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  • LES IMMIGRÉS QUI NE S’INTÈGRENT PAS NE FONT RIEN D’AUTRE QUE D’IMITER NOS « REBELLES »

    COMBAZ

    Le précepte selon lequel c’est au pays d’accueil d’adopter les codes de ses immigrants est en fait une adaptation des préceptes qui régissaient la vie sociale en 1970-80 : inventer ses codes, les imposer à autrui, faire fi des règles du monde dans lequel on vient d’entrer, c’est l’esprit rebelle si vanté aujourd’hui, qui nous revient sous la forme du migrant vindicatif qui n’apprend ni la langue ni la culture du pays d’accueil.

    http://www.bvoltaire.fr/immigres-ne-sintegrent-ne-rien-dautre-dimiter-nos-rebelles/

  • Sur la dangerosité sociale et politique intrinsèque de l'ultra gauche ...

    Le commentaire de Gilbert Claret

    3214517770.jpgNotre article d'hier lundi « Décryptage : Le président d'Action Française Provence écrit au préfet de police des Bouches du Rhône » a donné lieu au commentaire de même date, qu'on va lire. Il nous a paru intéressant de le publier. Il révèle aussi le mal que peut faire la partialité des médias et la capacité de quelques-uns à imposer à tous la diffusion d'informations absolument fausses. En tout cas, merci à l'auteur de ce commentaire qui contribue à rétablir la vérité. L’Action française n’a jamais cautionné le terrorisme ! LFAR   

    J'ai lu avec attention l'article de LFAR ainsi que la lettre adressée récemment par le président de l'Action française Provence au préfet de police des Bouches du Rhône. [ndlr : nous avons simplement rétabli ici les titres des deux personnes concernées].

    Lorsque cette affaire de soupçon de préparation d'attentat terroriste à Marseille a été annoncée il y a quelques semaines à la radio et plusieurs fois répétées par les médias sur les ondes et le net, j'ai été interpellé et troublé par l'indication que les présumés terroristes seraient liés à l'extrême droite et nommément à l'Action française, pour le coup assimilée à l'extrême droite.

    Je suis bien heureux d'apprendre par votre article que l'Action française n'a rien à voir avec cette affaire dont ne sait d'ailleurs rien de précis si ce n'est qu'elle a permis un effet d'annonce à sensation. 

    Mais entre-temps, le dommage à la réputation de l'AF a été fait et a pu prospérer dans la tête des gens. Espérons que la presse sérieuse mettra les choses au clair rapidement mais il en restera toujours quelque chose de négatif dans l'esprit de nombreuses personnes. Je ne suis pas membre de l'AF mais je n'ai pas de préjugé hostile à son égard. Royaliste de cœur et de raison, je n'aime pas l'idée que cela peut faire de vous un suspect de sympathie pour l'extrémisme violent avec tout ce que cela implique comme effet répulsif aux yeux des braves gens.

    Cette affaire démontre une fois de plus la dangerosité sociale et politique intrinsèque de l'ultra gauche par sa violence avérée et son absence de scrupule à le faire savoir, et il est consternant de constater que finalement le pouvoir qu'il soit de droite ou de gauche ou en même temps les deux à la fois, semble protéger sinon tolérer les agissements délictueux et criminels de ses membres. Effarant et édifiant.  

    Lire l'article et les autres commentaires ...

    Décryptage : Le président d'Action Française Provence écrit au préfet de police des Bouches du Rhône

    Lire aussi l'article du Monde [17.10.2017] où l'A.F. est correctement distinguée de l'ultradroite.

  • L’union des droites par la grâce de Jean Paul II

    Extrait de l'analyse d'Eric Letty dans Minute, sur l'affaire de Ploërmel :

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    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • L’Incorrect n°3 en kiosque ce jeudi

    Voir l'image sur Twitter

    Le numéro 3 dans vos kiosques dès demain. Et parce que c’est vous, nous augmentons encore le tirage ! 

    https://fr.novopress.info/

  • Taxe sur les dividendes : les juges laissent une ardoise de 10 milliards d’euros aux Français

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    Par Carl Hubert, essayiste ♦ A la suite de l’annulation par les juges de la taxe sur les dividendes et ses 10 milliards de recettes fiscales, l’administration, c’est-à-dire en réalité le contribuable, est condamné à indemniser les entreprises concernées. Mais qu’en est-il exactement ?

    Le 6 octobre dernier, le Conseil constitutionnel a déclaré inconstitutionnelle la contribution de 3% sur les bénéfices distribués. Cette contribution était due par les sociétés qui distribuent des dividendes. Créée au début de la législature de François Hollande, elle procurait des recettes de 2 milliards d’euros par an. Elle a donc rapporté, au total, entre 2012 et 2017, environ 10 milliards d’euros.

    Une ardoise qui dépasse le budget annuel du ministère de la justice

    La plupart des entreprises redevables de cette contribution avaient déposé des réclamations. Compte tenu de la décision du Conseil constitutionnel, elles ont droit à un remboursement immédiat, assorti des intérêts moratoires au taux de 4,8% net d’impôt : un beau placement en vérité ! L’Etat risque ainsi de rembourser dans les prochains mois 10 milliards d’euros, soit davantage que le budget du ministère de la Justice !

    Une chasse aux responsables dans les sphères politique et administrative

    Une mauvaise surprise pour Bercy qui, par la voie du ministre de l’Economie et des Finances Bruno Lemaire, met en cause les gouvernants de l’ère Hollande. M. Lemaire a même mandaté l’Inspection générale des finances pour identifier les responsables de cette catastrophe budgétaire. Dans sa ligne de mire, on identifie notamment Michel Sapin, son prédécesseur comme ministre des finances.

    Mais des socialistes, comme Bernard Cazeneuve, ont eu beau jeu de rappeler qu’Emmanuel Macron était à l’époque, en 2012, secrétaire général adjoint de l’Elysée, où il était chargé des questions fiscales. Bon nombre des conseillers clés de l’époque Hollande ont d’ailleurs pris du galon sous l’ère Macron. On ne peut d’ailleurs exclure que M. Lemaire prenne un malin plaisir à mettre en cause implicitement l’actuel président de la République.

    La responsabilité de ce désastre budgétaire est pourtant d’abord à rechercher chez les juges

    Quoi qu’il en soit, les responsabilités sont-elles vraiment à chercher dans les ministres, leurs conseillers ou leurs administrations ? Sans doute pas ou, tout du moins, pas exclusivement. Car il est parfois bien difficile pour le gouvernement d’anticiper ce que diront les juges d’une taxe. En l’occurrence, ce sont les juges européen et constitutionnel qui sont responsables.

    Le juge de Luxembourg a posé un oukaze

    C’est d’abord la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) qui a décidé que certains dividendes, qui étaient financés par des bénéfices exonérés par une directive, bénéficiaient d’une sorte d’immunité et ne pouvaient pas être taxés au stade de la distribution. Cet arrêt se fonde donc sur une interprétation très extensive d’une directive, qui n’allait pas du tout de soi.

    Christian Eckert, rapporteur général de la Commission des finances de l’Assemblée nationale en 2012, s’en est d’ailleurs expliqué : gouvernement et Parlement s’étaient demandé à l’époque si la taxe en discussion était conforme à l’article 5 de la directive « mère-filles » du 30 novembre 2011 qui prohibe les retenues à la source sur les dividendes versés à une société mère située dans l’Union européenne (UE). Il semblait que oui. Mais personne n’avait imaginé que la CJUE irait dire que la taxe serait contraire à l’article 4 de cette même directive, qui exonère la perception par une société mère de bénéfices déjà taxés dans l’UE mais ne pipe mot des redistributions de dividendes qui « proviennent » de ces bénéfices exonérés.

    L’arrêt de la CJUE, rendu le 17 mai 2017, ne concernait qu’une petite partie des dividendes qui était taxés. L’essentiel des recettes fiscales était donc préservé à ce stade. Mais c’était sans compter sur le Conseil constitutionnel.

    Le Conseil constitutionnel tire des conséquences disproportionnées des arrêts de la CJUE

    En février 2016, bien après la création de la taxe, les prétendus « sages » de la rue Montpensier ont inventé une jurisprudence qui place la France pieds et poings liés devant les arrêts de la CJUE. Il suffit que celle-ci juge qu’un impôt ne peut être appliqué à une situation régie par le droit de l’Union européenne pour que le Conseil constitutionnel décide que l’appliquer tout court causerait une discrimination à rebours des situations franco-françaises et générerait ainsi une rupture d’égalité devant l’impôt contraire à la Déclaration des droits de l’homme !

    Le Conseil constitutionnel a fait application de cette jurisprudence à la contribution de 3% sur les dividendes. Sans vraiment l’expliquer dans sa décision, il a considéré que, en raison de l’exonération partielle inventée par les juges de Luxembourg, toute la taxe était contraire au principe d’égalité devant l’impôt : une décision tirée par les cheveux qui coûte très cher à l’Etat. In fine, elle risque aussi de coûter cher aux contribuables et notamment aux entreprises (et pas forcément les mêmes que celles qui bénéficieront des remboursements) si le gouvernement crée une taxe exceptionnelle, mais aussi aux Français de manière générale si la France doit s’endetter à hauteur du manque à gagner.

    Le « gouvernement des juges » ne se manifeste donc pas seulement en matière d’immigration mais aussi en matière fiscale et budgétaire.

    Carl Hubert 25/10/2017

    https://www.polemia.com/taxe-sur-les-dividendes-les-juges-laissent-une-ardoise-de-10-milliards-deuros-aux-francais/

  • Les fanatiques du gender passent à l'action criminelle

    6a00d83451619c69e201b7c92ff9fe970b-800wi.jpgL’incendie de la gendarmerie de Meylan a été revendiqué par un groupe de femmes en lutte contre le genre… Dans un communiqué, elles osent écrire :

    "Nous avons ciblé les voitures privées des flics, au détriment des quelques sérigraphiées, parce qu’on avait envie de s’attaquer plutôt aux individus qui portent les uniformes qu’à leur fonction, plutôt à leurs biens personnels qu’à leurs outils de travail. Nous pensons que les rôles existent parce qu’il y a des personnes pour les remplir. Si derrière l’uniforme il y a un humain, c’est à lui que nous avons cherché à nuire.

    Au lendemain de l'incendie, le procureur de la République avait souligné que « cet acte visait non pas les locaux et bureaux de la gendarmerie, mais bien les véhicules et les familles ».

    Autre extrait du communiqué de ces taré.e.s :

    "Nous ne voulons pas être définies par les particularités de nos corps mais bien par ce qui résulte de nos choix, nos éthiques et nos actes. Même si on aimerait détruire le genre, ça nous fait du bien de se retrouver aussi entre personnes qui partagent les même ressentis, qui vivent dans leur chair ce que signifie d’être assignées meufs, et qui ont la même envie de s’en défaire. Ensemble, on se prouve qu’on est capable de poser des actes sur nos idées, et qu’on a besoin de personne d’autre que nous même pour le faire. On prépare nos revanches pour toutes les fois ou l’on s’est découragées en se persuadant que l’on était pas capables, qu’on avait pas les compétences, pas la force, pas les moyens, pour désamorcer cette logique qui nous fait repousser à toujours plus tard le moment d’exprimer nos colères et nos désirs. Nous avons concrétisé cette envie de revanche en nous organisant pour attaquer la gendarmerie de Meylan."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Marseille, l’autre scandale de Paris 2024

    Un aspect du dossier de la candidature française a suscité peu de commentaires, alors qu’il est consternant. C’est le choix de Marseille pour les épreuves de voile. Brest, Lorient, Le Havre et La Rochelle ont été écartées les unes après les autres par le Comité national olympique du sport français (CNOSF). La décision a été prise en 2015, sur six critères : qualité du plan d’eau, infrastructures de la marina olympique, visibilité pour les spectateurs, hébergement des sportifs, accessibilité et capacité hôtelière. Manque à la liste : le vent. Aussi stupéfiant que cela puisse paraître, il n’a pas été pris en compte pour les épreuves de voile, qui risquent fort de virer à la farce. Les Jeux auront lieu du 2 au 18 août 2024. Facilement accessibles, les données météo de la station Marseille-Corniche pour la période 2012-2017 sont éloquentes. En août, la ville enchaîne les jours de calme plat. La vitesse moyenne du vent y est de 5 nœuds (soit 9,26 km/h), autant dire rien. La probabilité de vent supérieur à 4 beauforts, ce qu’on appelle une « jolie brise », est de 12 % seulement. À Brest à la même période, il y a, sans surprise, deux à trois fois plus de vent : 9 nœuds de moyenne et 29 % de chance d’avoir du 4 beauforts ou au-delà.

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  • Têtes à clash n°15 : sélection à l’université, Catalogne, les sugar daddies et Laurent Wauquiez

  • L’inintelligence actuelle des opinions publiques européennes

    Bernard Plouvier

    L’homme moyen, l’électeur lambda (ou « de base », comme l’on voudra le qualifier) a bien du mal à objectiver, appréhender, tout simplement à voir, ce qui menace à long terme sa collectivité.

    Il se trompe volontiers dans la désignation des véritables ennemis extérieurs. Et pour cause : on le force à considérer comme tels tous ceux qui déplaisent aux maîtres véritables de l’État. Le fin du fin, on le sait depuis l’Antiquité, est de présenter l’ennemi, potentiel ou imaginaire, comme un suppôt de Satan (ou sa variante diabolique locale).

    La culpabilité peut prendre des aspects inattendus. Ne pas hurler avec les fous furieux, ce qui réalise le crime de non-enthousiasme communautaire, peut mener au lynchage (au moins médiatique), au poteau d’exécution, à la case prison du Monopoly social, et, en une époque pas si lointaine, au camp de travail forcé.

    Celui qui refuse d’adhérer à la haine commune devient à la fois un mauvais citoyen et un hérétique, un non-ami à exterminer, physiquement ou moralement… on imagine ce que peut être le séjour d’un Français autochtone cultivé, emprisonné pour délit de pensée déviante dans une de nos merveilleuses prisons islamisées !

    Pour prendre un exemple qui ne fâchera personne, il est évident que le peuple de Corée du Nord n’est nullement responsable de la colère qu’éprouvent ses voisins nippons ou les dirigeants du grand prédateur nord-américain envers son dictateur paranoïaque, délirant de mégalomanie. Tout au plus pourrait-on reprocher au peuple de ne pas se révolter, mais en des situations analogues de terreur étatique puissamment conduite, aucun peuple, en aucune période historique, n’est parvenu à se libérer sans intervention extérieure.

    En régime de dictature, le peuple est au sens strict irresponsable des stupidités de ses chefs, mais il n’en sera pas moins sévèrement puni par l’extermination partielle en cas de guerre ouverte, puis par une occupation rude, où les vainqueurs se donneront le beau rôle, celui du justicier moralisateur… en Europe, c’est une comédie que l’on a jouée au moins deux fois durant le XXe siècle.

    Partout et quel que soit le type de régime politique, la politique extérieure échappe entièrement à la masse des électeurs, aussi bien au chômeur sans qualification qu’au titulaire d’un Prix Nobel, mais, en régime dit démocratique, ladite masse est responsable de ses choix, c’est-à-dire des excellences qu’elle a hissées aux apparences du Pouvoir.

    Nos Présidents et ministres qui ont allègrement fait participer des troupes françaises (ou britanniques ou italiennes ou danoises etc.) à l’élimination des gouvernants calmes, repus et souvent séniles des pays du Maghreb et du Proche-Orient, pour les remplacer par une chienlit islamique permanente, sont coupables de crétinisme sur commande. On se doute bien qu’aucun de ces petits hommes n’aurait pris une initiative aussi folle, mais ils ont servilement obéi aux tout-puissants seigneurs et ont bouté le feu là où il ne le fallait en aucun cas.

    Où voit-on dans l’électorat, souverain théorique de nos États européens, une volonté de faire passer en Haute Cour ces têtes folles ? Une fois de plus, s’applique le faux principe du « responsable, mais pas coupable ».

    La conséquence la plus visible de la stupidité ambiante des élus de haut vol, c’est, bien sûr, l’afflux massif de populations exotiques (ou exogènes, comme l’on voudra) en Europe occidentale et scandinave, avec son risque évident de substitution de population dominante, soit par la différence de natalité entre autochtones et immigrés – mécanisme éminemment démocratique : c’est la loi du nombre -, soit par une guerre de races et de religions au sein des États ainsi parasités.

    Depuis un an ou deux, l’on s’ébahit des « succès populistes » dans divers pays. Hélas, les chiffres électoraux sont très différents des commentaires ! Nulle part, en Occident, ne se dégage une vraie majorité (soit au moins 50,1% des inscrits) en faveur de l’expulsion des immigrés et de leur retour « à l’envoyeur ».

    Seuls quelques pays d’Europe de l’Est refusent cette aberration, ceux où le communisme stalinien (en réalité celui des « Lénine », « Staline », Brejnev, Tchernenko, Andropov) a laissé des traces chez les anciens des Jeunesses Communistes, devenus électeurs méfiants et attentifs.

    En Occident, l’on est aveuli par trois-quarts de siècle d’une propagande à l’eau de rose & tiers-mondiste, où l’on veut récrire l’histoire, en imposant des dogmes aussi stupides et insanes que ceux de l’unicité absolue du genre humain (entendre : la non-existence de spécificités raciales), l’origine africaine de l’Humanité actuelle, l’origine orientale de la civilisation depuis l’ère néolithique, l’interchangeabilité des êtres humains.

    Avec une telle mentalité artificiellement induite, l’on peut croire, en effet, que le brassage des races est « l’avenir de l’humanité » et que la France ne s’en porterait pas plus mal s’il y avait davantage de Mohamed et de Farida que de Michel et de Jeanne. Le raisonnement vaut pour l’ensemble des pays d’Europe des économies unies, c’est-à-dire l’Europe soumise aux dogmes globalo-mondialistes, soutenus par l’idole qu’on adore au Vatican.

    Comme toujours dans les périodes de décadence, c’est de la jeunesse qu’il faut attendre le sursaut salvateur… mais sûrement pas une jeunesse qui écoute et gueule du rap, bouffe dans des kébabs et se livre aux joies lubriques du métissage amoureux.

    Si l’on ne peut raisonnablement rien attendre des électorats décérébrés, c’est sur l’éducation saine de la jeunesse autochtone qu’il faut compter. Cela prendra vingt à trente ans, mais l’on n’a pas le choix. Ce n’est pas avec les Français, Belges, Allemands adultes gras du bide et plus mous encore de la cervelle qu’il faut espérer un salut.

    Les opinions publiques d’Europe sont actuellement lamentables, mais une multitude d’exemples de déchéance & de décadence nous enseigne que, toujours et partout, une jeunesse rude, enthousiaste et combative a sorti son peuple de l’ornière où les adultes l’avaient embourbé.  

    La seule chose à retenir d’Octave-Auguste à la mort de son illustre oncle, de Jeanne d’Arc au siège d’Orléans ou de Bonaparte à celui de Toulon, c’est leur jeune âge.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/