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  • Racisme anti-blanc : 24 heures sur Twitter où la haine contre les “babtous” s’exprime en toute impunité

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    Les réseaux sociaux seraient un déversoir de la cyber-haine. Le gouvernement veut même la combattre en mettant fin à l’anonymat. Mais au moment d’évoquer cette haine insupportable qui s’exprime sur internet, les politiques ou les journalistes prennent très rarement l’exemple du racisme anti-blancs, dont certains nient même l’existence. Nous avons donc voulu constater par nous-même cette haine du blanc sur le réseau social, désigné par les sobriquets de gwers ou babtous.

    Du mardi 15 heures, au mercredi à la même heure, nous avons filtré les messages à caractère raciste envers les Blancs, sans pour autant les sélectionner tous. Certains comptes étant des trolls ou d’autres utilisant ces termes sans véritable hostilité ou mépris. Nous passons outre le racisme bienveillant, contre les ien-cli par exemple. Verlan de client, ce terme désigne les blancs se fournissant en drogue auprès de dealers non-blancs.

    Nous lançons le compte à rebours ; quelques messages de la matinée et des jours précédents sont retweetés :

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  • NOTRE FEUILLETON ESTIVAL : UN ETE AVEC JACQUES BAINVILLE... (39)

    Aujourd'hui : 41. De Paris à Martigues, la visite mouvementée des Daudet et des Bainville à Charles Maurras...

    Aujourd'hui, ce n'est pas Bainville qui parle, mais Léon Daudet qui raconte... Voici un extrait de Charles Maurras et son temps (Ernest Flammarion, 1930) dans lequel Léon Daudet restitue quelque chose de l'amitié qui réunissait les trois figures de proue de l'Action française : Bainville, Maurras et lui-même, Daudet. 
    Une amitié intellectuelle, certes, fondée sur l'accord des esprits, mais aussi, on va le voir, une amitié qui ne se limitait pas à l'intellectuel.
    Cet extrait a le mérite de rendre un peu de la réalité vivante, de la chaleur de ce que fut l'entente de ces trois amis. 
    Et, au-delà des habituels développements sur leurs qualités intellectuelles, de nous les restituer dans ce qu'ils avaient d'humain, de bien vivants, en chair et en os si l'on peut dire...

    "...En septembre 1925, nous avions décidé, nos amis Bainville, ma femme et moi, de nous rendre à l’invitation de Maurras à Martigues et de lui amener, comme il le désirait, Hervé Bainville, jeune homme de quatre années et son très jeune filleul François Daudet. Cette mémorable expédition commença mal : le train rapide faillit télescoper, près de Sens, un expresse qui le précédait, et, à partir de là, tel le bateau ivre, dériva de Sens à Saint-Germain-des-Fossés, à Montluçon, à Bourges, à Ganat, à Tarare, à Lyon et vers quelques autres villes encore ; si bien qu’au lieu d’arriver à Marseille le matin à neuf heures, comme il se doit, nous n’y parvînmes, après mille détours et péripéties, qu’à onze heures du soir. Soit quatorze heures de retard, et pas de pain, ni de victuailles dans le wagon restaurant ! Ma femme eut une inspiration très heureuse :

    - Je suis sûre, nous dit-elle, que Maurras aura préparé à souper. Ne restons pas ici. Sautons, avec nos bagages, dans ces deux automobiles, et allons tout de suite à Martigues !
    Sitôt dit, sitôt fait. Après quarante kilomètres avalés dans la nuit chaude et blanche de poussière, nous débarquions, vers minuit, dans la célèbre demeure du chemin de Paradis. Maurras, balançant une grosse lanterne, nous conduisit aussitôt dans la salle à manger, au milieu des rires et des cris d’appétit des enfants bien réveillés.
    Une jeune dame de beaucoup d’esprit a défini ainsi Maurras : "Un maître de maison" . Ce grand politique, ce poète admirable, ce redresseur de l’ordre français s’entend comme personne à régaler ses amis. Son hospitalité fastueuse avait combiné, ce soir-là, un festin de Pantagruel ou de Gamache, lequel commençait par une bouillabaisse classique, exhaussée de la « rouille » traditionnelle, qui met la soupe de soleil à la puissance 2 ; se continuait par des soles "bonne femme" et des loups grillés ; atteignait au grandiose et au sublime avec un plat d’une douzaine de perdreaux de Provence, demeurés tièdes et dorés, sur des "lèches" de pain, comme on ne les obtient que dans la vallée du Rhône – pardonne-moi, ô Bresse – et arrivés à la consistance du baba. Chaque enfant mangea son perdreau. Celui qui écrit ceci, comme disait Hugo, mangea deux perdreaux, pécaïre, toute une sole, le tiers de la bouillabaisse, et le reste à l’avenant, suivi de près par Jacques Bainville, romancier, journaliste, historien et financier des plus gourmands.
    Maurras ne cessait de nous encourager et de nous verser à boire, car j’aime autant vous dire tout de suite que sa cave est à la hauteur de sa table et qu’il est un des très rares amphitryons de France sachant vider, dans les grands verres, quelques bouteilles de vin du Rhône. Il nous en ouvrit, cette nuit-là, de prodigieuses. La conversation roula sur la poésie, le langage et la Provence, dans une atmosphère à la Platon. Les enfants, gonflés de nourriture et de sommeil, étaient allés se coucher, bien entendu, et dormirent douze heures d’affilée.
    Le lendemain, Maurras nous emmenait tous faire quelque deux cents kilomètres en automobile dans cette région enchantée qui est entre les Alpes et la mer, où l’on ne peut faire dix pas sans rencontrer un grand souvenir, un vers de Mistral, ou une belle fille élancée, au teint mat et aux yeux noirs. Ainsi passaient et couraient les douces heures claires de l’amitié et de la fantaisie. Ne croyez pas ceux qui vous diront que les gens d’A.F. sont des censeurs ou docteurs moroses ; ou qu’ils ont mauvais caractère. Depuis vingt-trois ans que je vois quotidiennement Maurras, je n’ai cessé de découvrir de nouvelles raisons de l’admirer et de l’aimer...

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    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/08/25/notre-feuilleton-estival-un-ete-avec-jacques-bainville-6171800.html

  • Un point sur la situation au Royaume-Désuni, avec Frédéric de Natal...

    1. Avant-hier matin, à 10h55, Frédéric de Natal postait le premier message suivant (que lafauteraousseau relayait, à 15h24, à la fois sur sa page facebook et sur son quotidien sur la toile) :

    Info de dernière minute : Le premier ministre Boris Johnson n'a pas exclu de suspendre le Parlement pour l'empêcher de bloquer ses projets de sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne pour le 31 octobre. «Nous avons appris que la reine pourrait être invitée à accepter de suspendre le Parlement dès aujourd'hui», a déclaré Nick Robinson, ancien rédacteur en chef politique de la BBC, en précisant que l'information restait à confirmer.

    Le chef de l'opposition travailliste Jeremy Corbyn a quant à lui affirmé qu'il ferait tout son possible pour empêcher un Brexit sans accord. Une telle éventualité, a-t-il dit, mettrait le Royaume-Uni à la merci du président Donald Trump et des entreprises américaines. Les partis d'opposition ont d'ailleurs annoncé mardi un accord de coopération en vue de prévenir un «no deal», après des discussions entre Jeremy Corbyn, le Parti national écossais (SNP), les libéraux-démocrates, le Parti Vert et le Groupe indépendant pour le changement. (Le Figaro)

    Voici maintenant, en quelque sorte, "le film" des événements, au fur et à mesure que les rapporte Frédéric de Natal, à partir de ce "coup" surprise de Boris Johnson...

    2. La position de la Reine :

    Le premier ministre britannique demande à la reine Elizabeth II son accord de dissolution du parlement. La BBC couvre l'événement en direct. La souveraine devrait s'adresser à la nation sous peu (la BBC évoque un discours en octobre, la sortie du Royaume de l'Europe devant intervenir au plus tard le jeudi 31 octobre).

    Elizabeth II accepte la suspension du Parlement britannique demandée par Boris Johnson.

    "Alors que Sa Majesté a signé un ordre de suspension du parlement, elle s’inquiète de plus en plus pour l’unité, explique Rhiannon Mills sur SkyNews. L'ancien Premier ministre John Major a affirmé que cette décision plaçait la reine au centre d'une "controverse constitutionnelle".

    Bien qu'elle ne se soit jamais prononcée sur le sujet, la reine Elizabeth II est au centre de la crise du Brexit. "Elle est toujours techniquement apolitique, mais elle a également conféré un avantage certain au groupe pro-Brexit" écrit Vanity Fair.

    Cette annonce surprise, faite peu de temps après une réunion officielle avec la reine - en vacances à Balmoral - resserre considérablement le temps disponible pour les rebelles conservateurs et les partis d'opposition pour contrecarrer les plans de Boris Johnson sur le Brexit...

    3. L'attitude hostile de Jérémy Corbyn :

    Le leader du parti Travailliste, Jeremy Corbyn, à la fois membre du conseil de la Couronne et critique public de la monarchie, demande un entretien urgent avec la reine Elizabeth II et réclame une motion de censure contre le premier ministre Boris Johnson. Le député a curieusement averti par écrit la souveraine du "danger" qui pèserait sur le système monarchique si elle maintenait son intervention au parlement...

    Il exige même qu'elle le rencontre avant d'accepter la demande de Boris Johnson de suspendre le Parlement.

    Alors que les députés de toutes les parties ont réagi avec indignation, le chef du Parti Travailliste a écrit à la reine, l'avertissant du "danger" de sa décision, allant "directement contre les souhaits d'une majorité de la chambre des communes". Il a tenu ces propos en tant que leader de l'opposition officielle, au nom de tous les membres du Parti Travailliste mais même, aussi, de beaucoup de membres du Parti Conservateur : 
    "Il y a un danger que la prérogative royale soit exercée directement contre la volonté de la majorité des parlementaires", déclare Jérémy Corbyn, qui a curieusement averti par écrit la souveraine du "risque" qui pèserait sur le système monarchique si elle maintenait son intervention au parlement. Ces derniers jours, la presse avait accusé ce socialiste de "comploter " et vouloir renverser le premier ministre afin de revenir sur le Brexit...

    4. Question(s) sur l'attitude et la sécurité de la Reine... :

    La reine interviendra le 14 octobre et devrait s'adresser à la nation par le biais du discours habituel au parlement. Si 47% des députés désavouent la décision prise par le premier ministre (sondage You Gov), ce dernier bénéficie toutefois encore du soutien des britanniques pour un No deal. Un récent sondage du 13/08 avait montré que 54% d'entre eux approuvaient la proposition suivante: "Boris Johnson doit réaliser le Brexit par tous les moyens, dont la suspension du parlement si elle est nécessaire pour empêcher les députés de le stopper " : Depuis plusieurs jours , divers députés avaient fait pression sur le palais royal pour que la souveraine (qui a déclaré en privé récemment être "vraiment consternée et mécontente de la qualité de la classe politique britannique actuelle") intervienne dans le débat et qui lui soit permis même de faire un discours au parlement européen...

    Dans ce climat, certains députés du Labour n'ont pas apprécié la décision de la reine Elizabeth II d'approuver la suspension du parlement britannique, et lui ont rappelé que c'est à cause de ce " type de coup d'état" que son cousin Constantin de Grèce a été renversé. Ils appellent à s'enfermer dans le parlement et à refuser de l'évacuer...

    Des fuites (Irish Times) indiquent, dans la foulée, qu'un plan secret pour évacuer la reine et la famille royale après un "no-Deal" a été élaboré en cas d'émeutes...

    Et maintenant ? Comme on dit en anglais : Wait and see !...

    Parfaitement légal, ce "coup", certes "de force" n'est en aucun cas un "coup d'Etat", tout juste un "coup de poker", dont le très proche avenir dira s'il a été gagnant, ou non... Une pétition "stop the coup" a déjà réuni un million et demi de signatures, et une très importante manifestation a eu lieu à Londres, aux abords du Parlement... 

    Wait and see !...

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/08/30/un-point-sur-la-situation-au-royaume-desuni-avec-frederic-de-6172605.html#more

  • BFMTV chute de 20% après son éviction des Freebox

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    La chaîne d’information a subi une baisse de 20 % de son audience au lendemain de la coupure du signal.

    Simple trou d’air ou véritable signal d’alarme? Mardi BFMTV a enregistré une chute de son audience de 20 %, passée de 2,4 à 1,9 million, selon Médiamétrie. Les performances de cette journée étaient attendues par tous les acteurs de l’audiovisuel et des télécoms. Et pour cause. Elle était marquée par l’arrêt de la diffusion des chaînes du groupe Altice (BFMTV, RMC Story et RMC Découverte) sur les box du groupe Free.

    https://www.fdesouche.com/1253085-bfmtv-chute-apres-son-eviction-des-freebox

  • On la sent super bien, la reconquête des territoires perdus de la République.

    L’image contient peut-être : ciel, nuage, arbre, gratte-ciel et plein air
    Les habitants d’une cité d’Avion dans le Nord vont être tous intégralement relogés ailleurs en raison de l’insécurité que les racailles font régner en ces lieux (comme en de très nombreux autres).
     Tandis que le Ministre de la Ville manifeste par des propos ineptes son soutien au délit de blasphème et à l’islam politique que celui-ci recouvre, on en est donc à un point où ce sont les honnêtes gens qui, dans les villes sinistrées et gangrenées, doivent déguerpir pour littéralement laisser la place aux délinquants.
    On aurait pu imaginer des solutions judiciaires d’urgence, après tout, lorsqu’il s’est agi de réprimer le peuple français en révolte, l’exécutif n’a pas manqué d’imagination. 
    On aurait pu imaginer des actions fortes, de la véritable autorité (plutôt que des LBD dans les yeux de manifestants). 
    On aurait tout simplement pu imaginer que ce serait les racailles qui seraient virées des lieux, on aurait pu imaginer que la justice agisse fermement comme elle a si bien su faire lorsqu’il s’est agi d’opposants politiques, afin que la vie citoyenne normale reprenne ses droits. 
    On aurait pu imaginer une sévérité envers les délinquants au moins égale à celle qui s’abat pour des motifs juridiquement farfelus sur les militants identitaires.
    Mais non.
    Il faut dire qu’avec Yassine Belattar comme conseiller présidentiel des villes, on ne voudrait pas prendre le risque d’offenser qui que ce soit.
     Possible donc qu’en plus d’interdire l’islamophobie, on propose la pénalisation de la délinquançophobie.

  • Les auteurs du livre "Ordre nouveau raconté par ses militants" entament un tour de France pour présenter le livre

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    Conférence à Clermont-Ferrand le jeudi 5 septembre à l'occasion de la sortie du livre "Ordre nouveau raconté par ses militants"

    Les deux auteurs du livre (Jacques MAYADOUX et André CHANCLU)  seront présents. 

    Présentation du livre, dédicaces. 

    Suivront :

    Lyon, vendredi 6 septembre

    Toulouse, dimanche 8 septembre

    Rouen, jeudi 12 septembre

    Lille, vendredi 13 septembre

    Paris, La Nouvelle Librairie, mardi 17 septembrePour avoir l'adresse du lieu de la conférence envoyez un mail à l'adresse mail présente sur le flyer. ordre.nouveau.livre@gmail.com

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    Acheter le livre en ligne cliquez ici

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  • Emmanuel Macron : l’enfant du miracle… pour les plus riches

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    Le mandat présidentiel en cours dans notre pays est une mystification, une tromperie sur la marchandise électorale vendue en 2017. La publicité annonçait le dépassement de l’affrontement idéologique stérile entre la gauche et la droite au profit d’un rassemblement des compétences et des bonnes volontés pour redresser le pays et l’adapter au monde actuel, à la modernité économique et politique. Pour conduire la France vers ce « nouveau monde », le guide était jeune et brillant. On laissait dans l’ombre son ascension dans les coulisses du Parti socialiste pour ne voir que le « Mozart de la finance » jonglant avec les milliards des fusions d’entreprises chez Rothschild et le ministre de l’Économie tentant de réformer le pays de manière dynamique à l’ombre du Président Hollande : quasiment l’enfant du miracle, ou la fleur poussée sur un tas de fumier. L’engouement des médias était perceptible.

    Sous cette apparence qui a attiré nombre de Français, et trompe notamment une bonne partie de l’électorat sociologiquement « de droite », se cache une réalité tout autre. Macron, s’il est technocrate par sa formation, n’est pas un technicien. C’est un idéologue, et c’est son idéologie qui emporte l’adhésion du microcosme médiatique plus que ses qualités intellectuelles.

    Derrière le mot « progressisme », c’est la pensée de la caste mondialiste qui s’affirme, celle qui réconcilie Alain Minc et Daniel Cohn-Bendit, le rossignol du mondialisme et la pastèque, rouge en 1968, verte écolo aujourd’hui, réconciliés dans l’idée que le capitalisme était décidément plus destructeur que la révolution politique qui, souvent, produit en réaction des régimes conservateurs. Le marché mondial sans frontières pour les marchandises et pour les gens qui ne sont, dans le fond, que des marchandises sur le marché du travail permet le développement et la prospérité pour le premier, la fin des familles, des nations et de toutes les barrières morales traditionnelles qui freinent les désirs pour le second.

    Évidemment, cette vision mirifique n’est juste que pour une petite minorité, celle dont Emmanuel Macron porte l’idéologie et qui lui vaut le succès que l’on sait dans le microcosme médiatique parisien. Ce n’est pas par hasard que le sujet de l’inégalité annoncé comme essentiel pour le G7 de Biarritz est passé à la trappe dans les conclusions.

    L’un des symptômes de l’idéologie macronienne est le mélange de fascination et de détestation pour l’Amérique que l’on perçoit dans les relations ambivalentes de Macron avec Trump.

    Pour Macron, l’Amérique est l’altérité porteuse, celle de la Californie à San Francisco ou Los Angeles, celle de New York, la ville de Trump et de son éclatante réussite, mais où il n’est pas élu, parce que c’est l’autre Amérique, populiste et conservatrice, qui en a fait un président. Une France, comme un État dans les États-Unis d’Europe, et une économie en mouvement perpétuel, dans laquelle s’inscrit une culture de la diversité, favorisée par l’immigration, tels sont les fantasmes idéologiques du Président français.

    Un couple transgressif et branché qui aime le luxe mais est obligé de camoufler la tendance de fond sous des dehors bourgeois, entre Le Touquet et Brégançon, qui réserve son intérêt aux premiers de cordée, aux puissants, mais avec la compassion tweetée toujours prête à jaillir pour les autres, ceux dont l’altérité n’est pas vulgaire ; une fiscalité attrayante pour les très riches et une redistribution au profit des « plus pauvres », en oubliant les classes moyennes ; une haine quasi pathologique pour les conservateurs de France et d’ailleurs, qui fait passer les politiques familiale ou sécuritaire au second plan, sauf, bien sûr, quand il s’agit de réprimer les manifestations populistes qui ne viennent pas des quartiers sensibles.

    L’arrivée conjointe de la réforme des retraites et de la PMA pour les lesbiennes dévoile cependant la supercherie. La retraite par points avec un chômage important dans un pays qui perd son industrie est un piège pour les salariés.

    Il restera de l’épisode Macron, comme de l’épisode Hollande, une « avancée » sociétale qui est un recul anthropologique et qui ne concerne qu’une infime minorité : après le mariage, la PMA pour tous…

  • Soutien au Maire de Langouët, dans la perspective d'un changement radical de politique, que permettra la révolution royale...

    A noter : après la rédaction de cette note, on apprenait que le Tribunal administratif de Rennes annulait l'arrêté municipal, mais que le Maire - fermement soutenu par la quasi totalité de ses administrés - faisait appel : on reste donc en plein dans "l'affaire"...

    Une centaine de personnes se sont rassemblées, le samedi 17 août, à Rennes devant la préfecture de Bretagne pour soutenir le maire de Langouët (Ille-et-Vilaine), Daniel Cueff, convoqué jeudi devant la justice. Son tort ? Le 18 mai, il avait pris un arrêté interdisant l'utilisation de produits phytopharmaceutiques « à une distance inférieure à 150 m de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel ».

    « Madame la préfète, laissez nos maires nous protéger », « Pesticides, riverains, agriculteurs, tous victimes », « Stop pesticides, nous voulons des coquelicots », pouvait-on lire sur des banderoles. Les participants répondaient à l'appel du collectif Nous voulons des coquelicots de Langouët, village de 602 habitants situé à une vingtaine de kilomètres au nord de Rennes.

    lafautearousseau, comme la très grande majorité des Français, a tout de suite trouvé naturelle et saine la décision du Maire de Langouët.
    Cependant, il est bien certain que la vraie réponse au problème doit être à la fois plus globale qu'un simple arrêté municipal - fût-il multiplié par cent, par mille... - qu'elle doit partir de cette metanoïa que réclamait déjà Pierre Boutang, et qui implique donc une nouvelle politique forcément volontariste, s'inscrivant dans la durée.
    Dès le début de "l'affaire", j'avais demandé son avis à Jean-Philippe Chauvin, sur fb; il m'a répondu ceci :
    "L'interdiction voulue par le maire est légitime mais se pose le problème de la grande dépendance des agriculteurs locaux aux pesticides et montre aussi l'absence d'une politique globale de transition vers un modèle plus vertueux que l'Etat n'a pas préparé à temps".
    Nous faisons nôtres ses réflexions dans son article Pour une écologie intégrale...
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  • L’Etat persécute ceux qui s’opposent au grand remplacement

    L’Etat persécute ceux qui s’opposent au grand remplacement

  • Serge Federbusch, à propos de Jean Messiha : « Un pur nouveau venu dans le paysage politique parisien »

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    Jean Messiha, du Rassemblement national, vient d’annoncer qu’il présentait sa candidature à la commission d’investiture de son mouvement politique pour les élections municipales à Paris en 2020. Réaction, au micro de Boulevard Voltaire, de Serge Federbusch, qui s’était entendu avec le Rassemblement national de Paris pour être le candidat d’union des droites.

    https://www.bvoltaire.fr/serge-federbusch-a-propos-de-jean-messiha-un-pur-nouveau-venu-dans-le-paysage-politique-parisien/