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  • Gilets jaunes : la facture du plan d’urgence économique et social s’annonce salée

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     FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Lors de ses annonces, le président de la République, reprenant une formule de son prédécesseur, a décrété un « état d’urgence économique et sociale ».

    Pour y répondre, plusieurs mesures ont été prises, sans que les conséquences de leur coût soit concrètement abordées.

    Leur coût total est évalué à plus de 10 milliards d’euros. Dans le détail, la revalorisation de la prime d’activité coûtera 900 millions d’euros, l’annulation de la hausse de la CSG environ 2 milliards et la défiscalisation des heures supplémentaires 1,5 milliard d’euros ; celles-ci seront également exonérées de charges sociales, ce qui coûtera 2 milliards d’euros. Enfin, l’annulation des différentes hausses de la taxe sur les carburants est estimée à 4 milliards d’euros de manque à gagner.

    De fait, le gouvernement ne pourra pas tenir son engagement de ne pas produire un déficit supérieur à 3% du produit intérieur brut…

    La prévision d’un déficit public à 2,8% en 2019 paraissait déjà incertaine. Il est désormais question que le déficit public se dégrade à 3,4%. Voire pire si la croissance, qui devrait déjà se réduire de 0,1 point au dernier trimestre 2018, reste faible en 2019. Certaines évaluations prévoient en effet une croissance de 1,3% l’an prochain, soit 0,4 point en dessous de la prévision du gouvernement…

    Le commissaire européen Pierre Moscovici a déjà manifesté sa vigilance…

    En effet, les fameux critères de Maastricht exigent que les pays européens maîtrisent leur dette et leur déficit. Et la Commission européenne ne se préoccupe guère de la situation politique et sociale, comme l’Italie en fait actuellement l’expérience. Richard Ferrand, président de l’Assemblée nationale, rappelle cependant que le déficit élevé de 2019 est en partie temporaire, en raison du cumul en 2019 du coût budgétaire du Crédit d’impôt compétitivité emploi et des baisses de cotisations patronales. A voir si cela suffira à convaincre Bruxelles, ou si des hausses d’impôt devront être prévues, sur les grandes entreprises par exemple.

    Le président Macron pourra-t-il se relever de la crise des Gilets jaunes ?

    Au surlendemain de l’allocution tant attendue du président de la République, se pose la question de l’impact de la crise des Gilets jaunes sur son avenir politique. Sa stature présidentielle est considérablement ébranlée par le violent désamour des Français exprimé ces dernières semaines.
    Les semaines précédant son allocution, Emmanuel Macron avait surpris par sa discrétion anormale.

    Plutôt que d’aller sur le terrain lui-même, c’est son Premier ministre qui montait au créneau. Ainsi, comme l’a expliqué Éric Zemmour, Édouard Philippe prenait le rôle du méchant Richelieu pour préserver le gentil roi Louis XIII. Mais n’est-il pas trop tard pour cette manœuvre ?

    Car c’est sur Macron que la rancœur des Gilets jaunes se focalise, il est jugé responsable de leurs malheurs, à force d’avoir trop pris les devants.

    Les Français se souviennent des phrases choc de Macron. Dirigées contre les Gaulois réfractaires qui ne traversent pas la rue pour se trouver du travail, elles ont fait apparaître un président qui ne comprend pas le quotidien des plus humbles.

    La France a encore le souvenir du scandale Benalla, ce voyou devenu ami intime du président, ou encore le souvenir de la fête de musique animée par des personnes gesticulant sur de la musique électro et se vantant d’être « noir, fils d’immigrés et pédé ». Sans compter la photo avec des délinquants guyanais en caleçon faisant un doigt d’honneur. Macron n’a pas cessé de creuser le fossé avec la France populaire.

    Enfin, la médiatisation mondiale de la colère des Gilets jaunes a porté un coup sévère à Macron sur la scène internationale.

    Les médias du monde entier ont fait apparaître un homme à l’autorité affaiblie dont les forces de l’ordre ont violemment réprimé de simples manifestants pacifiques. Une dégringolade tonitruante pour celui qui se voyait déjà comme le nouvel homme fort de l’Union européenne.

    Sur la scène nationale comme internationale, le reste du quinquennat risque d’être difficile pour Macron, qui a toutes les chances d’être condamné à l’immobilisme de son prédécesseur François Hollande.

    https://fr.novopress.info/212973/gilets-jaunes-la-facture-du-plan-durgence-economique-et-social-sannonce-salee/

  • Edouard Philippe exclut finalement l’immigration du futur débat national

    Edouard Philippe exclut finalement l’immigration du futur débat national

    Le gouvernement remet une pièce dans la machine à Gilets jaunes… Dans la présentation faite mercredi par le gouvernement, l’immigration était le cinquième axe de la future concertation nationale, souhaitée par le gouvernement en réponse au mouvement des Gilets jaunes. Mais jeudi, le Premier ministre Edouard Philippe a fait marche arrière.

    Lundi soir, Emmanuel Macron avait pourtant déclaré :

    “Je veux aussi que nous mettions d’accord la Nation avec elle-même sur ce qu’est son identité profonde, que nous abordions la question de l’immigration. Il nous faut l’affronter.

    Mercredi, le gouvernement a présenté en Conseil des ministres les cinq axes de la concertation nationale, dont le dernier :

    “Quelles sont les attentes et les inquiétudes des Français relatives à l’immigration, dans un contexte de mondialisation et de laïcité parfois bousculée?”.

    Mais Edouard Philippe a parlé de quatre thèmes – et non de cinq – pour le débat à venir :

    • Mercredi soir, lors d’une rencontre organisée par l’association Villes de France. Il y aurait fait une allusion au débat sur l’identité nationale sous Nicolas Sarkozy qui “n’avait pas été un succès”.
    • Dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale, Edouard Philippe a confirmé jeudi, lors de l’examen de la motion de censuredéposée par les groupes d’opposition de gauche.

    S’ils reculent là-dessus, inutile de dire qu’ils reculeront aussi sur le reste.

    Voir l'image sur Twitter
    Marine Le Pen
     
    @MLP_officiel

    Comment le Premier Ministre peut-il supprimer l’immigration du débat national alors que le Président de la République s’est engagé solennellement devant les Français à en débattre ? Comment les Français peuvent-ils encore avoir confiance dans la parole présidentielle ??!! MLP

    1 142 personnes parlent à ce sujet

    https://www.lesalonbeige.fr/edouard-philippe-exclut-finalement-limmigration-du-futur-debat-national/

  • Sur la fusillade de Strasbourg

    6a00d8341c715453ef022ad3c68e29200b-320wi.jpgCe 11 décembre, à 19 h 50, une attaque criminelle se déroulait dans la capitale alsacienne dans le quartier traditionnellement consacré au marché de Noël. Toute l'Europe a pu suivre, sur les écrans de télévision et sur les sites des grands journaux, le développement de l'enquête et la mobilisation des forces de l'État.

    Mais comment s'informer ?

    Par exemple, on pouvait lire sur le site du Monde, un récapitulatif en direct intitulé, dès le départ, selon l'usage du journal, "ce que l’on sait" de l'événement. Très instructif dossier, surtout si l'on observe ce qui n'y figurait pas. Le lendemain à 5 h 41, on y cherchait, en effet, vainement certains mots-clefs susceptibles de qualifier et d'expliquer cet acte ignoble et sanglant[1]. Mystère. À 9 h 51, le titre en gras soulignait sobrement que "la motivation terroriste n’est pas encore établie".

    Venant d'une rédaction connue pour son omniscience et son infaillibilité, comment donc ne pas s'étonner ? On eût aimé apprendre de quelle nature et de quelle provenance on aurait pu, dans cette hypothèse le labelliser. Mais le grand journal de référence n'utilise pas le mot musulman. Il eût peut-être stigmatisé une religion[2] ; ni non plus l'adjectif islamiste[3], sans doute un terme trop voisin du précédent ; pas salafiste… pas takfiriste[4], le vrai mot, trop savant, encore moins…

    Le Monde a attendu 8 h 54 le mercredi pour accepter de le confirmer à une de ses abonnées. Tout le monde pouvait quand connaître l'information diffusée depuis la veille, mardi : cet islamo-terroriste[5] se prénomme Chérif. La question était signée d'une lectrice répondant elle-même au charmant nom de baptême de Marine. Tel quel.

    Ainsi, on doit considérer qu'il s'agit seulement et simplement d'un citoyen français, âgé de 29 ans. Européen, il s'était illustré par des violences et autres délits commis des deux côtés du Rhin.

    De pareilles pudeurs et litotes avaient été justifiées, la veille, sur Cnews, par l'ancien député du Rhône et magistrat Georges Fenech. Mais pour d'autres raisons : ne pas contrarier le travail des enquêteurs. Quelques heures plus tard, un tel souci avait perdu toute signification.

    Faut-il ajouter une remarque : Le Monde dans d'autres affaires ne s'encombre pas de ce genre de réticences. Il n'hésite guère à violer le secret de l'instruction.

    Il ne faut donc parler que d'un suspect radicalisé. Cet adjectif tout à fait neutre, mot-valise, cet euphémisme s'applique parfois aux gilets jaunes. Il permet de dissimuler l'identité de la menace. À celle-ci, hélas nous nous trouvons confrontés dans toute l'Europe. Aujourd'hui en Alsace, demain partout ailleurs où l'on compte des "kouffar", bons à égorger.

    Le marché de Noël représente tout ce qui constitue l'ennemi, aux yeux de l’idéologie salafiste et takfiriste. On doit bien parler de haine. Le geste criminel de ce Chérif doit être considéré dès lors, comme le passage à l’acte.

    Le criminologue bien connu Alain Bauer[6] l’a remarquablement expliqué en quelques minutes sur RTL[7] en appendice du journal de 7 heures.

    À cette réalité, sont confrontés, depuis 2012 au moins, nos services de renseignements et de lutte antiterroriste. Leur compétence globale paraît d'autant plus digne d'éloges et de confiance, que les moyens matériels mis à leur disposition sont chichement comptés. Et il en va ainsi des autres fonctions authentiquement régaliennes dans notre pays, de la défense nationale et d'administration de la justice, également réduites à la portion congrue. Elles se trouvent sous-dotées du simple fait de nos énormes budgets pseudo-sociaux et de dépenses étatiques démagogiques.

    Du fait de sa dispersion hors de son vrai domaine, l'État républicain devient incapable d'exercer ses fonctions indispensables.

    Kipling eût conclu qu'il s'agit d'une autre histoire.

    Elle semble aussi importante à explorer, que la pratique, par nos journaux et nos technocrates, de la langue de bois et des demi-vérités.

    JG Malliarakis  

    Apostilles

    [1] Frappant à l'aveuglette des innocents il avait tué deux personnes, une victime en mort clinique, et fait plusieurs blessés graves.
    [2] L'argument "tous les musulmans ne sont pas terroristes mais tous les terroristes sont musulmans" n'est pas admis dans les académies de la bien-pensance.
    [3] Pourtant si j'en crois la BBC : "Strasbourg shooting: Gunman shouted 'Allahu Akbar' as he attacked" "(faut-il traduire ?)
    [4] Rappelons ici la signification de ce mot, rare en occident, bien compris en orient. Il vient du mouvement extrémiste Takfir wal Hijra Excommunication et Immigration, scission des Frères musulmans apparue en 1971. Le terme takfir signifie l'excommunication, prononcée contre les mécréants kouffar. Ces derniers méritent, pensent les adeptes, la mort.
    [5] "Fiché S" : cet étiquetage impressionne les polémiques. Mais, à la vérité, elle ne veut rien dire d'autre que "signalé".
    [6] dont je n’ai pas besoin de souligner qu’il n’exprime pas les convictions de ma paroisse et que je n'appartiens pas à sa confrérie philosophique.
    [7] cf. "Fusillade à Strasbourg : il s'agirait d'un acte improvisé, selon Alain Bauer"

    https://www.insolent.fr/

  • Les instigateurs du pacte de Marrakech sont de fieffés mondialistes

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    INTERNATIONAL (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Le pacte mondial de l’ONU « pour des migrations sûres, ordonnées et régulières » a donc été signé lundi à Marrakech. En signant ce texte juridiquement non contraignant, les 164 États signataires ont pris un grand nombre d’engagements allant dans le sens d’un effacement de leurs frontières et de leur identité.

    Mais qui a inventé ce pacte ?

    Le principe de ce texte trouve son origine dans la Déclaration de New-York du 19 septembre 2016 pour les réfugiés et les migrants. Cette déclaration a été préparée sous la direction de Peter Sutherland, alors représentant spécial du Secrétaire général pour les migrations internationales et le développement. Celui-là même qui, alors président de Goldman Sachs International, avait déclaré, le 21 juin 2012, lors d’une audition à la Chambre britannique des Lords, que tout individu doit avoir la possibilité d’étudier et de travailler dans le pays de son choix. Cet administrateur du groupe Bilderberg appelait également les États européens à « miner leur homogénéité nationale ».

    Son successeur, Louise Harbour, a également un profil militant.

    Cette ancienne juge canadienne a produit tous ses efforts pour désinformer le public et occulter les effets du pacte et ses fondements mondialistes. Cette actuelle représentante spéciale de l’ONU pour les migrations a elle-même présidé l’organisation International Crisis Group. Cette ONG très particulière est financée par les États et par de généreux mécènes, telle l’Open Society Foundation de George Soros. Elle est connue pour soutenir l’action belliciste de l’OTAN.

  • Xavier Raufer : « Chérif Chekkat [était] un islamiste dangereux, l’un de ses frères l’est encore plus »

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    Pour Boulevard Voltaire, le criminologue Xavier Raufer revient sur le cas Chérif Chekkat, auteur de l’attentat au marché de Noël de Strasbourg. Quelques heures plus tard, le terroriste allait être retrouvé et abattu.

    Cherif Chekatt a ouvert le feu pendant le marché de Noël de Strasbourg.
    Comment a-t-il pu frapper dans la mesure où les points d’accès au marché de Noël étaient sécurisés ?

    Cherif Chekatt arrive sur le point de contrôle situé au niveau du pont du Corbeau et de la rue du vieux marché aux poissons vers 19h40.
    Au même endroit, une heure avant, une dame habitant Strasbourg m’écrit dans un mail qu’elle a été contrôlée de près. On lui avait demandé de présenter ses papiers d’identité et d’ouvrir son sac.
    Lorsqu’il s’y présente, Cherif Chekatt sait qu’il est poursuivi par la police et par la gendarmerie puisqu’il a failli être arrêté le matin même. Il n’était pas présent à son domicile. Les gendarmes ont perquisitionné son appartement et ont trouvé au moins une grenade défensive, une arme de guerre très dangereuse. Si vous larguez ce type de grenade dans une pièce, elle tue une trentaine de personnes. Ils ont également trouvé une arme de poing.
    À la suite de cette perquisition, les gendarmes ont fait leur boulot puisqu’ils ont publié une note d’alerte stipulant qu’un individu dangereux était en fuite. Ils ont joint sa taille, son poids, sa photographie, son patronyme et les endroits où il était susceptible de se trouver. La perquisition a eu lieu vers 6 heures du matin et la fiche en question est apparue sur les terminaux de police et de gendarmerie au plus tard à 7h30.
    Le même soir vers 19h40, ‘’l’intéressé’’, comme on dit dans les rapports de police, arrive à ce point d’où il peut accéder au centre-ville et où il est supposé être bien contrôlé et fouillé.
    On ne sait pas comment, mais il passe avec une arme de poing impressionnante, un vieux pistolet d’ordonnance et un poignard. Il était donc censé être fouillé et ne pas pouvoir entrer même avec un trombone ou une épingle. Pourtant, il passe.
    On peut décliner trois hypothèses pour l’expliquer. Première hypothèse, les gens censés être sur le point de contrôle ne voient plus clair parce qu’ils sont épuisés après avoir été sur des manifestations de lycéens le matin. Deuxième hypothèse, ils étaient en train de partir et ont négligé de contrôler l’individu en question. Dernière hypothèse, ils n’étaient déjà plus là.

    Il était officiellement poursuivi et recherché pour un braquage qui a mal tourné.
    Comme vous l’avez relevé, on n’envoie pas la DGSI pour un voleur de poules.
    Même s’il était fiché S, comment la DGSI a-t-elle pu être intéressée par un profil comme Cherif Chekatt alors qu’il avait officiellement le profil d’un braqueur ?

    Il est plus que fiché S. Un autre fichier existe. Le FSPRT est un fichier qui rassemble non seulement des personnes dont on est sûr qu’elles sont radicalisées, preuves à l’appui, mais également qu’elles sont dangereuses et ont accès à des armes ou à des outils dangereux.
    Cherif Chekatt figure sur les deux fichiers. En conséquence de quoi, tout ce qu’il fait est susceptible de basculer côté crime de droit commun. Il semble que la raison pour laquelle les gendarmes voulaient l’arrêter à ce moment-là était un home jacking. Cela consiste à s’introduire dans une maison pour braquer les habitants, voler leur argent et prendre leur numéro de carte bancaire. Il était avec 3 ou 4 complices d’origine maghrébine comme lui.
    Ils avaient peut-être l’envie ou le désir d’accumuler de l’argent pour pouvoir faire des attentats. On ne le sait pas pour le moment, mais nous le saurons peut-être. Ses trois complices ont été arrêtés. Ils sont entre les mains de la police.
    L’individu en question est signalé depuis trois ans pour son prosélytisme. C’est un véritable gibier de prison. Il est connu comme le loup blanc parce qu’à chaque fois qu’il est en prison, il y a coups et blessures sur les dépositaires de l’autorité. Il n’arrête pas de casser la gueule aux gardiens. Il le fait toujours dans des circonstances et avec des déclarations qui montrent que c’est un islamiste confirmé.
    L’islam fanatique salafiste interdit la musique, mais les guerriers ont le droit de chanter. Il a donc fait toutes sortes de déclarations sur ce qui s’appelle les anachid, les chants guerriers de Daesh. Il raconte que ‘’les abrutis de gardiens ne comprennent pas, mais nous les chantons dans toute la prison’’. Il est donc fier de son côté chahut militant, chahut islamiste à l’intérieur de la prison sur des chants de guerre qui appellent à tuer tous les infidèles. Il est clair que c’est un islamiste dangereux.
    La famille Chekatt est très compliquée. Ses parents et deux de ses frères ont été arrêtés. Le père a eu plusieurs épouses successives. Il a une ribambelle de frères et soeurs. Parmi eux, un des frères aînés de Cherif est encore plus dangereux, plus sophistiqué et plus organisé. Il n’a pas encore été arrêté. La crainte actuelle est que Cherif et son frère soient ensemble. Cela renforcerait certainement la capacité de nuisance de Cherif parce qu’il s’est pris une 5,56 dans le coude. Un de ses bras est donc neutralisé.

    On a du mal à imaginer qu’un homme aussi recherché et en plus blessé peut encore échapper aux forces de l’ordre…

    Deux solutions sont possibles. Premièrement, il se trouve peut-être en Allemagne, car nous avons eu deux signalements de deux Allemands crédibles. Ils ont dit avoir vu un garçon qui ressemblerait à Cherif. On cherche donc de ce côté-là, mais ce n’est pas sûr.
    Deuxièmement, depuis la zone où il a disparu, il peut très facilement rejoindre d’autres quartiers périphériques de Strasbourg où résident les éléments d’une importante communauté de Tchétchènes fanatisés et salafistes. Ce sont des gens redoutables dont certains sont d’anciens guerriers des guerres de Tchétchénie qui savent ce que c’est que la guérilla urbaine. D’autres sont plus jeunes comme les complices de Khamzat Asimov venu en mai dernier à Paris assassiner au nom de l’État islamique un passant au poignard dans le 2e arrondissement près du quartier de l’Opéra. Ce sont donc des garçons très dangereux.
    En somme, s’il a disparu en Suisse ou en Allemagne, on finira par le retrouver. S’il est planqué avec son frère aîné et des Tchétchènes, ça ne va pas être une promenade de santé pour aller le récupérer.
    Voilà où nous en sommes à l’heure actuelle.

    Xavier Raufer

    http://www.bvoltaire.fr/xavier-raufer-cherif-chekkat-etait-un-islamiste-dangereux-lun-de-ses-freres-lest-encore-plus/

  • MARRAKECH : L’ESCROQUERIE DU PACTE SUR LES MIGRATIONS

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    Le Bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

    Le lundi 10 décembre, la majorité des membres de l’Organisation des Nations unies, 150 sur 194, a signé le «  Pacte pour des migrations sûres, ordonnées et régulières, dit "Pacte de Marrakech" ». (Une ville qui, soit dit en passant, ne mérite pas tant d’éloges touristiques).

    Ce texte, rédigé par des « experts » dans la foulée de la crise migratoire de 2015, entend répondre aux flux de populations qui vont aller, hélas, en empirant. En fait de régulation des migrations, c’est  un coup de pouce donné aux millions de clandestins qui veulent quitter des sociétés anarchiques et des pays ingrats qui ne peuvent assurer leur pitance, pour rechercher des conditions de vie meilleures. C’est humain, mais cela ne correspond pas à nos intérêts, pas à ceux, en tout cas, des peuples européens, à commencer par le peuple français qui a déjà beaucoup donné ! C’est peut-être égoïste, mais c’est comme ça : « charité bien ordonnée  commence par soi-même », n’en déplaise aux pleureuses professionnelles des ONG alimentaires et… alimentées de nos deniers ! Après la misère qui fait fuir des peuples, principalement d’Afrique, on nous fait le coup des réfugiés climatiques. En mars dernier, l’ONU préconisait déjà l’entrée, - excusez du peu ! -, de 159 millions d’immigrés sur notre vieux continent d’ici à 2025/2030.

    Invraisemblable. Pour faire avaler cette couleuvre, on ressort toujours la même rengaine, les peuples européens sont épuisés, il faut un sang neuf et des bras pour l’industrie.

    Les migrants n’importent que leurs problèmes

    Mais dans des sociétés de plus en plus évoluées technologiquement, où les industries lourdes sont mortes, on peut douter que des armées d’analphabètes  puissent occuper des postes d’ingénieurs ou de techniciens. La grasse Allemagne en fournit un magnifique exemple : si quelques immigrés, déjà formés, ont pu trouver un job immédiatement après le rush de 2015, la plus grande partie, inadaptée au monde moderne, reste à la charge des contribuables de la RFA. Avec les conséquences sécuritaires que l’on connait. Aujourd’hui, l’ONU veut nous imposer « un mécanisme de renforcement des capacités (d’accueil) au sein du système des Nations (dites…) unies ». Parmi les exigences de ce pacte, « le renforcement des opérations maritimes pour sauver des vies », le renforcement également « de l’action internationale face aux trafics de migrants », l’obligation « de ne recourir au placement en rétention administrative qu’en dernier ressort » et permettre aussi l’accès, à ces mêmes migrants, « aux services de base ». Contribuables de tous les pays développés, à vos portefeuilles ! On nous dit « le pacte ne modifiera  pas les lois nationales et les Etats restent souverains ». Présenté comme un catalogue de nouveaux droits de l’homme, ce texte  induit de nouvelles obligations et de nouveaux devoirs aux Etats membres.

    Si nos vieilles nations courbaient l’échine, c’en serait fini de notre «  modèle social » à la française, modèle qui, soit dit en passant, est déjà en train de s’écrouler sous les coups de butoir du laxisme social et de l’égoïsme des (trop) bien nantis. Il n’y a que des « ravis de la crèche » comme, par exemple le sénateur Patriat, ex-socialiste, leader du groupe des « Marcheurs » au sénat, pour qui « faire société », c’est « organiser le bien vivre ensemble » ! On voit ce que donne cette fumisterie avec, comme triste exemple, un de plus, la tuerie de Strasbourg commise par un descendant d’immigré maghrébin ! Pour en revenir au pacte signé au nom de la France par un obscur secrétaire d’état, le sieur  Le Moyne, dépêché par un Macron qui n’a pas osé y aller lui-même, « Gilets jaunes » obligent, il servira d’alibi commode aux clandestins déboutés du droit d’asile.

    Un exemple abstrait aujourd’hui, concret demain

    Prenons un exemple abstrait : Mr Mamadou, un Sénégalais, venant d’un pays « démocratique », en paix, entré clandestinement en France, est débouté du droit d’asile. Avant sa très problématique expulsion, - rappelons les chiffres dérisoires des « retours au pays » effectué  par la France, à peine un peu plus de 30 000 expulsions dont la moitié réalisées à partir de Mayotte et de la Guyane ! -, aiguillonné par l’une des nombreuses associations « caritatives » défendant d’abord le sort des migrants, il sollicitera la Cour européenne des droits de l’homme, la fameuse et redoutable CEDH. Elle lui donnera forcément raison, et ce jugement fera  jurisprudence pour les cas suivants. CQFD, la boucle sera  bouclée. De non contraignant au départ, les contenus du pacte s’appliqueront en vertu des décisions d’une instance judiciaire hors sol, anonyme et internationale, à laquelle un gouvernement de « dhimmis » comme celui de la France, n’osera pas s’opposer. Il y a, toutefois, dans ce tragique panorama, des résistances qui nous réchauffent le cœur.

    Des pays qui, eux, sont debout

    L’Italie et la Suisse n’étaient pas représentées au Maroc, la Belgique est en pleine crise gouvernementale, le principal parti représentant la communauté flamande refusant sa participation à cette farce, la Bulgarie a rejoint la liste des pays qui se sont officiellement déclarés hostiles à ce document, citons au hasard : Etats-Unis, Israël, Autriche, Estonie, Lettonie, Chili, République Dominicaine, - comme on la comprend avec Haïti à ses portes ! -, les quatre membres du groupe de Višegrad et bien d’autres Etats, une bonne quarantaine au total, refusent de se joindre à cette sinistre plaisanterie. Ils savent bien que cette marchandise est frelatée et que ce vote, pour l’instant de portée symbolique car il n’a, AUJOURD’HUI, aucune contrainte juridique, sera demain un véritable corset, un de plus  resserrant leur souveraineté. De plus, ce pacte ne promeut-il pas la propagande en faveur de l’accueil des immigrés et n’encourage-t-il pas des sanctions matérielles à l’endroit des médias hostiles à l’immigration de masse ? Et la juge canadienne Louise Arbour, qui manageait ce grand raoût mondialiste, a eu beau déclarer que les autres pays « finiront par y venir (à ce pacte, nda), car la migration est un sujet qui va nous interpeller pendant des décennies. Le pacte ce n’est pas la fin, mais le début de la nécessité d’une meilleur coopération », la résistance va s’organiser. D’abord, démocratiquement, dans les urnes comme la poussée populiste, - oh l’horrible mot ! -, le démontre chaque jour, en Europe comme ailleurs. Un dernier réconfort pour donner du baume au coeur ? 50 000 Canadiens ont approuvé une pétition hostile à la signature par le trublion Justin Trudeau, au nom du Canada, de ce « pacte » dont on souhaite bien volontiers, qu’il  finisse aux orties !

  • Voulez-vous vraiment que vos impôts financent l’immigration ?

    Le communiqué de Civitas de ce jour :

    Payer des impôts pour financer l’immigration OU faire un don déductible à Civitas pour financer vos idées, à vous de choisir !

    En avril 2018, la Cour des comptes s’alarmait du coût de l’accueil et de l’hébergement des réfugiés en France. Elle chiffrait le coût global de l’asile aux alentours de 2 milliards d’euros par an pour environ 66.000 demandes faites en 2013.

    Le 88e Congrès des Départements de France, réuni à Rennes du 7 au 9 novembre 2018, abordait le coût des immigrés classés “Mineurs non accompagnés” (MNA) qui, au titre de l’aide sociale à l’enfance, bénéficient de l’aide des collectivités. Ce qui crée un appel d’air et fait exploser les budgets. Ces “Mineurs non accompagnés” se présentent comme âgés de 15 à 18 ans, avec la quantité d’abus que l’on sait de jeunes hommes qui ont en réalité largement dépassé cet âge. La plupart (95 %) sont des garçons et 70 % viennent d’Afrique, en particulier d’Afrique de l’Ouest francophone, où il n’y a pas de guerre. C’est donc bien une immigration économique et illégale massive. Le coût de la prise en charge d’un “mineur étranger non accompagné” au titre de l’aide sociale à l’enfance (ASE) atteint au bas mot 50.000 € par an, ce qui, à l’échelle du territoire national, représentera une ardoise d’au moins 1,5 milliard d’euros d’ici la fin de l’année, chiffre sans cesse réévalué à la hausse.

    L’économiste Yves-Marie Laulan évalue le coût total annuel de l’immigration à un montant qui oscille entre 70 et 80 milliards d’euros par an,

    Et qui paye ? Les contribuables, dindons de cette mauvaise farce.

    Allez-vous, sans rechigner, payer vos impôts à cet Etat républicain et financer l’immigration de grand remplacement ? Ou allez-vous préférer faire à Civitas un don déductible de vos impôts et financer ainsi vos idées ? A vous de choisir avant le 31 décembre 2018.

    Précision importante : la déduction fiscale de vos dons reste inchangée avec le prélèvement à la source.

    Nous avons besoin que vos encouragements se transforment en actes.

    ATTENTION, le don en ligne via paypal n’est plus autorisé, selon une note du ministère de l’Intérieur basée sur une règlementation qui pénalise uniquement les structures dissidentes comme la nôtre.

    Dès lors, votre don doit impérativement se faire :
    . par virement bancaire avec mention obligatoire de votre adresse postale et du motif de votre virement (adhésion) à :

    Banque postale – FR02 2004 1010 1251 9584 8B03 351 – PSSTFRPPSCE

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    Le don – permet l’obtention d’un reçu fiscal (réduction d’impôt de 66%) (Déclaration Préfecture du Val d’Oise, Agrément 1166 du 18 mai 2016). Le don fait par chèque doit être à l’ordre d’ADF.
    Civitas est la seule formation politique qui respecte la doctrine catholique et se soucie de la défense de nos valeurs civilisationnelles, sans compromission ni reniement.

    Les Français doivent se réhabituer à entendre parler de la loi naturelle, de principes catholiques, de France catholique. Ce discours doit être martelé publiquement encore et encore, jusqu’à ce que cela finisse par devenir, pour nos contemporains, une hypothèse méritant réflexion puis qui leur apparaisse comme LA solution.

    Ce travail nécessite que nous développions solidement nos implantations locales, par un travail régulier et persévérant sur le terrain, par voie de tracts, d’affiches, de rencontre avec les gens, de réseaux tissés localement pour un travail de reconquête.

    Nous comptons donc sur votre soutien et engagement pour poursuivre ce nécessaire combat.

    https://www.medias-presse.info/voulez-vous-vraiment-que-vos-impots-financent-limmigration/102371/

  • A la place de “grands débats”, instaurer le référendum d’initiative partagée

    A la place de “grands débats”, instaurer le référendum d’initiative partagée

    Extrait de l’entretien donné par Nicolas Dupont-Aignan dans Valeurs Actuelles :

    Avez-vous été surpris par l’annonce d’un grand débat sur l’immigration ?

    La cerise sur le gâteau de la tromperie tient dans ce débat à venir sur l’immigration ! Il ose l’annoncer le jour où son ministre va signer le pacte de Marrakech. Un pacte qui ouvre les vannes de l’immigration et, par un enchaînement de jurisprudences, aboutira à un acte contraignant, même s’il ne l’est pas encore aujourd’hui.

    En quoi vous avez la certitude que le pacte de Marrakech deviendra contraignant ?

    Lisez-le et vous comprendrez en quoi il est dramatique. Il reconnait les migrations comme quelque chose d’inhérent à la mondialisation et de positif. Il y est même écrit que les médias critiquant les migrations seront punis financièrement… Par un enchaînement de jurisprudence de la cour européenne des droits de l’homme, ce pacte sera inscrit dans le bloc de constitutionnalité ou de législation. Les décisions d’expulsion des migrants clandestins non demandeurs d’asile seront beaucoup plus difficiles. Je ne suis pas le seul à le dire ! Le député Républicains Claude Goasguen l’a dit lui-même à l’Assemblée nationale. Et tous les juristes le savent ! Ce pacte est monstrueux et nous sommes le seul pays où il n’y a pas de débat ! Rien, pas même au Parlement. Est-ce par hasard que les Etats-Unis, l’Australie, Israël, la Pologne, la Tchéquie, le Brésil, l’Autriche, l’Italie… y renoncent ? Si on ne change pas les règles du jeu migratoire en Europe, on ne règlera pas la question de la répartition de la misère et de la création de richesse en France.

    Le pouvoir semble vouloir minimiser la portée de ce pacte en envoyant Jean-Baptiste Lemoyne, un secrétaire d’Etat, pour le ratifier…

    Ce sont des menteurs professionnels, des manipulateurs, qui se permettent de nous accuser de fake news, c’est le monde à l’envers ! Que Macron assume ! La démocratie repose sur la confiance. Et la confiance repose sur la vérité et la franchise. Madame Merkel a au moins eu le courage d’y aller.

    A la place de ce grand débat sur l’immigration, qu’auriez-vous préconisé ?

    J’ai fait une proposition de loi constitutionnelle proposant un référendum d’initiative partagée, possible dans notre Constitution. Il faut simplement que monsieur Wauquiez arrête son double langage et signe cette proposition, cosignée par des parlementaires tels que Jean-Louis Masson, Marine Le Pen, Franck Marlin et d’autres… Il suffit que l’on ait 165 parlementaires et le soutien d’un dixième des électeurs (environs 4 millions de signatures, ndlr) pour que le gouvernement soit obligé d’organiser un référendum national. Je le réclame inlassablement. L’immigration est le seul dossier qui n’a pas été arbitré par le peuple, et on nous enfume avec une consultation, du bavardage localisé, qui va durer trois mois !

    Votre critique est radicale, certains vous accusent de jeter de l’huile sur le feu…

    Je ne mets pas de l’huile sur le feu, je ne fais que défendre ces millions de Français qui ne sont plus représentés par l’opposition. Quand je vois Guillaume Peltier applaudir Macron lundi soir, je me demande où l’on va. L’opposition est aux abris, elle se déculotte. Il faut continuer la mobilisation, en manifestant pacifiquement devant les préfectures mais sans paralyser la vie économique du pays ni les commerçants qui ont déjà beaucoup souffert. La mobilisation se poursuivra parce que nous ne pouvons pas bâillonner un peuple que l’on enchaîne.

    https://www.lesalonbeige.fr/a-la-place-de-grands-debats-instaurer-le-referendum-dinitiative-partagee/

  • Malaise sur le plateau de Cnews après les révélations de Xavier Raufer sur Cherif Chekatt