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L’indispensable radicalisation de la Nation française
Bernard Plouvier
On ne cesse de nous parler d’islamistes « radicalisés », alors qu’ils ne sont que des fanatiques prêts à tuer n’importe qui dans le cadre de leur Djihâd moyenâgeux et oriental. Une fois encore, les fabricants d’opinion publique jouent sur les mots (en termes nobles : ils usent et abusent des confusions sémantiques) pour tromper les nations européennes.
Le terme « Radical » implique le refus de transiger avec ses principes d’ordre éthique et les nôtres sont simples et démocratiques : travail, famille, patrie européenne, égalité de tous devant la Loi, strict respect des libertés d’opinion et d’expression, laïcité de l’État, enfin respect de la logique géographique – ce qui signifie que pour devenir membre de la Nation française, il faut, par définition, appartenir à la civilisation européenne.
Toute mixité raciale ne peut que créer une société multiraciste. De même, les cultures exotiques ne sont que des curiosités pour esthètes, à la façon des pièces de musée ethnographique. L’Europe est riche de sa civilisation et d’une culture plurimillénaire ; elle n’a nullement besoin d’importer du fatras exotique, sauf à titre de curiosités (comme l’on disait au XVIIIe siècle).
Les partisans des sociétés multiraciales et multiculturelles peuvent s’expatrier là où l’on aime le genre pot-pourri, par exemple dans les Amériques. Mais nous autres, Européens, n’avons pas à subir les effets pervers d’un afflux massif – par le nombre, la brutalité et l’insociabilité – d’immigrés souvent inadaptés à nos conditions de vie, parce qu’étant issus de pays sous-développés, aux mentalités opposées à notre modernité.
La vie moderne est faite d’un travail où l’intelligence et l’adaptation ont remplacé la force physique, nettement moins efficace et contrôlable que l’énergie matérielle. Elle est faite aussi de respect absolu de la vie privée, des sentiments d’autrui, de la liberté de penser et de s’exprimer pour tout citoyen honnête. La vie publique moderne est donc laïque, le phénomène religieux étant d’ordre strictement privé.
Notre conception de la vie est en tous points opposée au fanatisme mahométan. Dans la société islamique, totalitaire comme toute société à dogme unique – qu’il soit de nature religieuse ou politique ne fait rien à l’affaire -, le moindre crétin fanatique peut dénoncer son « frère » en allah, comme autrefois le communiste dénonçait au parti ou à la police politique le « camarade déviant » ou « l’ennemi de classe ».
Envahies, appauvries, meurtries, les Nations européennes doivent contre-attaquer. Le milieu politico-médiatique étant, sinon entièrement pourri, du moins assez faisandé et largement pénétré par la propagande globalo-mondialiste, métisseuse de races et de cultures, les Nations ne peuvent espérer de salut que par le populisme.
Un mouvement populiste efficace doit diffuser quotidiennement sur les réseaux sociaux un bilan des pillages, incendies, scènes de vandalisme, rackets et viols perpétrés par la racaille (autochtone et immigrée), de façon à ce que même le bobo le plus larvaire comprenne, grâce aux images et au discours, simple et véridique, que notre pays est délabré par l’effet d’un mauvais usage de l’argent public, dévasté de façon pluri-hebdomadaire par des individus hautement indésirables et que des citoyens français y sont molestés de façon pluriquotidienne.
L’on n’a pas besoin du discours néolibéral des mollassons du « Front national nouvelle vague ». L’on a besoin d’images du désastre français et de l’invasion exotique. L’on a besoin d’un avatar de Jean-Marie Le Pen, jeune et charismatique. Seul comptent le présent et l’avenir.
Il est absurde de discuter de problèmes économiques, financiers, sociaux, etc. tant que l’on n’a pas défini une attitude générale de défense vigoureuse – ce qui implique une action dure – de nos valeurs et tant que l’on n’a pas pris la ferme décision de rejeter l’envahisseur inassimilable.
La globalisation de l’économie fait de l’Europe (à l’exception de l’Allemagne, pour l’instant) un désert industriel. C’est le seul problème économique et social à régler d’urgence… alors que les démagogues parlent de réduire la quantité de travail à fournir par ceux qui ont (encore) un emploi !
L’ouverture des frontières aux êtres et aux biens, fondement de la société globalo-mondialiste, fait de l’Europe un caravansérail pour inadaptés, tout en créant les conditions optimales pour une fin de civilisation.
L’Europe ne sera de nouveau forte que lorsqu’elle ne contiendra que des Européens de souche et n’englobera que des terres européennes. Les territoires extra-européens doivent être abandonnés, sauf s’ils sont peuplés quasi-exclusivement d’Européens (tels le Groenland et les îles Saint-Pierre-et-Miquelon, qui appartiennent à la plaque tectonique nord-américaine). Les DOM-TOM ne font en aucun cas partie intégrante de la France : la décolonisation doit être complétée, tant pis pour les nostalgiques du XIXesiècle conquérant.
A contrario, il faut organiser sans faiblesse le retour intégral en leurs terres d’origine des extra-Européens. La preuve est faite, et largement, du caractère inassimilable des populations exotiques demeurées primitives, même si les rares élites d’origine extra-européenne s’assimilent assez aisément… mais que font ces personnes en Occident ? Leur devoir, envers leur race et leur continent, est de retourner dans leurs contrées d’origine pour les civiliser.
Pour défendre nos valeurs, nous devons radicaliser notre discours, mais surtout nos actes. La seule radicalisation efficace, c’est d’organiser des manifestations de grande ampleur, soit témoigner de notre force. Les arguments logiques sont manifestement inopérants auprès des pantins qui se sont hissés aux apparences du pouvoir pour servir des maîtres non-européens. La preuve est faite que l’expression de la volonté populaire est biaisée par le matraquage médiatique au service du pouvoir économique, ce qui revient à dire : la Finance.
Le discours populiste n’est en aucun cas suffisant. Un mouvement populiste doit être orienté vers un militantisme politique pour reconquérir les rues et les places publiques, de façon à permettre la libre expression de tous – et plus seulement celle des pseudo-gauchistes, nervis de la finance cosmopolite, et des forts en gueule exotiques – et pour assurer la libre déambulation, ce qui implique d’aider les forces de l’ordre, totalement dépassées, à lutter contre les bandes de sauvages qui pillent, violent, incendient, rackettent, molestent.
L’époque du bobo consommateur béat, tiers-mondiste & féministe, est révolue - aux USA comme en Europe, d’ailleurs, mais la décrépitude de la classe moyenne d’Outre-Atlantique est dépourvue d’intérêt pour les Européens, qui n’ont pires ennemis que les financiers installés en Amérique du Nord qui façonnent l’opinion mondialiste.
Finies les années de jouissance molle et de bêtise crasse. Commencent les années rudes de la guerre des races et des religions en notre Europe. Ou nous nous battrons, ou nos descendants seront esclaves… comme les Européens de l’Est le furent des Mongols, puis des assassins marxistes.
L’avenir de notre continent dépend de notre action.
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Passé Présent n°163 : Robert Lee, général en chef des armés des états confédérés
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Connaissez-vous Monsieur Blanquer ?, par Mathieu Bock-Côté
Le texte que nous publions ci-dessous a été publié samedi dernier dans Le Journal de Montréal. Mathieu Bock-Côté, docteur en sociologie, chargé de cours aux HEC à Montréal et chroniqueur au Journal de Montréal et à Radio-Canada, expose très favorablement aux Québécois ce que dit et ce que fait Jean-Michel Blanquer, le ministre français de l’Education nationale.
« Il se passe quelque chose de très intéressant en France depuis quelques mois. Un nouveau ministre de l’éducation, Jean-Michel Blanquer, est en train de réformer l’école en profondeur, pour la délivrer d’un certain carcan pédagogique et l’amener à renouer avec sa véritable mission.
Son objectif ? La recentrer sur les savoirs. Faire en sorte que les enfants qui sortent de l’école sachent lire, écrire et compter. Blanquer ajoute aussi : les jeunes doivent apprendre à respecter autrui.
Il veut que l’école leur transmette le goût de la lecture, de la culture et des arts.
Excellence
C’est dans cet esprit, d’ailleurs, qu’il a décidé, de remettre 150 000 exemplaires des Fables de La Fontaine aux élèves, à la manière d’un cadeau. II s’en est expliqué ainsi : « Elles nous disent quelque chose de la vie et sont éternelles ».
Autrement dit, les classiques ne sont pas un luxe. C’est en se tournant vers les grandes œuvres qu’on peut vraiment éduquer la jeunesse.
Blanquer croit aussi à l’amour de la beauté et veut pour cela redonner sa place à la musique à l’école.
Le maître mot de la philosophie scolaire de Jean-Michel Blanquer, c’est l’excellence. C’est en partie dans cet esprit qu’il a décidé de restaurer la place du grec et du latin à l’école. Le détour par les langues anciennes permettrait de mieux comprendre le français.
Mais Jean-Michel Blanquer va plus loin. S’il est ouvert à la technologie en classe, il l’est modérément.
Il croit aussi aux vertus de vieilles méthodes toujours valables, comme la mémorisation. Dans un entretien accordé à un hebdomadaire français, tout récemment, il expliquait qu’un élève tirera un avantage certain à apprendre un poème par cœur, car il cultivera ainsi sa mémoire.
Ce propos est quasiment transgressif dans une époque qui présente le par cœur comme une forme d’aliénation, et qui croit que Google peut se substituer à notre mémoire. Vive l’effort !
Par ailleurs, Jean-Michel Blanquer ne croit pas à ce qu’on pourrait appeler la réussite obligatoire et gratuite : il a décidé d’autoriser à nouveau le redoublement.
Mais le ministre ne s’arrête pas là : il entend aussi cultiver les vertus civiques. Et c’est ainsi qu’il a soutenu qu’il faut aimer son pays.
Vertus
C’est à la lumière de cette vertu qu’on doit enseigner l’histoire, a-t-il soutenu il y a quelques mois, et on doit l’enseigner avec un sens certain de la chronologie. Elle apparaîtra ainsi aux jeunes générations comme une aventure collective à laquelle elles sont invitées à se joindre.
Jean-Michel Blanquer n’est pas un nostalgique du monde d’hier, quoi qu’en disent ses adversaires.
Il croit plutôt à certaines permanences, à des idées qui traversent le temps, à des vertus indémodables.
Depuis quelques décennies, un peu partout Occident, l’école a été soumise à des idéologues qui ont traité les enfants comme des cobayes sur qui il fallait mener une expérimentation sociale à grande échelle. Ils ont fait des ravages.
Il est temps de redécouvrir ce qui n’aurait jamais dû être oublié.
À quand un Jean-Michel Blanquer québécois ? »
Mathieu Bock-Côté
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UNIVERSITÉ DE REIMS : 8.000 ÉTUDIANTS PRIVÉS DE COURS À CAUSE DE… 40 MIGRANTS !
Qu’est-ce que ces baudruches paralysées devant quarante personnes ?
C’est la dernière histoire en date. L’université de Reims a interdit l’accès de son campus à ses étudiants parce qu’un camp d’une quarantaine de migrants s’y est installé. 8.000 personnes privées de cours quelques jours après la rentrée universitaire, où est le problème ?
Message, dimanche soir, de Guillaume Gellé, président de l’université de Reims-Champagne-Ardenne (URCA) :
« L’établissement restera fermé jusqu’à nouvel ordre. Je ne pouvais plus assurer la sécurité de tous, que ce soit celle des étudiants ou celle des réfugiés. Parmi eux, on dénombre une quinzaine d’enfants, dont certains ont moins de cinq ans. L’université ne pouvait pas fonctionner normalement face à cette occupation illégale. Tant que les conditions de sécurité ne seront pas rétablies, l’accès aux locaux de l’université restera interdit et les cours suspendus. »
Ça s’appelle ouvrir le parapluie. Le Chamberlain, même. La capote XXL. Car se rend-il compte de ce qu’il écrit, ce monsieur Gellé ?
Reprenons sa missive et faisons une petite analyse de texte : il ne pouvait plus « assurer la sécurité de tous, que ce soit celle des étudiants ou celle des réfugiés ».
Que faut-il comprendre ? Que des étudiants excédés risquaient de s’en prendre aux campeurs ? Que les campeurs risquaient de s’en prendre aux étudiants ? Qu’un enfant s’écorche les genoux dans la cohue estudiantine et cela aurait déclenché un scandale propre à faire descendre toutes les belles âmes dans la rue ?
Le président Gellé est « une belle personne ». Il ne souhaite pas porter plainte contre les miséreux qui sont passés du parc Saint-John-Perse, tout à côté, au campus universitaire. Un parc où ils séjournaient depuis des mois et qu’ils ont quitté suite à la plainte des riverains excédés. Ah, les méchantes personnes que voilà !
« Il y a des échanges avec le préfet et l’État sur la suite à donner. Le but, ce n’est pas l’expulsion en tant que telle mais de rouvrir au plus vite le campus », dit M. Gellé. Nous voilà rassurés ! Les migrants aussi, sans doute…
Je me répète : se rendent-ils compte de ce qu’ils racontent, tous ces éminents hauts fonctionnaires de la République ?
Qu’est-ce que ces baudruches paralysées devant quarante personnes, incapables de gérer une telle situation ?
On n’ose imaginer ce qui se passera le jour où les Afghans, Syriens, Érythréens, Pakistanais, Soudanais, etc., arrêteront de se faire la guerre dans leurs campements pour se joindre aux Albanais, Arméniens et Tchétchènes (les quarante du campus de Reims) et devenir une armée vindicative ? Ils prendront la mer, eux aussi, pour aller demander l’asile politique… où et à qui, d’ailleurs ?
Enfin, comment compte-t-on faire durablement accepter aux Français la privation de leurs droits pour des équipements et des institutions qu’ils financent par leurs impôts ? Aujourd’hui l’université, hier et demain les gymnases réquisitionnés à chaque évacuation (plus de trente rien que pour Paris) et dont la transformation en dortoirs prive les populations locales de tout usage de « leur » bien.
http://www.bvoltaire.fr/universite-de-reims-8-000-etudiants-prives-de-cours-a-cause-de-40-migrants/
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Gladiateurs !
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Dédiabolisation : Lettre ouverte à un camarade nationaliste
Pieter Kerstens
Camarade,
De toutes parts, j’ai entendu nos élus, cadres et responsables politiques affirmer, depuis plusieurs années déjà, qu’il fallait « adapter notre discours », devenir « acceptables », ou encore cesser « les critiques outrancières ou blessantes », comme si nous étions coupables d’hérésies.
Peux-tu alors me faire savoir si , durant les 30 dernières années :
Le chômage a diminué ?
La pression fiscale s’est allégée ?
L’arrivée de clandestins hors-la-loi a cessée ?
La sécurité sur la voie publique et dans les écoles a été rétablie ?
La vente de drogues a été éradiquée ?
La dette publique est en voie d’être résorbée ?
L’islamisation de nos quartiers et de notre mode de vie est une illusion ?
Face à ces maux qui gangrènent le quotidien de nos compatriotes, un constat s’impose :
« La classe politique dans son ensemble entasse les bêtises sur son imbécilité, cumule erreurs et mensonges, et son arrogance frise son incompétence ! ».
Partout dans les pays d’Europe on constate une radicalisation des électeurs envers le Système.
Dès lors, pourquoi changer de stratégie dans la conquête du Pouvoir ?
Quelles raisons s’imposent-elles aujourd’hui pour modifier la tactique destinée à mettre le Régime face à ses contradictions ? Pourquoi vouloir changer le nom d’un parti, connu dans l’Europe entière, au prétexte de respectabilité ? Changer d’emballage, pour garder le contenu ?
Comment garder (ou récupérer) nos électeurs, déçus par les partis traditionnels, si nous suivons, nous aussi, les règles du jeu et l’autocensure imposées par les gouvernants ?
Et qu’est-ce qui distinguerait encore ton parti des autres pourriticards, dès lors que vos discours « soft » dérouteraient ceux qui vous soutiennent encore. Parce que la majorité d’entre nous sommes non seulement des révoltés, mais plus encore des rebelles envers le Régime, prétendu « démocratique », qui tolère une invasion de barbares inassimilables, en fermant les yeux depuis des décennies sur leurs dérives.
Nous voulons abattre cette coalition faite de libéraux conservateurs alliés aux démocrates chrétiens et aux écologistes ; coalition complice des maffieux socialo-marxistes qui nous a entrainés au fond du gouffre économique, financier et moral. Ici, .et ailleurs en Europe !
Depuis longtemps ces adeptes du consensus mou de la Pensée Unique ont jeté les valeurs de notre Société aux orties en livrant nos quartiers à l’emprise musulmane.
Pire, les laquais du Nouvel Ordre Mondial ont élaboré des lois liberticides qui interdisent la liberté d’opinion, de réunion, d’expression et de presse à tout mouvement nationaliste et identitaire. Curieusement et depuis longtemps, je n’entends plus les ténors de ces partis, présents également au Parlement Européen, défendre ces libertés fondamentales et au contraire ils me donnent le sentiment de se coucher devant le Pouvoir.
Il serait grand temps que, tous, vous ouvriez les yeux sur les raisons qui ont motivé ceux qui, depuis 30 ans, vous ont permis de connaître vos succès politiques et électoraux, ceux-là mêmes à qui vous ne demandez jamais leur avis. Ces citoyens « d’en bas » dont un nombre important vous abandonnent depuis 2007, parce qu’ils ne trouvent plus dans vos écrits et dans vos discours le ton et les arguments qui les avaient séduits auparavant...
Reçois, Camarade, mon sincère salut nationaliste.
A Bruxelles, le 15 septembre 2017
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LREM et la moralisation de la vie politique
Des subventions dans les poches LREM :
"Une amende de 15 000 euros a été requise contre une ancienne candidate LREM et ancienne adjointe à la mairie de Montpellier, Stéphanie Jannin, qui comparaissait lundi pour prise illégale d'intérêt devant le tribunal correctionnel de la ville, a-t-on appris auprès de son avocat.
Stéphanie Jannin, battue aux élections législatives dans la deuxième circonscription de l'Hérault en juin, comparaissait pour avoir voté, en tant qu'élue à Montpellier, des subventions - dont les montants n'ont pas été précisés - en faveur d'une association présidée par son compagnon.
La justice lui reproche en outre d'avoir voté un avenant à un marché de construction de logements sociaux, d'un montant de 70 000 euros, obtenu par une société dont elle avait été salariée précédemment.
[...] Stéphanie Jannin avait maintenu sa candidature aux élections législatives malgré sa convocation devant le tribunal correctionnel intervenue deux jours avant le premier tour. [...]"
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Le Front National au bord de la scission ? - Journal du mardi 19 septembre 2017
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Quimper : le minaret retoqué (annulation du nouveau projet), une victoire pour la résistance patriotique
Quimper (Breizh-Info.com) – Pour la troisième fois, la municipalité de Quimper, dirigée par Ludovic Jolivet, s’est opposée au permis de construire concernant une troisième mosquée dans la capitale de la Cornouaille. Pour l’association culturelle et cultuelle turque de Quimper, c’est la fin de la bataille juridique, puisque cette dernière a décidé de stopper ses actions en faveur du projet et de se consacrer à la rénovation de la mosquée déjà existante, route de Douarnenez.
Pour justifier l’annulation, Ludovic Jolivet a notamment argué de l’avis négatif de l’architecte des Bâtiments de France qui a déclaré : « Ce projet, en l’état, n’étant pas conforme aux règles applicables dans ce site patrimonial remarquable ou portant atteinte à sa conservation ou sa mise en valeur, l’architecte des Bâtiments de France ne donne pas son accord ».
Ali Dere, président de l’association turque, a notamment réagit en expliquant : « On ne veut pas faire de procès d’intention. Si le maire a estimé que le projet ne pouvait se faire comme nous le demandions, on respecte sa décision. Depuis trente ans, nous travaillons en bonne intelligence avec la municipalité dans le respect du cadre légal, mais aussi en nous intégrant dans le tissu socio-économique, associatif et culturel breton. Cette décision n’empêchera pas de nouveaux projets d’être élaborés et soumis en toute transparence au contrôle des services concernés. »
Pour l’association RéAgir (Résister et Agir) qui s’est opposée depuis le début aux différents projets de mosquée à Quimper, c’est une bataille remportée, « mais pas la guerre », comme Claudine Dupont-Tingaud l’explique dans un communiqué :
« Car si à Quimper, en Cornouaille bretonne, la communauté turque installée depuis 1970, vient de prendre acte (provisoirement ?) du refus des « Bâtiments de France » d’autoriser, sur sa mosquée un minaret assorti de coupoles prévus par son architecte – évident et provocant emblème de sa conquête physique de notre territoire !- nous savons que ces musulmans fidèles d’Erdogan – l’actuel tyran de l’Etat Turc – n’ont jamais renoncé à suivre sa célèbre recommandation : « ….profitez de votre double nationalité pour voter en France…..mais ne vous assimilez jamais : nos mosquées seront nos casernes, leurs coupoles nos casques, leurs minarets nos baïonnettes ,et leurs fidèles nos soldats » comme l’a écrit l’un de leurs poètes….»
Et l’association d’insister :
« Ce n’est donc pas une renonciation définitive de la communauté turque et nous devons en persuader nos édiles qui en ce domaine, font preuve, comme d’ailleurs l’Administration, d’un dangereux angélisme !
Nous ne pouvons nous satisfaire de ce recul , après 3 présentations de projets , uniquement, dû à une contrainte purement environnementale risquant de céder devant « l’accroissement démographique » comme nous en prévient le président de la communauté mahométane qui se félicite que son implantation bretonne ait permis, cette année, l’édition d’un festival Turc’o Breton !
REAGIR restera donc vigilant car l’actualité récente,- et la Bretagne dans sa générosité n’est pas épargnée – révèle le résultat du cosmopolitisme et du communautarisme dont l’Angleterre et la Catalogne donnent, hélas, un bien triste et sanglant exemple de non- résistance opposée au salafisme…. donc au terrorisme.»
L’association turque, forte d’un millier de membres dans les environs, dispose toutefois pour l’instant (avant la rénovation) d’une capacité d’accueil, au sein de sa mosquée, de 500 personnes, et d’une salle de réception pouvant en accueillir 800 avec notamment une salle réservée exclusivement aux femmes.
NDLR : comme quoi, là où on se bat, on peut gagner...