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  • Après le succès de leur premier album, Les Brigandes récidivent avec un nouveau CD intitulé "France notre Terre"...

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    Thierry Bouzard EuroLibertés cliquez ici

    Les Brigandes sortent leur 2e CD avec 14 nouvelles chansons, toujours aussi fortes, mais avec une évolution dans leur thématique. Deux CDs en huit mois, c’est quasiment un exploit. Une partie des chansons est déjà en ligne et si certaines, au lieu de chorégraphie n’ont droit qu’à une simple animation, elles ont toutes des vidéos.

    Avec humour et sourire, elles s’en prennent à une génération qui « a fait le vide » avec Les Soixante-huitards, un des titres qui n’a pas encore été mis en ligne : « Ô vous les soixante-huitards/ Je vous vois dans vos beaux costards/ Qui parlez maintenant/ Au nom du gouvernement. »

    Jakadi des millions est aussi une découverte. Elle chante l’hypocrisie des vedettes du show-biz qui font la leçon, mais ne veulent surtout pas donner l’exemple. L’inventaire est large et tous en prennent pour leur grade « On en veut des millions, Jakadi des millions/ Mais pas dans ma maison. »

    Les Brigandes en veulent aux fossoyeurs, aux révolutionnaires et aux transhumanitaires de tous poils, elles les veulent En Enfer, « les jacobins génocidaires, les bétonneurs de l’équerre, les maîtres des secrets bancaires… en enfer ». Tout cela dit avec gentillesse, accompagné au piano, à la guitare et à la clarinette, les Brigandes sont aussi des musiciennes.

    Pas vraiment optimiste mais lucide, leurs jolies voix décrivent le temps de l’Antéchrist : « Si on désire un monde meilleur/ Il faut s’attendre à des malheurs/ Une aggravation de la laideur/ De nos vies. » Nul besoin d’être prophète pour s’en rendre compte, mais trop nombreux sont encore ceux qui ne veulent pas l’envisager.

    Elles dézinguent les médias avec Cerveau lavé : « Un journaliste qui prend sa plume, pour écrire/ Se demande avec amertume, comment mentir ». Dommage qu’elles s’en prennent à l’Inquisition, la sainte Inquisition devrait-on dire puisque c’est une œuvre d’Église et qu’elle a introduit la procédure contradictoire dans les procès, ce qui a constitué un progrès avec une réelle prise en compte des droits de la défense. Quand désinformé rime avec télé, ce qui n’est pas assez répété, on ne peut que les approuver.

    La Nuit où ils ont serré Jack, fait un rapprochement entre un célèbre assassin londonien du XIXe siècle et les figures médiatiques actuelles. Son sort pourrait être celui qui serait réservé à tous les « juges compromis… psys chabraques… journalistes… flics et complices » qui couvrent les infâmes.

    Francis Cabrel serait-il une référence pour les Brigandes ? Pour la musique et le style peut-être, pas pour ses engagements, c’est sûr. Si Une Chanson pour Cabrel est quand même lucide « Mais quand on trime dans le mainstream/ Y’a pas d’erreur, on s’abîme/ Et Francis, n’y échappe pas », elle n’exclut pas une certaine reconnaissance.

    L’évolution de leur nouvel album vient dans la place faite aux titres dont le thème se retrouvait précédemment dans Jeanne et France notre terre. C’est-à-dire des titres qui ne se contentent pas de s’en prendre à l’adversaire, mais fournissent des motifs d’espoir ou des modèles positifs comme dans Le Retour des héros qui évoque les figures de Charlotte Corday, Alexandre, Patton et Rommel.

    Rêve de reconquête est celui de la reprise d’Algéziras (pour Alger ?) par des hommes venus du Nord : « Nous reviendrons du Nord sauvage/ Comme les loups pour un carnage/ Sonnez trompettes de la reconquête. »

    Dans le style musical et poétique des ballades du temps jadis, le Rondeau de France évoque les couleurs de l’ancienne France, quand les chevaliers lançaient Montjoie-Saint-Denis en montant à l’assaut. On en aurait bien besoin. « Quand je vois flotter le drapeau de la France/ Dans l’or et l’azur mon cœur revit/ Par les temps de peine renaît l’espérance. »

    Plus ancienne car elle remonte à octobre 2015 et avait été chantée lors du concert de Rungis, France notre terre est un plaidoyer pour l’amour de notre terre ancestrale, « France, notre mère/ On ne peut te laisser humiliée et vaincue. »

    On est pas mécontentes d’être des Brigandes fait partie des nouveaux titres. À travers un inventaire de chansons traditionnelles françaises (la Bourgogne, la Paimpolaise, le P’tit Quinquin…), c’est une revendication à s’inscrire dans la continuité des chansonniers populaires anonymes ou célèbres et exprimer la joie de chanter. C’est aussi un appel pour éviter que les anciens répertoires soient remplacés par d’autres venus d’ailleurs : « Ils sont descendus du Nord y’a plus de mille ans/ Pour nous crier haut et fort : « Debout là-dedans ! »/ Ma parole, est-ce qu’ils sont morts, que font les Normands ? »

    Seigneur, je ne veux pas devenir Charlie est un appel à se lever pour ne pas sombrer avec ceux qui sont dans le déni de réalité. « Demain l’âme qui vient au monde cherchera cet endroit béni/ Hors des cités nauséabondes où vit la race de Charlie. »

    Jèze Society est la réponse des Brigandes aux attaques que le groupe a eues à subir récemment. On peut discuter certaines options des Brigandes, leur fixation sur les jésuites, leurs références au symbolisme ou à l’eschatologie, mais en cela elles sont bien de leur époque, celle du complot, des illuminatis ou du secret des francs-maçons. Et leurs chansons ne font que suivre l’évolution de nos sociétés, d’un certain point de vue de la dissidence. Quoi qu’il en soit de leurs options personnelles, elles savent faire passer avec douceur et poésie des paroles de combat et d’espoir. C’est un beau projet comme il n’y en a pas eu depuis bien longtemps dans la chanson qui défend notre identité.

    CD est à 20€ + 3€ de frais de port = 23 €.

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Aveuglement idéologique face au Grand Remplacement, par Vincent Revel

    L’esprit de culpabilisation et le reniement de soi, nés de la nouvelle religion des « droits de l’hommisme », engendrent un suicide civilisationnel. Au nom d’une ouverture à l’Autre et d’un monde purement fantasmé, les Européens sont contraints à oublier et à renier leur histoire pour laisser place au grand métissage.

    Depuis longtemps, l’Education nationale a remisé au placard l’esprit qui animait jadis les hussards de la République. Avec Mme Najat Vallaud-Belkacem, l’idéologie antiraciste domine avec force les nouvelles réformes scolaires (disparition du latin, du grec ancien, arrivée de l’arabe dans certains collèges, modification des cours d’histoire au profit de la connaissance de l’islam et du monde africain…). Validées par l’ensemble de la gauche bien-pensante, ignorées par ce l’on nomme à présent les Républicains, plus arrivistes que gaullistes, ces réformes accentuent volontairement l’embrigadement de nos enfants.

    La République fait le choix du renoncement et adapte son enseignement aux cultures, à la religion et à l’histoire des communautés nouvellement arrivées en France. Au lieu de rester fidèles à la mémoire de notre roman national, plus que millénaire, les néo-libéraux et les altermondialistes (gauchistes antiracistes souvent islamophiles et christianophobes) préfèrent épouser aveuglément le multiculturalisme sans prendre en compte la naissance d’un communautarisme sectaire et violent pouvant aboutir à une guerre civile, ethnique et religieuse.

    La thèse du Grand Remplacement, que la majorité de notre élite continue à nier, s’affirme pourtant de plus en plus dans la pensée collective des Français. Les changements radicaux de notre société, visibles dans un grand nombre de nos villes (magasins hallal, construction de mosquées et d’écoles islamiques, zones de non droit, prières de rue…), sont là pour en témoigner. Il suffit de prendre les photos d’il y a cinquante ans pour se rendre compte à quel point le Grand Remplacement est visible dans notre quotidien. le livre Les Territoires perdus de la République, paru en 2002, décrivait déjà ces quartiers populaires devenus avec l’immigration de masse des quartiers communautaristes.

    Au moment où l’on commémore, de façon ridicule et grotesque, le centenaire de Verdun, il suffit de prendre cinq minutes pour lire les noms des soldats mort lors de cette bataille inscrits sur les plaques funéraires présentes dans toutes nos églises pour se rendre compte à quel point nous ne parlons plus du même pays ! En changeant autant la culture, les valeurs et la population de notre patrie, nous jouons aux apprentis sorciers en faisant le pari de la France black-blanc-beur, utopie universaliste devant logiquement nous mener au meilleur des mondes. C’est une aberration, unique dans l’histoire des hommes, une erreur grave qui risque de nous conduire rapidement vers une impasse.

    Parmi de nombreux exemples, les derniers propos racistes et imbéciles d’Éric Cantonna (visant le sélectionneur Didier Deschamps), membre de cette élite déracinée, acquise au multiculturalisme et à un internationalisme cosmopolite, nous indiquent le malaise grandissant qui existe en France dès que le débat public aborde le problème des minorités soi-disant discriminées.

    A présent, l’unité patriote, qui anime naturellement toutes les nations possédant un ensemble ethnoculturel et historique homogène, se trouve systématiquement mis à mal chez nous par le fait de la fragilité de notre cohésion nationale. Les droits et revendications communautaires ne cessent d’empoisonner notre quotidien. Et face à cette triste réalité, nos dirigeants continuent à réciter en chœur que l’immigration est une chance pour la France, sans jamais apporter de solutions viables pour résoudre l’échec flagrant du bien vivre ensemble.

    Vincent Revel

    http://fr.novopress.info/

  • Un demi-millier de jeunes identitaires investissent la place Monge à Paris

    Un demi-millier de jeunes identitaires investissent la place Monge à Paris

    La manifestation "On est chez nous !" cliquez ici a rassemblé 500 jeunes identitaires hier samedi dans le centre de Paris. Partout, après Rome, Madrid, Athènes et Bruxelles la semaine dernière, le mouvement d'opposition à l'islamisation de l'Europe se fait entendre...

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  • La dictature européenne veut sanctionner la Pologne

    La commission européenne vise notamment le projet de réforme de la législation sur l'avortement :

    6a00d83451619c69e201bb090a8965970d-320wi.png"Après le Parlement de Strasbourg en avril, la Commission bruxelloise tance à son tour le pouvoir conservateur polonais. L'organe exécutif de l'Union européenne a annoncé ce mercredi 1er juin avoir adopté un "avis sur l'Etat de droit" en Pologne. Le document adressé à Varsovie constitue un avertissement formel au gouvernement polonais après ses réformes controversées, notamment de son tribunal constitutionnel.

    Parmi les projets et les propositions de loi étudiés au Parlement (...) figure la très sensible réforme du droit à l'avortement. Le texte vise à interdire totalement toute tentative d'IVG, sauf si et seulement si la vie de la mère est en jeu. Alors que la législation actuelle autorise également l'avortement si un examen prénatal indique une grave pathologie irréversible chez l'embryon ou si la grossesse résulte d'un viol ou d'un inceste. Deux autres dérogations qui seraient donc supprimées en cas d'adoption du projet. Est également prévu le relèvement de la peine maximale pour la personne qui pratique l'avortement en dehors de ces cas, qu'elle soit patiente ou médecin, à 5 ans de prison contre 2 actuellement(...)

    Le pouvoir polonais dispose (...) de deux semaines pour répondre aux observations bruxelloises. Mais si la Commission estime par la suite que ses préoccupations n'ont pas été levées "dans un délai raisonnable", elle pourra "formuler une recommandation". L'absence de réponse satisfaisante de la part du gouvernement polonais à cette éventuelle recommandation déclenchera à son tour "la procédure de l'article 7" du traité sur l'Union européenne.

    Cette procédure inédite prévoit que lorsque la violation des valeurs démocratiques de l'Union est constatée, "le Conseil (européen), statuant à la majorité qualifiée, peut décider de suspendre certains des droits découlant de l'application des traités à l'État membre en question, y compris les droits de vote du représentant du gouvernement de cet État membre au sein du Conseil". Avec cette sanction, la Pologne serait alors le premier pays de l'UE mis au ban du Conseil…"

    Pour la commission européenne, un gouvernement démocratiquement élu qui décide souverainement de ses propres lois pourrait donc être coupable de violer les valeurs démocratiques... 

    Philippe Carhon

  • Journal du Mercredi 1er Juin 2016 : Société / Equipe de France : le chantage au racisme