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  • Louis Aliot doute de la «santé mentale» d’Emmanuel Macron

    Invité de France Info mardi 30 janvier, le vice-président du Front national n’a pas hésité à mettre en doute la «santé mentale» du chef de l’Etat, notamment après avoir vu Emmanuel Macron «brailler» durant certains de ses meetings de campagne.

    «Quand on voit M. Macron, son comportement durant la présidentielle, il y a des gens qui devraient s’interroger !», affirme Louis Aliot.

  • NORMANDIE & BRETAGNE : DEUX RENDEZ-VOUS AVEC LE PARTI DE LA FRANCE EN CETTE FIN DE SEMAINE

    SAMEDI À OUISTRÉHAM (CALVADOS) :

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    DIMANCHE À BRUZ (PRÈS DE RENNES) :

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  • Débat sur la bioéthique à Angers : tous les participants contre la réforme, sauf les intervenants

    6a00d83451619c69e201b7c94bfd5d970b-250wi.jpgCompte-rendu d'un "débat" organisé dans le cadre des états généraux de la bioéthique, mardi soir, à Angers, sur le thème : « L’Assistance Médicale à la Procréation pour tou•te•s ? »

    "Comprendre : « pour toutes et tous »… on ne philosophera pas sur l’utilisation de l’écriture inclusive

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  • À Missy (14), le maire remplace les retraités par des clandestins

    L'information vient de Christelle Lechevalier, Député FN au Parlement Européen

    6a00d83451619c69e201b7c94c2d8c970b-800wi.jpg"Dans la petite commune de Missy à quelques kilomètres de Caen, le département du Calvados a décidé de loger 76 immigrés clandestins dans un EHPAD désaffecté. Problème : il n’a pas été jugé bon de demander l’avis des 500 habitants qui ne voient pas d’un bon oeil cette installation. Mis sur le fait accompli par le maire du village, ces derniers ont massivement affirmé leur désapprobation au premier édile de la commune qui tente tant bien que mal d'user de désinformation pour rassurer ses administrés incrédules.

    Or, les faits démontrent que plus des trois-quarts de ces prétendus « mineurs isolés » sont en réalité des immigrés clandestins parfaitement majeurs, encouragés par des associations d’extrême-gauche à mentir sur leur âge pour bénéficier des subsides et autres logements payés par le contribuable.

    L’État macronien et le Conseil départemental LR/UDI font donc fi de la démocratie en privilégiant le logement de clandestins dans un EHPAD plutôt que de réhabiliter celui-ci pour l’accueil des personnes âgées françaises. Cette priorité démontre de nouveau que seul le Front National défend la priorité aux Français face à cette cohorte mondialiste pro-migrante."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • MAISON SQUATTÉE : MIEUX VAUT S’APPELER YOUCEF QU’ODETTE !

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    Un vieux monsieur, sa maison squattée, occupants sommés de déguerpir, maison récupérée : une fois n’est pas coutume, voilà une affaire rondement menée grâce à un robuste sentiment de solidarité !

    Début décembre, monsieur Y apprend par la police que seize Roms se sont emparés de sa maison, à Garches-lès-Gonesse, inoccupée depuis plusieurs années. Arrivé sur place, constatant les faits, il leur ordonne de « dégager ». Les indélicats lui rient au nez et brandissent un « reçu de livraison de pizza » datant de plus de 48 heures. Reçu valant « attestation » de présence, avec l’attestation fournie par un militant des Droits de l’homme, qui fait office, en quelque sorte et le temps qu’une procédure d’expulsion arrive à son dénouement, de titre de propriété ! C’est la fumeuse loi des 48 h, bien connue des squatteurs et des associations gauchistes telles que le DAL (Droit au logement) puisque, passé ce délai, le malheureux propriétaire n’a plus d’autre recours que de faire valoir ses droits auprès du tribunal.

    Fin janvier, l’homme de 76 ans raconte ses déboires au Parisien, qui publie l’article le 29. Et, ô miracle, le lendemain, les seize Roms avaient déguerpi sans (presque) demander leur reste ! Grâce à qui ? À Bassem Braiki, un internaute scandalisé par la situation, vivant à Vénissieux (69), qui a encouragé les « jeunes » des cités de Garches à aller ficher dehors le groupe de Roms. « Sortez, là ! Allez, (vous avez) deux minutes, deux minutes ! » Formidable solidarité nationale comme on aimerait la voir se traduire plus souvent, sans usage de violence, en plus, ce qui n’est pas tellement courant chez ce genre de galopins en virée. Sauf que…

    Sauf que tout le monde n’a pas la chance de s’appeler Youcef.

    Sauf que jamais ces « jeunes » n’ont manifesté la moindre solidarité pour des « Céfrans » dépossédés. Pas de Bassem Braiki ni pour une Odette ou une Maryvonne (84 et 83 ans) ni tous les autres. Une solidarité toute sélective de la part de cette population des cités.

    Une solidarité de communauté qui, dans un pays normal, devrait donner à tous les défenseurs des Chances pour la France l’occasion de réfléchir, enfin, sur le sentiment d’appartenance chevillé au corps qui règne dans ces cités. Sur le camp qu’elles choisiront en cas de conflit majeur.

    Sauf que le renoncement si rapide des Roms à s’incruster dans la maison en dit long, aussi, sur la capacité à impressionner, à terrifier de ces jeunes déboulant en bande bien unie là où des Français de souche doivent respecter cette inique loi DALO (droit au logement opposable) qui les spolie. Et contre laquelle, si eux cherchaient à récupérer leur bien par la force, en vertu de l’article 226-4 du Code pénal, ils encourraient jusqu’à un an d’emprisonnement et 15.000 euros d’amende…

    Youcef, qui se dit « assez ému » et remercie [Bassem] « d’avoir organisé cette descente-là », a donc récupéré sa maison. Tant mieux pour lui.

    D’un côté, des Français puissamment unis par leur origine et leur religion, de l’autre, des Français individualistes, désunis par la puissante idéologie islamo-gauchiste responsable de la destruction du sentiment patriotique. Et on s’étonne du pessimisme des Français sur leur avenir ?

    http://www.bvoltaire.fr/maison-squattee-mieux-vaut-sappeler-youcef-quodette/

  • 50 jihadistes tunisiens cachés parmi les migrants*

    Ce n'est pas faute d'avoir été prévenus (iciiciici et ici). Même le pape François a évoqué ce risque. C'est une révélation du Guardian qui ne surprendra donc que les naïfs :

    "Le 29 novembre dernier, l’organisation internationale de police Interpol a envoyé une liste très précise aux agences européennes de renseignement, rapportant qu'une cinquantaine de combattants de Daech seraient arrivés sur le territoire européen par la mer, révèle le journal britannique The Guardian. (...) Ils seraient arrivés en Sicile via la route des migrants, entre juillet et octobre 2017, à bord de bateaux de fortune. L'un d'entre eux "a peut-être déjà traversé la frontière italo-française, pour atteindre le Gard", précise d'ailleurs Interpol (...)

    Selon The Guardian, qui cite un officier antiterroriste européen, ces jihadistes auraient profité de la filière qui achemine les migrants économiques tunisiens sur la plage de Torre Salsa, à Agrigente, en Sicile, point de débarquement principal."

    Et pendant ce temps-là, les auditeurs de France Info peuvent entendre à longueur de journée une jeune fille décidée à se battre pour le "droit" des étrangers et favorable à l'accueil de tous les "migrants"...

    *le terme "migrant" désigne dans le novlangue des immigrés clandestins qui entrent illégalement en Europe et qui y resteront quelque soit leur véritable statut

    par Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/02/50-jihadistes-tunisiens-cach%C3%A9s-parmi-les-migrants.html

  • Les Conversations de Paul-Marie Couteaux : Renaud Camus - 3ème partie

  • Union européenne : des prérogatives à saisir par la France

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    Politique agricole commune, TVA : quand la Commission européenne veut redonner du pouvoir aux États membres, mais que ceux-ci, France en tête, hésitent à s’en saisir…

    Les États membres de l’Union européenne (UE) sont-ils condamnés à lui transférer sans cesse davantage de prérogatives  ? Pas au regard du droit. Leurs représentants «  peuvent décider de modifier les traités sur lesquels l’Union est fondée, y compris en vue d’accroître ou de réduire les compétences attribuées à l’Union dans lesdits traités  », est-il bien stipulé dans le droit primaire européen. Quant à la Commission européenne, elle propose parfois de rétrocéder certaines responsabilités aux États membres, via la modification de quelque directive ou règlement. Depuis quatre ans, par exemple, ils jouent un rôle accru dans la gestion des fonds structurels européens. Deux autres réformes en ce sens ont été annoncées dernièrement par Bruxelles.

    Pas touche à la PAC  !

    La première porte sur la Politique agricole commune (PAC). Il y a deux mois, le 29 novembre, la Commission a proposéde «  renforcer les compétences des États membres en matière de choix et de modalités d’affectation des ressources de la PAC  ». Selon Bruxelles, «  le fait de passer d’une approche universelle à une approche sur mesure rapprochera la politique et ses implications réelles de ceux qui en assument la mise en œuvre sur le terrain  ». Paris se réjouit-il d’une telle perspective  ? Bien au contraire. Dans l’Hexagone, où l’on profite tout particulièrement de cette manne budgétaire qui transite par Bruxelles, cela suscite des inquiétudes. «  Il faut arrêter de toujours augmenter la subsidiarité de la PAC  ; si l’on continue comme ça, en 2026, il ne restera pas grand-chose de commun à cette politique  », dénonce un agriculteur cité par Euractiv. «  La France s’oppose à toute “renationalisation” de la PAC  », résument nos confrères.

    La seconde de ces réformes, présentée le 18 janvier dernier, concerne la TVA. Aujourd’hui, les États membres doivent s’accorder à l’unanimité pour définir les biens ou services susceptibles de bénéficier d’un taux réduit. Cela peut susciter d’âpres négociations. En 2016, comme l’a rappelé Pierre Moscovici, commissaire européen aux Affaires économiques et monétaires, à la Fiscalité et à l’Union douanière, «  la question des taux de TVA appliqués aux tampons hygiéniques a même abouti dans les conclusions du Conseil européen lors des négociations sur le Brexit  »  ; «  nos chefs d’État et de gouvernement ont pourtant bien “d’autres chats à fouetter”  », a-t-il martelé. Aussi propose-t-il, au nom de la Commission, «  de redonner aux États membres la liberté […] de fixer les taux de TVA comme ils l’entendent  », avec toutefois quelques bornes  : par exemple, le taux moyen pondéré appliqué à la consommation à l’intérieur d’un État membre ne devra pas descendre en-dessous de 12  %.

    Quand Paris agit à sa guise

    Ce pouvoir, les États membres «  le demandent  », selon Pierre Moscovici. Pourtant, «  ce ne sera pas simple d’obtenir l’unanimité  » requise pour entériner cette réforme, si l’on en croit ses collègues cités par Les Échos. Il faut dire que les gouvernements s’accommodent parfois très volontiers des blocages européens. Confronté aux revendications des centres équestres, par exemple, Paris ne pourra plus arguer d’une opposition de Bruxelles pour leur refuser le privilège d’une TVA réduite, si la Commission parvient effectivement à mener son projet à bien. Il va falloir assumer  ! Dans certains cas, il arrive même «  que des gouvernements nous demandent de proposer telle ou telle réforme […] en nous avertissant qu’ils nous en feront porter la responsabilité  », selon un fonctionnaire européen cité en juin 2016 par notre confrère Jean Quatremer sur son blog Coulisses de Bruxelles.

    Cela étant, il arrive aussi que Paris s’affranchisse de ses engagements européens. En 2012 et en 2014, il avait aligne le taux de TVA des livres numériques puis des journaux en ligne sur celui du papier, sans attendre le feu vert de Bruxelles. Lequel s’avère d’autant plus difficile à obtenir qu’il faut compter avec le chantage de la République tchèque. En conséquence, comme le rappelaient Les Échos en juin dernier, la France «  a été condamnée en 2015 par la justice européenne mais sans être sanctionnée et elle a maintenu ces nouveaux taux réduits  ». En revanche, c’est en toute légalité qu’elle a rétabli des contrôles à ses frontières en novembre 2015, après les attentats. Ils seront maintenus au moins jusqu’au 30 avril prochain. Cela en vertu d’une dérogation inhérente au fonctionnement de l’espace Schengen. Sans doute con-vient-il de le rappeler  : les libertés ne s’octroient pas, elles se prennent  ! Reste, le cas échéant, à en faire bon usage.

    Grégoire Dubost

    Paru dans l'Action Française 2000 n° 2971 du 01 Février 2018.

    https://www.actionfrancaise.net/2018/01/31/union-europeenne-prerogatives-a-saisir-france/