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  • Passe Présent n° 206 – La pianiste qui défia Staline

    Ce soir, dans “Passé-Présent”, Philippe Conrad évoquera la disparition des marins de La Pérouse dans l’Océan Pacifique. Jean-Noël Benoît présentera ensuite son ouvrage “Marie Youdina – La pianiste qui défia Staline”.

     
  • Des CRS tombent dans une embuscade tendue par des migrants : plusieurs policiers blessés

    De plus en plus nombreux, de plus en plus organisés, de plus en plus impunis, les migrants s'amusent : 

    "Quatre policiers ont été blessés hier après-midi par des migrants à Calais, dont l'un à la tête, a-t-on appris aujourd'hui de source préfectorale, le syndicat Unsa-Police dénonçant un "véritable guet-apens".

    Hier, vers 14H50, des CRS sont intervenus dans la zone industrielle Marcel Doret, non loin de la rocade menant au port de Calais, en raison "d'une intrusion de migrants dans une entreprise", d'après la préfecture du Pas-de-Calais. "Les CRS ont fait l'objet de jets de projectiles provenant d'un groupe de migrants fortement alcoolisés et quatre CRS ont été blessés. L'un d'eux, blessé à la tête, a été emmené conscient au centre hospitalier de Calais pour un bilan", a précisé la préfecture.

    Dans une lettre adressée au préfet du Pas-de-Calais dont l'AFP a eu connaissance, le syndicat Unsa-police a dénoncé ces violences. "Le mode opératoire est toujours le même. Au début les CRS interviennent sur réquisition pour faire cesser les infractions d'un petit groupe de migrants. Puis très rapidement une centaine de migrants sortent du bois jouxtant la zone industrielle et encerclent les collègues qui doivent faire usage des armes pour repousser les assauts violents des agresseurs".

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/07/des-crs-tombent-dans-une-embuscade-tendue-par-des-migrants-plusieurs-policiers-bless%C3%A9s.html

  • Goldnadel a raison ! Et il ose dire les choses : « Les migrants qui utilisent la violence ne peuvent espérer requérir un droit »

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    Des migrants après leur arrivée en Espagne, Ceuta le 26 juillet 2018

    Par  

    Le 26 juillet dernier, plus de six-cents migrants ont franchi la barrière de sécurité qui sépare le Maroc de l'enclave espagnole de Ceuta. Gilles-William Goldnadel revient sur cet événement et analyse le traitement de cette actualité dans les médias français. [Figarovox, 30.07]. Il le fait avec courage, lucidité, sans craindre de dire les choses. Il a raison.   LFAR

    On se souvient sans doute que la section presse du parquet de Paris avait eu l'étrange autant que funeste idée de poursuivre Nicolas Dupont-Aignan pour avoir osé employer l'expression « invasion migratoire ».

    Fort heureusement les juges parisiens, le mois dernier, ont mis un point d'arrêt à cette nouvelle tentative de voir limiter la liberté d'expression lorsqu'elle dérange l'idéologie réflexe de certains qui accusent ou d'autres censés informer.

    Mais au-delà même de la liberté de penser et de dire, certains faits mettent la réalité la plus crue et la plus malodorante sous les yeux et le nez de ceux qui ne veulent ni voir ni sentir.

    En Tunisie d'abord. Voilà deux semaines qu'un navire, le Sarost 5, contenant à son bord 40 migrants africains, attend vainement que les autorités tunisiennes leur donne l'autorisation d'accoster. L'ancien président tunisien, Moncen Marzouki, a tancé ses successeurs sur sa page Facebook : « que direz-vous, lorsque la France, l'Espagne ou l'Italie laisseront des migrants tunisiens se noyer sans réagir ? ». L'ancien président est bien l'un des seuls à être sévère envers les autorités de son pays. Les hommes à la peau très sombre n'y sont pas bien traités. Mon confrère l'avocat tunisien maître Ftouh Souhail, opposant notoire et courageux aux islamistes radicaux, révélait récemment que son pays serait le deuxième pays le plus intolérant d'Afrique selon une étude récente de l'institut indépendant Afrobarometer. Il était également placé au niveau 2 sur la liste des pays pratiquant la traite transnationale des personnes selon le rapport 2016 du bureau de contrôle et de lutte contre la traite des humains du Département d'État des États-Unis. Mais nul ou presque ne s'en soucie.

    Est-ce que le Sarost 5 vous dit quelque chose ? Les Français ne le connaissent pas parce que leur presse n'a pas songé à leur dire. Voilà un non-dit qui dit beaucoup de choses.

    Il dit qu'en réalité la presse idéologisée, souvent à son insu, ne se soucie aucunement du sort des migrants africains. Il dit que la manière dont ceux-ci sont ou non accueillis ou traités par les pays non occidentaux ne les intéresse pas non plus. Il dit que la seule chose qui passionne la presse est ce qui peut être exigé ou reproché à l'homme occidental en termes d'obligation morale.

    C'est au demeurant dans ce cadre très restrictif que le navire l'Aquarius, affrété par SOS Méditerranée et subventionné indirectement par la très idéologique Open Society de George Soros, n'a pas songé une seconde, en contradiction avec le droit maritime international du secours en mer, de réclamer l'accueil à l'Algérie ou à la Tunisie pourtant plus proches mais à l'exiger de la plus lointaine mais européenne Italie.

    Rendons-nous au Maroc ensuite, ou plutôt dans cette enclave espagnole postcoloniale nommée Ceuta. (Photo).

    La presse française a en effet révélé sans grands excès d'indignation que plus de 600 migrants africains avaient forcé la frontière pour pénétrer en terre hispanique, donc européenne.

    Pour pouvoir réclamer ainsi le droit d'asile, ceux-ci n'auront pas lésiné en moyens coercitifs : usage de la chaux vive et jets d'excréments sur les policiers.

    Ici encore, il y a beaucoup à dire dans ce qui n'a pas été dit et peut-être pensé.

    En surface, le fait qu'un nouveau gouvernement espagnol, dirigé par des socialistes réticents à défendre les frontières externes de l'Europe arrive aux affaires, n'a pas dû échapper à ceux déterminés à les enjamber. Le fait également de ne pas avoir à l'esprit les principes les plus élémentaires du droit des gens. Comme celui qui veut que « la fraude corrompt tout ».

    Et qu'ainsi, celui qui utilise la violence ne peut espérer requérir un droit. Fût-ce un étranger non occidental au sein d'un continent tant miné par le doute et la mauvaise conscience que les droits de l'homme moderne célébrés religieusement ne s'appliquent plus vraiment à ses vieux habitants.

    En profondeur ensuite. Ainsi donc des migrants africains emplis d'énergie ont brûlé à la chaux vive et jeté des excréments sur des hommes de la garde civile espagnole.

    Mon imagination est impuissante à décrire la réaction politique ou médiatique légitime au cas où un policier occidental aurait jeté des excréments sur un homme de couleur noire.

    L'antifascisme médiatique et politique devenu fou aura bien du mal à montrer ces images sous le prisme de ses vieux fantasmes frappés d'obsolescence. Raison pourquoi, il ne les a pas beaucoup montrées.

    En revanche, l'idée fantasmatique de vouloir brûler ou couvrir d'immondices l'homme blanc consentant correspond assez sombrement à l'inconscient collectif du moment.

    Ou plutôt à un certain inconscient collectif déclinant que les hommes les plus conscients d'Europe sont désormais déterminés à dénoncer.

    Au risque d'être couverts de ces crachats qu'ils tiennent à présent pour des compliments.  

    Gilles-William Goldnadel est avocat et écrivain.  

  • Frère Macron et les musulmans

    En théorie, Macron reste le garant de la laïcité face à l’islamisation et de notre sécurité face  au terrorisme islamique. En pratique, sa grande porosité aux thèses communautaristes, voire fondamentalistes, inquiète. Les Frères Musulmans ne secondent pas de le soutenir, ils le conseillent, parfois directement, comme Yassine Bellatar.

    Pour Ahmet Ogras, président du Conseil français du culte musulman (CFCM), l'absence d'Emmanuel Macron au dîner de rupture du jeûne le 12 juin « est perçue par la communauté musulmane comme un boycott ». Voilà qui en dit long sur la capacité de chantage victimaire dont est capable ce proche des Frères musulmans et voilà qui manifeste la dépendance dans laquelle il estime qu'Emmanuel Macron est tombé. S'il est le premier Président depuis 10 ans à avoir, l'an dernier, assisté à cette cérémonie, c'est loin d'être le seul gage qu'il a donné à un islam plus ou moins radical. À ce titre, est-il le mieux placé pour protéger la France de l'islamisation, dont l’expression paroxystique est le terrorisme islamique ? Poser la question, c'est déjà y répondre.

    De fait, l'homme parle de « radicalisation de la laïcité » (contre l'islam) ou reprend les discours du Parti des Indigènes de la République (PIR), mouvement islamo-gauchiste, du CCIF (Comité contre l'islamophobie en France, proche des Frères Musulmans)… ou de Daech sur la colonisation française, « crime contre l'humanité ».

    Ces propos avaient fait grand bruit pendant la campagne présidentielle, marquée par le soupçon de complaisance, voire de soumission envers les Frères Musulmans (FM), mouvement prônant l'islamisation en douceur. Petit souci, le Service central de renseignement territorial (SCRT) met en garde contre la « porosité […] avérée » qui existe entre salafisme « quiétiste » - opposé à l'usage de la violence aujourd'hui - et salafisme djihadiste.

    En attendant, on se souvient de l’affaire Mohamed Saou. Proche du PIR et du CCIF, le réfèrent En Marche du Val-d'Oise, un « type bien », malgré des « trucs plus radicaux », selon les mots hors antenne de Macron sera écarté, avant d'être discrètement néintégré sous pression du CCIF. Plus significatif, après la Grande mosquée de Paris, c'est l'UOIF (Union des Organisations Islamiques de France, bras armé des FM), depuis rebaptisée « Musulmans de France », qui avait appelé à voter Macron.

    Bellatar, le côté obscur de la force

    Un an plus tard, la même organisation enjoint Emmanuel Macron, dans une lettre ouverte, à protéger les musulmans « des attaques des radicalisés de la laïcité » et à dire « non à l'instrumentalisation de la laïcité à des fins racistes et d'intolérance religieuse », bref de laisser les fondamentalistes pratiquer leur culte et leur prosélytisme comme bon leur semble.

    Il est à craindre qu'ils soient entendus, si l'on en juge par l'entourage du Président. Peu à dire des 17 députés musulmans de LREM (un record), tous au profil assez lisse. Seul Yanis Khalifa, suppléant de Sira Sylla, est proche des FM. Mais le vrai pouvoir est dans les couloirs de l'Elysée, qu’arpentent ses conseillers. Deux visages s'imposent alors   ceux d'Hakim El-Karoui et de Yassine Bellatar.

    Le premier représente la face moderniste de l'islamisation il a pondu pour l'Institut Montaigne un rapport sur « l'islam de France », qui sert de base de réflexion à Macron sur le sujet. En bon communautariste, il préconise de bâtir un maximum de mosquées-cathédrales, l'apprentissage de l'arabe littéraire (celui du Coran…) à l'école, une taxe sur le halal pour financer la formation des imams ou la construction de lieux de culte. Cerise sur le gâteau, il souhaite un nouveau concordat avec l'islam.

    Yassine Bellatar, lui, c'est le côté obscur de la Force. Musulmane. Est-ce pour l’ "humoriste" a menacé « d'égorger » le journaliste Alexandre Devecchio ou harcelé le père d'une victime de Mohamed Merah ? Pas vraiment, car pour ce proche du CCIF, l'islamophobie réelle ou supposée autorise tous les dérapages. C'est donc ce personnage qui a rejoint le Conseil présidentiel des villes en mars dernier.

    Ce comité Théodule est censé aider Macron à y voir plus clair dans les « quartiers populaires », c'est-à-dire à forte proportion d'immigrés ou de descendants d'immigrés, en cours d'islamisation. Et comme pour lui, il n'y a aucun lien entre terrorisme islamique et islam, pas sûr qu'il aide son « frère » Emmanuel à y voir vraiment clair.

    D'ailleurs, cette façon qu'il affecte d'appeler le président son « frère » est-elle uniquement affectueuse ou fait-elle référence à d autres Frères… musulmans ?

    Richard Dalleau monde&vie  21 juin 2018

  • Benalla, Diallo, Belatar… Les « cités » au Pouvoir

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    Par Françoise Monestier, journaliste pour Présent ♦

    Les bagagistes de Roissy, issus pour la plupart de la diversité comme Lahcene Benahlya, alias Alexandre Benalla, vont-ils bientôt se mettre en grève et exiger une augmentation de salaire ? Ils sont loin, en effet, de gagner la bagatelle de 10.000 euros par mois, rémunération attribuée à celui qui était, selon le secrétaire d’Etat chargé des relations avec le Parlement , le culotté Christophe Castaner, simplement « chargé de la logistique des bagages » des footeux retour de Moscou pour se faire cajoler dans les jardins de l’Elysée par le couple Macron et des invités de banlieue triés sur le volet.

    Un copinage malsain

    On sait, bien sûr, que le gorille présidentiel s’était vu octroyer par son ami Macron bien d’autres responsabilités autrement plus sensibles (en même temps que ces symboles du pouvoir que sont un véhicule à gyrophare avec chauffeur, un appartement à l’Elysée et un autre quai Branly, une accréditation jusqu’au saint des saints du Palais-Bourbon, etc.) mais les  propos de Castaner en disent long sur le mépris dans lequel la caste macroniennne tient les Français, pensant bêtement que « plus c’est gros, plus ça passe ». Il faut dire que le personnage est abonné aux dérapages verbaux , lui qui  a récemment accusé  Pierre de Villiers, l’ancien chef d’état-major des armées traité voici un an comme un laquais par Emmanuel Macron, qui a en revanche les yeux de Chimène pour  un vulgaire et intrigant garde du corps, l’accusant « d’avoir été déloyal dans sa communication et d’avoir mis en scène sa  démission ».

    Considéré par le même Castaner comme un « détail » (sic), ce scandale d’Etat montre en fait, comme l’explique sur le site Boulevard Voltaire le politologue Guillaume Bernard,  « la rencontre et la protection réciproque des élites mondialisées et de l’immigration, l’une et l’autre étant incapables de maîtriser leurs pulsions ».

    Le drôle de jeu de Washington

    Ce phénomène n’est cependant pas nouveau. Il est de bon ton de dire que la Seine-Saint Denis, par exemple, est le parent pauvre de l’Ile-de-France et n’a que ses yeux pour pleurer. Il faut se rappeler cependant que ce département est, depuis des années, le chouchou de l’ambassade des Etats-Unis qui, depuis le 11 septembre 2001, ont orienté leur stratégie d’influence en direction des  leaders musulmans des pays occidentaux. Une démarche que les deux mandats de Barack Obama ont encouragée. Leur volonté, comme le disait Laura Berg, attachée culturelle de l’ambassade en 2010, est « d’identifier les futurs leaders français, ceux qui pourront émerger, ceux qui pourront prendre des responsabilités ». L’ambassade a ainsi constitué un véritable réseau et de nombreux relais afin d’identifier les élites des quartiers et des minorités ethniques. Les sujets les plus doués bénéficient de séjours de plusieurs semaines outre Atlantique et deviennent ainsi les ambassadeurs de ce melting-pot racial que les élites mondialisées veulent absolument vendre à l’Europe et dont l’équipe des Bleus est le modèle absolu. Rokhaya Diallo, la féministe noire qui veut « en finir avec la  France blanche et chrétienne »  a ainsi été du voyage et s’est félicitée, à son retour, d’avoir « été identifiée comme un leader potentiel ». On a vu en 2010 l’acteur Silvester Stallone faire une visite remarquée dans le département, accompagné de l’ambassadeur Charles Rivkin, venu faire son marché de futurs contacts politiques, pour la plus grande joie à l’époque, de  l’islamo-humoriste Yassine Belatar qui se félicitait que les Etats-Unis, eux, « mettent tout le monde sur le même pied ». Certes, Rivkin est parti et son successeur est depuis 2017 la trumpiste Jamie Mac Court, mais la politique de l’ambassade, elle, n’a pas changé.

    De mauvais choix

    « Jusqu’à 18 ans, s’il y avait eu une guerre entre le Sénégal et la France, j’aurais choisi le Sénégal. Et depuis je ne sais pas ». Ainsi s’exprimait, en 2007 dans son livre Noirs de France, les Nouveaux Neg’marrons,  Rama Yade  alors sénégalaise avant d’être adoubée par Sarkozy et, toue fraîche naturalisée, de devenir secrétaire d’Etat aux Droits de l’Homme. Ses démêlés avec la justice en font une habituée des prétoires… et des condamnations pour diffamation, aussi bien envers l’ancien maire de Colombes Philippe Sarre ou l’ancien député LR Manuel Aeschlimann qu’envers Marine Le Pen  et son père qu’elle avait copieusement injuriés sur son blog.  Sa collègue Fadela Amara, l’égérie de Ni putes ni soumises avait l’habitude de prêter son logement de fonction aux membres de sa famille et a longtemps refusé de libérer le logement HLM qu’elle occupait dans le XIIIème arrondissement.

    Toujours du côté des ministres de la diversité recrutés par Sarkozy, signalons pour  Rachida Dati que des doutes subsistent sur l’authenticité de ses diplômes, que ses liens avec le Qatar ont suscité  de nombreuses interrogations comme d’ailleurs ses relations avec le Groupe Engie dont elle a défendu, au Parlement européen, les intérêts avec une telle vigueur qu’elle a fait l’objet d’une enquête de la part de Bruxelles.

    Pour sa part, Yamina Benguigui, proche de Laurent Fabius et ex-ministre de la Francophonie jusqu’en 2014, est condamnée en appel en 2016 à un an d’inéligibilité  pour des omissions dans ses déclarations de patrimoine  et suspendue pour deux ans des ordres de la Légion d’honneur et du Mérite. En novembre 2017, elle est définitivement condamnée en cassation et démissionne de son mandat du Conseil de Paris.

    La situation n’est guère meilleure du côté  de leurs collègues masculins. Kader Arif, ancien secrétaire d’Etat de François Hollande aux Anciens Combattants et proche de Lionel Jospin qu’il avait charmé quand ce dernier battait la campagne à Cintegabelle, a été obligé de démissionner pour une sombre affaire de favoritisme  dans l’attribution de marchés publics en  faveur de la société de communication d’Aïssa Arif, son frère.  Pour finir, signalons que Faouzi Lamdaoui, ancien chef de cabinet de François Hollande dans sa course à la présidentielle puis promu Conseiller à l’égalité des chances à l’Elysée, serait impliqué, avec deux commissaires de police, dans un affaire de divulgations de données confidentielles et de violation du secret professionnel de la police. Il aurait abusé de sa position pour tenter de décrédibiliser un de ses compatriotes qu’il aurait employé comme chauffeur et qui était devenu son ennemi juré.  Depuis 2015, il pantoufle chez Véolia comme patron des relations institutionnelles pour l’Afrique et le Moyen-Orient. Le changement socio-démographique voulu par les Américains est en marche et Benhalya-Benalla en est le symbole. Pour le malheur — et le déshonneur — de notre pays.

    Françoise Monestier 31/07/2018

    Source : Présent

    Crédit photo : David Monniaux [CC BY-SA 3.0], via Wikimedia Commons

    https://www.polemia.com/benalla-diallo-belatar-cites-pouvoir/

  • Prisons : Plus rien ne va pour Nicole Belloubet – JT TVL 31 Juillet 2018

    1) Société / Prisons : Plus rien ne va pour Nicole Belloubet  

    Un mois après la spectaculaire évasion de Redoine Faïd, le ministre de la Justice, Nicole Belloubet, s’active pour combler les failles de l’administration pénitentiaire. Des failles plus que jamais présentes alors que le nombre de détenus a une nouvelle fois battu un triste record.

    2) Economie / Le vin bleu s’attaque au marché français

    Alors que la France est le premier pays producteur et consommateur de vin rosé, un petit nouveau pousse la porte de nos caves : le vin bleu. Ce breuvage du 3ème millénaire et qui nous vient d’Espagne se rêve déjà en véritable concurrent du rosé !

    3) Culture / Patrimoine : le poète ferrailleur breton

    4) L’actualité en bref

    Pour ceux qui n’arrivent pas à lire cette vidéo, regardez là sur RuTube (juste après)

     Lien Rutube :
     
  • Quadriller le terrain pour rester en phase avec nos concitoyens

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    Ligne Droite cliquez ici

    Dominés par le Système et obnubilés par les médias, les partis politiques se sont progressivement coupés des Français au point d’ignorer leurs problèmes et de mépriser leurs aspirations. Tournant le dos à cette attitude oligarchique, la droite nouvelle devra rester en phase avec nos concitoyens en étant présente sur le terrain par l’intermédiaire de ses militants et de ses cadres et cela de façon permanente et systématique, par tous les moyens possibles.

    Organiser la reconquête

    Les partis politiques de droite comme de gauche ont en effet progressivement perdu le contact avec les Français. La droite « républicaine » est devenue un parti de notables qui ne vont à la rencontre des électeurs que le temps des élections. La gauche a de son côté abandonné les classes populaires pour adopter une stratégie de niches électorales, misant sur les minorités et notamment sur les personnes issues de l’immigration. Quant à la Nouvelle Gauche de Macron, elle repose sur un mouvement artificiel qui n’existe que grâce à une propagande médiatique permanente. Dès lors, la classe politicienne se soucie plus de l’opinion de la médiacratie, des lobbies et des minorités que de celle de l’électorat et ne se maintient aux affaires que par le jeu du régime électoral majoritaire.

    Mobiliser une nouvelle élite intellectuelle, politique et militante

    Ligne droite estime en conséquence que la droite nouvelle doit rompre avec cette pratique et entreprendre au contraire la reconquête de l’opinion majoritaire par un quadrillage systématique du terrain. Une reconquête qui devra certes rechercher la victoire électorale, mais qui devra aussi jeter les bases du renouveau de notre pays par la promotion d’une nouvelle élite intellectuelle, politique et militante. Une élite qui existe déjà mais qui se trouve aujourd’hui réduite à l’impuissance ou au découragement et que la droite nouvelle devra réveiller par un immense travail d’organisation et de mobilisation.

    Créer des réseaux d’information et de communication

    Cette mobilisation de terrain commence par la mise en place de réseaux d’information permettant, bien mieux que les sondages, de rester en phase avec les préoccupations de nos concitoyens et de détecter les tendances de fond de l’opinion. C’est d’ailleurs ce qu’a fait, avec un certain succès, la Nouvelle Gauche de Macron. Un travail qui peut de nos jours s’effectuer facilement et pour un faible coût grâce à Internet et aux réseaux sociaux.

    Ce dispositif devra d’ailleurs fonctionner à double sens de façon que la droite nouvelle puisse diffuser en direct et jusqu’à la base ses idées et son programme, en passant outre au barrage des médias du Système.

    Être présent sur le terrain

    Au-delà des réseaux d’information et de communication, le plus important est cependant la présence physique auprès de nos compatriotes, qui seule permet de construire avec eux une relation de confiance. Aussi les militants de la droite nouvelle devront-ils renouer avec le tractage, la présence sur les marchés, la tournée des commerçants ou le porte-à-porte et cela en dehors même des périodes électorales. Cette politique de présence passe aussi par la participation à la vie municipale et associative. Elle exige de réagir et de prendre position lors des événements locaux qui affectent la population, qu’il s’agisse par exemple de problèmes de sécurité, d’immigration ou d’emploi. Il convient également de lancer ou de relayer des campagnes de mobilisation concernant les grandes causes défendues par la droite nouvelle. Enfin, cet investissement militant doit déboucher sur l’exercice de mandats locaux qui consacrent un enracinement et confèrent une légitimité.

    S’intéresser prioritairement aux Français victimes du Système

    Dans cet esprit, l’action de terrain des militants de la droite nouvelle doit s’efforcer de toucher tous les Français, mais une priorité doit cependant être donnée à ceux qui souffrent plus particulièrement de la politique du Système.

    D’abord, « la France périphérique », qui regroupe une part importante des classes moyennes et populaires. Celle que les partis du Système ignorent ou méprisent et qui, parce qu’elle subit de plein fouet les conséquences de sa politique comme l’insécurité, la précarité ou l’immigration, ne peut qu’être réceptive au programme de la droite nouvelle.

    Ensuite, le monde du travail et de l’entreprise, largement délaissé aussi bien par la vieille droite que par la gauche et qui ne peut qu’être séduit par le programme économique de la droite nouvelle concernant la réindustrialisation du pays, la régulation de la mondialisation, et la diminution des charges et des règlements.

    Enfin, nos aînés, qui constituent une part croissante et généralement conservatrice de la population et qui, contrairement à ce que suggère la propagande du Système, ne sont pas dans une situation privilégiée mais supportent au contraire le poids croissant du fiscalisme, de l’insécurité, de la hausse du coût des services sociaux et de la désagrégation des structures familiales. Ayant été trompés par la vieille droite, ils se trouvent actuellement ouverts à une nouvelle offre politique.

    Investir le champ culturel et associatif

    Ce travail de terrain à mener par la droite nouvelle passe également par le champ culturel et associatif. Si la Gauche a triomphé de la droite au XXe siècle, c’est parce qu’elle a réussi à imposer partout son idéologie, créant ainsi une véritable hégémonie culturelle. Mais cette idéologie séduit de moins en moins car elle s’est coupée des préoccupations populaires et apparaît aujourd’hui à la fois conformiste et déracinée.

    La droite nouvelle doit profiter de cette éclipse intellectuelle de la gauche pour affirmer ses valeurs avec force. Pour cela, il lui faut s’investir dans les associations locales, offrir des tribunes aux intellectuels, aux créateurs et aux artistes qui rejettent le politiquement correct, préconisent un retour aux valeurs de notre civilisation ou refusent l’américanisation comme l’islamisation de notre société. Elle doit aussi chercher à redonner vie à la culture populaire enracinée dans les territoires et dans le génie de notre civilisation.

    Venir en aide à nos concitoyens en difficulté

    Le travail de terrain des militants de la droite nouvelle doit enfin revêtir une dimension fraternelle en direction de nos concitoyens en grande difficulté, qu’il s’agisse des Français sans abri, des mères de famille en détresse ou des jeunes en recherche d’emploi. Car leur venir en aide grâce à des structures bénévoles et déconnectées du combat politique donnera un contenu concret aux principes de préférence nationale et de citoyenneté active que promeut la droite nouvelle.

    Cet engagement conférera une dimension éthique au militantisme politique et contribuera à lutter effectivement contre les ravages de l’individualisme. Il préfigurera la société forte et fraternelle que veut bâtir la droite nouvelle avec tous les Français de bonne volonté.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Tommy Robinson au pays du viol de masse

    Au nom du vivre-ensemble, l’Angleterre embastille ceux qui ceux dénoncent les viols de masse commis par des gangs de pakistanais envoyé en prison moins d’un jour après son arrestation, Tommy Robinson, que l’on soit d’accord ou pas avec ses prises de position, est devenu en Europe un symbole de la liberté d’expression bafouée. Il est en danger de mort.

    L’affaire Tommy Robinson nous en dit beaucoup sur le soft power totalitaire qui sévit au Royaume-Uni, mais aussi en France. Si vous n'êtes pas féru de réseaux sociaux, vous êtes peut-être passé à côté d'un scandale digne de feu l'URSS Tommy Robinson, c'est ce militant britannique anti-islamisation, qui a été arrêté et condamné le 25 mai dernier pour avoir filmé en direct les prévenus, devant le palais de justice de Leeds, où se tenait l'un des nombreux procès de gangs de violeurs. Motif ? « Outrage à la Cour ».

    Tout dans cette affaire interpelle, à commencer par ce motif étrange comment un quidam dans la rue peut-il outrager la Cour ? Celle-ci avait décidé d'un black-out médiatique total sur l'affaire, officiellement pour préserver la neutralité des débats, mais plutôt pour protéger le vivre-Ensemble. En cause, Telford et Rotherham, deux villes qui sont la honte du Royaume-Uni pendant près de 30 ans, des gangs de Pakistanais ont violé en réunion un millier de mineures, principalement Blanches, parfois Sikhs. Une survivante de Rotherham témoigne « Ils m’appelaient "pute blanche" Parce que j'étais non-musulmane, je méritais d'être punie. » Si l’affaire a duré aussi longtemps, c'est que police, services sociaux, justice et médias l’ont étouffée, par crainte de passer pour « racistes ».

    C'est donc de ce « vivre-Ensemble » particulièrement dévoyé que voulait témoigner Tommy Robinson. Fondateur de l'English Défense League, ex-hooligan, il s'est reconverti depuis 2013 dans le journalisme citoyen, téléphone portable au poing, sans peur du coup de poing, ce qui lui a déjà valu des peines de prison avec sursis pour avoir filmé sur les marches d'autres tribunaux, comme le font tous les journalistes. Pourtant, ce 25 mai il était seulement sur le trottoir, pas à l'intérieur du Prétoire cette discrétion citoyenne n’a pas empêché son arrestation, et sa condamnation à 13 mois ferme le jour même, dans des conditions kafkaïennes procès bâclé en trois heures, son avocat ayant été préalablement éconduit et remplacé par un commis d'office.

    Kafka chez les Rosbeefs

    Le juge a même admis publiquement n'avoir que très brièvement regardé la vidéo de Robinson, lequel ne faisait que répéter des infos publiques, qui ne pouvaient donc influencer le jury. Il s’est aussi moqué des risques pour la vie de Tommy Robinson que lui faisait courir son emprisonnement dans un établissement à forte population pakistanaise.

    Et puis son arrestation et son procès ont fait eux-mêmes l'objet d'un « gag order », une ordonnance de bâillonnement. Pendant quatre jours, la presse anglaise n'a pas eu le droit de mentionner l’affaire et les médias qui avaient déjà publié des papiers les ont aussitôt censurés. Et en France ? Il faut croire que le droit britannique jouit de l’extra-territorialité, puisque seule une poignée de sites Internet ont évoqué l'affaire pendant cette période.

    Pourtant, grâce aux réseaux sociaux, la mobilisation en faveur du militant sera impressionnante la pétition lancée en sa faveur en Anglais, puis en 6 autres langues, recueille à ce jour plus de 600 000 signatures. Dès le lendemain de son arrestation, une première manif de soutien défilait dans les rues de Londres. Elles se succèdent depuis et celle du 9 juin aurait rassemblé 25 000 personnes. Le Premier ministre néerlandais Geert Wilders a apporté son soutien au militant et Donald Trump Jr., le fils de l'autre, s’est inquiété de son arrestation.

    À Paris, ce ne seront que quelques centaines de manifestants qui ont soutenu Robinson le 4 juin dernier, à l’appel de personnalités d'extrême-droite. La presse finira par un peu l'évoquer, de manière neutre pour Valeurs Actuelles ou Libé dans un article de « désintox », et plus abjecte pour L'Obs qui a osé titrer « le scandale de pédophilie de Telford fait le miel de la fachosphère » Comme si le vrai problème n'était pas d'abord que le silence sur les viols de Telford fasse le miel de la gauchosphère, mais surtout que le pays de l’Habeas Corpus et du Free Speech Corner embastille ce qu'il n est pas exagéré d'appeler un dissident.

    Richard Dalleau monde&vie 21 juin 2018

  • La dictature en marche : des dizaines de comptes Twitter suspendus cette nuit (Add.)

    Si vous êtes dans le même cas, faites-vous connaître dans les commentaires de ce post.

    • Karim Ouchikh, avocat, président du SIEL, Conseiller Régional Île-de-Fr, Conseiller municipal de Gonesse.
    • Jean Lahire, rédacteur au Salon beige.
    • Les r

     Add. : Le JDD tente une explication. Bizarrement, il ne recense que des réactions à droite. La gauche et la Macronie ont-elles été épargnées par cette purge objective de Twitter?

    Lahire

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Trump félicite le Premier ministre italien pour ses nouvelles mesures contre l’immigration

    Le 30 juillet 2018, Donald Trump a reçu le Premier ministre italien et a notamment évoqué avec lui la problématique de l’immigration.

    «C’est un grand honneur de recevoir Giuseppe Conte d’Italie. Il fait un boulot fantastique. Je voudrais vraiment vous remercier infiniment d’être ici, nous sommes devenus amis lors du sommet du G7, nous nous sommes appelés … Je suis tout-à-fait d’accord avec ce que vous faites sur la migration, l’immigration illégale et même l’immigration légale. L’Italie a pris une position très ferme sur les frontières, une position que peu de pays ont prise et, franchement, c’est une très bonne chose à mon avis. Beaucoup d’autres pays d’Europe devraient faire pareil. Certains ont pris cette position depuis longtemps et s’en sortent beaucoup mieux. Donc je voudrais juste vous remercier, je suis heureux que vous soyez avec nous, c’est un honneur. Nous avons beaucoup de choses à nous dire sur le commerce, sur notre armée, vous commandez de nombreux avions. Les Etats-Unis ont un très gros déficit commercial comme d’habitude avec l’Italie d’environ 31 milliards de dollars, et je suis sûr que nous redresserons cela très vite, mais nous prenons cela comme un grand honneur de vous avoir ici.»

    http://www.medias-presse.info/trump-felicite-le-premier-ministre-italien-pour-ses-nouvelles-mesures-contre-limmigration/95813/