Une chose toute simple. Celui qui sera élu compte conquérir le pouvoir d’abord en ostracisant environ un tiers du corps électoral (les électeurs FN), puis en faisant voter pour eux un deuxième tiers qui ne le soutiendra que pour empêcher le candidat du FN d’être élu. Le prochain président ne sera donc soutenu dans son action que par un tiers du corps électoral, dans le meilleur des cas. Nous sommes donc dans un système où l’élu ne représente pas le peuple, mais à peine un tiers de celui-ci. Ce qui fait bien sûr que la France restera ingouvernable, ce qui conviendra fort bien à la classe politique traditionnelle puisque rien ne pourra changer.

    Contrairement à ce que nous disent les grands partis, les primaires ne sont donc pas une avancée démocratique, mais un recul considérable tant elles consacrent le contrôle sur les institutions d’une classe politique qui ne représente plus qu’elle. Le but n’est plus d’exercer le pouvoir dans l’intérêt général, mais d’en exclure tous ceux dont cette classe n’approuve pas les idées.

    S’ils étaient le moins du monde intéressés à la démocratie, nos hommes politiques auraient dû changer le système électoral il y a longtemps pour y introduire une dose de proportionnelle, en particulier aux élections législatives. Voilà qui aurait permis l’émergence de nouvelles forces.

    Certes, cela serait risqué, mais n’est-il pas plus dangereux d’être gouverné exclusivement par des gens qui aujourd’hui ne représentent même plus 33 % du corps électoral et donc n’ont plus aucune légitimité?

    Manipuler le système légal pour rester au pouvoir sans avoir aucune légitimité n’est jamais un bon calcul à long terme. Et que l’on ne me dise pas que je fais le jeu du FN. Avoir 33 % du peuple ou peu s’en faut qui ne soit représenté par aucun élu, voilà qui est pire qu’un crime, une faute …

    Nous sommes à l’évidence loin, très loin du gouvernement par le peuple, pour le peuple. Nous avons à l’heure actuelle, un gouvernement de nomenklatura organisée au profit de cette nomenklatura par cette nomenklatura qui pour arriver à ses fins a monopolisé le pouvoir en se servant des institutions.

    Et donc nous ne sommes plus en démocratie, et parler des valeurs de la République sans arrêt ne veut rien dire si ce n’est ajouter l’hypocrisie à la forfaiture.

    Que le lecteur ne croie pas que cette capture du système politique par une nomenklatura soit une dérive purement française.

    Aux USA, les «appareils » des partis démocrate et républicain, ceux que Madame Thatcher appelait les « petits hommes gris », ont depuis longtemps complètement mis sous leur contrôle les « primaires ». Et donc, était élu l’un ou l’autre des candidats qui avaient été d’abord présélectionnés par ces appareils. Il ne s’agissait plus pour le peuple de choisir mais tout au plus d’entériner une sélection avec laquelle le peuple n’avait rien à voir.

    Or que se passe-t-il outre- Atlantique ? Des candidats venus de nulle part sont en train de tailler des croupières aux candidats « officiels », adoubés par les oints du seigneur de chaque parti. Et le plus drôle est que ces rebelles ne dépensent pour ainsi dire aucun argent. Avoir plus d’argent que les autres n’est plus du tout une garantie pour être le candidat officiel. Voilà une bonne nouvelle pour la démocratie, une très mauvaise pour la ploutocratie…Comme le dit plaisamment l’un de mes amis : aux élections, les électeurs vont avoir le choix entre Trump et Goldman-Sachs…On imagine l’enthousiasme des petits hommes gris…

    En Grande-Bretagne, le peuple va être amené à se prononcer sur la sortie des institutions européennes, non pas parce que monsieur Cameron a soudain connu une illumination gaulliste, mais parce qu’un nouveau parti, l’ UKIP, avait fait un tabac aux élections européennes et risquait de mettre en péril les conservateurs aux élections législatives. Cameron a donc jeté un os à cet électorat, en promettant d’organiser un referendum, ce qui lui a permis de gagner haut la main les élections législatives. Je ne suis pas un bon observateur politique, mais je crains pour monsieur Cameron qu’il ne s’agisse d’une élection à la Pyrrhus tant un vote pour le Brexit le forcerait à présenter sa démission à la Reine.

    En France enfin, je viens de voir passer les résultats de sondages semblant indiquer que les Français seraient prêts, enfin, à voter pour des personnalités issues de la société civile, ce qui risque de foutre en l’air tous les beaux calculs de nos élites auto désignées. Présenter en effet des candidatures Juppé, Sarkozy, Hollande, Macron comme des moments où «un homme rencontre un peuple», ce n’est plus prendre les Français simplement pour des veaux, mais pour des ânes. Il n’est donc plus sûr du tout que l’un ou l’autre des candidats des partis dits de gouvernement soit au deuxième tour. Voila qui serait un amusant coup de tonnerre.

    La démocratie a été capturée un peu partout par des forces, ici ploutocratiques, là technocratiques, dont je dirai avec mesure qu’elles ne sont pas toujours «bienveillantes».
    Les peuples, qui découvrent avec effarement l’incompétence inimaginable de ceux qui les gouvernent depuis vingt ans, sont en train de s’ébrouer… et bien sûr les forces dont je viens de parler dans la phrase précédente essaient de nous faire croire qu’un retour à la démocratie et à la souveraineté nationale serait extraordinairement dangereux. A mon humble avis, continuer à être gouverné par des incapables corrompus est infiniment plus dangereux.

    Et donc, ne «les» croyez pas. Ils vont essayer de vous faire peur, ce qui toujours est la réponse de ceux qui ne peuvent répondre à des arguments rationnels. Un retour à la démocratie ne peut qu’être bon…

    « N’ayez pas peur », aurait dit Jean-Paul II.

    Charles Gave

    http://francelibre.tumblr.com/

  • JEAN-PAX MÉFRET: Pas politiquement correct !

    Vous partagez ce grand moment avec un extrait de PAS POLITIQUEMENT CORRECT parmi les 28 chansons interprétées par Jean-Pax : Les galères ● Veronika ● Jour J ● Le doute ● Beyrouth ● Au nom d’Allah ● Ceux qui ont choisi la France (les harkis) ● Les barricades ● Le pays qui n’existe plus ● Le vieux soldat ● Le camp des solitaires ● Camerone ● Djebel amour ● Dien Bien Phu ● Medley (L’enfant du flic, La médaille, Le loup de guerre, La musique s’est arrêtée) ● Faire part ● L’île Saint-Louis ● À qui la faute ? ● Flash ● Afghanistan ● Les oies sauvages ● Années 60 ● L’été 62 ● Le chanteur de l’Occident ●
    Retrouvez l’ambiance de ce concert exceptionnel en DVD et sur Double-CD sur Diffusia.fr
    Réalisation de Didier Froehly.

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/jean-pax-mefret-pas-politiquement-correct_159250.html

  • Thierry Meyssan - Panama Papers / Russie / Arabie Saoudite / Nuit Debout /Dollar.... - Meta TV 2/2

  • Les combats du Front de l’Est (1941-1945) à la une de la NRH

    Après Irlande rebelle (n° 83) et De Gaulle et les Américains (n° 82), la Nouvelle Revue d’Histoire (NRH) consacre le dossier de son numéro 84 daté de mai-juin à 1941-1945 – Front de l’Est.

    NRH-84.jpg« L’immensité de l’espace concerné, le volume des moyens et des effectifs engagés, l’ampleur des sacrifices consentis et l’acharnement des combats ont fait de la campagne de Russie engagée par Hitler la séquence la plus terrifiante de la Deuxième Guerre mondiale », écrit la NRH, qui poursuit : « Les succès initiaux remportés par l’offensive Barbarossa n’ont pas permis d’atteindre les objectifs prévus dans la mesure où l’espace russe et le général Hiver ont été fatals à lablitzkrieg allemande. Notre dossier est aussi l’occasion de regards sur l’Ukraine déchirée par la guerre, sur les officiers allemands ralliés à la cause soviétique, sur la présence des Français dans cette guerre à l’Est : les « Malgré-nous » alsaciens-lorrains, les pilotes de l’escadrille Normandie-Niémen ou, dans le camp adverse, les combattants de la Légion des volontaires français contre le bolchevisme. »

    Le sommaire complet de ce numéro est disponible ici.

    http://fr.novopress.info/

  • Sophie Montel préfère protéger les animaux que les petits d'hommes

    Sur Boulevard Voltaire, Gabrielle Cluzel revient sur les propos de Sophie Montel :

    6a00d83451619c69e201bb08f42de2970d-200wi.jpg"[...] Passons sur la forme, sur cet enfilage de perles éculées, de lieux communs ampoulés que même une stagiaire de Femme actuelle hésiterait à coucher sur le papier, sur ce morceau de bravoure au service d’un féminisme idéologique dont il apparaît un peu plus évident chaque jour qu’il crève, la bouche ouverte, de ses contradictions – son insondable démagogie envers l’islam n’étant pas la moindre. 

    Passons sur le choix d’Olympe de Gouges – grande figure pour la franc-maçonnerie féminine (une fédération de 200 loges porte son nom) que Ségolène Royal rêvait de panthéoniser -, comme si, pour tromper l’adversaire, il fallait absolument courir, langue pendante et queue frétillante, derrière ses égéries… et finir surtout par se tromper soi-même. 

    Passons même sur le fond, que l’on pourrait pourtant démonter point par point, les stériles « sanctuaire » « contraception » et « avortement » de madame Montel n’abritant que des idoles tyranniques, devant lesquelles, à l’échelon individuel, les femmes sont aujourd’hui forcées de se prosterner, quelles qu’en soient les conséquences pour leur santé physique et psychologique – tu parles d’une « sublimation » ! – et qui, à l’échelon collectif, sont évidemment les premières responsables de ces flux migratoires que prétend fustiger madame Montel. Il n’y a remplacement exogène en Europe que parce que le remplacement endogène, des parents par les enfants, n’a pas lieu. Et une comparaison entre les chiffres de l’avortement et de l’immigration illustre bien ce phénomène de vases communicants.

    Passons sur tout cela, car le simple aspect tactique laisse déjà pantois : la presse bruit de cette ligne de fracture entre un FN conservateur dit « Front Marion » et un FN chevènementiste dit « Front Philippot ». Jusqu’à dimanche, les responsables du parti pouvaient encore nier, colmater la brèche, parler d’un fantasme des médias, ménager la chèvre et le chou, rassurer la carpe et le lapin par des non-dits et un statu quo pragmatiques, Marine Le Pen n’ayant pas trop de tout cet électorat hétéroclite pour la porter à l’Élysée. « On ne sort de l’ambiguïté qu’à ses dépens », disait le cardinal de Retz. Par le discours sans équivoque sus-évoqué, le FN risque d’en faire l’expérience à ses dépens. 

    On me souffle que Sophie Montel est à l’origine d’un collectif consacré à la protection animale. C’est tout à son honneur. Dommage qu’elle ne fasse pas preuve de la même aménité à l’endroit des petits d’hommes. Et qu’elle renvoie du FN une image de caniche toiletté tenu en laisse par le politiquement correct."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Jacques Sapir : « On ne peut pas exclure une victoire de Marine Le Pen aux présidentielles »

    Economiste et écrivain, Jacques Sapir partage, lors d’une interview à RT France, sa vision du traité Transatlantique et ses pronostics concernant la présidentielle française au vu de la réforme de ses règles.

    http://www.altermedia.info/france-belgique/

  • TAFTA : des révélations fracassantes

    La ratification du TAFTA annoncerait la mort des États-nations et le début de la gouvernance mondiale des grands groupes économiques.

    La semaine passée, je dénonçais ici le flou entourant les négociations relatives au TAFTA (acronyme de Trans-Atlantic Free Trade Agreement). Négocié très discrètement depuis plus de trois ans, l’accord est une priorité de Barack Obama et de l’Union européenne, qui font tout pour le ratifier au plus vite.

    Le halo de mystère entourant les tractations semble désormais s’expliquer. En effet, Greenpeace Netherlands (Pays-Bas) a publié 248 pages de documents confidentiels démontrant clairement le danger que fait peser cette nouvelle usine à gaz mondialiste sur les peuples européens. L’Union européenne et les États-Unis entendent créer un marché unique euro-américain au service des entreprises transnationales, sans même prendre la peine de faire voter leurs populations devenues simples spectatrices de leurs existences respectives. Heureusement, il est de plus en plus difficile de cacher longtemps des secrets dans le monde contemporain, grâce aux nouveaux moyens de communication, à la culture de la transparence et aux lanceurs d’alerte.

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