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La véritable histoire des Amérindiens
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Terrorisme : Donald trump veut restreindre l'immigration
Le président des États-Unis ne s’embarrasse pas du politique correct qui nous ronge en Europe :
""Je viens juste d’ordonner à la Sécurité intérieure de renforcer notre programme de vérification déjà extrême. Etre politiquement correct, c’est bien mais pas pour ça !". Donald Trump a posté ce tweet, ce mercredi matin à 2h26 (heure française), peu après l’attentat islamiste à New-York, près du site du World Trade Center. Sayfullo Saipov, un jeune Ousbek, au volant d’une camionnette, a tué huit personnes et en a blessé 11 avant d’être blessé lui-même par la police. Des témoins l’ont entendu crier Allah Akbar. Le tueur était arrivé aux Etats-Unis en 2010. Il bénéficiait d’une carte verte. Il était chauffeur chez Uber. Autre tweet du président américain : "Nous ne devons pas permettre à l’Etat islamique de revenir ou d’entrer dans notre pays après l’avoir vaincu au Moyen-Orient et ailleurs. Assez !". En France, c’est une politique inverse qui est suivie par Emmanuel Macron. En ressort une grande naïveté, qui ne peut qu’inquiéter. En dépit des attentats islamistes qui frappent le pays - Laura et Mauranne, assassinées à Marseille, étant les dernières victimes - l’état d’urgence a été levé ce 1 er novembre. Le dispositif arrêté par la nouvelle loi sur la sécurité intérieure, publiée mardi, maintient certaines protections. Elles resteront néanmoins en deçà de celles que permettait l’état d’urgence. Il était en en vigueur depuis les attentats de novembre 2015. Lors de son discours à la Sorbonne, fin septembre, le chef de l’Etat s’était fait également l’avocat de l’accueil. "Faire une place aux réfugiés est notre devoir commun", avait-il déclaré en s’engageant à renvoyer ultérieurement, sans dire comment ni sur quels critères précis, les déboutés du droit d’asile.
C’est bien le politiquement correct, dont s’est affranchi le président américain, qui lie les mains du président français. A l’évidence, la menace salafiste reste sous-évaluée par les pouvoirs publics. Lundi, sur RTL, le ministre de l’Intérieur a reconnu que seules 11 mosquées salafistes avaient été fermées (et certaines vont rouvrir) alors que la France en compte plus d’une centaine. Gérard Collomb a confirmé également que sur les 250 djihadistes déjà revenus en France après avoir combattu en Irak ou en Syrie, 110 sont en liberté, même s’ils sont suivis par la DGSI. Il est à craindre que les demandes de rapatriement de nombreux autres combattants islamistes encore sur place ne soient entendues par ce gouvernement, qui se veut exemplaire dans la défense des droits de l’homme. Or ces droits ne sont évoqués par les égorgeurs et autres barbares, qui redoutent la justice locale, que pour être violés ultérieurement par leurs bénéficiaires. Le procès Merah, qui s’achève demain, a montré le gouffre entre la contre-société salafiste qui s’est installée dans les cités et la République bonasse qui continue de ne rien voir. Celle-ci n’a toujours pas compris qu’une guerre avait été déclarée contre elle, au nom d’un islam porteur d’un projet de société. Contrairement à ce que dit Macron, ce ne sont pas les crises sociales ni le réchauffement climatique qui motivent les terroristes, mais la haine de la France et de l’Occident. Oui, Trump a tout compris."
Dans un autre tweet, il a tout simplement demandé la condamnation à mort du terroriste :
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EMMANUEL MACRON S’EMPARE DE LA LÉGION D’HONNEUR
Le président de la République a donc décidé de réduire drastiquement (c’est l’adjectif employé par Le Figaro du 2 novembre) le nombre de nominations dans la Légion d’honneur, au motif de « revaloriser » notre premier ordre national. En creux, cela signifierait donc qu’il serait dévalorisé, que nombre de ses membres ne seraient pas dignes d’en faire partie. Et c’est vrai que lorsqu’on voit un Weinstein décoré du prestigieux ruban rouge – sans pour autant être membre de l’ordre, car étranger -, on peut à juste titre se poser des questions.
La décision d’Emmanuel Macron arrive donc à point nommé et ne manquera pas d’être approuvée par une majorité de Français. Il suffit de consulter le questionnaire – qui n’est pas un sondage mais constitue cependant un indicateur – réalisé par Le Figaro sur ce sujet : sur plus de 57.000 lecteurs, 98 % pensent que la décoration est accordée trop facilement. On fera remarquer que les nominations contestables aux yeux du public sont le plus souvent le seul fait du prince. Mais il est vrai que nul ne peut se prévaloir de ses propres turpitudes ! Weinstein n’a certainement pas fait l’objet d’un dossier longuement constitué par d’obscurs mais néanmoins consciencieux fonctionnaires…
Il est de bon ton de dire que tout le monde a la Légion d’honneur. Tout le monde ? Environ 93.000 Français en sont décorés aujourd’hui, contre plus de 320.000 en 1962, à une époque où la France comptait moins de 50 millions d’habitants. Mais il est vrai, aussi, que l’on sortait d’une longue période de conflits. Moins de 100.000 légionnaires à ce jour : est-ce donc trop pour un pays de près de 67 millions d’habitants ? Emmanuel Macron considère-t-il que cette France aux mille talents, nous dit-on, ne recèlerait pas, chaque année, au moins quelques nouveaux milliers de Français à distinguer pour leurs services éminents ? Moins d’un Français sur 700 soit 0,13 % de la population, appartient à cette sorte de noblesse du mérite, telle que l’avait voulue Napoléon Bonaparte, son fondateur. À titre de comparaison, en 1789, la noblesse représentait environ 1,5 % de la population française. Autre comparaison : la Grande-Bretagne compte environ 100.000 chevaliers et dames de l’Empire britannique, dont une majorité de citoyens du Royaume-Uni.
Ainsi, Emmanuel Macron veut revaloriser la Légion d’honneur. Mais il répond à une question qualitative par une réponse quantitative. C’est pour le moins curieux, avouons-le.
On nous explique, par ailleurs, pour défendre cette réforme, que « pour limiter l’entre-soi, les ministres ne pourront pas proposer plus de 600 personnes à décorer ». Quel paradoxe ! L’entre-soi risque fort de devenir tout simplement une sorte d’« entre eux » puisque le « ticket d’entrée » sera plus difficile à obtenir, si l’on peut s’exprimer ainsi – car on ne demande pas la Légion d’honneur, faut-il le rappeler ? Il est évident qu’en réduisant « drastiquement » le nombre de récipiendaires, l’on va accroître mécaniquement le fait du prince.
La Légion d’honneur n’est pas un « témoin d’usure », dit-on, un peu méprisant, dans l’entourage du Président. Autrefois, on disait plus élégamment blanchir sous le harnois pour ces vieux serviteurs de l’État qui recevaient la croix en ultime récompense. Je dis autrefois, c’est-à-dire déjà dans les premiers temps d’existence de l’ordre. Alors prétendre, comme l’affirme Christophe Castaner, que l’enjeu de cette réforme vise à « retrouver les valeurs initiales » de la Légion d’honneur est peut-être un peu présomptueux.
« La cordée républicaine doit irriguer toute la société », souligne l’Élysée dans une métaphore, pour le moins curieuse, que l’on croirait avoir été rédigée par un potache laborieux et qui mériterait de figurer dans le recueil de perles de Jean-Charles. Mais derrière ce charabia se cache toute la vision macronienne de la société. D’un côté, une haute aristocratie éclairée – ou supposée l’être – très restreinte en nombre, et d’un autre côté, un vaste peuple d’ilotes, « ceux qui ne sont rien ».
L’ordre de Saint-Louis, au ruban rouge, était largement distribué sous l’Ancien Régime. À la différence de l’ordre du Saint-Esprit, réservé à la haute noblesse. Emmanuel Macron veut-il transformer la Légion d’honneur en ordre du Saint-Esprit ?
http://www.bvoltaire.fr/emmanuel-macron-sempare-de-legion-dhonneur/
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Portrait piquant de Patrick Cohen [Focus I-Media]
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Procès de Thomas Joly le 9 novembre : il répond à Riposte laïque
Ce jour, nous avons rencontré Thomas Joly, secrétaire du Parti de la France, qui, comme d’autres patriotes, paraît avoir quelques soucis avec la justice de son pays…
Riposte Laïque : Vous êtes le secrétaire du Parti de la France, présidé par Carl Lang. En dehors de cela, que pouvez-vous dire de vous, afin que nos lecteurs vous connaissent davantage ?
Thomas Joly : Je suis fonctionnaire de l’Éducation nationale, j’ai 41 ans, je suis marié et père de 3 enfants, je pratique la boxe anglaise pour entretenir la forme et je consacre une grand part de mon temps libre à mes activités politiques ! Engagé en politique depuis l’âge de 19 ans (au Front national à l’époque), je n’ai eu de cesse de lutter contre la colonisation migratoire et l’islamisation de notre pays qui, si elles ne sont pas stoppées et inversées, se révéleront mortelles pour notre peuple et notre civilisation lorsque nous ne serons plus qu’une minorité sur notre propre sol.
Riposte Laïque : Vous voilà donc convoqué le 9 novembre prochain, au tribunal correctionnel de Beauvais. Qu’avez-vous donc fait de si grave ?
Thomas Joly : J’ai commis le crime abominable d’avoir illustré des articles de mon blog dénonçant la barbarie de l’État islamique avec des photos de la décapitation de Hervé Cornara par l’islamiste Yassin Salhi, ainsi que celle de James Foley décapité par l’État islamique. Je suis convoqué devant le tribunal correctionnel de Beauvais le 9 novembre prochain pour une soi-disant « diffusion de message violent accessible à un mineur », prétexte trouvé par le procureur pour me poursuivre. A savoir que j’ai passé six heures en garde à vue, le 19 février 2016, pour ce motif et que j’ai été convoqué à trois reprises par la gendarmerie pour ces mêmes faits.
Riposte Laïque : Quelle est votre réaction, devant ce procès ?
Thomas Joly : Il s’agit clairement d’un procès politique destiné à faire taire ceux qui dénoncent l’invasion afro-musulmane et la barbarie terroriste pratiquée au nom de l’Islam par des fanatiques sanguinaires. De plus, le chef d’accusation choisi est pour le moins cocasse lorsque l’on sait que les médias ont diffusé jusqu’à la nausée la photo du cadavre du petit Aylan échoué sur une plage afin de promouvoir l’arrivée massive de clandestins en Europe, que dès le plus jeune âge nos enfants ont droit à des cours détaillés sur la Shoah, que dans les écoles primaires des exercices de confinement sont discrètement organisés afin de préparer les enfants à l’éventualité d’un attentat islamique (requalifié en novlangue administrative « cas de risque majeur ») au risque de les traumatiser. Ce qui dérange le gouvernement et son représentant du Ministère public, c’est que, comme eux, je pense que « nous sommes en guerre contre le terrorisme » mais moi je désigne clairement l’ennemi et j’incite nos autorités à véritablement mener cette guerre ! Et celle-ci ne pourra commencer qu’en expulsant du territoire la plupart des extra-européens islamisés qui se comportent en conquérants et dont la majorité a une bienveillance suspecte avec les terroristes. Les rares fois où des musulmans sont descendus dans la rue suite à des attentats, c’était pour demander avec arrogance de ne pas faire d’amalgame avec l’Islam et de dénoncer l’islamophobie – pourtant légitime – des Français… J’invite ceux qui le souhaitent, et le peuvent, à venir me soutenir lors de ce procès inique, l’audience se déroulera jeudi 9 novembre à 8 h 30 au Palais de justice de Beauvais (20, Boulevard Saint-Jean).
Riposte Laïque : Vous n’avez pas ménagé vos critiques, depuis la création du Parti de la France, contre la direction du Front national et sa présidente, Marine Le Pen. 6 mois après la présidentielle, quel est votre regard sur la situation du FN, et plus largement sur le camp patriotique ?
Thomas Joly : Marine Le Pen est une véritable calamité pour la droite nationale. Elle n’a strictement rien retenu de son fiasco de la Présidentielle, alors même qu’elle bénéficiait de conditions historiques pour prendre le pouvoir ou au moins s’en approcher (attentats islamiques, crise des migrants, rejet de la classe politique du Système, chômage de masse). Lors de sa dernière prestation sur France 2, elle a continué sur la même ligne gaucho-souverainiste, qu’elle a toujours partagée avec son ex-lieutenant Philippot, et n’a pas pu s’empêcher d’avoir un petit mot ému pour nos « compatriotes musulmans » ;sûrement pensait-elle aux 92 % de mahométans qui ont voté Macron au 2nd tour de la Présidentielle ? Je crois qu’il n’y a rien à attendre du Front national tant que Marine Le Pen sera à sa tête ; le problème n’était pas Philippot, c’est elle. En outre, il est fort probable qu’elle subisse assez prochainement les foudres de la justice et qu’elle soit inéligible pour 2022, sans compter que le Front national, qui touche pourtant des millions de subventions publiques, est en quasi-faillite. Le camp national doit se réunir sur l’essentiel : le refus de la colonisation migratoire et de sa conséquence inéluctable : l’islamisation de notre société et l’instauration, à terme, de la charia.
Riposte Laïque : Quel est votre regard sur les six premiers mois de gouvernement de Macron ?
Thomas Joly : Même s’il fait mine de bousculer les codes établis, Emmanuel Macron est le digne successeur de ses prédécesseurs. Il gère le déclin économique et social ainsi que le chaos ethnique, un peu comme un liquidateur judiciaire, sauf que là il s’agit de notre Nation. Européiste, social-démocrate, immigrationniste, acquis à toutes les dérives sociétales, il n’y a rien à attendre de cet individu, pur produit de l’engeance systémique.
Riposte Laïque : Quels sont les prochains projets du Parti de la France ?
Thomas Joly : Le Parti de la France entend poursuivre la reconstruction du camp national avec tous ceux qui ne souhaitent pas voir la France mourir et notre peuple disparaître. Nous avons encore le droit de rester nous-mêmes, de ne pas vouloir que notre pays soit un déversoir pour toute l’Afrique et que l’appel du muezzin remplace les cloches de nos églises, n’en déplaise à nos pseudo-élites apatrides bien peu attachées à notre terre ancestrale du fait de leurs racines nomades.
Propos recueillis par Pierre Cassen cliquez ici
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La méthodologie commune mise en œuvre dans ces révolutions colorées dégénérant en véritables guerres coloniales par mercenaires interposés
Le 18 juin 2014, le Général Leonid Ivachov, ancien commandant en chef des forces armées russes et vice-président de l’Académie des affaires géopolitiques, émettait des remarques semblables en entretien télévisé à propos de la Syrie et du crescendo de violence qui a embrasé ce pays à partir de 2011. Le site du Hezbollah résumait ainsi l’analyse d’Ivachov, lequel soulignait la méthodologie commune mise en œuvre dans ces révolutions colorées dégénérant en véritables guerres coloniales par mercenaires interposés et qui se décompose en quatre étapes : « Créer la contestation. La première consiste à former des groupes d’opposition au pouvoir, en mettant en exergue les lacunes qui l’entachent, mais que l’on peut trouver partout ailleurs. Dans cette étape, il s’agit de rassembler les voix dissonantes et mécontentes qui sinon resteraient dispersées, et surtout de les organiser dans des groupes. [...] Descendre dans les rues. La deuxième étape consiste à préparer le mouvement de contestation en choisissant d’abord des chefs parmi les plus actifs et les plus perspicaces. Leur rôle consistera à faire descendre les gens dans les rues. [...] Il a été question que des sommes d’argent leur étaient offertes en échange de leur participation. Une explication paraît très convaincante : le nombre des participants était en deçà de ce qu’ils devaient être, selon les organisateurs, et il fallait coûte que coûte gonfler les rangs. Surtout que les plus grandes manifestations qui ont eu lieu en Syrie à cette époque étaient celles qui soutenaient le président et le pouvoir syriens. Tirer sur les deux camps. Quant à la troisième étape, selon l’expert russe, elle consiste à provoquer une escalade sécuritaire, en ouvrant le feu aussi bien sur les manifestants que sur les forces de l’ordre durant les rassemblements. Comme cela s’était passé au Venezuela en 2002, dans un coup d’Etat organisé par la CIA et des agents locaux de l’opposition pour renverser son président défunt Hugo Chavez et qui s’est soldé par un échec. Des snipers sont recrutés pour cette mission, explique Ivachov, qui explique qu’elle vise à accuser les forces de l’ordre syriennes d’user de moyens de répression violents et de justifier le recours aux armes. [...] La militarisation. Ainsi la troisième phase exposée par Ivachov permet de passer à la quatrième, celle de la militarisation du mouvement de protestation. En l’espace de quelques semaines, des groupuscules armés ont été créés et organisés dans le cadre de l’Armée syrienne libre (ASL). La vitesse avec laquelle elle s’est réalisée soulève bien des soupçons étayant le scénario d’une préparation. La dimension qu’elle revêtit avec l’entrée en action des miliciens wahhabites, takfiristes d’Al-Qaïda, pour prêter main forte aux insurgés locaux, montre l’engrenage dans lequel les Syriens ont été entraînés. [...] Bien entendu, cette « opération spéciale » se doit avant tout de rester secrète, car il y va de sa réussite. Il fallait à tout prix faire croire que le mouvement de contestation émane du peuple syrien, et que sa militarisation était due à la répression des forces de l’ordre ».Lucien Cerise, Retour sur Maïdan. La guerre hybride de l’OTAN
http://www.oragesdacier.info/2017/10/la-methodologie-commune-mise-en-uvre.html
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