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  • Vous avez dit complot?

    pinochio-300x199.pngLe président du Conseil de l’Union européenne, le Polonais Donald Tusk , avertissait cette semaine, qu’il y a une «place spéciale en enfer» pour les partisans du Brexit sans accord,  alors que Theresa May  retourne à Bruxelles pour arracher un nouveau compromis. Sortir de l’UE n’est pas un chemin pavé de roses… Pourtant, les promoteurs de l’UE souhaitent  lui donner le visage souriant d’une réunion de gentils menacés par les méchants. Sputnik s’arrête ainsi sur les vidéos circulant sur internet dans lesquelles, « avec un ton enfantin, des personnages animés devisent sur les dangers auxquels serait confrontée l’Union européenne: populistes et autres extrémistes. Les loups Trump et Poutine s’opposent à de gentils Eurolapins  (…). Publiée sur Facebook et YouTube, la  (dernière) vidéo (en date) fait suite à un premier essai remarqué en novembre dernier. Intitulée Eurolapins - ne faites pas le jeu des loups!, cette première vidéo mettait en scène les petits lagomorphes pro-Bruxelles s’opposant aux féroces canidés Vladimir, Ping et Donald, qui lorgnaient sur leur terre. En effet quand les Européens ne sont pas unis, ce sont les loups qui en profitent, pouvait-on lire dans cette création vue plus de 70.000 fois sur Facebook. » « L’organisation Pulse of Europe, très europhile, en est à l’origine. Lancée à Francfort fin 2016, Pulse of Europe se revendique comme étant «une initiative citoyenne. Ses membres s’évertuent à chanter les louanges de l’Union et s’en prennent au danger que représenteraient les populistes opposés à la construction européenne.»

    «Selon le site de Ruptures, le représentant légal et président de Pulse of Europe est un avocat d’affaires allemand du nom de Daniel Röder. (…)  Ruptures a dressé le CV du bonhomme : Dans le civil, le Dr Röder est avocat d’affaires, précisément au cabinet Greenfort. Et comme la curiosité de nos confrères ne s’est pas arrêtée là, ces derniers ont trouvé que ledit cabinet a pour spécialités: le conseil en réduction d’effectifs (“plans sociaux, négociations, licenciements collectifs”)en acquisitions et cessions d’entreprises, et vente aux enchères de celles-ci et en privatisations. Le cabinet du bon docteur Röder a ainsi été maître d’œuvre dans le rachat par des Chinois de l’aéroport de Francfort-Hahn.» Un CV qui a tout pour plaire aux lapins crétins ? Les loups, dans l’esprit de nos compatriotes, se sont surtout les commissaires politiques/propagandistes des sociétés ouvertes  qui tentent de museler ceux qui refusent de penser dans les clous multiculturalistes.

    Il faut s’en féliciter, et les nationaux n’ont pas toujours eu cette « chance », Nicolas Dupont-Aignan a été relaxé cette semaine  des poursuites engagées contre lui. Il lui était reproché ce tweet de janvier 2017 dans lequel il notait que « les socialistes en 2016 » « compensent la baisse de la natalité par l’invasion migratoire. Le changement de population, c’est maintenant ! » Commentant cette décision , Me Frédéric Pichon  a relevé que la confirmation par la cour d’appel de Paris  de  la relaxe de M. Dupont-Aignan était logique, mais  « il n’en reste pas moins que l’acharnement procédural de la section AC4 du Parquet de Paris constitue un obstacle à la libre parole. »

    Libre parole  souvent confondue avec le  complotisme  par les  grandes consciences qui se penchent  sur la remise en cause  dans l’opinion de la doxa officielle véhiculée par les gros médias. Le 6 février, était publiée la « nouvelle enquête, réalisée par la Fondation Jean-Jaurès et Conspiracy Watch, (structure dirigée par les militants de gauche Valérie Igounet et Rudy Reichstadt, NDLR ), avec l’institut Ifop, en décembre 2018. (Elle)  met en lumière l’influence préoccupante des représentations conspirationnistes dans la société française : si deux Français sur trois sont relativement hermétiques au complotisme, 21 % des personnes interrogées se déclarent cependant d’accord  avec 5 énoncés complotistes parmi les 10 qui leur ont été soumis. »

    Énoncés complotistes portant sur des questions diverses, plus ou moins farfelues ou sérieuses,  mais récurrentes, que l’on trouve il est vrai en assez grand nombre sur la toile et les réseaux sociaux,  liées aux  vaccins,  au climat, au poids des lobbies, à l’immigration, sur les  illuminati, le 11 septembre, la CIA, etc… Analysant sur son blogue  cette étude,   Guillaume Champeau  estime qu’il s’agit d’un « travail utile et intéressant », qui «montre une grande perméabilité des thèses dites  complotistes parmi les citoyens français, et livre des ventilations des résultats qui démontrent l’existence d’une certaine corrélation entre l’adhésion à des théories du complot et, notamment, l’âge, le niveau d’étude, et le niveau de revenus (…). Il est logique et attendu que les conclusions de l’étude démontrent que ceux qui croient aux théories du complot sont surtout des pauvres, mal éduqués, qui votent pour les extrêmes (sic) , et des jeunes qui n’ont pas de recul sur l’actualité ou sont intoxiqués aux réseaux sociaux. »

    Pour autant s’interroge-t-il, « quels auraient été les résultats si l’on avait proposé d’autres théories du complot ? Par exemple : Les gilets jaunes sont un mouvement créé ou entretenu par la Russie pour déstabiliser le gouvernement ; Christophe Dettinger a été aidé par un avocat d’extrême-gauche, ça se voit, il n’a pas les mots d’un boxeur gitan Le RIC est une idée poussée par l’extrême-droite pour faire revenir la peine de mort Les serveurs Huawei sont équipés de mouchards qui permettent aux Chinois de nous espionner ; Donald Trump est un agent russe ; Mediapart est une officine au service de l’opposition. Ce sont tout autant des théories du complot non démontrées (ce qui ne veut pas dire qu’elles sont toutes fausses), mais ce ne sont pas celles retenues et donc testées par Conspiracy Watch et la Fondation Jean Jaurès. Il est pourtant probable qu’au moins une partie de ces théories aurait été approuvée, pour le coup, par des citoyens parfaitement bien informés, éduqués, rémunérés… ce qui aurait beaucoup modifié la cartographie sociologique des résultats. Le choix des propositions énoncées oriente donc la conclusion des réponses. » «Ce constat, ajoute-t-il, n’est pas neutre quand on lit l’annonce finale de la Fondation Jean Jaurès, qui veut faire le lien entre perméabilité au complotisme et gilets jaunes. »

    Il n’est pas neutre non plus de taxer de complotisme ces Français qui constatent l’évidence d’une réalité, à savoir l’immigration de peuplement.  Ainsi, rapporte cette même étude,  25 % des Français adhérent à la théorie du grand remplacement, qui voudrait que «l’immigration est organisée délibérément par nos élites politiques, intellectuelles et médiatiques pour aboutir à terme au remplacement de la population européenne par une population immigrée.» Un fantasme malsain ? Mais c’est Emmanuel Macron qui cette semaine à Evry,  expliquait de nouveau  que l’immigration était irréversible  que « nous sommes dans un monde de migrations, je ne crois pas du tout aux gens qui font des murs, ça ne marche pas. »

    Car rien de tel que le choc du réel pour dissiper toute paranoïa complotiste. Les Français  subissent, devenant étrangers dans leur propre pays,   les changements de population dans des zones de plus en plus étendues de notre territoire ; ils observent la poursuite de l’immigration massive, du regroupement familial,  malgré la persistance d’un chômage de masse ; ils « s’étonnent » qu’ils n’aient jamais été consultés sur la pertinence de cette politique-là,  alors qu’elle est très majoritairement rejetée par eux ; ils  constatent le matraquage dans les pubs, les films, les émissions en faveur du vivre-ensemble,  du multiculturalisme par des « élites » qui  prennent bien soin, odieux  Tarfuffe,  de ne pas vivre dans les quartiers de la diversité et s’en mettent à l’abri, eux et leurs enfants,  grâce à  des murs et à leur compte en banque.

    Bruno Gollnisch l’affirme déjà depuis longtemps, « le seul complot c’est sur la sûreté intérieure et extérieure de l’Etat qui est l’appel à une immigration massive de personnes qui se trouvent en dehors de notre civilisation depuis 40 ans. C’est un complot contre la France. Je suis complotiste au sens zemmourien du terme : dénatalité, immigration massive, ouverture des frontières, libre échangisme, destruction de l’identité française… ». Et c’est ce processus de défrancisation,  qui est souhaité  par beaucoup de personnalités appartenant à la caste politico-médiatique, accompagné par résignation, par fatalisme  ou lâcheté par d‘autres. Processus qui mine la démocratie française  dont «la crise », comme le relevait avec raison Patrick Buisson dans La cause du peuple,  «est celle d’un système qui en usurpe le nom .»

    https://gollnisch.com/2019/02/08/vous-avez-dit-complot/

  • Emmanuel Macron contre la liberté de la presse, par Guillaume de Thieulloy

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    Fin janvier, Emmanuel Macron a reçu des journalistes pour s’exprimer librement devant eux sur l’actualité. Le procédé était habituel pour ses prédécesseurs, mais c’est la première fois qu’il s’adonne à cet exercice étrange.

    Je dis « étrange », car le statut de ce genre d’entretiens m’a toujours laissé songeur. À qui fera-t-on croire qu’un président de la république parle de l’abondance du cœur à des journalistes ?

    En tout cas, comme souvent avec les « off » hypocrites, celui qui joue au chef de l’État, a clairement voulu faire passer des messages par l’intermédiaire de ces complaisants journalistes.

    Or, le moins que l’on puisse dire, c’est que les messages en question sont inquiétants. D’autant qu’ils sont confirmés par un récent entretien au « Point ».

    À ce propos, le seul récit disponible de l’entretien « libre » de M. Ma­cron, est celui qu’en a donné Emmanuel Beretta dans « Le Point ». De là à supposer que le magazine est une pièce maîtresse de la communication présidentielle, il n’y a qu’un pas.

    En tout cas, M. Macron fait preu­ve d’une inquiétante paranoïa. Pour lui, les gilets jaunes sont manipulés par l’étranger – spécialement la Russie. Éric Drouet pourrait ainsi être conseillé de l’étranger, affirme-t-il.

    Qu’un mouvement aussi anarchique – et si typiquement français ! – ait pu être inventé par l’étranger me semble extrêmement douteux.

    Mais, quand cela serait, où serait le plus grave : qu’Éric Drouet, simple citoyen, soit conseillé par l’étranger, ou que tant d’hommes politiques de premier plan soient financés par l’étranger (y compris par des pays soutenant notoirement le terrorisme) ?

    Selon le président, 90 % des mouvements favorables aux gilets jaunes, sur internet et les réseaux sociaux, viendraient de « la fachosphère, la gauchosphère, [ou de] la russosphère ». Avec une analyse aussi fine de la société, nous sommes assurés de l’objectivité du « grand débat » !

    J’ai toujours été fasciné par le complotisme des anti-complotistes patentés. Nous en avons un superbe exemple.

    Mais le plus saugrenu est sans doute l’idée évoquée dans son entretien « libre ». On y lit ceci :

    « Le bien public, c’est l’information. Et peut-être que c’est ce que l’État doit financer. Le bien public, ce n’est pas le caméraman de France 3. Le bien public, c’est l’information sur BFM, sur LCI, sur TF1, et partout. Il faut s’assurer qu’elle est neutre, financer des structures qui assurent la neutralité. Que, pour cette part-là, la vérification de l’information, il y ait une forme de subvention publique assumée, avec des garants qui soient des journalistes. »

    J’ignore si le président pense réellement ce que je lis. Mais, si c’est le cas, bienvenue à Pyongyang ou bienvenue au « Pays des merveilles » d’Alice ! Car on ne sait ce qui est le plus frappant dans cette idée loufoque, de son absurdité ou de ses tendances totalitaires.

    Comment diable M. Macron fera-t-il pour s’assurer que l’information soit « neutre » ? Fau­dra-t-il que les journalistes soient recrutés sur leur absence de conviction ? Croit-il vraiment que BFM ou TF1 sont neutres ou se moque-t-il tout simplement de son auditoire ? Et croit-il que seuls les médias « neutres » vérifient leurs informations ?

    Si je comprends bien, dans « l’i­déal », les journalistes bien-pensants seraient rémunérés par l’argent public et pas les autres. M. Macron a-t-il réfléchi une seconde au fait que la défiance générale envers les médias augmenterait vertigineusement ? Et a-t-il réfléchi au cadeau inouï qu’il ferait ainsi aux dissidents comme nous, qui recevraient ainsi un brevet de l’État de ne pas dépendre des puissants ?

    Toujours est-il que Jupiter manifeste une fois de plus qu’il a des problèmes avec nos libertés !

    Guillaume de Thieulloy

    Tribune reprise de les4verites.com

    https://fr.novopress.info/213548/emmanuel-macron-contre-la-liberte-de-la-presse-par-guillaume-de-thieulloy/

  • Les Black Blocs pourrissent les manifestations des gilets jaunes

    Les Black Blocs pourrissent les manifestations des gilets jaunes

    Témoignage du journaliste Vincent Lapierre, sur l’acte XIII des gilets jaunes hier :

    J’ai couvert l’acte XIII à Paris. Je peux témoigner du fait que la physionomie du mouvement a changé : les Black blocs se sont incrustés au cœur du mouvement. Ils étaient entre 50 et 100, casqués, tout en noir, avec des battes et faisant la loi dans le cortège. Je n’ai pu rester qu’en fin de cortège. Le risque de tabassage était réel, malgré mes dix gardes du corps. Tous les #GiletsJaunes que j’ai interrogés étaient totalement contre cette évolution. Mais sans coordination, impossible de déloger les Black blocs. Tout porte à croire que le mouvement court à son pourrissement, c’est la raison d’être de ces hommes en noir. Le reportage arrive.
    Je précise que Thibault, le Gaulois aux cheveux longs, s’est violemment fait exclure du cortège. L’un de ceux qui l’accompagnaient est à l’hôpital suite à un coup de casque “antifasciste”.

    Il ne faut donc pas s’étonner qu’un véhicule Vigipirate ait été incendié hier à Paris :

  • Rencontre avec Bernard Plouvier : « Aspects méconnus du IIIe Reich au crible du non-conformisme »

    760254652.jpgEntretien avec Bernard Plouvier, auteur du « Aspects méconnus du IIIe Reich au crible du non-conformisme » (éditions Dualpha).

    (Propos recueillis par Fabrice Dutilleul)

    Que peut-on écrire encore sur le IIIe Reich et son fondateur-naufrageur qui n’ait pas déjà été présenté mille fois ?

    Depuis trente ans, l’historiographie est encombrée – sauf exception – de biographies fort conventionnelles, au point que l’on se demande pourquoi on en publie toujours de nouvelles, qui ne servent qu’à paraphraser les précédentes, ainsi que d’études lamentant tel aspect de la Shoah ou alimentant la perversion complotiste de lectorats opposés (marxistes, anarchistes, négationnistes, contempteurs de la Maçonnerie, voire les dépisteurs du « Satanisme »).

    En revanche, rien ou presque n’est fait pour appréhender et présenter la véritable histoire d’Adolf Hitler, les conditions de son accès – très démocratique – au pouvoir, sa politique financière, économique et sociale réellement innovante, enfin certains aspects trop méconnus du Reich en guerre, notamment l’ampleur des trahisons d’une certaine « élite », dépourvue du sens de l’honneur national, mais fort bien pourvue en instinct de conservation, ou encore la très tardive mobilisation de l’économie du Reich au service de son effort de guerre.

    Qu’apporte ce volume ?

    Un corpus, forcément un peu disparate, de 21 études qui complètent mes livres précédents sur cette période.

    Si ce petit volume est bien accueilli, un second suivra, indépendamment des ouvrages prévus sur L’Illusion italienne (si l’on préfère sur l’inexistence du trop fameux « Axe Rome-Berlin »), sur L’Économie et la technologie de guerre du IIIe Reich, sur Les Causes économiques de la IIe Guerre mondiale et sur les Crimes de guerre des Alliés occidentaux durant la IIe Guerre mondiale (les crimes des Soviétiques sont, dans l’ensemble, fort bien connus).

    En bref, un point de vue résolument non-conformiste !

    C’est évident.

    À quoi peut servir une énième resucée, dégoulinante de sentiments sirupeux et de grotesques phrases à la sauce psychanalytique, de tout ce qu’écrivent les auteurs universitaires, académiques et mondains ? Il est exact que le public aime qu’on le conforte dans sa douce quiétude, née de la certitude de « connaître la vérité ».

    Le public qui aime ce genre de littérature et en redemande est saturé de titres qui, année après année, n’apportent rien de neuf, mais alimentent la pompe des réparations-dédommagements et celle de la distribution des prix, sinécures et distinctions.

    En revanche, il doit bien exister un lectorat un peu plus exigeant, qui tente de fuir le manichéisme ambiant d’une historiographie née de la propagande de guerre des vainqueurs.

    C’est à ce public que s’adresse cet ouvrage et surtout pas à celles et ceux qui sont satisfaits du brouet traditionnel, si reposant par sa simplicité.

    Sommaire :

    A – Aspects originaux de la préhistoire du nazisme et du IIIe Reich

    1 – Richard Wagner, le génie à la fausse réputation d’antiju­daïs­me

    2 – Des symboles et des hommes : le Swastika

    3 – L’improbable dialogue des adolescents Ludwig Wittgenstein et Adolf Hitler

    4 – L’hystérie médiatique à propos des rééditions de Mein Kampf

    5 – Aux origines du Parti National-Socialiste : la querelle entre Otto Dickel et Adolf Hitler

    B – Six études sur le IIIe Reich

    1 – Modernisme et Totalitarisme

    2 – Quand les économistes innovaient efficacement

    3 – Adolf Hitler et le monde rural

    4 – L’étude calme, méthodique, raisonnée de l’eugénisme

    5 – Des viols racistes et de la télégonie

    6 – Adolf Hitler et le sionisme : un problème très complexe

    C – Des collaborateurs trop mal connus ou surévalués

    1 – Robert Ley, un chef nazi efficace et très calomnié

    2 – Le Sphinx du IIIe Reich : Martin Bormann

    3 – Heinrich Hoffmann, le photographe maudit

    4 – Baldur von Schirach, le faux dur

    5 – Les secrétaires du Führer

    6 – Le Dr Mengele

    D – Études de guerre

    1 – De l’utilité des guerres

    2 – La destruction de Guernica y Luno, les 26 et 27 avril 1937, par un bombardement nazi et par un dynamitage marxiste

    3 – De l’été 42 au printemps 43. Stalingrad et Koursk : la fin du projet grandiose d’Adolf Hitler par l’effet des trahisons et des erreurs de tactique de nombreux généraux… ou la nécessaire réécriture de la guerre à l’Est

    4 – La tentative d’attentat de l’ingénieur Kummerow sur « le petit Docteur »

    Les mots de la fin

    1 – Vous avez dit révisionnisme historique ?

    2 – Le populisme doit se dissocier du négationnisme

    Aspects méconnus du IIIe Reich au crible du non-conformisme de Bernard Plouvier, éditions Dualpha, collection « Vérités pour l’Histoire », dirigée par Philippe Randa, 280 pages, 31 euros. Pour commander ce live, cliquez ici.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/02/08/aspects-meconnus-du-iiie-reich-au-crible-du-non-conformisme-6127290.html

  • Des antifas casseurs vandalisent la Nouvelle Librairie et jettent des livres !

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    Témoignage exclusif d’un employé de la librairie qui a assisté à l’attaque de la Nouvelle Librairie par des antifas : « Certains gilets jaunes se sont interposés. »

  • Crise franco-italienne : Matteo Salvini dénonce l’hypocrisie de la France sur la question migratoire

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    Au lendemain du départ de l’ambassadeur de France à Rome, Matteo Salvini a annoncé ne vouloir se fâcher “avec personne” tout en restant très ferme. Il s’est dit prêt à rencontrer Emmanuel Macron, à condition que la France livre à l’Italie “quinze terroristes italiens” qui “boivent du champagne en France depuis des décennies alors qu’ils devraient être en prison en Italie“.

    Le ministre de l’Intérieur italien a également déclaré :

    Au cours des deux dernières années le gouvernement français, qui nous a appris la générosité et l’hospitalité, a rejeté plus de 60 000 migrants à la frontière franco-italienne. Des femmes et des enfants parfois abandonnés dans la forêt en pleine nuit. A mon avis, ce n’est pas le comportement d’un pays civilisé.

    https://fr.novopress.info/213546/crise-franco-italienne-matteo-salvini-denonce-lhypocrisie-de-la-france-sur-la-question-migratoire/

  • Benjamin Griveaux craint la Manif pour tous

    Benjamin Griveaux craint la Manif pour tous

    Le porte-parole du gouvernement ne craint pas de priver des enfants du droit d’avoir un père, non, il craint La Manif Pour Tous. Benjamin Griveaux a vécu les manifestations côté socialiste, au cabinet du ministre de la Santé, Marisol Touraine…

    «Je ne veux pas qu’on revive dans la rue ce qu’on a vécu en 2013. Malheureusement, on n’y coupera pas… Il y a beaucoup d’antis. C’est un mouvement qui est là, qui a fait l’élection de Fillon à la primaire. Et Macron, c’est pas franchement leur tasse de thé.»

    Pour preuve : la participation massive de la Manif pour tous à la consultation nationale organisée fin décembre par le Conseil économique social et environnemental (CESE).

    Benjamin Griveaux imagine :

    «Déjà que les européennes vont être sympas mais là, ça va être de la fake news en ébène massif sur les cellules souches, la recherche sur les embryons ou encore les accusations sur l’eugénisme généralisé. Wauquiez était d’ailleurs assez en avance là-dessus. Quant à LR, ils vous mettent François-Xavier Bellamy en tête de liste, vous avez compris.»

    Et il omet l’opposition au sein de son propre parti. Selon les calculs d’un ministre, il y aurait «une quinzaine de députés de la majorité opposés à la PMA».

    https://www.lesalonbeige.fr/benjamin-griveaux-craint-la-manif-pour-tous/

  • L'émission "Synthèse" sur Radio Libertés avec Alain Escada, Président de Civitas

    1908849638.jpgEcoutez

    l'émission

    cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Élections européennes : pourquoi ne pas dire la vérité ?

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    Les élections européennes (26 mai en France) ne s’annoncent pas franchement passionnantes, et ce, bien que ce soit enfin l’occasion, pour les Français, de sanctionner le Président Macron depuis son élection. Ce dernier, en prévision d’une faible participation, réfléchit à l’idée d’organiser un référendum dans la même période. En attendant, les têtes de liste sont annoncées les unes après les autres (Bellamy pour LR, Aubry pour LFI, Bardella pour le RN, etc.).

    Pourtant, l’actuel président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, avait affirmé – avec la sobriété qu’on lui connaît – qu’« il ne peut y avoir de choix démocratique face aux traités européens » (dans un entretien accordé au Figaro, en janvier 2015). De fait, élire un maximum de députés souverainistes dans un camembert déjà restreint au Parlement européen (79 sièges pour la France, contre 96 pour l’Allemagne) n’a aucun sens si ce n’est de permettre aux partis politiques d’avoir des élus avec des collaborateurs. Car la politique, c’est d’abord du business.

    La liste que certains gilets jaunes veulent porter jusqu’à Strasbourg suinte la combine électorale pour faire baisser le score des rivaux du chef de l’État. Leur tête de liste, Ingrid Levavasseur, ressemble beaucoup à Édouard Martin, un syndicaliste de la CFDT qui faisait le spectacle devant les caméras de télévision dans un bras de fer avec ArcelorMittal durant l’élection présidentielle de 2012. Une fois élu, François Hollande avait su récompenser l’opportuniste en le mettant sur la liste PS pour les européennes de 2014. Rien d’étonnant, alors, que l’aide-soignante ait troqué des convictions pour un plat de lentilles.

    Quant à la droite du PACS (Roselyne Bachelot), du « pain au chocolat » (Jean-François Copé) et de « la ration de frites supplémentaire » (Nicolas Sarkozy), celle-ci ne peut pas tenir un discours cohérent face à une politique économico-sociale qu’elle prône depuis la victoire du « oui » au référendum sur le traité de Maastricht (le 20 septembre 1992). Car les thèmes nationaux font gagner tant que les intérêts libéraux font siéger. Dans un territoire sans frontières, le politique compense son manque de souveraineté en se mêlant de ce qui se passe dans la chambre à coucher (loi sur le mariage homosexuel ou celle pénalisant les clients de prostituées) et en limitant les déplacements en voiture dans les zones périurbaines et rurales (80 km/h). Et la grande braderie se déploie sans détour : vente à la sauvette des industries, des routes, des terres, des patrimoines, des murs et des aéroports.

    Tel un directeur des ressources humaines qui divise ses salariés pour mieux régner, Macron promeut une opposition morcelée en micro-partis. Le mouvement de l’ancien socialiste Benoît Hamon, Génération.s, prônant l’inclusion tant au niveau culturel que sociétal ne propose rien de très différent par rapport au macronisme. Il n’est pas surprenant de voir ce parti surreprésenté sur les plateaux télé alors que ce dernier n’a jamais subi l’épreuve du suffrage universel. Les « machins » ne s’arrêteront pas là. Fort à parier que les députés « des Français de l’étranger » prendront plus de places au nom de la désertification des territoires. Dans tous les cas, nos élus continueront de penser international.

    Henri Feng

    http://www.bvoltaire.fr/elections-europeennes-pourquoi-ne-pas-dire-la-verite/