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  • La progression de l'UOIF en France

    Joachim Véliocas était interrogé le 29 avril sur Radio Courtoisie au sujet de son dernier livre, Les Frères musulmans dans le texte. Il parle des musulmans "modérés" de l'UOIF, tels Tareq Oubrou, imâm de Bordeaux, et son acolyte, qui se font passer pour des républicains, tout en disant appartenir à l'internationale islamiste des Frères Musulmans, et de Camel Bechickh, président de l'association Fils de France .

     

    Un deuxième extrait de l'émission, avec des révélations sur les profs de l'UOIF dans leurs collèges-lycées :

     

    Marie Bethanie

  • La Manif Pour Tous perturbe le meeting de Bruno Le Maire

    A Versailles :

    "Ils étaient une poignée mais ont réussi à perturber le meeting de Bruno Le Maire, lundi soir, à Versailles. Discrètement installés dans le Palais des Congrès, les partisans de la Manif pour Tous ont attendu leur heure pour prendre la parole. En l’espace de quelques échanges verbaux plutôt musclés, l’affaire a tourné au quasi-pugilat avant que le député de l’Eure ne parvienne à reprendre la parole et le cours de la soirée.

    Fabien Bouglé, conseiller municipal d’opposition de Versailles Famille Avenir, proche des anti-mariage gay, a, lui aussi, échangé quelques propos assez vifs avec le candidat. « Bruno Le Maire, c’est un cas particulier. Il a insulté par voie de presse tous ceux qui veulent revenir sur la loi Taubira. Dès que nous avons appris sa venue, nous nous sommes mobilisés pour l’accueillir à notre manière », explique-t-il. [...]"

    Michel Janva

  • Journal du Mardi 03 Mai 2016 : Politique / La loi travail : le calvaire n’en finit pas

  • Le réquisitoire d’Eric Zemmour contre Nuit Debout

    Ce matin sur RTL, Eric Zemmour a prononcé un véritable réquisitoire contre Nuit Debout, dont « le rêve est passé, le rêve des médiacrates de gauche qui voulaient tellement rejouer le Mai 68 de leur jeunesse, le rêve des enfants de profs, des diplômés prolétarisés, des intermittents du spectacle précarisés ».

    « Qui sème le vent récolte la tempête. Qui sème le sectarisme récolte la violence.Qui crache sur les philosophes finit par sortir les barres de fer. A force d’insulter les flics, on finit par leur taper dessus. A force de mimer l’insurrection révolutionnaire, on légitime ceux qui la pratiquent. […] A force de vouloir intégrer tout le monde, on intègre n’importe qui. À force de parler pour ne rien dire, on finit par frapper sans raison. »

    « La faiblesse de l’État sous Hollande s’est révélé un redoutable piège, explique Zemmour, pour qui c’est « le laxisme des autorités socialistes [qui] les a poussées à la faute, a révélé leur vraie nature : derrière les masques de Bisounours, il y avait des cagoules et des casques. »

    « Pour ce genre de mouvement protestataires, il est deux manières de mourir, ajoute l’éditorialiste : perdre sa spontanéité ou perdre son innocence. Perdre sa spontanéité comme Podemos en Espagne […] Et puis, il y a cette seconde manière de mourir, celle de Nuit Debout : on perd son innocence, sa fraicheur ; on n’est plus les gentils, on devient les méchants.

    Eric Zemmour conclut ainsi : « Nuit Debout va poursuivre sa route chaotique, mais comme un canard sans tête. Nuit Debout est coulé. Nuit Debout est couché. Étendu raide. Il bouge encore, mais c’est le spasme des cadavres. »

    http://fr.novopress.info/

     
  • Les Identitaires décernent à Trappes le label « Molenbeek français »

    Molenbeek-français.jpgLe mouvement Génération identitaire Paris, jusqu’alors connu sous le nom de Projet Apache, vient de créer le label « Molenbeek français », dont le logo fait référence, par la couleur verte et le graphisme, à la certification halal. Inspiré par le ministre de la Ville Patrick Kanner, qui avait affirmé en mars dernier qu’« il y a aujourd’hui, on le sait, une centaine de quartiers en France qui présentent des similitudes potentielles avec ce qui s’est passé à Molenbeek », « le label “Molenbeek Français“ est la garantie d’un islamisme local », expliquent les identitaires parisiens qui ajoutent :

    « Surtout, il est la garantie d’un terrorisme d’origine contrôlée : de sa première prière à sa mort en martyr, en passant par sa radicalisation et son départ en Syrie, vous saurez que le terroriste aura été cultivé localement ! »

    Premier lauréat de ce nouveau label, la commune de Trappes, dans les Yvelines :« Trappes est connue pour être un bastion de l’islamisme hexagonal : deux de ses habitants ont agressé des militaires en faction Vigipirate (à Nice et La Défense), au moins quatre-vingt trappistes ont tenté de partir en Syrie faire le Djihad, et le communautarisme islamique est largement toléré par la mairie.
 Trappes méritait donc largement d’être la première ville à recevoir la certification “Molenbeek Français“ ! »

    D’autres villes, « tout aussi méritantes », recevront prochainement ce label, qui,

    « gage d’un terrorisme de qualité made in Issu-de-l’immigration, ouvre la voie à un jumelage avec une ville sous domination de l’Etat islamique ».

    Pas sûr que Guy Malandin, le maire (PS)  de cette commune de plus de 30 000 habitants qui s’honore d’être la ville natale de Jamel Debbouze, Omar Sy ouNicolas Anelka, apprécie cette labellisation…

     

    http://fr.novopress.info/

  • Les raisons de la purge au sein du FN

    Ces derniers jours, les médias ont évoqué la purge en cours au sein du FN avec comme seule raison la présence (pourtant annoncée) de Bruno Gollnisch, Marie-Christine Arnautu, Mireille d'Ornano mais aussi de Philippe Chevrier aux côtés de Jean-Marie le Pen. Florian Philippot, pour justifier sa décision d'exclure les intéressés, a évoqué une "manifestation hostile qui souhaite la défaite des patriotes et de Marine Le Pen en 2017". Qu'a donc réellement dit Jean-Marie Le Pen dans son discours, dont la plus grande partie était consacrée à sainte Jeanne d'Arc. Extrait :

    "(...) Il y a 28 ans déjà que le Front National avait inauguré ce défilé qui, après avoir honoré Jeanne, se concluait par une grande manifestation Place de l’Opéra, débordant sur les avenues adjacentes et à la clef, le grand discours du 1er mai. Il témoignait de la volonté d’exaltation des valeurs morales et spirituelles qui nous guidaient dans notre action politique. Mais puisque nous professons, à l’instar de Saint-Jean, que c’est la vérité qui nous rendra libres bien évidemment, je vous la dois.

    Prétextant des menaces du Daech (courage, fuyons !), la Présidente du Front a remplacé le traditionnel hommage à Jeanne d’Arc par un gueuleton aux anciens abattoirs de la Villette. L’abandon du défilé de Jeanne d’Arc par la direction du Front National n’est pas fortuit. Il s’inscrit dans une dérive politique qui a été initiée et symbolisée par mon exclusion du Front National que j’avais fondé en 1972, il y a 44 ans et présidé 39 ans. J’en suis toujours Président d’honneur, ayant gagné tous les procès engagés sur le sujet.

    Mon exclusion avait évidemment une signification emblématique, comme le fut, toutes choses égales d’ailleurs, la décapitation du Roi Louis XVI par les révolutionnaires de 93. Elle était, nous dit-on, dans la logique de la « dédiabolisation » dont la nouvelle présidente, se faisait le parangon. Or, la dédiabolisation était au mieux un leurre, au pire une sottise suicidaire.
    Le Front National était diabolisé par ses adversaires politiques, au premier rang desquels s’inscrivait le Parti Communiste et ses alliés et complices politiques et médiatiques, plus ou moins avoués. Les « partis du gouvernement » UMP et PS n’y voyaient pas d’inconvénients, au contraire, car cela contribuait à freiner l’influence montante de la seule formation d’opposition à sa politique décadente.

    On peut donc dire que même, et surtout, si c’était injuste, la diabolisation était tout à l’honneur du Front National, qui ne pouvait espérer arriver au pouvoir que par la conquête de l’opinion du Peuple et non de celle de nos élites corrompues et prébendières. La dédiabolisation tendait donc à diminuer l’hostilité de nos ennemis et adversaires en se rapprochant d’eux en espérant leur bienveillance.

    Calcul de naïfs, de sots ou de traîtres.

    Le Front National, aile droite de la Majorité UMP, c’était la fin de tout espoir de rénovation. Au reste, l’éviction du Président fondateur était insuffisante. On le vit d’ailleurs aux élections régionales où, à la demande de Marine, j’avais cédé ma tête de liste en Sud Est à Marion, députée du Vaucluse. En effet, arrivées largement en tête au premier tour dans le Nord Pas-de-Calais Picardie et en Provence Alpes Côte d’Azur, Marine Le Pen et Marion Maréchal Le Pen étaient battues par une manœuvre scandaleuse qui avait le mérite de dévoiler l’accointance, la complicité des tenants de l’UMPS. La gauche préférait se sacrifier et disparaitre pour faire élire le candidat de droite ! La dédiabolisation n’avait donc pas marché.

    Le même scénario se reproduira dans l’avenir. Il n’y a pour le Front National qu’une seule voie, celle de l’opposition au Système, s’appuyant sur une mobilisation massive du peuple rejetant le Système.

    La condition sine qua non du succès, c’est l’unité et d’abord l’unité du Front National, fer de lance de l’opposition nationale entrainant l’unité de sentiment et d’action de la nébuleuse nationale, majoritaire dans le peuple.

    Je le dis aujourd’hui, avec gravité et tristesse, puisqu'aucun  signe n’a été émis dans ce sens. La Présidente du Front National sera battue au 2ème tour, et peut être même au 1er.

    Errare humanum est, sed persevarare diabolicum. L’erreur est humaine et peut être corrigée, il est encore temps, avec l’aide des Comités « Jeanne, au secours ! » (...)"

    Cet extrait permettra aux lecteurs de se faire leur propre opinion et de se demander si les propos de Jean-Marie Le Pen reflètent l'idée qu'il souhaite la défaite de sa fille ou si ils relèvent du libre débat politique et d'une opinion critique mais constructive, qui ne peut sans doute pas s'exprimer dans les instances du FN en raison de l'emprise de Florian Philippot...

    Sont-ils en outre plus graves que l'apologie de l'avortement et de la contraception prononcée par Sophie Montel, seul discours, avec le sien, que Florian Philippot met en ligne sur son compte twitter.

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Les raisons de la purge au sein du FN

    Ces derniers jours, les médias ont évoqué la purge en cours au sein du FN avec comme seule raison la présence (pourtant annoncée) de Bruno Gollnisch, Marie-Christine Arnautu, Mireille d'Ornano mais aussi de Philippe Chevrier aux côtés de Jean-Marie le Pen. Florian Philippot, pour justifier sa décision d'exclure les intéressés, a évoqué une "manifestation hostile qui souhaite la défaite des patriotes et de Marine Le Pen en 2017". Qu'a donc réellement dit Jean-Marie Le Pen dans son discours, dont la plus grande partie était consacrée à sainte Jeanne d'Arc. Extrait :

    "(...) Il y a 28 ans déjà que le Front National avait inauguré ce défilé qui, après avoir honoré Jeanne, se concluait par une grande manifestation Place de l’Opéra, débordant sur les avenues adjacentes et à la clef, le grand discours du 1er mai. Il témoignait de la volonté d’exaltation des valeurs morales et spirituelles qui nous guidaient dans notre action politique. Mais puisque nous professons, à l’instar de Saint-Jean, que c’est la vérité qui nous rendra libres bien évidemment, je vous la dois.

    Prétextant des menaces du Daech (courage, fuyons !), la Présidente du Front a remplacé le traditionnel hommage à Jeanne d’Arc par un gueuleton aux anciens abattoirs de la Villette. L’abandon du défilé de Jeanne d’Arc par la direction du Front National n’est pas fortuit. Il s’inscrit dans une dérive politique qui a été initiée et symbolisée par mon exclusion du Front National que j’avais fondé en 1972, il y a 44 ans et présidé 39 ans. J’en suis toujours Président d’honneur, ayant gagné tous les procès engagés sur le sujet.

    Mon exclusion avait évidemment une signification emblématique, comme le fut, toutes choses égales d’ailleurs, la décapitation du Roi Louis XVI par les révolutionnaires de 93. Elle était, nous dit-on, dans la logique de la « dédiabolisation » dont la nouvelle présidente, se faisait le parangon. Or, la dédiabolisation était au mieux un leurre, au pire une sottise suicidaire.
    Le Front National était diabolisé par ses adversaires politiques, au premier rang desquels s’inscrivait le Parti Communiste et ses alliés et complices politiques et médiatiques, plus ou moins avoués. Les « partis du gouvernement » UMP et PS n’y voyaient pas d’inconvénients, au contraire, car cela contribuait à freiner l’influence montante de la seule formation d’opposition à sa politique décadente.

    On peut donc dire que même, et surtout, si c’était injuste, la diabolisation était tout à l’honneur du Front National, qui ne pouvait espérer arriver au pouvoir que par la conquête de l’opinion du Peuple et non de celle de nos élites corrompues et prébendières. La dédiabolisation tendait donc à diminuer l’hostilité de nos ennemis et adversaires en se rapprochant d’eux en espérant leur bienveillance.

    Calcul de naïfs, de sots ou de traîtres.

    Le Front National, aile droite de la Majorité UMP, c’était la fin de tout espoir de rénovation. Au reste, l’éviction du Président fondateur était insuffisante. On le vit d’ailleurs aux élections régionales où, à la demande de Marine, j’avais cédé ma tête de liste en Sud Est à Marion, députée du Vaucluse. En effet, arrivées largement en tête au premier tour dans le Nord Pas-de-Calais Picardie et en Provence Alpes Côte d’Azur, Marine Le Pen et Marion Maréchal Le Pen étaient battues par une manœuvre scandaleuse qui avait le mérite de dévoiler l’accointance, la complicité des tenants de l’UMPS. La gauche préférait se sacrifier et disparaitre pour faire élire le candidat de droite ! La dédiabolisation n’avait donc pas marché.

    Le même scénario se reproduira dans l’avenir. Il n’y a pour le Front National qu’une seule voie, celle de l’opposition au Système, s’appuyant sur une mobilisation massive du peuple rejetant le Système.

    La condition sine qua non du succès, c’est l’unité et d’abord l’unité du Front National, fer de lance de l’opposition nationale entrainant l’unité de sentiment et d’action de la nébuleuse nationale, majoritaire dans le peuple.

    Je le dis aujourd’hui, avec gravité et tristesse, puisqu'aucun  signe n’a été émis dans ce sens. La Présidente du Front National sera battue au 2ème tour, et peut être même au 1er.

    Errare humanum est, sed persevarare diabolicum. L’erreur est humaine et peut être corrigée, il est encore temps, avec l’aide des Comités « Jeanne, au secours ! » (...)"

    Cet extrait permettra aux lecteurs de se faire leur propre opinion et de se demander si les propos de Jean-Marie Le Pen reflètent l'idée qu'il souhaite la défaite de sa fille ou si ils relèvent du libre débat politique et d'une opinion critique mais constructive, qui ne peut sans doute pas s'exprimer dans les instances du FN en raison de l'emprise de Florian Philippot...

    Sont-ils en outre plus graves que l'apologie de l'avortement et de la contraception prononcée par Sophie Montel, seul discours, avec le sien, que Florian Philippot met en ligne sur son compte twitter.

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Non, les migrants ne payeront pas vos retraites !

    « En rajeunissant la population (par l’immigration), on contribue nécessairement à payer les retraites ». Analyse d’un mythe.

    Récemment encore, l’économiste de la Banque Mondiale Hernan Winkel justifiait l’immigration en Europe par l’argument fréquemment répété : « en rajeunissant la population (par l’immigration), on contribue nécessairement à payer les retraites ».

    Or, cette affirmation est inexacte : l’État ne peut payer les coûts croissants d’une population vieillissante qu’avec des ressources supplémentaires ; et quel que soit leur âge, les inactifs sans ressources n’en apportent pas.

    Pour assurer les retraites futures, ce sont les ressources de l’État qu’il faut augmenter, notamment en augmentant le nombre d’emplois productifs.

    L’immigration pourrait y contribuer de deux façons : soit, si les immigrés comblaient un manque de main-d’œuvre dans des secteurs productifs; soit, si des immigrés créaient de nouvelles entreprises génératrices d’emplois productifs.

    Mais globalement en Europe, l’immigration actuelle en provenance des pays du tiers-monde n’est pas choisie en fonction du marché du travail et est peu qualifiée. Les demandeurs d’emplois peu qualifiés étant déjà en surnombre, cette immigration non sélective ne fait que gonfler le nombre global des chômeurs et allocataires sociaux. Et ces immigrés n’ont généralement pas les compétences nécessaires pour créer de nouvelles entreprises.

    En réalité, cette immigration européenne non sélective ne fait qu’empirer le problème des pensions. En effet, les chômeurs et allocataires sociaux qu’elle génère requièrent des ressources supplémentaires.

    L’État les trouve habituellement en augmentant la pression fiscale, ce qui a pour conséquence inévitable de diminuer la compétitivité des entreprises. Et pour maintenir leur compétitivité, celles-ci doivent faire des économies, par exemple en réduisant leur personnel ou en se délocalisant dans des pays à main-d’œuvre bon marché… ou alors risquer la faillite. Tout cela diminue l’emploi et aggrave le problème des pensions.

    Et si l’on se refusait à augmenter la pression fiscale en maintenant fermée l’enveloppe de la sécurité sociale, les montants alloués à ces chômeurs et allocataires sociaux supplémentaires grèveraient d’autres postes de la sécurité sociale, comme par exemple l’assurance maladie-invalidité… ou les pensions elles-mêmes !

    Dès lors, indépendamment de toute autre considération sur les éventuels avantages ou inconvénients que l’immigration actuelle en provenance des pays du tiers-monde apporterait à l’Europe, celle-ci ne résout en rien le problème des pensions. On pourrait, par contre, résorber ce problème en augmentant l’emploi productif.

    Pour cela, il faudrait, d’une part, améliorer la compétitivité de nos entreprises, en diminuant le poids de l’État et ainsi la pression fiscale. Et d’autre part, faciliter la création d’entreprises, notamment par un allègement significatif de leurs charges administratives et sociales. Mais sûrement pas en encourageant l’immigration extra-européenne.

    Ainsi, l’affirmation « rajeunir la population par l’immigration contribue à payer les retraites » a beau être répétée à l’envi, elle ne repose actuellement en Europe sur aucune réalité. C’est donc encore un de ces mythes idéologiques dont il faut se défaire pour résoudre les problèmes.

    Jacques Stelliez

    http://www.polemia.com/non-les-migrants-ne-payeront-pas-vos-retraites/