- Page 43
-
-
La prétendue radicalisation de la droite
La renonciation définitive du maire de Bordeaux a été confirmée ce 6 mars. Il ne se portera comme candidat de substitution dans la campagne présidentielle. Or, cette nouvelle n’aurait pas dû surprendre grand monde. Seuls les médias, sans doute pour vendre du papier ou de l'espace publicitaire, ont fait semblant de présenter cette fausse question comme un objet d'attention quotidienne, et combien haletante : "demain Juppé parlera", "le dispositif Juppé se prépare", "enfin on va savoir", "Juppé plan B", ce qui devient dans Libé, royaume du calembour oblige "Juppé plombé", etc.
Et puis, comme prévisible, et comme annoncé par l'intéressé, le maintien du candidat investi par les primaires, a privé le projet de tout objet. Entretemps, les mêmes médias ont pu chroniquer et manipuler l'évolution alléguée de résultats de sondages mal définis, approximatifs, mais toujours assénés comme autant de certitudes.
Ceci n'est pas nouveau, et les déconvenues de l'année 2016 n'empêchent pas les mêmes de recommencer en 2017.
Retenons toutefois, parmi les motifs avancés par Juppé, l'un d'entre eux, à la fois le plus intéressant et celui qui se voulait accusateur. L’ancien premier ministre de Chirac se prononce contre ce qu'il fait mine de tenir pour une dérive : la "radicalisation" de la droite. Il accuse son propre parti d'avoir organisé, le 5 mars, une manifestation où seraient venus les plus déterminés de ses partisans.
Appliqué à la droite ce nouvel élément de langage la désignant comme "radicalisée" n’est pas apparu innocemment. En de dehors M. Juppé que l’on rattache un peu généreusement à la droite, ce sont surtout les perroquets du pouvoir hollandiste qui en propagent l’abus. Radicalisation en effet s’applique à l’islamo-terrorisme ou à la l’ultra-gauche violente. (1)⇓
Il convient de mesurer l'imposture.
Quelle "radicalité" en effet que de brandir des drapeaux tricolores sur le parvis des Droits de l'Homme ! Quel extrémisme que de chanter la Marseillaise !
Rappelons quand même que l'article 2 de la Constitution dispose que "l'emblème national est le drapeau tricolore, bleu, blanc, rouge. L'hymne national est la Marseillaise."
Quant au droit de manifester, il résulte de l'article 11 de la Convention européenne des droits de l'Homme sur la liberté de réunion et de l'article 10 de la Déclaration des droits de l'Homme et du citoyen qui énonce : "Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la Loi".
Deux personnages, qu’on aurait pu croire hors jeu, sont intervenus : M. Hollande dont on ne doit pas perdre de vue qu’il continue de résider au palais de l’Elysée, et sa petite camarade Hidalgo. Leurs déclarations tendaient à dénoncer la radicalisation de la droite. Elles visaient ainsi stigmatiser, dans ce rassemblement, le fait qu’il risquait de mettre en cause le pouvoir de ce qu’on appelle "la justice". Ce mot un peu pompeux s’agissant, en fait, de la magistrature syndiquée, est utilisé de manière ambiguë car, par hypothèse sémantique la justice ne saurait être que juste. Il n’en va pas de même pour tous les magistrats, que l’on doit sans doute respecter tout en sachant qu’il s’agit d’hommes, et de femmes, comme les autres.
Dans la constitution de 1958 l’autorité judiciaire n’est pas un pouvoir démocratique comme le sont le pouvoir exécutif et le pouvoir législatif et comme pourrait l’être un authentique pouvoir judiciaire conçu selon le doctrine de Montesquieu, clairement séparé par conséquent. Elle ne doit certes pas, elle ne devrait pas interférer dans les pouvoirs législatif et exécutifs issus eux-mêmes du suffrage universel.
C’est ainsi qu’elle ne saurait s’intéresser, pour le moment, avant la fin de ce misérable quinquennat, au salaire attribué par le chef de l’Etat à son coiffeur, rémunération bien plus élevée que celle de la plupart des attachés parlementaires, etc. On ne saura donc que plus tard, eu égard à la pauvreté de la chevelure confiée à ses soins diligents et coûteux, s’il s’agit d’un emploi fictif.
JG Malliarakis
Apostilles
- Tout cela relevant, nous assure-t-on, d'un travail de "déradicalisation", pourrait s'agissant de "soigner" la droite, prendre modèle sur l'internement psychiatrique soviétique. ⇑
-
Juppé renonce devant l’hypothèse Marine
Le pari a été plutôt réussi par François Fillon qui s’est senti relégitimé - c’était le but de la manœuvre - par la démonstration de force d’hier. Au dernier pointage environ 300 cadres et élus de LR appellent à son débranchement, mais vraisemblablement 40 000 personnes se sont rassemblées pour lui apporter leur soutien place du Trocadéro à Paris. Fillon joue la base contre les élites, fort de son résultat incontestable à la primaire ou il a écrasé Juppé au second tour. Fort aussi d’un programme certes libéral mais aussi conservateur, patriotique, qui promet (pour la énième fois!) de prendre en compte les aspirations identitaires du peuple de droite... Bref tout ce que M. Fillon n’a jamais (ou très peu) osé faire en trente ans de carrière politique. Mais un programme filloniste qui est apparu plus incarné, plus soucieux de la France comme réalité charnelle, que le discours froid, technocratique, européiste, aux relents communautaristes et immigrationnistes (il a tenté de rectifier le tir dans son programme mais trop tard…) du maire de Bordeaux. Le dernier des chiraquiens, le chantre de l’identité heureuse est rejeté, voire détesté par une large fraction des sympathisants de LR.
Les reportages effectués hier place du Trocadéro prenaient la mesure de l’hostilité que suscite Alain Juppé. Un plan B synonyme de bonne opération pour le FN et sa candidate affirmaient avec inquiétude les cadres de LR qui restent fidèles à M. Fillon mais aussi beaucoup de sympathisants lambda. A l’instar de “Corentin, 23 ans, étudiant en école de commerce” qui résume un avis très largement partagé dans la foule hier : ” Voter Juppé, c’est voter Macron, c’est voter mou, la France perdra cinq ans “. ” Il faut un vrai programme de rupture. Propulser quelqu’un d’autre à la place de François Fillon, c’est la meilleure façon de faire élire Marine Le Pen.”
Toutes choses qu’Alain Juppé sait parfaitement. Il n’était pas dupe du dernier sondage kantar publié hier dans Le Figaro qui le donnait pourtant qualifié pour le second tour, derrière la candidate du FN mais devant Emmanuel Macron, là où Fillon ne passerait pas la barre du premier tour et permettrait ainsi au poulain d‘En Marche!, d’Alain Minc, de Jacques Attali et de Daniel Cohn-Bendit d’affronter Marine dans le duel final. Malgré les pressions diverses et variées, soucieux d’éviter l’humiliation d’une élimination au premier tour de la présidentielle, M. Juppé a finalement jeté l’éponge ce matin lors d’une conférence de presse à Bordeaux.
La militante antinationale Laurence Parisot, ex patronne du Medef, vice-présidente de l‘IFOP, invitée ce matin sur Europe 1 n’a donc pas su plus que ses amis convaincre Juppé d’y aller, mais elle résumait aussi l’opinion du microcosme, des élites progressistes: “je n’ai jamais vu quelque chose d’aussi inquiétant”. “Ce qui se passe autour de François Fillon, c’est comme un film et on ne voit que le premier plan. Mais il y a un deuxième plan, le climat, les mots violents, tout cela légitime un peu plus l’arrivée de Marine Le Pen au pouvoir “.
Une victoire de Marine qui est une éventualité qui se renforce de jour en jour et qui se fraye un chemin jusqu’au cœur des palais de la République. L’obs nous indique que “pour parler de cette hypothèse radicale – mais qu’il semble considérer comme possible – François Hollande (obsédé par le FN) a convié à déjeuner cinq chercheurs spécialistes du Front National”. En l’espèce Nonna Mayer, Alexandre Dézé, les Olivier Dard, Nicolas Lebourg, Jean-Claude Monod. Ce n’est pas une certitude lui ont dit ses interlocuteurs mais “ pour le président de la République, si le FN progresse, c’est surtout parce que la gauche a renoncé à la patrie sans proposer autre chose (à qui la faute? NDLR) . Il a également souligné avec sévérité la responsabilité de l’Europe. “
L’Europe encore une fois a le dos large et ne doit pas occulter la lâcheté, la servilité, la frilosité des partis qui se partagent le pouvoir depuis des décennies constate Bruno Gollnisch. Ce n’est pas tant la responsabilité de l’UE qui est en cause que beaucoup plus directement celle de François Hollande, pseudo ennemi de la finance, et avec lui celle de l’ensemble de la classe politicienne qui s’est empressée de nous mettre la corde au cou, accepte la tutelle bruxelloise, notre inféodation aux oukases euromondialistes.
Alors que débute aujourd’hui le sommet de Versailles qui réunira ce soir les chefs de gouvernement d’Allemagne, d’Espagne et d’Italie, M. Hollande a accordé un entretien accordé très symbolique au groupe de journaux Europa (Le Monde, Süddeutsche Zeitung, La Stampa, The Guardian, La Vanguardia et Gazeta Wyborcza). Il a rituellement attaqué Donald Trump dont les propos sur l’Europe de Bruxelles ” donne un crédit aux populistes et aux nationalistes “. La Russie traditionnelle en a pris aussi pour son grade. Le président de la république a accusé le gouvernement de Vladimir Poutine d’utiliser ” tous les moyens pour influencer les opinions publiques “. Avec la même efficacité dans le sens contraire que nos propagandistes des grands groupes multimédias dans nosdémocraties avancées?
Bien sûr, François Hollande s’est arrêté sur la question de l’essor sans précédent du courant patriotique, national et souverainiste baptisé “populiste” ou “d’extrême droite”. Un qualificatif qu’il reprend sans surprise à son compte pour dire que “la menace existe. L’extrême droite n’a jamais été aussi haute depuis plus de trente ans. Mais la France ne cédera pas. D’abord, parce qu’elle est la France et qu’elle a conscience que le vote du 23 avril et du 7 mai déterminera non seulement le destin de notre pays mais aussi l’avenir-même de la construction européenne.”
” Car si d’aventure, poursuit M. Hollande, la candidate du Front National l’emportait, elle engagerait immédiatement un processus de sortie de la zone euro, et même de l’Union européenne [UE]. C’est l’objectif de tous les populistes, d’où qu’ils soient : quitter l’Europe, se fermer au monde et imaginer un avenir entouré de barrières de toutes sortes et de frontières défendues par des miradors (sic) . Mon ultime devoir, c’est de tout faire pour que la France ne puisse pas être convaincue par un tel projet, ni porter une si lourde responsabilité.”
La lourde responsabilité de M. Hollande, dont il ne peut d’ores et déjà s’exonérer, c’est son triste bilan, c’est d’avoir précipité un peu plus notre pays vers le déclin - mais comment pouvait-il en être autrement avec un programme comme le sien ? - de ne pas avoir su redonner un avenir, un destin à notre pays et à notre peuple. Une tâche à l’évidence trop lourde pour les candidats européistes porteurs de projets mettant en scène une France frileuse, racornie, sans flamme, sans souffle. Notre lourde responsabilité, nous, les nationaux, les patriotes de l’espèce amoureuse, nous en prenons toute la mesure, nous ne la méconnaissons pas. Mais autour de Marine nous nous sentons de taille à la relever. Elle consiste à permettre à la France de retrouver ses libertés, ses protections naturelles, sa prospérité, son identité malmené, son rayonnement international, son indépendance, sa voix singulière dans le concert des nations, de nouer des alliances conformes à ses intérêts, à favoriser une Europe des patries et de la libre coopération.
https://gollnisch.com/2017/03/06/juppe-renonce-devant-lhypothese-marine/
-
Fillon fait plier les Républicains - Journal du mardi 7 mars 2017
-
Yvan Rioufol : "La droite fait le ménage : voilà au moins une bonne nouvelle"
Tribune du jour d'Yvan Rioufol :
"Les Républicains deviendront-ils enfin un parti de droite ? Les portes qui claquent à propos de l’affaire Fillon clarifient des non-dits et des hypocrisies. Il est temps d’acter le divorce entre la droite honteuse, incapable d’aborder la question identitaire autrement qu’avec des gants et un pince-nez, et ceux qui estiment que rien n’est plus urgent que de répondre à cette crise de civilisation qui mène à la guerre civile.
Une grande partie de ceux qui quittent le navire n’avaient en réalité rien à y faire : je veux parler des centristes et des juppéistes qui n’ont jamais accepté leur lourde défaite lors des primaires de la droite et du centre. Je rappelle que François Fillon a été plébiscité, à cette occasion, pour son programme économique libéral mais aussi pour son projet sociétal et sa désignation du totalitarisme islamique comme ennemi à vaincre. Tous les Iago qui, à l’image de l’ancien porte-parole de Fillon, Thierry Solère, ont tenté jusqu’à ce lundi matin d’imposer Alain Juppé en remplacement du candidat officiel ont démontré qu’ils n’avaient rien compris de l’opposition fondamentale entre les deux hommes sur les questions sociétales. Celles-ci restent au coeur de la campagne, en dépit des efforts de la fausse droite de les évacuer. Ce qui apparait, dans ces derniers jours d’hystérie, est une pente totalitaire : des apparatchiks sont prêts à accorder tout crédit au "procès stalinien" fait à Fillon, afin d’obtenir son limogeage et son remplacement. le nom de François Baroin est même avancé. Mais il y a un hic : la société civile, excédée par ces pratiques, n’entend plus cautionner ce jeu anti-démocratique. Il va falloir faire avec le peuple.
Le succès, dimanche au Trocadéro, de la manifestation pro-Fillon est venu rappeler qu’il n’appartenait pas à des partis déconsidérés ni à des traitres sans vergogne d’écrire l’histoire à la place des citoyens (...). Juppé, ce lundi, a bien fait de renoncer à participer plus avant au putsch contre l’homme blessé. Il a également admis qu’il ne pouvait lui-même incarner le renouvellement. En revanche sa description de la manifestation du Trocadéro, qui aurait "montré que le noyau des militants et des sympathisants LT s’est radicalisé", illustre le conformisme de ce dirigeant, caricature d’une élite qui ne supporte pas de voir des citoyens regimber (...) La droite fait le ménage : voilà au moins une bonne nouvelle."
-
Désislamiser l'Europe : intervention de l'abbé Guy Pagès
-
L’affaire Fillon, prétexte d’une vaste recomposition
Derrière l’affaire Fillon se cache la création d’un futur « parti progressiste » voulu par le président de la République et une partie des élites financières. Cette recomposition politique a besoin de l’implosion de l’UMP. Eclairage.
Comment expliquer l’acharnement judiciaire et médiatique sur un candidat à l’élection présidentielle qui, lors de son passage à Matignon, a montré une posture favorable à l’Union européenne, à l’immigration et aux créanciers de l’Etat français ?
Un candidat qui, en cas de victoire, pourrait nommer comme premier ministre Henri de Castries, ancien patron du géant financier Axa et actuel président du comité de direction du lobbie mondialiste Bilderberg ?
Les événements actuels semblent prendre racine dans la volonté déterminée de recomposer le paysage politique français. François Hollande en personne l’a affirmé : « Il faut un acte de liquidation. Il faut un hara-kiri. Il faut liquider le PS pour créer un Parti du Progrès » (Un Président ne devrait pas dire ça, propos tenus le 12 décembre 2015 et rapportés par Gérard Davet et Fabrice Lhomme – éd. Stock, 2016).
« Liquider le PS pour créer un Parti du Progrès » (Hollande)Constatant la fin de course du Parti socialiste après le dernier mensonge de son candidat en 2012 (« Mon ennemi, la finance »), les scissions internes et la chute de sa popularité, face à un Front national aux portes du pouvoir, l’exécutif et ses soutiens cherchent désormais à repeindre le paysage politique.
L’Elysée pilote la montée en puissance de son ancien homme de main, Emmanuel Macron. Le battu de la primaire du PS, Manuel Valls en personne, s’en est ému dans L’Obs du 19 janvier dernier : « J’en ai marre de voir que le secrétaire général de l’Elysée aide à lever des fonds pour celui qui veut tuer notre parti [le PS] ».
Le ralliement soudain de François Bayrou au mouvement d’Emmanuel Macron (il aurait négocié environ 90 circonscriptions pour les prochaines élections législatives) et le départ de certains cadres du PS (dont le financier Jean Pisani-Ferry, en charge du programme), sonnent le début d’une recomposition des partis.
L’implosion recherchée de l’UMP
A l’heure de la montée des ‘populismes’, les enjeux sont importants. De puissants intérêts entrent dans le jeu.
Les propriétaires de presse Pierre Bergé (Le Monde, L’Obs, Télérama, Challenges, etc) et Patrick Drahi (BFM, RMC, L’Express, Libération) affichent un soutien sans faille à Emmanuel Macron, les médias publics semblent tenus à une relative bienveillance, la banque d’affaires Rothschild – principal relais des créanciers de l’Etat français – active ses réseaux.
Mais le projet n’est pas complet : il manque le ralliement des principales composantes du parti LR (ex UMP). La charge violente et continue contre son candidat actuel pour des emplois familiaux présumés fictifs aurait pour but de renverser François Fillon en faveur d’Alain Juppé, lequel est plus favorable à la « réunion de tous les progressistes » (Emmanuel Macron). François Baroin est également cité.
Le FN, cible ultime
De fait, les affaires ont fini par scinder le parti dit de droite : l’UDI, son allié de toujours, vient d’annoncer qu’il s’en détachait. Il pourrait attendre les prochaines législatives afin d’annoncer son ralliement au futur « Parti progressiste ».
Si certains, à l’UMP, se sont félicités de leur départ (« Le QG de Fillon est nettoyé des éléments perturbateurs » affirmait Charles Beigbeder), la droite européiste perd ainsi des centaines de cadres, des financements précieux et un certain nombre de voix pour les prochaines élections.
Les futurs scrutins pourraient voir un jeu à trois voire à quatre partis. Avec le Front national devenu arbitre, mais toujours cible ultime…
-
Des militants de Génération identitaire sécurisent le centre ville de Rouen
Samedi dernier, alors qu’une manifestation de « soutien à Théo » était prévue à Rouen, une trentaine de militants de Génération identitaire Normandie ont entrepris de sécuriser le centre ville. Vêtus de K-way jaunes, ils avaient informés les commerçants qu’ils se tenaient prêts à agir au moindre incident qui leur serait signalé, les précédentes manifestations ayant donné lieu à un déferlement de casseurs, toute la racaille se donnant rendez-vous pour agresser, détruire et brûler.
L’opération militante de Génération identitaire Normandie a produit son effet :pour la première fois, la préfecture a mobilisé les moyens policiers nécessaires au moyen de l’ordre, qui n’ont pas hésité à faire usage de canons à eau pour disperser les gauchistes qui se préparaient à l’affrontement. Comme quoi…
-
Intervention de Marine Le Pen à la Confédération des PME (CPME) | Marine 2017
-
2299 Français ou résidents impliqués dans les filières djihadistes