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  • 3 députés européens FN au rassemblement de Jean-Marie Le Pen

    Ce matin, environ 2000 personnes ont assisté au rassemblement organisé par Jean-Marie Le Pen, en hommage à Sainte Jeanne d'Arc, parmi lesquelles les eurodéputés Bruno Gollnisch, Marie-Christine Arnautu et Mireille d'Ornano.

    Les menaces ne se sont pas faites attendre. D'abord de la part de Nicolas Bay, secrétaire général du FN :

    Puis Gilbert Collard, confirmant l'existence de la règle mentionnée avant-hier sur ce blog et remise en cause par certains du FN (alors qu'il s'agissait d'une consigne de Florian Philippot : "S'il y a des cadres qui iraient là-bas, ce serait un acte d'hostilité vis-à-vis du FN, et donc ils passeraient en commission de discipline"), qui sont visiblement dépassés par la ligne officielle de leur propre parti :

    Jean-Marie Le Pen a constaté l'hostilité de Marine Le Pen et a prédit en conséquence :

    "Puisque aucun signe n'a été mis dans le sens de la conciliation, la présidente du FN sera battue au deuxième tour et peut-être même au premier. On ne peut gagner que dans l'unité du Front national"

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  • JUPPÉ : ARROGANCE ET AUTISME (billet du président de l’ASAF)

    Nous avons souvent publié sur Minurne des communiqués de l’ASAF (Association de Soutien à l’Armée Française).
    À Sciences Po, le 25 avril, Alain Juppé s’est fait remarquer par ses propos inacceptables concernant le Général Soubelet, provoquant − entre autres − de nombreuses réactions d’officiers généraux.
    Nous publions ici celle de l’ASAF, qui a été initialement publiée sur le site officiel de cette association.
    En cette période de violence terroriste islamique et de confirmation de menaces sérieuses sur la sécurité intérieure de la France, Minurne observe avec intérêt et bienveillance les prises de position courageuses de chefs militaires et de leurs institutions représentatives, refusant de se taire au motif d’un prétendu “devoir de réserve” qui voudrait leur interdire de faire profiter le pays de leurs expériences stratégiques et politiques au sens noble de ce dernier terme. Surtout quand ceux qui nous gouvernent − ou qui se proposent de gouverner − plutôt que traiter des vrais problèmes de la France, semblent se polariser sur la chasse aux “dissidents”, soutenus en cela par les dirigeants non élus de l’Union Européenne qui pérorent, décident et réglementent quotidiennement avec dogmatisme et idéologie contre les intérêts supérieurs de la Nation de l’Union.

    Marc Le Stahler

    Les propos tenus le 25 avril devant des étudiants de l’IEP de Bordeaux par monsieur Juppé au sujet du Général de corps d’armée Bertrand Soubelet sont parfaitement incongrus et incompréhensibles au regard des responsabilités qui lui ont été confiées dans le passé et de celles auxquelles il aspire pour l’avenir proche.

    « Un militaire, c’est comme un ministre : ça ferme sa gueule ou ça s’en va. »

    Non, monsieur Juppé, un officier général n’est pas un ministre qui passe d’un ministère à un autre souvent sans connaître grand-chose aux matières qu’il est amené à y traiter.
    Un officier général, en situation de responsabilité, possède une compétence indiscutable et indispensable pour permettre aux dirigeants politiques (Président, ministres et élus) de prendre les meilleures décisions en toute connaissance de cause. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle le général Soubelet a été auditionné !

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  • Action française & Histoire • Jean-Pierre Fabre-Bernadac : « L'affaire Daudet, un crime politique »

    ENTRETIEN. En novembre 1923 éclate « l'affaire Philippe Daudet ». Le fils du célèbre homme de lettres et figure de proue de l'Action française Léon Daudet est retrouvé mort dans un taxi. Un prétendu suicide aux allures de crime politique. Jean-Pierre Fabre-Bernadac, ancien officier de gendarmerie, diplômé de criminologie et de criminalistique, a rouvert le dossier à la lueur de sources nouvelles.

    ROPOS RECUEILLIS PAR RAPHAËL DE GISLAIN

    LE 24 NOVEMBRE 1923, BOULEVARD MAGENTA, PHILIPPE DAUDET EST RETROUVÉ AGONISANT DANS UN TAXI. QUE S'EST-IL PASSÉ EXACTEMENT CE JOUR-LÀ ?

    Il y a deux choses importantes à rappeler à propos de Philippe Daudet pour comprendre ce qui s'est effectivement passé. Le jeune homme avait une grande admiration pour son père et il avait tendance à faire des fugues. Agé de 15 ans lors des faits, il avait l'âme excessivement romanesque, exaltée. Juste avant sa mort, il essaie de partir pour le Canada. Mais une fois au Havre, il s'aperçoit qu'il n'ira pas plus loin...Dès lors, comment revenir chez lui sans subir les foudres de ses parents ? Comment faire pour que cette nouvelle fugue ne déçoive pas trop son père ? Dans son esprit, il s'agit d'être à la hauteur ; son grand-père Alphonse est un immense écrivain et son père Léon une figure royaliste brillante et redoutée. Comme il sait que les anarchistes ont déjà essayé de tuer son père un an plus tôt, il se dit qu'un acte de bravoure, qui consisterait à révéler la préparation d'un nouveau complot pourrait faire oublier cette fugue... De retour à Saint-Lazare, il se rend donc au Libertaire, journal qui hait Léon Daudet, pour infiltrer les cercles anarchistes. Il tombe dans un panier de crabes parce que le milieu est complètement infiltré par la police politique. Avec son air de bourgeois et son projet fumeux d'assassinat de haute personnalité, Philippe Daudet n'a pas dû faire illusion très longtemps. Son identité certainement devinée, on l'envoie vers un libraire, un certain Le Flaoutter, indic notoire, et son sort bascule. La Sûreté générale, l'organe de la police politique, est prévenue, onze hommes débarquent pour arrêter le jeune homme... qui est retrouvé mort dans un taxi.

    LA THÈSE OFFICIELLE CONCLUT À UN SUICIDE. VOUS MONTREZ QU'ELLE EST COUSUE DE FIL BLANC...

    En effet, les incohérences se succèdent. Philippe Daudet a récupéré chez les anarchistes un « 6.35 ». Il tenait-là la preuve de son courage vis-à-vis de son père. Pourquoi ne rentre-t-il pas chez lui à ce moment-là ? Par ailleurs, il était extrêmement croyant et on ne comprend pas ce geste de suicide - un péché absolu -, d'autant qu'il était heureux chez lui même s'il aimait l'aventure. En reprenant le dossier - j'ai pu accéder aux archives nationales de la Police et à l'ensemble des documents de la famille Daudet -, les partis pris de l'enquête m'ont sauté aux yeux. Des témoignages fondamentaux sont écartés, des pistes ne sont pas exploitées et les conclusions sont pour la plupart approximatives. Le « 6.35 » qui a donné la mort au jeune homme n'est manifestement pas celui retrouvé, vu qu'aucune balle ne s'est chargée dans le canon après le coup de feu comme elle aurait dû le faire automatiquement ; la douille réapparaît dans le taxi dix jours après le drame au moment de la reconstitution, alors qu'il avait été soigneusement nettoyé ; aucun des onze policiers postés spécialement ne voit Philippe Daudet entrer ou sortir de la librairie, les horaires ne concordent pas, etc.

    DANS QUEL CONTEXTE IDÉOLOGIQUE S'INSCRIT ETTE DISPARITION ?

    Marius Plateau, le secrétaire général de l'Action française, a été tué de 5 balles un an auparavant par Germaine Berton, une anarchiste. À l'issue d'un procès absolument inique, la meurtrière est acquittée... Le contexte est donc extrêmement tendu. Des élections approchent, qui vont être gagnées par la gauche. Poincaré, qui a eu un lien amical avec l'Action française pendant la guerre - il sait le nombre de soldats et d'officiers qui ont été tués dans ses rangs - change son fusil d'épaule lorsqu'il voit que sa carrière est en jeu. Une tension sous-jacente vient du fait que l'Action française essaie de se rapprocher par le cercle Proudhon du mouvement ouvrier. Cela fait peur au pouvoir. On craint qu'une forme de national populisme ou monarchisme ne s'installe, d'autant que les scandales comme Panama ou le trafic des légions d'honneurs n'ont fait que discréditer la classe politique. Il faut bien voir que les tranchées ont donné naissance à une fraternité nouvelle considérable entre des français d'horizon divers. Le bourgeois et l'ouvrier ont maintenant un point commun : ils ont risqué leur peau de la même manière. Le fascisme, et d'une certaine façon, le national-socialisme sont nés de ce même élan à l'époque. Cette union qui bouleverse les classes effraie et on veut y mettre un terme à tout prix.

    DANS CE CLIMAT, POURQUOI ABATTRE LE FILS DE DAUDET ?

    Disons que, parmi les personnalités de l'Action française, mouvement qui suscitait une inquiétude grandissante, Léon Daudet avait des enfants et que Maurras n'en avait pas... Philippe, avec ce caractère éloigné des réalités, était quelqu'un de facilement manipulable. Voir cet enfant se jeter dans la gueule du loup était une aubaine pour des adversaires politiques. Je ne pense pas qu'il y ait eu de préméditation. Je ne crois pas qu'on ait voulu le tuer au départ mais que les circonstances ont conduit la Sûreté générale à le supprimer, lorsqu'elle a su qui elle tenait... Les Daudet étaient des sanguins ; il est possible que, se sentant démasqué, Philippe se soit rebellé, qu'un coup de feu soit parti et que l'on ait voulu maquiller les choses en suicide... On y a vu le moyen d'ouvrir une brèche et d'affaiblir l'Action française, qui bien sûr était visée in fine.

    IL Y A AUSSI CET INCROYABLE PROCÈS POLITIQUE CONTRE LÉON DAUDET...

    C'est la cerise sur le gâteau. Le père vient de retrouver son fils mort dans un taxi. Il fait un procès au chauffeur et voilà qu'il se retrouve condamné à cinq mois de prisons ! Il faut bien saisir la perfidie de ce jugement, à travers lequel on a opposé de façon fictive un père et un fils, salissant la réputation de l'un et la mémoire de l'autre. Les anarchistes n'ont cessé de répéter au cours du procès que Philippe était des leurs, ce qu'il n'a bien sûr jamais été. Lorsque l'on sait que les anarchistes étaient à l'époque le bras armé de la République, la manoeuvre est particulièrement écoeurante. Léon Daudet va finir par se rendre, mais l'histoire ne s'arrête pas là. Grâce au détournement des lignes téléphoniques du ministère de l'intérieur par une militante de l'Action française, il parvient à s'évader d'une façon rocambolesque. Après quoi il est contraint de se réfugier plusieurs années en Belgique...

    UNE TELLE AFFAIRE POURRAIT-ELLE SE REPRODUIRE AUJOURD'HUI ?

    Le pouvoir donne tous les moyens pour agir en cas de menace. Je crois qu'évidemment de tels évènements pourraient se reproduire aujourd'hui et qu'ils ne sont pas l'apanage d'une époque. Depuis 1945, les disparitions troubles d'hommes proches du pouvoir n'ont pas cessé - on en compte au moins trois. La police politique n'a pas disparu, elle est inhérente à la République. 


    À LIRE : ON A TUÉ LE FILS DAUDET, de Jean-Pierre Fabre-Bemardac, éditions Godefroy de Bouillon, 265 p., 26 euros.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Péguy contre Combes : du lien entre mystique républicaine et mystique chrétienne

    À les entendre, la laïcité serait l’alpha et l’oméga de la République. La laïcité serait la condition de possibilité de la République. La République serait laïque ou ne serait pas. En cela, ils commettent une erreur logique : ils prennent la partie pour le tout. Au triptyque républicain « liberté, égalité, fraternité », les mêmes voudraient ajouter le mot de laïcité. Ils commettent une deuxième erreur : ils confondent le mode d’organisation des institutions avec l’idéologie.

    Rappelons d’abord que la République précède la laïcité, que la laïcité n’épuise pas le républicanisme. Disons-le clairement, la laïcité n’a pas le monopole de la République. La laïcité doit demeurer ce qu’elle est : un mode d’organisation des institutions. Sinon, elle se fait laïcisme. Elle se fait idéologie et la neutralité qu’elle revendique n’est plus alors qu’une illusion. La laïcité devenue idéologie (ou laïcisme) veut substituer le rationalisme à la foi. Elle trouve son origine dans la philosophie des Lumières et dans le positivisme d’Auguste Comte. La laïcité ainsi comprise est une « contre-église », une contre-église moderne. Et dans la modernité, la République se défait car elle n’a plus de mystique.

    Péguy a voulu montrer, contre les tenants de la réaction, que la République n’était pas un produit de la modernité, qu’elle n’était pas cette « gueuse » que les nationalistes de l’Action française abhorraient. Selon lui, la République est fille de l’ancienne France car elle a été faite par les hommes de l’Ancien Régime. La République, si elle possède sa mystique propre, est imprégnée de mystique chrétienne. Et Péguy de prévenir : « Qu’on ne s’y trompe pas, et que personne par conséquent ne se réjouisse, ni d’un côté ni de l’autre. Le mouvement de dérépublicanisation de la France est profondément le même mouvement que le mouvement de sa déchristianisation. C’est ensemble un même, un seul mouvement profond de démystification », écrit-il dans Notre Jeunesse. En coupant la République de ses sources chrétiennes, le combisme (idéologie violemment anticatholique défendue par le Président du Conseil Émile Combes) a compromis la mystique. Et la République sans mystique n’est plus la République, elle n’est plus que la domination du parti intellectuel, c’est-à-dire la domination de « ceux qui n’ont plus rien à apprendre », de « ceux qui ne sont pas dupes », de « ceux qui ne croient à rien, pas même à l’athéisme, qui ne se dévouent, qui ne se sacrifient à rien », de « ceux qui n’ont pas de mystique et qui s’en vantent ».

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  • [vidéo] Jean Raspail : « Il n’y aura pas de solution sans force ! »

    Jean Raspail répond aux questions de Boulevard Voltaire. L’auteur du Camp des saints revient sur les événements tragiques que la France a connus en 2015 et donne sa vision de l’avenir. Selon lui, les armes parleront.

    http://fr.novopress.info/

     

  • De Jean Monnet à Barack Obama, le rêve fou de l’État mondial

    Actualité relativement encombrée au sommet du Babel bruxellois, tout à sa dérive idéologiquement mortifère pour les peuples et les nations d’Europe.

    Tout d’abord, ce 26 avril, la Commission européenne exposait sa « nouvelle » vision stratégique concernant la façon dont son action extérieure contribuerait à « aider les migrants à devenir plus autonomes (…) avec un accès à l’éducation et aux moyens de subsistance », selon les mots du Commissaire européen à l’aide humanitaire et à la gestion de crise, Christos Stylianides.

    Dans le même temps, se tient, à New-York, le treizième cycle de négociations sur le TTIP, du 25 au 29 avril 2016, la présence de Barack Obama sur le continent européen n’étant donc pas tout à fait fortuite si l’on en juge par ses récentes prises de position, à Londres comme à Berlin, tant à l’encontre du « Brexit » qu’en faveur du TAFTA (« Trans-Atlantic Free Trade Agreement », également connu sous l’acronyme de TTIP, « Transatlantic Trade and Investment Partnership » ou Partenariat Transatlantique de Commerce et d’Investissement).

    Renforcement de la porosité des « frontières » extérieures européennes, d’un côté, abaissement – sinon disparition pure et simple – des barrières tarifaires et non tarifaires, de l’autre. Deux mouvements convergents qui, dans une unité de temps remarquable, résument à eux-seuls le grand projet mondialiste de gouvernance mondiale.

    Unité méthodologique aussi. Naguère appelée Communauté économique européenne, l’UE dut passer, stratégiquement, par l’étape sectorielle de la CECA (Communauté européenne du charbon et de l’acier), selon un plan imaginé par son principal instigateur, Jean Monnet. Ce dernier considérait, en effet, que « la construction économique devait essentiellement être une étape vers une construction politique (…), notre préoccupation principale [étant] d’arriver à la disparition des souverainetés nationales absolues ». Évacuation du politique, primat de l’économique, logique intégrative, irréversibilité, institutionnalisation, tels sont les piliers aujourd’hui empruntés au « Père » de l’Europe pour bâtir la nouvelle union euro-atlantique, dernière étape avant le grand saut vers le gouvernement mondial. Dès lors, dans cette optique, a-t-on commencé par ouvrir la circulation des personnes (ici celle des immigrants), puis celle des marchandises et des capitaux (le fameux accès aux « marchés publics » américains).

    Ainsi, la Commission européenne œuvre pour que « l’Europe reste une destination attrayante pour les migrants dans un contexte de déclin démographique », tout en souhaitant « éliminer [les] droits ainsi que d’autres obstacles au commerce, dont les contrôles administratifs trop longs (…) augmentent les coûts des échanges de marchandises ».

    Les rôles semblent d’ailleurs rigoureusement distribués ; à l’UE la gestion des flux migratoires, aux États-Unis, la mise en place d’un marché économique transatlantique intégré. En outre, si la première peut compter sur l’afflux régulier de populations allogènes sur ses côtes, pour rendre impossible toute « ré-émigration » massive éventuelle, les seconds ont pris soin d’emmailler le processus euro-atlantiste dans une série de traités préalables dont l’ignorance du grand public est proportionnelle à son inéluctabilité.

    Or, excepté les habituels initiés, qui a entendu parler du CETA (« Comprehensive Economic and Trade Agreement »), cet accord commercial (actuellement rediscuté sur ses marges, notamment sur le recours à l’arbitrage privé) entre l’Union européenne et le Canada conclut le 26 septembre 2014 à Ottawa entre le Premier ministre canadien Stephen Harper et le président de la Commission européenne de l’époque, José Manuel Barroso ? Et qui sait, finalement, que le TISA ou Accord sur le commerce des services (« Trade in Services Agreement »), en discussion depuis 2014, a pour objectif de libéraliser l’intégralité du marché des services, à commencer par ceux faisant l’objet d’un monopole public, soit les services publics ?

    Et, dans le plus grand silence médiatique, le traité transpacifique (TPP), a été officiellement signé, le 4 février dernier, à Auckland (Nouvelle-Zélande) entre les États-Unis, l’Australie, la Nouvelle-Zélande, le Canada, le Mexique, le Pérou, le Chili, le Japon, la Malaisie, le Vietnam, le Singapour et Brunei…

    http://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2016/04/30/de-jean-monnet-a-barack-obama-le-reve-fou-de-l-etat-mondial.html

  • La Russie élabore des missiles invulnérables pour l’Otan

    Les nouveaux missiles pourraient être implantés dans les régions frontalières du nord du pays.
    La Russie achève la mise au point de missiles de nouvelle génération qui seront invulnérables aux systèmes de défense antimissile de l'Otan, a déclaré le sénateur russe Evgueni Serebrennikov.
    Selon lui, ces missiles seront déployés aux frontières nordiques du pays en cas d'adhésion de la Suède à l'Otan. Dans le même temps, le membre du Conseil de la Fédération n'a pas exclu la possibilité d'un renforcement de la présence militaire russe à la frontière.
    Auparavant, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a annoncé dans une interview au journal suédois Dagens Nyheter que Moscou serait contraint d'entreprendre des mesures "militaro-techniques" si Stockholm décidait de rejoindre l'Alliance atlantique.
    D'après des experts, la Russie pourrait rapprocher les systèmes de missiles tactiques Iskander-M de ses frontières nord ainsi qu'équiper les navires et les sous-marins de sa flotte de la mer Baltique de missiles Kalibr.
    Sur fond de crise en Ukraine, les forces armées de l'Otan ont intensifié leurs activités à proximité des frontières russes en Europe et notamment dans les pays Baltes, qui ont accueilli une série de grands exercices militaires de l'Alliance. Moscou se déclare prêt à opposer une "réponse adéquate" à ces actions.

    al manar :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EuykpEppuVRRMDVDur.shtml