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  • Soutien des Comités Jeanne à la Marche pour la vie

    6a00d83451619c69e201b7c8ca397a970b-200wi.pngCommuniqué d'Alexandre Simonnot, Conseiller Municipal de Taverny et Secrétaire Général-adjoint des Comités Jeanne :

    "Ayant toujours considéré comme une priorité absolue la défense de la famille et de la vie, c’est avec un grand plaisir que je représenterai la direction des Comités Jeanne dimanche prochain à la grande marche pour la vie dans les rues de Paris.

    Plus que jamais il nous faut défendre une politique résolument familiale et nataliste. C’est incontestablement sur le terrain démographique que se jouera l’avenir de notre pays et de notre continent."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Les liaisons dangereuses entre libéralisme et conservatisme

    51x9qlfyzdl_sx315_bo1204203200_.jpgConservateurs et libéraux ont souvent fait route ensemble, au risque de brouiller les frontières entre eux, alors que les différences sont de taille. Le conservatisme reconnaît ainsi l'existence d'un bien commun et promeut les communautés et les corps intermédiaires pour le réaliser, accorde une plus grande place à l'autorité charnelle et incarnée, aux hiérarchies ; il est sensible aux excès du projet politique moderne qui est au fond le projet libéral, articulé autour du rationalisme, de l'individualisme égalitaire et de l'utilitarisme. Il fait l'éloge du particularisme, croit à l'existence des peuples et à l'utilité des frontières, rappelle avec Disraeli que "les nations ont un caractère propre aussi bien que les individus", alors que l'anthropologie libérale conduit à al vision d'un individu planétaire unique appelé, à la fin de l'histoire, à être régi par un droit et un marché universels.
    "Roger Scruton, de l'urgence d'être conservateur", par Thomas Hennetier, Eléments, n°163

  • Alain Bauer : l’ancien grand maître du GODF soupçonné « d’abus de biens sociaux » et « détournement de fonds publics » Retrouvez cet article et l'info alternative sur : http://www.contre-info.com/ |

    Pris la main dans le sac avec un autre frère ? Cette icône de la franc-maçonnerie laïcarde et anti-française vient de se faire perquisitionner dans deux affaires « d’abus de biens sociaux » et « détournement de fonds publics ».   

    Lu sur Le domicile du criminologue Alain Bauer et celui d’Augustin de Romanet, directeur général de la Caisse des Dépôts et consignations de 2007 à 2012 et actuel président d’Aéroports de Paris (ADP) ainsi que les locaux du groupe ADP ont été perquisitionnés le 10 janvier, affirment des sources concordantes ce lundi.

    Ces investigations ont eu lieu dans le cadre d’une enquête préliminaire ouverte par le parquet national financier (PNF) en décembre 2014 notamment pour «abus de biens sociaux» et «détournement de fonds publics».

    Des «contrats de complaisance» pour Alain Bauer ?

    En novembre 2014, Mediapart avait affirmé qu’à son arrivée à la tête de la CDC six mois plus tôt, le nouveau directeur général, Pierre-René Lemas, s’était étonné de certains contrats passés par ses prédécesseurs, notamment une commande de notes relatives à la sécurité en France et dans le monde, facturée 200.000 euros annuels à la Caisse des dépôts par la société d’Alain Bauer, AB Conseil.

    Le site d’information s’étonnait aussi de l’achat par la CDC de «plusieurs milliers d’exemplaires» du Guide gastronomique Champérard, contrôlé à 50% par le criminologue et dont il est le directeur de la publication. Sollicité par l’AFP, Alain Bauer n’a pas souhaité faire de commentaires.

    Source : Merci à Josselin
    http://www.contre-info.com/ |

     

  • Nicolas Sévillia : « Il est aujourd’hui interdit de parler de l’IVG, nous voulons lever ce tabou ! »

  • POURQUOI LE PROF EST ANTHROPOLOGIQUEMENT DE GAUCHE

    L'oeil de Cédric sur la France d'aujourd'hui

    Le milieu enseignant est le temple du gauchisme par excellence. Ces temps-ci, il y a certes une tendance des fonctionnaires à se rapprocher de Marine, que ce soit à La Poste ou surtout dans le milieu hospitalier, dont les conditions et heures de travail deviennent insupportables.

    Le prof échappe à ce mouvement vers le Bien, car il est privilégié et choyé pour distiller l’idéologie du pouvoir républicain bourgeois (60 000 profs en + sous Hollande) ; étrangement, on a la sensation que dans des classes qui commencent à se remplir, souvent tout au fond, de futurs orientaux patriotes peu silencieux et respectueux, ils et surtout elles, parmi les professeurs, devraient commencer à en avoir marre. Eh bien pas du tout !

    Pourquoi une telle résistance ? Il faut bien regarder le boulot pour ce qu’il est, nous parlons d’un métier qui comprend 15 semaines de congés payés par an, en moyenne 20 heures de travail par semaine et encore, très souvent, les profs corrigent les copies lors des contrôles, donc dans ces heures-là de présence au bahut. Aussi, les programmes, les cours magistraux et les DS sont fréquemment repris des années précédentes. Enfin, le salaire moyen est de 2 000 € par mois (jusqu’à 3 000 € en fin de carrière comme chez les cheminots), ce qui donne pour un couple d’enseignants accès aux grandes vacances, au pavillon et aux bonnes écoles pour leurs petites têtes blondes (pour l’instant).

    De mon expérience, pour un BEP Comptabilité, j’ai fait 8h/18h du Lundi au Vendredi et le Samedi, de 8h à 12h, en devant prendre le bus à chaque fois (fils de prolos sans scooter) ce qui fait des journées de 6h à 19h, avec un temps libre accès sur… les devoirs et des DNS bien fatigantes pour le week-end ! En fait, c’est une prison idéologique qui prive de temps libre jusqu’au travail, puis à la vie de famille… ! D’ailleurs, n’avez-vous pas remarqué que vous avez tout appris du système APRES l’école ? Que sur les bancs du collège et du lycée, on apprend rien de ce qui nous sera vraiment utile plus tard ?

    Bref, pour revenir au prof, là encore il sert ses intérêts de classe. En fait, pour identifier un vote de gauche, regardez là ou l’Etat donne beaucoup d’argent, sans qu’il faille faire beaucoup d’efforts pour l’obtenir…

    Ah tiens, nous retrouvons le fond de la classe, et son intérêt à en faire le moins possible, pour cueillir le maximum !
    Racailles dernières de la classe et profs ont un point commun très singulier : le désir de mener une vie de paresse et de moindre effort, tout en prétendant au meilleur confort possible.
    Double parasitisme.

    Cédric

    http://suavelos.eu/pourquoi-le-prof-est-anthropologiquement-de-gauche

  • RÉFLEXIONS SUR L’ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE

    Pierre Vial, Président de Terre et peuple

    Je n’ai aucune illusion sur Marine Le Pen et les gens de son entourage. Parler d’une « France apaisée » pour s’en faire une bannière constitue un déni du réel, ce qui est de mauvais augure pour quelqu’un qui prétend assumer les responsabilités du pouvoir.

    Ceci étant, l’important n’est pas là car les suffrages qui vont se porter sur son nom ne reposent pas sur les qualités ou les défauts de la candidate. Ils seront en fait l’expression d’un ras-le-bol à l’égard du Système, d’un rejet pur et simple de ce Système et de ce qu’il véhicule, en particulier l’immigration-invasion et le Grand Remplacement qu’elle implique, qui scellerait la mort de notre identité et de notre liberté. Ces suffrages sont donc utiles car ils constituent un potentiel prérévolutionnaire.

    Pourquoi ? Parce que les électeurs de Marine Le Pen seront forcément déçus (pour ne pas dire plus) un jour ou l’autre, par l’écart, puis le profond fossé existant entre les espoirs qu’ils mettent en elle et ce qu’elle prétend faire. Car, emprisonnée par son allégeance au Système, qu’elle dissimule de moins en moins, surtout sur l’immigration et la société multiraciale, elle suscitera une déception à la mesure des illusions qu’elle aura suscitées et entretenues.

    Alors – et c’est là que tout peut arriver – il y aura des gens, beaucoup de gens, prêts à se rallier à l’idée que seule une solution radicale, mettant en question et rejetant l’ensemble du Système, pourra tirer du gouffre notre pays et notre peuple. Hypothèse peu probable, disent certains (pour se rassurer) mais qu’on ne peut cependant exclure totalement : si un certain nombre de Gaulois finissent, excédés, par réagir vraiment, c'est-à-dire physiquement, que se passera-t-il ? Cela s’appelle une Révolution. Une Révolution identitaire, portée par certains, dont nous sommes. Préparons-nous.

    C’est à lire :

    - Sylvain Tesson, Sur les chemins noirs, Gallimard, 2016, 144 pages, 15 euros.

    - Philippe de Villiers, Les cloches sonneront-elles encore demain ?, Albin Michel, 2016, 316 pages, 22,50 euros.

    - Michel Onfray, Décadence, Flammarion, 2017, 750 pages, 22,90 euros.

    - Jean-Claude Michéa, Notre ennemi, le capital, Flammarion, 2017, 314 pages, 19 euros.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • John Pilger - Barack Obama, le marketing et l'Empire (vostFr)

  • Emmanuel Macron, « rempart contre le FN » : même pas en rêve !

    Le positionnement politique ambigu de Macron ne séduira, in fine, qu’une partie limitée d’un électorat de gauche déçu par le quinquennat qui s’achève.

    La « Macromania » qui sévit depuis plusieurs mois, grâce à une presse nationale complaisante, ne devrait pas se calmer à l’issue des primaires de la gauche. En effet, le spectacle affligeant, sur le fond et sur la forme, donné par les sept candidats en lice promet encore de beaux jours à celui qui a fait le choix de se lancer seul dans l’aventure présidentielle. Même des élus socialistes de premier plan ne s’y trompent plus, manifestant un intérêt croissant pour la candidature de l’ancien ministre de l’Économie de François Hollande. Il est vrai que les législatives qui suivront, et les circonscriptions à sauver, ont de quoi motiver les plus indécis au PS.

    C’est donc fort de cette dynamique qu’Emmanuel Macron poursuit son chemin. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il ne laisse pas les foules indifférentes, puisque chacun de ses meetings rassemble un nombre de participants plutôt significatif.

    Ainsi, au Zénith de Lille, le 14 janvier dernier, étaient-ils près de 5.000 à être venus écouter celui qui se pose maintenant en « rempart contre le Front national ». C’est donc bien le second tour de l’élection présidentielle que Macron a désormais en ligne de mire. Il faut dire qu’ils en rêvent tous. Pouvoir se retrouver face à face avec Marine Le Pen renvoie immanquablement à l’élection de 2002 qui vit Jacques Chirac laminer son rival, Jean-Marie Le Pen, avec plus de 82 % des suffrages. Comment, dès lors, ne pas espérer pareil destin et miser sur le rejet qu’inspire encore le parti frontiste à certains électeurs, mais surtout sur ce fameux « pacte républicain » qui, jusque-là, a toujours permis, grâce à des alliances contre-nature et de circonstances, de faire barrage au FN ?

    Mais il y a un premier tour. Et même si Emmanuel Macron peut se permettre d’espérer, grâce à l’indigence ou au manque total de réalisme des propositions formulées par les autres candidats de gauche, il lui faudra trouver un nombre suffisant de voix pour écarter le candidat de la droite François Fillon. Pour cela, Macron compte, d’abord, sur la nouveauté qu’il incarne.

    Nouveauté relative, cependant, car il sort d’un gouvernement socialiste qui a piteusement échoué et dont il porte en partie la responsabilité du bilan. Il mise, ensuite, sur son programme économique qui, pourtant, de l’avis même des spécialistes, ne comporte rien de vraiment original.

    Reste, enfin, les propositions du fondateur d’En Marche ! dans les domaines régalien et de société. Là encore, une évidence s’impose. Pas de programme en matière de sécurité, si ce n’est un retour à la police de proximité dont les échecs successifs et coûteux n’ont manifestement pas servi de leçon. Des prises de position sur les causes du terrorisme et sur l’islam pour le moins déconnectées des réalités. Une volonté d’accueillir des migrants en plus grand nombre et la dépénalisation du haschisch. Bref, de quoi faire fuir un pan important de l’électorat français qui se fait, aujourd’hui, majoritairement demandeur de plus de fermeté, de rigueur et de sécurité.

    À n’en pas douter, de telles approximations ne contribueront pas à « faire barrage au FN ». Le positionnement politique ambigu de Macron ne séduira, in fine, qu’une partie limitée d’un électorat de gauche déçu par le quinquennat qui s’achève. Mais certainement pas cet électorat, plus « droitier », qui lui serait nécessaire pour espérer se retrouver face à Marine Le Pen. Quant à retourner les électeurs du FN avec de telles propositions, « même pas en rêve » !

    http://www.bvoltaire.fr/olivierdamien/emmanuel-macron-rempart-contre-le-fn-meme-pas-en-reve,307077