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  • Les Etats de l’UE doivent-ils exécuter les mandats d’arrêt européens ? Une décision de la CJUE obtenue à cause de la Commission sème le doute

    mandats arrêt européens CJUE Commission Pologne
    Si les fonctionnaires de la Commission européenne considèrent que l’état de droit n’est pas respecté en Pologne et que l’indépendance de la justice n’y est pas respectée, les tribunaux des autres pays membres doivent-ils exécuter les décisions des tribunaux polonais et les mandats d’arrêt européens émis par eux ? La Cour de Justice de l’Union européenne (CJUE) avait à se prononcer le 25 juillet sur une demande adressée par une juge – qui s’est avérée être aussi militante LGBT – de la Cour suprême irlandaise. C’est toute la coopération judiciaire au sein de l’UE qui est remise en cause…

    La décision de la CJUE risque de rendre les mandats d’arrêts européens inapplicables

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  • S’ils avaient tiré, ils auraient été accusés… de racisme !

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    Ah, le beau pays que le nôtre ! Avez-vous remarqué que la vérité finit toujours par y éclater au grand jour ? Tard, parfois, j’en conviens, puisqu’on sait maintenant avec une quasi-certitude que le nuage de Tchernobyl n’avait pas vraiment rebroussé chemin en voyant arriver la frontière française.

    Ainsi, madame Belloubet, garde des Sceaux, nous a-t-elle récemment narré toute la vérité sur l’évasion du braqueur multirécidiviste Redoine Faïd, le 1er juillet, de la prison de Réau (Seine-et-Marne). Il s’agissait de la « conjonction de failles de sécurité » qui ont été exploitées par un commando « paramilitaire », absence de filins anti-hélicoptère et « problème » sur le dispositif d’appel d’urgence des forces de l’ordre.

    Mais, surtout, la cause primordiale, c’était l’administration pénitentiaire, « insuffisamment réactive ». Car, avant cette évasion, la direction de l’administration pénitentiaire avait été avertie par la direction interrégionale d’Île-de-France d’une « menace sérieuse de passage à l’acte » de la part de Redoine Faïd.

    Résumons-nous. Le vrai problème, ce n’est pas le détenu qui cherche à s’évader, c’est le fonctionnaire chargé de le surveiller et qui ne fait pas son boulot, le bougre. Comme d’habitude…

    Personnellement, cela me rappelle, mutatis mutandis, la doxa actuelle de la victime qui se trouvait « au mauvais endroit au mauvais moment ». C’est de sa faute, si elle est morte.

    Toujours la même « logique » inversée directement issue des errements soixante-huitards.

    Le bon sens nous susurre pourtant que, si les surveillants, qui sont armés, n’étaient paralysés par des règlements du ministère de mesdames Belloubet et Taubira, ils auraient facilement pu empêcher l’hélicoptère de repartir. Aucun pilote, dans ces conditions, n’aurait d’ailleurs accepté de survoler une prison. Mais les forces de l’ordre n’ont le droit de se servir de leurs armes qu’avant de mourir ! On n’est pas chez Trump, en France, que diable ! Les surveillants avaient juste le droit de crier « Stop ! Revenez ou je… fais un malheur ! » Ce qui impressionne toujours le truand.

    Dans la France libérale-libertaire-droit-de-l’hommiste de Macron, le bouc émissaire, il est tout trouvé et toujours le même : c’est le fonctionnaire français qui symbolise la survie de l’État-France. La Commission européenne qui bataille pour toutes les formes de supranationalités l’a bien compris. Le mondialisme vient de prendre une grande claque en Italie, mais la Macronie n’a toujours pas compris. Les « élites » françaises sont en retard d’une guerre, comme toujours.

    C’est vrai que, s’ils avaient tiré, les surveillants auraient sûrement été accusés de… racisme ! Au moins par Mediapart

    Jean-Charles Mignard

    http://www.bvoltaire.fr/sils-avaient-tire-ils-auraient-ete-accuses-de-racisme/

  • Du 20 au 26 août à Sées (61) : université d'été d'Académia christiana

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  • Affaire Benalla-Macron : ces armes non déclarées retrouvées au siège d'En Marche

    Valeurs Actuelles poursuit : 

    "Affaire d'État.

    D'après les premiers éléments réunis par les juges, et consultés par Le Monde, Vincent Crase portait une arme le 1er mai, après avoir dit l'inverse aux enquêteursCe pistolet, comme deux autres retrouvés au siège du parti présidentiel, ne sont pas déclarés.

    Nouvelle vague de révélations dans l'affaire Benalla. Ce mercredi 1er août, Le Monde publie plusieurs des éléments réunis par les juges en charge de l'enquête judiciaire ouverte le 22 juillet. On y apprend notamment l'existence d'armes non déclarées au siège du parti En Marche!.

    Vincent Crase armé sans autorisation

    Ainsi, après avoir nié, le 20 juillet au début de sa garde à vue, avoir porté une arme lors de la manifestation du 1er mai, l'ex-employé du parti présidentiel s'est ravisé. L'homme a expliqué avoir menti, précisant être père de famille et être « en train d’acheter une maison ». « Cette affaire, si je perds mon travail, va me mettre dans une situation précaire. », aurait-il dit aux enquêteurs. Et d'ajouter : « Cette arme n’est pas à mon nom, elle appartient à LRM [La République en marche], elle est réservée pour la défense du site LRM ».

    Le Monde ajoute que deux autres pistolets, des Glocks, ont également été découverts dans une armoire forte au siège d'En Marche! et « ne sont pas déclarés », selon les mots du quotidien. Vincent Crase aurait formulé une demande auprès de la préfecture, mais le dossier n'était pas complet. Il portait donc une arme sans autorisation. « J’ai toujours une arme sur moi, c’est une habitude de travail et de sécurité », expliquera-t-il. Par ailleurs, il possédait également un fusil à pompe à son domicile, sans permis".

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/08/affaire-benalla-macron-ces-armes-non-d%C3%A9clar%C3%A9es-retrouv%C3%A9es-au-si%C3%A8ge-den-marche.html

  • Le mythe des « deux ordres privilégiés »

    trois ordres ancien régime.jpgToute personne était privilégiée 

    La répartition de la société en ordres n’est qu’un aspect de la philosophie du droit, sous-jacente à l’Ancienne France, qui se manifeste par le principe généralisé du privilège. Le droit est conçu comme l’attribution d’une chose extérieure à une personne en fonction de son mérite (dignitas) ; il repose sur une définition grecque (Aristote, Ethique à Nicomaque, Livre V) et romaine de la justice consistante à rendre à chacun ce qui lui revient. 
         Ainsi, le principe d’organisation sociale repose sur le rôle rempli par la personne (persona). Dans la relation de la partie (la personne) et du tout (la société), l’égalité recherchée est géométrique : la justice est distributive. Le privilège est donc un droit attribué à une personne individuelle ou collective en compensation d’une charge remplie au service de la chose publique ou d’une activité concourant au bien commun. 
    Chaque sujet du roi, c’est-à-dire chaque personne relevant en dernier ressort de sa justice, participe aux privilèges, dispose des franchises et libertés des différents corps sociaux auxquels il appartient : famille, paroisse, ville, province, profession, ordre. S’il entre dans les ordres religieux, il est protégé par les privilèges de l’Église, comme celui du for, mais doit assurer la pacification du royaume par la diffusion de la morale et de l’instruction. S’il naît dans une famille anoblie, il hérite de ses titres, à condition de participer à la défense de l’ordre public dans les domaines militaire et judiciaire. S’il exerce une profession réglementée, il obtient les avantages de ce métier afin de contribuer efficacement à la prospérité du pays. 
         Le paysan, quant à lui, à la catégorie qui représente l’immense majorité de la population du royaume. Il est libre et n’est pas attaché à la terre ; cependant, son statut juridique découle surtout des privilèges de la circonscription territoriale dans laquelle il vit, seigneurie et paroisse. 
         Enfin, chacun peut être particulièrement distingué : c’est le cas, par exemple, lors d’un octroi de lettres d’anoblissement. Le sujet du droit dans l’Ancien Régime n’est donc pas l’homme mais la personne, individuelle et collective. Ce ne sont pas les hommes qui sont inégaux mais leurs activités qui sont plus ou moins élevées : l’échelle des biens (ordre religieux, ordre politique, ordre économique) entraîne la hiérarchie sociale (clergé, noblesse, tiers état). 
    Dans son discours inaugural des États généraux de Blois de 1576, le chancelier de Birague explique que l’ordre du royaume repose sur le principe d’une juste distinction sociale et donc sur une hiérarchie complémentaire : « La police et économie de la Monarchie de France, consiste en plusieurs points, concernant tant l’ordre, degré, et qualités qui doivent être entre les personnes, que les règlements qui doivent être dans les choses publiques et privées... Est nécessaire qu’en premier lieu les personnes soient policées et rangées en bon ordre, pour commander et obéir chacun en son degré respectivement, et pour tenir la main à l’observation des lois, et règlements »
    Guillaume Bernard, Mythes et polémiques de l’histoire
  • Fréjus, Nice, les actes de guerre se multiplient : silence du pouvoir…

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    Manuel Gomez Riposte laïque cliquez ici

    De tous côtés, on n’entend plus que ça…

    Un air nouveau qui nous vient de là-bas…

    Ce là-bas, chez nous, ce sont les banlieues, les zones de non-droit, qui se situent dans chaque ville de notre pays.

    Que l’on ne s’attende pas qu’un jour ce nouveau « peuple » de ces banlieues, de ces quartiers, se lance à l’assaut du palais de l’Elysée, que nenni, puisque sa protection vient justement de ce président, de ce gouvernement, pas question de l’attaquer, de le renverser, bien au contraire.

    Nous ne sommes plus en période révolutionnaire, ces années de 1789 à 1793 où le bon peuple de France s’était lancé à l’assaut de Versailles et avait obtenu la tête du Roi, c’est tout le contraire qui se produit, ce sont les troupes, les bandes, les groupes, les « casseurs », la racaille, qui partent à l’assaut du « bon peuple de France », sous le regard impassible de ceux qui les gouvernent, qui les autorisent, qui les « laissent-faire ».

    Et qui a reçu l’ordre de s’opposer à eux ? Que je sache, personne. Ni la police, ni les gendarmes, ni les CRS, ni l’armée, non personne.

    Ils encaissent, ils contiennent comme ils peuvent, ils repoussent de moins en moins, mais ils n’interpellent plus, ils n’arrêtent plus et, bien entendu, ils ne tirent plus, d’ailleurs ils n’ont jamais tiré, même quand il fallait le faire, même quand ils étaient menacés de mort, attaqués, blessés, ni même quand ils étaient brûlés vifs.

    Non, ce n’est pas une révolution qui se prépare, ni même une guerre civile (comme certains la prédisent !) car, pour qu’il y ait guerre civile il est nécessaire qu’il y ait deux camps, deux adversaires, deux combattants, et aujourd’hui il n’y a qu’un seul camp, une seule armée, celle qui nous attaque en toute impunité, à la moindre occasion, préparée, organisée, dirigée… et armée !

    Dans le seul département de la Gironde, pourtant réputé comme l’un des plus calmes du territoire, depuis début 2018, 98 policiers ont été victimes d’agressions, ainsi que 80 gendarmes.

    Sur un simple mot d’ordre, ils se rassemblent en quelques minutes et attendent les forces de l’ordre qui sont rapidement débordées. Le terrain leur est abandonné.

    Depuis deux nuits à Nice (Alpes Maritimes), quartier des Moulins, les policiers et les pompiers sont « caillassés ». Des feux de poubelles, de matelas et de véhicules, place des Amaryllis et allée Sœur-Emmanuelle, et même des « barricades » construites d’un tas d’objets divers, à l’angle de l’avenue Martin-Luther-King et du Boulevard Paul Montiel.

    Des émeutes provoquées par des bandes de jeunes « racailles », les visages cagoulés, qui bombardent policiers et pompiers d’un tas de projectiles.

    Cela a débuté lundi vers 2h du matin, suite à un grave accident de scooter subi par un jeune homme de 25 ans, cherchant à s’échapper et refusant d’obtempérer à un ordre de la police municipale alors qu’il circulait sur la pelouse réservée à la ligne 2 du tramway.

    Grièvement blessé, après avoir percuté un arbre dans sa fuite, et évacué par les pompiers vers l’hôpital Pasteur.

    A Fréjus, dans le Var, intervenant sur un appel des habitants du quartier de la gabelle, qui protestaient contre le fracas et les bruits en provenance d’un bar, les policiers se sont trouvés confrontés à une centaine d’individus et n’ont pu rétablir l’ordre que vers une heure du matin. Trois policiers ont été blessés.

    Lors de ces deux graves affrontements, comme d’ailleurs dans la plupart de ceux que nous dénonçons, aucune interpellation n’a été réalisée et c’est cette démobilisation, cet abandon de l’autorité, qui nous interpelle.

    Cette capitulation devant l’ennemi entraînera tôt ou tard au minimum des risques de « bavures » et au maximum ? Seul l’avenir nous le dira !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • REPRISE DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS : JEUDI 6 SEPTEMBRE

    RL 79 REDIFS ÉTÉ 2018.jpg

    ÉCOUTEZ RADIO LIBERTÉS CLIQUEZ ICI

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    ÉMISSIONS "SYNTHÈSE" CLIQUEZ LÀ

  • 1 an de Macronie : +55% de démission chez les maires. Un vrai ras-le-bol.

    Vers la disparition des mairies et des maires au profit de politiques professionnels hors-sol à la tête de communautés d'agglomérations?

    "Selon un calcul de l'AFP réalisé à partir du répertoire national des élus en tenant compte de l'effet du non-cumul des mandats, le nombre de maires ayant quitté leur fonction depuis 2014 est en hausse de 55% par rapport à la précédente mandature.

    «Il y a des mois où je ne savais plus comment payer les employés», déplore Philippe Rion, qui a dû «tailler sur tout», y compris en «arrêtant les commémorations nationales», avant de finir par augmenter la taxe d'habitation.

    «Les communes ne sont qu'une variable d'ajustement financière aux yeux de l'État», critique l'ancien maire dont le village de 380 habitants a enregistré une baisse de 50% en cinq ans de sa dotation globale de fonctionnement (DGF), principale contribution financière de l'État aux collectivités.

    Selon l'Observatoire des finances locales (OFGL), la DGF représentait 14,8% des recettes de fonctionnement des communes en 2017, contre 21% en 2013.

    Malgré une légère hausse de son montant global en 2018, près de la moitié des communes ont vu leur dotation baisser cette année, selon l'Association des maires de France (AMF), qui a réclamé mi-juillet la création «en urgence» d'un fonds spécial pour les communes les plus en difficulté" (suite).

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le scoop du jour : Christophe Castaner sait lire

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    On attendait un numéro de claquettes mais ce fut un poussif exercice de lecture. Le scoop de l’été : on a désormais la confirmation que Christophe Castaner sait lire. Auditionné par la commission parlementaire du Sénat? qui n’a rien d’une bande de comiques, le secrétaire d’État-délégué général de La République en marche, la cravate dénouée de celui qui aurait été plus à l’aise sur un marché de Provence à faire le malin que devant cet aréopage barbant, devait éviter qu’il en sorte une grosse comme lui, ce qui est largement dans ses compétences, lorsqu’il travaille sans filet. La dernière, on s’en souvient, c’était sur BFM TV, lorsqu’il attribua à Alexandre Benalla des compétences de bagagiste jusqu’alors ignorées de tout le monde, y compris par l’intéressé.

    Un texte écrit à l’Élysée ? Ce n’est pas impossible, au nom de la verticalité du pouvoir. Donc, pour éviter la bourde, quoi de mieux qu’un texte tout prêt, caractères en taille 14, points importants en gras. Stabilo en bandoulière, le week-end a dû être laborieux autour de la piscine. Et, du coup, l’audition aussi.

    Que retenir de cette audition faite à la fraîche et qui avait pour but d’essayer de comprendre à quel titre Vincent Crase, salarié de La République en marche, a accompagné son petit camarade Benalla dans cette sympathique expédition de la rue Contrescarpe, le 1er mai dernier ? Et il faut bien avouer qu’on ne comprend toujours pas. Christophe Castaner nous dit que son employé Vincent Crase était en congé ce jour-là. Le 1er mai, certains vont au muguet ; d’autres, plus rares, sortent leurs banderoles ; d’autres, encore, leur petite tenue noire de Black Blocs. Vincent Crase, lui, sans mettre son uniforme, il va jouer au gendarme – ou au policier, on ne sait pas très bien – dans Paris. Car, nous explique M. Castaner, dans son développement filandreux et sinueux, Vincent Crase est gendarme réserviste. Affecté à l’Élysée.

    On a quand même la très désagréable impression, dans cette ténébreuse affaire, d’un bizarre mélange des genres à tous les étages. À l’étage noble, un Christophe Castaner, secrétaire d’État chargé des Relations avec le Parlement et, en même temps, chef du parti majoritaire. À l’étage des basses œuvres, un Vincent Crase, salarié de La République en marche et, en même temps, gendarme réserviste au palais de l’Élysée, fricotant avec Benalla qui faisait le room service entre les différents étages. Serait-ce donc la marque de fabrique de ce nouveau monde voulu par Emmanuel Macron et ses marcheurs ? Le mélange des genres, c’est modern, c’est open space, c’est global. C’est à l’image du monde sans frontières qu’on appelle de ses vœux. Notez qu’avec le mélange des genres, on ne sait plus qui fait quoi. C’est formidable car, tout en prônant la transparence, on installe la plus grande opacité. C’est fort.

    Que retenir d’autre de cette audition ? Grosso modo : c’est pas moi, j’étais pas au courant, c’est pas ma faute. Un classique du genre qui ne nous surprend pas et faisait dire, mardi matin, à juste titre, il faut bien le reconnaître, au journaliste Christophe Barbier que les politiques veulent bien le pouvoir mais pas les responsabilités ! Donc, Christophe Castaner a réussi son examen de lecture. Mention passable, certes, mais on lui demandait de surtout ne pas briller en ce mardi. Il va pouvoir rejoindre sa piscine des Alpes de Haute-Provence avec le sentiment du devoir accompli.

    Acta fabula est, donc ? Puisque le Parlement est en congé cette semaine. Pas certain. Dans cette affaire Benalla-Macron, les oppositions tiennent en effet un filon qui est sans doute loin d’être épuisé.

    Georges Michel

    http://www.bvoltaire.fr/le-scoop-du-jour-christophe-castaner-sait-lire/