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  • Une révolution de l’intérieur… pour faire avancer notre idéal ?

    Dans une société où le leitmotiv est l’avoir plutôt que l’être, pourquoi ne pas tourner un peu le regard en nous ? Certains diront certainement : « Regarder en soi ? Mais c’est inutile… On ne fait pas avancer notre idéal de cette façon !». Et pourtant, quoi de plus utile ? Car il ne s’agit pas ici de privilégier le regard intérieur sur l’action extérieure, mais d’allier les deux afin d’être plus fort…

    De nombreuses personnes dénoncent ceux qui empruntent la voie de la transformation intérieure avant de vouloir transformer le monde. Selon celles-ci, ce chemin déboucherait inévitablement sur une impasse, et seules seraient valables les actions concrètes pour arriver à la révolution réelle.

    Il est certain que ceux qui spéculent intérieurement à longueur de journée, sans envisager derrière des actes, ne participent en rien à la révolution. Pour autant, ceux qui agissent en permanence, sans jamais se remettre en question, ne font pas plus avancer la cause. Dans ce dernier cas, on ne parle même plus d’action mais plutôt d’agitation. Au lieu de privilégier l’un ou l’autre, le mieux ne serait-il pas de les allier ?

    La réflexion sur soi aujourd’hui conditionne l’action de demain. L’action de demain sera meilleure, si en amont nous avons pris le temps de nous questionner intérieurement. De cette façon, action sur le monde et réflexion sur soi ne doivent pas être opposées mais complémentaires. Alors oui, pour transformer le monde, il faut savoir se transformer soi-même. Oui, il est inévitable de s’interroger : la direction que je prends est-elle la meilleure ?

    C’est d’autant moins évident de répondre à cette question aujourd’hui, car tout est fait pour que chacun soit détourné des questions intérieures. La multiplicité des hobbies proposés détourne en permanence les gens d’eux-mêmes. L’introspection est troquée contre les sensations. Le but est de vivre à fond, d’être dans l’action constamment, mais sans jamais se poser la question du sens et des répercussions de nos agissements. Voulez-vous vraiment être entraîné par la spirale du système ? Évitons d’être des marcheurs écrasés sous le poids de leur sac. Arrêtons-nous quelques minutes et posons le au bord du chemin, le temps de regarder au fond et de l’alléger, pour aller plus rapidement vers notre but !

    L’Ego, un poison contre l’avancée de notre idéal !

    Aujourd’hui, nous sommes face à une barricade bien plus difficile à franchir que celle des CRS : c’est l’Ego, c’est à dire la représentation que l’on a de soi-même. Il y deux sorte d’égo : le sain et le malsain. L’égoïsme sain est nécessaire au bon développement de chacun et revient à être fier de ce que l’on fait. L’égoïsme mal sain consiste à y ajouter une dose de prétention et de vanité. Autrement dit, l’égoïsme nuisible et quelque part invisible, conduit chacun d’entre nous à croire qu’il est supérieur aux autres. Au contraire, levons le voile et tournons le regard en nous pour adopter une nouvelle attitude plus propice à l’avancée de notre idéal. Regardons ce qui nous relie plutôt que de nous focaliser sur ce qui nous différencie. Comprenons qu’en étant occupé à nous faire la guerre, nous ne sommes plus préoccupés à combattre ce système. Comme le disait Karl Fischer, dirigeant des Wandervögel : « Toutes les chapelles, les dissidences et les dissensions d’ordre personnel doivent fondre devant la tâche à accomplir. ». Pour en arriver là, la seule voie est la prise de conscience personnelle. Il est donc nécessaire de regarder en soi et d’effectuer un changement.

    Ainsi, avant de transformer le monde, il faut savoir se transformer. Et oui, nous n’avons jamais fini de nous changer intérieurement, afin de rechercher ce qui est bon pour l’avancée de la révolution. Une révolution qui ne viendra jamais si chacun de nous est obnubilé par son nombril. Ayons « plus peur de nos propres erreurs que des plans de nos ennemis »disait Périclès. Si nous n’y prenons garde l’erreur principale sera de ne pas voir que l’ennemi principal est aussi en nous-mêmes. Nous sommes toujours à la croisée de deux chemins, lequel voulez-vous prendre ?

    Alaric Levant

    http://rebellion-sre.fr/revolution-de-linterieur-faire-avancer-ideal/

  • Primaire de la gauche : les dix propositions les plus folles

    Primaire-gauche-Minute-Couv-251x350.jpgLes « sept nains » que sont, selon l’hebdomadaire Minute, les sept candidats aux « primaires citoyennes » – la primaire de la gauche – sont tous d’accord sur un point : il faut accorder le droit de vote aux étrangers non européens pour les élections locales. Ceux-ci pourront d’ailleurs voter à cette primaire, ainsi que Novopress l’avait relaté. Mais que proposent d’autre les candidats socialistes, radicaux et écologistes ? Dans son édition de cette semaine, Minute a dressé la liste de quelques-unes de leurs propositions. Florilège.

    La brigade de lutte contre les discriminations. C’est une idée de Benoît Hamon. Il s’agit pour ces policiers d’un nouveau genre de contrôler « les pratiques des structures publiques et privées en matière de discrimination ». Alors dénonçons-nous tout de suite : à « Minute », il n’y a aucun journaliste de gauche, ni issu de la « diversité » extra-européenne. L’amende serait élevée ?

    Les autoroutes de l’immigration. En proposant un corridor humanitaire pour « accueillir directement les réfugiés depuis les pays voisins de la Syrie », Vincent Peillon veut lui, tout simplement, faciliter l’immigration. Une sorte d’autoroute, donc, mais sans péage…

    Retour à la démocratie grecque. L’élection, c’est dépassé. Arnaud Montebourg veut 100 « citoyens tirés au sort au Sénat » et créer la VIe République ! Au moins lui reconnaîtra-t-on qu’il défend cette idée – dans le vide, certes… – depuis 2001.

    « Faire de la condition animale une des grandes causes du quinquennat ». C’est la proposition choc de François de Rugy, qui serait envisageable s’il n’avait abandonné l’idée qui nous intéresse un peu plus : faire des Français la première grande cause du quinquennat…

    Une fac pour les imams. Manuel Valls souhaite en effet « permettre aux futurs imams d’avoir dans les universités un accès gratuit à un enseignement sur le droit des cultes, les institutions nationales et locales de la France, la laïcité ». Faire l’islamisation de la France sur le budget national, voilà une idée qu’elle est bonne !

    La diversité jusqu’au plus haut niveau de l’Etat. Manuel Valls veut officiellement « respecter la diversité dans les nominations de l’État ». En d’autres termes, la discrimination positive plutôt que le mérite ! C’est le même qui voulait « des white, des blancos » sur le marché d’Evry.

    « L’inscription de la laïcité au patrimoine immatériel de l’humanité de l’Unesco »Membre du Parti radical, Sylvia Pinel n’a peur de rien en matière de laïcité. Elle veut d’ailleurs également créer « une Maison de la Laïcité dans chaque région », ainsi qu’une « réglementation de la présence des fonctionnaires en service dans les cérémonies religieuses ». A quand le retour des fiches ? Mieux encore, Pinel souhaite la « fin de la reconnaissance mutuelle des diplômes entre la France et le Vatican ». Ça doit être son côté vintage…

    Le retour des Chantiers de Jeunesse ! Pour lutter contre la radicalisation, Sylvia Pinel plaide pour la création « des Chantiers républicains destinés aux jeunes de 15 à 18 ans ». Tous les jeunes sont-ils concernés ? On ne sait pas. Quoiqu’il en soit, « pendant trois ans, à raison d’un mois par an, ces jeunes devront défendre un projet cohérent avec les valeurs de la République et qu’ils auront choisis ». Les recruteurs de Daech en tremblent d’avance.

    « Un vaste plan de jumelages inter-établissements scolaires ». C’est la proposition très sérieuse de François de Rugy pour « lutter contre les stéréotypes et les Frances qui s’ignorent » ! Chaque collège ou lycée devra se jumeler avec « autre établissement, situé dans une autre région, et dans un contexte socio-économique différent. […] Les échanges entre les élèves permettront de confronter chacun à la diversité sociologique de la France, et de lutter contre les préjugés et les communautarismes de toutes sortes ». On peut appeler ça le choc des cultures !

    Une seule séance de questions au gouvernement par semaine. Sylvia Pinel propose cela en guise de réforme institutionnelle. On appelle cela avoir le sens des priorités.

    http://fr.novopress.info/

  • Loi sur l'avortement : 42 ans d'une réalité sordide

    De la Marche pour la vie :

    6a00d83451619c69e201b8d254b584970c-250wi.jpg"42 ans après la légalisation de l’avortement, certains le célèbrent comme une liberté au point de l’ériger au rang de droit fondamental.

    Et pourtant :

    • l’avortement est d’abord une réalité sordide, car il consiste à mettre un terme à la vie d’un être humain,
    • un problème majeur : plus de 9 millions d’avortements en France depuis 1975,
    • un tabou : les opposants ne sont pas entendus et sont stigmatisés, et bientôt censurés via le nouveau délit d’entrave à l’IVG
    • Il fait l’objet d’un déni de la réalité: personne n’ose aborder la réalité de l’acte lui-même qui consiste à tuer un enfant, et la négation du syndrome post abortif est imposée.
    • La légalisation de l’avortement a initié une inversion du bien et du mal et contribué à  anesthésier les consciences.

    Malgré ce constat, depuis 5 ans le gouvernement a fait de l’avortement une priorité politique, budgétaire et symbolique : remboursement intégral de l’avortement, suppression de la notion de détresse, revendication d’un droit fondamental à l’avortement, mesures de promotion de l’avortement ( suppression du délai de réflexion, instauration de quotas etc.), remboursement intégral des actes afférents à l’avortement, création d’un nouveau délit d’entrave à l’avortement.

    42 ans d’IVG : 42 ans d’errance

    La loi Veil devait contribuer à réduire le nombre des avortements : 42 ans plus tard, ils ont explosé.

    La loi Veil devait favoriser le soutien aux femmes en détresse souhaitant garder leur bébé : 42 ans plus tard, ce volet de la loi n’a jamais été mis en œuvre.

    La loi Veil devait libérer les femmes des grossesses imposées : 42 ans plus tard, ce sont 80 % des avortements qui sont imposés à la femme enceinte par son entourage, les parents des jeunes filles mineures ou le compagnon de la femme majeure.

    La loi Veil devait donner le choix aux femmes : 42 ans plus tard, un nouveau délit d’entrave à l’avortement va menacer tous ceux qui veulent proposer des solutions alternatives et va donc réduire à presque rien la possibilité du choix.

    La loi Veil devait rendre les femmes plus heureuses : 42 ans plus tard, le syndrome de stress post abortif est un sujet tabou et le regret de l’enfant qu’on a porté dans son ventre n’est ni reconnu, ni pris en charge."

    par Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/01/loi-sur-lavortement-42-ans-dune-r%C3%A9alit%C3%A9-sordide.html

  • Jacques de Guillebon : « Il y a une collusion de cathos bon teint pour écarter les cathos identitaires »

    Le journaliste et essayiste Jacques de Guillebon analyse, pour Boulevard Voltaire, la polémique dite des « cathos identitaires ».

    Selon lui, on assiste, chez les catholiques français, à un basculement vers un champ politique plus à droite, qui correspond au basculement des Français en général.

    Certains catholiques bourgeois, paniqués par ce phénomène, qualifient ces catholiques « d’identitaires » et ont décidé souverainement qu’ils étaient infréquentables.

    http://www.bvoltaire.fr/jacquesdeguillebon/y-a-collusion-de-cathos-teint-ecarter-cathos-identitaires,306621

  • Toujours plus d’immigrés en France, et toujours moins d’expulsions !

    Ce sont les statistiques officielles sur l’immigration, rendues publiques hier, qui le disent, et Le Monde qui en livre le détail : l’an dernier, la France a « délivré 4,6 % de premiers titres de séjours de plus que l’année précédente » et les « sorties forcées du territoire » ont enregistré « une baisse de 16,3 % » : « La France a délivré 227 550 premiers titres de séjour en 2016, soit 4,6 % de plus qu’en 2015 », et ceux qui se présentent comme des réfugiés « en ont été les premiers bénéficiaires, puisque quelque 32 285 leur sont revenus, soit 41 % de plus que l’année d’avant. »

    Quant à ce qu’on appelle les « éloignements forcés », il « globalement plongé de 16,3 % » pour ne concerner que 12 961 personnes…

    Pïre encore : la Direction générale des étrangers de France (DGEF) « comptabilise plus de 2,3 millions de titres en cours de validité au 31 décembre, soit 20 % de plus qu’en 2010. Ce sont surtout les documents provisoires qui ont explosé (+ 26 % en six ans), pour atteindre quasiment 250 000 ».

    « Pourtant, ajoute Le Monde, les naturalisations, notamment par décret, continuent leur remontée engagée en 2012, avec le quinquennat Hollande. En 2016, 68 067 personnes en ont bénéficié (10,6 % de plus qu’en 2015) »…

    http://fr.novopress.info/

  • Richard Labévière - Terrorisme face cachée de la mondialisation

  • La bonne information (ou la réinformation) n’est pas une désinformation contraire mais le contraire de la désinformation

    Extrait d'un article de L'Homme Nouveau :

    6a00d83451619c69e201b8d254c24c970c-200wi.jpg"[...] la bonne information (ou la réinformation) n’est pas une désinformation contraire mais le contraire de la désinformation par sa finalité et son intention morale (dans La langue des médias, Ingrid Riocreux indique que même les médias dits de la réinformation n’échappent pas aux travers de leurs adversaires, en utilisant à leurs fins des citations tronquées, ou faisant dire parfois à son auteur [même au Pape] ce qu’il n’a pas dit…). Tous ceux qui ne pensent pas comme nous ne sont pas forcément des désinformateurs, des modernistes… Ne pratiquons pas à l’envers un terrorisme intellectuel, dont la reductio ad Hitlerum (l’accusation d’« extrême-droite », d’« intégriste »…) reste un modèle de la praxis communiste (pratiquée, hélas, chez des clercs). La réinformation, comme la contre-révolution, ne parle pas en termes dialectiques de camps, mais en termes de bien commun, de bien ou de mal, de vrai ou de faux.

    Elle part de l’expérience, de la réalité, des choses vues ou dites et non d’idées préconçues, a priori : ce qu’est le réel et non ce par quoi je prétends le connaître, à travers un prisme idéologique déformant et partisan. Elle n’interprète pas, n’extrapole pas, ne fait pas de procès d’intention, cherchant à sortir des insuffisances ou des ambiguïtés avérées. Dans les graves débats politiques ou religieux à venir en 2017, il est opportun de le rappeler."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html