Voilà en deux tweets le résumé de la guerre actuelle entre les peuples et leur élite européiste corrompue, car vendue aux puissances économiques et financières supranationales. Le politique, en fin de compte, ne pèse plus rien : il se couche. Et en se couchant, il trahit les peuples qui ont voté démocratiquement pour lui.
Attali est le représentant des puissances financières européistes qui veulent détruire le cœur des nations pour augmenter leur pouvoir et leurs revenus. La résistance nationale est donc bien le souci numéro un des forces oligarchiques.
La résistance de gauche à la Mélenchon n’est qu’un leurre inventé et entretenu par l’oligarchie pour affaiblir la résistance sociale. Et ça marche : le front social et national français est coupé en deux, à l’inverse de nos voisins italiens, qui montrent la voie, même si la victoire du peuple n’est pas du tout acquise. L’oligarchie tient tellement de possibilités de changer le cours des choses – terrorisme, crise financière, baisse des indemnisations du chômage, excitation de l’antiracisme, contrôle des importations de drogue, déclenchement de la guerre – à son avantage qu’on est encore loin du Grand Soir.
« À Strasbourg, où les eurodéputés débattaient, mardi 3 juillet, des résultats du récent sommet européen sur la migration, la droite europhobe et l’extrême droite nationaliste ont rivalisé d’enthousiasme. Pour ces élus, ce conseil a été celui du basculement, marquant la victoire d’une nouvelle alliance populiste, celle des gouvernements italien, autrichien et hongrois – et quelques autres plus discrets – contre “l’axe Paris-Berlin-Bruxelles et ses commissaires”, comme l’a dit le Français Nicolas Bay (Rassemblement national, ex-FN). “C’est la renaissance de l’Etat-nation !”, exultait le Britannique Nigel Farage, ancien héraut du Brexit. » (Le Monde du 4 juillet 2018)
Cependant, et sous nos yeux, tout se dérègle : les tentatives d’ethniciser les rapports sociaux en France font un flop (affaires Théo et Adama), les manifestations contre un antisémitisme monté de toutes pièces font un flop (CRIF-Knoll), la popularité des représentants de l’exécutif fait un flop (Macron-Philippe), le dérèglement de l’esprit des gens par les manipulations sociétales fait un flop (personne ne croit une seconde à la souffrance des LGBT), les lobbies commettent d’incroyables bévues (la défense de l’assassin pédophile Nordhal Lelandais par l’ex-président de la LICRA), les médias de propagande font un flop (presse et télé perdent irrémédiablement leur influence), bref, malgré tous ses pouvoirs, l’oligarchie recule sur tous les fronts.
« Mardi, M. Kurz, dont le pays vient de prendre la présidence tournante de l’UE pour six mois, a indiqué sans surprise que l’Autriche allait privilégier le contrôle des frontières extérieures et une politique d’accueil restrictive. Le jeune chancelier gouverne à Vienne avec l’extrême droite, le FPÖ, et veut faire de la migration “la” priorité de l’UE, avec une approche très sécuritaire résumée dans un document préparatoire à une réunion des ministres de l’intérieur, les 12 et 13 juillet. Vienne assimile une grande partie des migrants à des délinquants en puissance, “particulièrement sensibles aux idéologies privatives de liberté et prônant le crime”… Avant cette réunion, le ministre allemand de l’intérieur, Horst Seehofer (CSU), a prévu de rencontrer son homologue italien Matteo Salvini (Ligue), après avoir parlé jeudi à M. Kurz. » (Le Monde)
Ces défaites en série expliquent l’augmentation de la répression et de la rage de ses représentants (voyez les propos menaçants de Buzyn & Cymes à propos des vaccinations obligatoires). Dans le domaine économique, les Français doivent s’attendre à être châtiés. Ils le sont déjà dans le domaine social (déremboursement de médicaments, fonte des moyens de l’hôpital, déconstruction des services publics), dans le domaine médiatique avec des injonctions de plus en plus pressantes à obéir, dans le domaine juridique avec la multiplication des procès politiques...
La hausse de la violence oligarchique est donc un excellent indicateur de son impuissance grandissante : elle brûle ses outils de contrôle social les uns après les autres.
« Vingt-quatre heures après avoir menacé de démissionner, le ministre allemand de l’intérieur, Horst Seehofer, a obtenu ce qu’il voulait de la chancelière, Angela Merkel, pour rester au gouvernement. “Nous avons trouvé un accord qui nous permettra, à l’avenir, d’empêcher toute forme de migration illégale à la frontière entre l’Allemagne et l’Autriche. (…) Cet arrangement me permet de continuer à diriger le ministère de l’intérieur, de la construction et de la patrie”, a déclaré, lundi 2 juillet au soir, le président de l’Union chrétienne-sociale (CSU), l’alliée bavaroise de l’Union chrétienne-démocrate (CDU) de Mme Merkel. » (Le Monde)
Pour revenir au thème du jour, la très européiste Merkel est donc obligée de reculer sur l’immigration de masse en Allemagne, car cette décision oligarchique se heurte à une montée des résistances nationales, qu’on croyait éliminées en Allemagne. Concrètement, la chancelière a fait des concessions à la droite bavaroise (CSU) sur l’entrée de clandestins par la frontière autrichienne. Le spectre d’un nouveau national socialisme fait flipper les tenants du pouvoir mondialiste. Qui tente malgré tout de réorienter cette colère contre les musulmans ou les pauvres des pays occidentaux. Ultime ingénierie sociale avant la guerre civile, dernière carte des satanistes aux commandes.
Les peuples rendus lucides par tous ces dérèglements organisés – il faut être aveugle pour ne pas voir l’Agression ! – doivent donc admettre qu’ils sont under attack, pour reprendre la terminologie post-11 Septembre, des attaques ciblées et concertées, et que leur ennemi est au-dessus et non à côté d’eux, malgré les provocations terroristes et délinquantes permanentes destinées à détourner le cours de la Colère, ce fleuve qui ne cesse de monter.
https://www.egaliteetreconciliation.fr/Malgre-tous-ses-outils-l-oligarchie-n-arrive-pas-a-reduire-les-resistances-nationales-51460.html